Mercure

 

Aspect de Mercure au télescope :    


 Prise de vue : Mercure gibbeuse en plein jour. On note des nuances d'albédo à la surface de la planète (cf ci-dessous). Télescope Celestron 14 à F/19. Camera Basler ACA1300. Image IR-RVB avec filtres Baader. Palaiseau, altitude 100m. Turbulence momentanément moyenne, vent fort. 3000 images par filtre compositées avec Autostakkert.

Identification des zones claires de l'image ci-dessus grâce à une simulation avec le logiciel Winjupos :   

Mercure le 10/04/2016

 

Le point doré de Mercure à l'oeil nu :    

Prise de vue : Mercure au crépuscule, surplombée par Castor et Pollux. Objectif 50mm. Pose 5s sur en Juin 2001. 15 km nord-ouest de Pau.

  

Tout savoir sur Mercure à la page 50 du livre "101 merveilles du ciel qu'il faut avoir vues dans sa vie".    

Tous les conseils pour observer Mercure aux pages 94-95 du livre "A la découverte du ciel".

 

Notes visuelles : A l’œil nu, il est toujours émouvant de voir ce petit astre doré faire son apparition au-dessus des brumes de l’horizon, au crépuscule ou à l'aurore. Il faut un instrument de bonne qualité et un grossissement de 100x pour reconnaître ses phases, identiques à celles de Vénus en miniature. Quant aux marques sur le sol, elles sont très difficiles à percevoir. Tentez votre chance en plein jour, lorsque Mercure est le plus éloigné des turbulences de l'horizon. Elles sont vaguement apparues sur un croissant de Mercure dans un télescope de 350mm.

Notes photographiques : Pour photographier Mercure dans les lueurs du couchant ou du levant, il suffit d'un appareil avec un simple objectif, posé sur un trépied afin de ne pas bouger, et le tour est joué. En revanche, saisir les phases au télescope est déjà plus difficile. Quant à enregistrer les différences d'albedo, cela relève purement et simplement du défi !

 

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