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Je me nomme Laurent Bourret, je suis né le 22 mars 1973. J'habite dans un petit village de la campagne Genevoise, en Suisse.


Le virus de l'astronomie a commencé pour moi au printemps 2004.

Néanmoins, ça faisait des années que je regardais le ciel étoilé en pensant à toutes ces merveilles qui devaient s'y cacher, mais sans jamais franchir le cap d'acheter un instrument d'observation.


Alors, après une prise de renseignements et une recherche approfondie sur le net, ainsi que les conseils d'un magasin spécialisé, je me suis lancé …


J'ai acheté un télescope Schmidt-Cassegrain Meade LX90 dit polyvalent pour l'observation planétaire et du ciel profond puisque je ne savais pas ce que j'allais préférer ainsi que 2 oculaires (10mm et 25mm).


Tout content et tout motivé par l'achat de ce bel instrument, j'ai commencé ma première soirée d'observation dès que la météo me l'a permis depuis ma terrasse. Et la, première galère…  La mise en station…Le mode d'emploi disait de simplement le mettre à niveau et de le pointer au Nord. Ensuite il irait "tout seul" chercher 2 étoiles repères qu'il faudrait centrer et valider.

Mais bon, voilà … Quand on n'y connaît rien, allez savoir quelle étoile il faut centrer dans le chercheur … (pour autant qu'elle soit dans ce satané chercheur…).


Voilà, voilà, après quelques séances d'entraînement, tout rentre dans l'ordre et on peut commencer l'observation. Ahh, que c'est beau … Ma première observation fut la lune, (évidemment) et quelle surprise de voir autant de choses: Cratères, failles, "montagnes", mers, etc. Mais ce qui me marqua le plus, ce fut ma première observation d'une planète : Jupiter. Jamais je n'oublierai cette vision tout droite sortie d'un rêve.


Je réalise assez vite que l'observation avec 1 seul œil ne me plait guère. Avoir la moitié du visage déformé après 15 minutes d'observation … Non, non, pas pour moi !

Une vision par l'intermédiaire d'une binoculaire serait bien plus "confortable".

Ni une ni deux, ma décision est prise ! Je casse la tirelire et j'achète une bino Denkmeier II avec le système power switch … Waouou … quel confort et que c'est bien le power switch !

Enfin, fini de changer sans arrêt d'oculaires.


Les semaines et les mois passent et à grand renfort de livres dédiés à l'astronomie, je comprends de mieux en mieux ce que je vois. Mais quelque chose commence à m'interpeller de plus en plus, à savoir : Avoir des images de ciel profonds qui ressemblent à celles des livres … De belles nébuleuses pleines de couleurs, des galaxies contrastées, avec de belles spirales, des amas bien piqués, etc…


Dans le pac du LX 90 il y avait une web came Meade LPI, alors hop, un PC portable et on commence …

Aïe ! Ce n’est pas évident tout ça …

Alors après quelques séances d'imagerie d’où je suis rentré bredouille, lentement, les résultats commencèrent à arriver; (merci le net pour tous les conseils que j'ai pu y trouver).


Les images tombent, sans prétention, mais on commence à reconnaître quelques objets, quand là j'apprends que Meade sort la DSI (pour le ciel profond). Vite, une commande et je teste … Ouaip, pas trop mal, mais rien à voir avec une vraie CCD.


On ne relâche pas nos efforts et on continue à faire des images …


Et là, un jour, on me dit : Les Schmidt Cassegrain donnent une image un peu floue. Les lunettes, c'est mieux pour l'imagerie, il y a plus de piqué !


A l'occasion d'un voyage, j'achète alors une lunette Orion 100ED que je teste tout d'abord en visuelle puis en imagerie et, en effet, le piqué d'image est vraiment très bon.


Mais du coup, il faut mettre la lunette en parallèle au télescope avec une queue d'aronde et c'est lourd tout ça !

Il faut à chaque fois tout transporter, tout régler: Contre poids, alignement de la lunette et du télescope, table équatoriale (indispensable pour l'imagerie du ciel profond) etc, etc …


Pour finir, je remarque que je fais plus que de l'imagerie et que mon LX 90 ne me sert plus qu'à guider ma lunette 100ED, qui, de plus, est un peu petite en diamètre pour un grand nombre d'objets du ciel profond …


Après une année et demies d'astronomie, une grande remise en question s'impose et ma décision est prise !


Je vends tout ! Et puisque maintenant je sais ce qui me plait, (l'imagerie) j'achète une fois pour tout un bel instrument d'astronomie, une belle monture et une vraie CCD.


Mon choix s'est finalement porté sur une superbe lunette Starway 152mm quadruplet, APO guidée par une monture Célestron CGE.

Pour l'imagerie, j'ai "tapé" dans une Sbig ST2000 XM avec sa roue à filtre.


Bonjour les dépenses …


Après une période d'adaptation en visuel avec ce nouveau matériel, et quelque essai avec la DSI (la Sbig était en commande) me voila fin prêt pour capturer quelques photons sur le capteur de ma caméra. Le début sera difficile, j'ai encore tant de progrès à faire pour percer les petits secrets et astuces de l'imagerie CCD.

Aujourd'hui, je me sens prêt à relever ce défi.


Je vous rassure, je me plaignais déjà avant du poids des mes anciens instruments, mais là, c'est bien pire !!!

Je déplace en moyenne 130 Kg de matériel pour une soirée d'observation et, ou d'imagerie.

L'installation est aussi longue, mais les réglages sont plus "agréables" à effectuer.


Cela n'empêche que dans un futur proche, je me lance dans la construction d'un petit observatoire qui va, j'en suis sûr, me changer la vie, et bien améliorer la qualité de mes images grâce à des réglages proches de la perfection, un abri au vent ainsi que des temps de pose beaucoup plus longs.


Mais pour l'instant, à moi le froid glacial des montagnes, le vent et les lumbagos !






Printemps 2006



Après quelques nuits passées à la montagne à étrenner ma CCD Sbig avec des températures largement en dessous de 0°, je me suis vite rendu compte que pour faire de l'imagerie de qualité il fallait un poste fixe.

En effet, le déplacement d'un tel matériel en montagne se transforme vite en une véritable

expédition ...



130 Kg de matos, plus de 2 heures d'installation et de réglage pour en fin de compte avoir 50% d'images à "jeter" à cause d'une "petite brise montagnarde" qui vous "ovalise" toutes les étoiles, m'on décidé à commander un observatoire Sirius modèle home au début de l’année 2006.


Le temps de faire installer une dalle et un pied de colonne en béton et hop !!! Fin avril 2006 l'observatoire arrivait enfin ...




Et avec lui, toutes les joies et le confort qu’un astronome amateur peut rêver …


Dans la foulée, j’ai aussi craqué pour la petite sœur de ma lunette Starway 152mm, c'est-à-dire la Starway 76mm triplet APO qui grâce à sa focale courte de 450mm me permet de faire de belles images grands champs.


Maintenant, il ne me reste plus qu’à faire de belles images CCD des splendeurs du ciel profond …







Été - Automne 2006


Après plusieurs mois d'utilisation de l'observatoire, j'ai vite remarqué que certaines modifications (mises au point et développements) étaient nécessaires.


En effet, à l'usage, il s'est avéré que sans motorisation et automatisation du dôme, les "longs temps de poses" à la CCD étaient assez contraignants du fait qu'il fallait tourner manuellement le dôme toutes les 15 minutes environ et de ce fait, rester dans la coupole. Et y a pas grand chose à faire dans une coupole …

Pour remédier à ça, une seule solution ! La motorisation et l'automatisation du dôme.

Et là, grosse surprise …

Le prix d'un tel équipement chez Sirius est juste hallucinant !!!

La simple motorisation du dôme revient à 2'450.- Euros ! Et ça n'arrange en rien mes affaires, le dôme ne tourne toujours pas tout seul …

En effet, il faut encore l'automatisé (pour qu'il suive le télescope) : 2'625.-- Euros en plus !

Total : plus de 5'000 Euros pour ne plus devoir rester dans la coupole pendant la prise des images longues poses.


En encore, ce n'est pas fini !

Il s'agit ici d'une semi automatisation …

C'est-à-dire; présence obligatoire dans l'observatoire pour ouvrir le cimier et l'allumage du PC, monture, caméra, etc …


Pour une automatisation totale (dôme et cimier plus matériel astro) il faut compter avec une facture de plus de 10'300.-- Euros !!!

Mais ce n'est pas tout …

Il faut encore le programme "CCD AutoPilot" et le "Pyxis rotator" (appareil servant à faire pivoter la CCD au passage du méridien) qui font 1'250.-- Euro en plus.


Total final de la plaisanterie …  12'550.-- Euro …  Ca calme !!! Mais c'est le must.


Pour ma part, ce budget était impensable (rien dans ce matériel ne justifie un pareil coût); alors j'ai pris ma planche à dessin et j'ai dessiné les plans complets d'une motorisation du dôme avec, entre autre, comme crémaillère une chaine de type industriel, un moteur 12V, un pignon et une fixation pour le tout.

Un ami (mécanicien de précision) m'a ensuite fabriqué ces pièces.


Mais tout n'a pas été aussi simple …


En effet il a fallu s'y reprendre à plusieurs fois pour trouver la bonne puissance du moteur 12V, la bonne taille du pignon et surtout une fixation rigide pour le tout.

Après 2 mois de "mise au point", le dôme était enfin motorisé, mais toujours pas automatisé.


Suite à une recherche sur le net pour une automatisation de mon système, j'ai finalement trouvé aux USA, un mécanisme de suivi automatique (qu'il suffit de brancher sur un moteur de dôme qui fonctionne en12V) basé sur une technique de 4 capteurs infrarouge qu'il faut positionner au bout de son instrument d'astronomie.


Le principe de fonctionnement est relativement simple:

Dès qu'un des 4 capteurs perçoit le bord droit ou gauche du cimier, il envoie une impulsion au moteur 12V qui fait simplement tourner le dôme pendant une durée programmable de 0.1 à 5 sec.


Cette solution ma convaincu et j'ai commandé ces capteurs.



L'installation s'est avérée très simple et le système fonctionne très bien une fois qu'on a trouvé et programmé le bon temps de rotation du dôme, (pas évident avec une monture équatoriale).


Cette semi automatisation de la coupole m'a coûté au final environ 1'900.-- Euros ainsi que quelques mois de travail …


Un autre "petit soucis" est apparu durant ces quelques mois d'utilisation…


Un souci d'humidité à l'intérieur de la coupole. Non non, je n'ai pas dis un problème d'étanchéité !  Car cette coupole est parfaitement étanche et ça c'est bien ! Peut-être même un peu trop d'ailleurs.


En effet, le ventilateur "de plafond" vendu en option … est juste nécessaire et même indispensable mais insuffisant … Croyez-moi !


Il fonctionne par énergie solaire, ce qui est très bien … en été !

En hiver, stratus, nuages et longues nuits le rendre pratiquement inutile.
Puisque l'air ne circulant plus ou presque plus dans la coupole, j'ai commencé à observer une humidité persistante à l'intérieur, chose qui m'a particulièrement déplut !!

Humidité et électronique ne font pas bon ménage …


Donc, la solution anti-humidité c'est de ventiler …

J'ai donc installé en plus de celui "d'origine", 3 ventilateurs 12V (un dans chaque caisson) branché sur une minuterie qui fonctionne 4 heures par jour et depuis ce moment là, plus aucun problème d'humidité !


Après les soucis de la motorisation du dôme, de l'humidité, voici ceux de l'imagerie …


Et oui, là aussi j'ai été servi …


Principalement en voulant effectuer de l'imagerie "grand champ" avec ma lunette Starway 76mm placée au dessus de ma 152mm.


Impossible d'avoir une planéité de champ correcte, même avec mon aplanisseur de champ William Optics 0.8.

Et en plus, mauvaise surprise ! L'automatisation du dôme ne fonctionnait pas avec la 76mm.


En effet, les capteurs infrarouge étant fixés à l'avant de la 152mm, ils détectaient trop tard le bord du dôme. (La 76mm étant fixée au dessus, donc plus haute et de ce fait décalée par rapport aux capteurs).


Suite à ce problème, j'ai pris la décision de vendre ma 76mm ainsi que ma Sbig ST2000XM et divers accessoires pour faire l'acquisition d'une nouvelle caméra CCD.


Janvier 2007


La meilleure option qui s'offrait à moi était de commander une CCD avec un capteur grand format (24x36) qui me permettrait de réaliser toutes les images désirées avec ma lunette de 152mm.
Mon choix s'est donc porté sur une Sbig STL11000M.


J'attends maintenant avec impatience cette nouvelle caméra CCD qui j'en suis sûr, me réservera son lot de petits soucis.


Mais ceci est une autre histoire …


Avril 2007


La Sbig STL11000M est enfin arrivée.


J'ai profité de ces quelques mois d'hiver pour réfléchir et prendre une décision radicale (encore une, me direz-vous) quant à la suite à donner à mon observatoire.


Il est sorti de cette réflexion hivernale que des changements importants doivent être pris pour envisager sereinement l'avenir.


Printemps - Eté – Automne - Hiver 2007


Ces changements vont concerner : La monture, l'automatisation complète du dôme et un télescope Schmidt-Cassegrain de 355mm de diamètre en complément de ma lunette Starway 152mm.


Premier changement : La monture.


Pour des raisons pratiques, j'ai décidé de me passer de ma monture équatoriale allemande et de rechercher une monture équatoriale à fourche, fixe, pour observatoire.


En effet, l'énorme désavantage (en imagerie principalement) des montures équatoriale allemande est le fameux et fastidieux passage du méridien (N / S) qui est la principale cause de nombreux "loupés" en imagerie longue pose du à la complexité et aux risques qu'encoure une partie du matériel lors de telles manœuvres de retournement. (Les astrophotographes sauront de quoi je parle) …


La monture équatoriale à fourche a ce gros avantage de ne pas avoir à effectuer de manœuvre de retournement lors du passage du méridien (N / S) comme une monture Alt-Az et de ce fait peut suivre l'objet de son lever à son coucher sans souffrir de la rotation de champ.


Mon choix s'est porté sur une MI 500.

Cette monture pèse un peu plus de 90Kg et peut supporter une charge de 60Kg.

Ses roues dentées en aluminium sont de 12 pouces pour l'Ascension Droite (360 dents) et de 10 pouces pour la Déclinaison (300 dents).

Sa précision est de 2.5 seconde d'arc d'erreur périodique avant l'activation du PEC.
La monture bénéficie du système électronique Astro Physics GTO.

Le temps de commande pour une monture comme celle-ci est de + ou - 8 mois, donc, réception fin 2007 …


Deuxième changement : L'automatisation complète du dôme.


Après avoir installé une semi automatisation avec des capteurs infrarouges et en avoir apprécié les avantages, j'ai décidé de passer à l'étape suivante. L'automatisation complète qui m'ouvrira les portes du pilotage à distance de la coupole.

Le Kit d'automatisation complet proposé par Sirius étant beaucoup trop cher, j'ai décidé, pour la partie mécanique, de le concevoir entièrement en partant d'une "feuille blanche" comme je l'avais déjà fait pour la semi automatisation.

De longues heures de travail m'ont été nécessaires pour le dessin et la réalisation des pièces. Mais après plusieurs mois de travail et de mise au point, l'automatisation totale de la coupole était enfin opérationnelle.




























Je tiens à remercier mon ami Adrien Rudaz (patron de la société AREPA Racing basée à Conthey en Suisse) qui n'a pas compté ses heures pour me fabriquer une bonne partie des pièces dont j'avais fais le dessin. Son aide m'a été cruciale pour la réalisation de ce travail.


Pour ce qui est de la partie électronique, j'ai acheté aux USA directement à l'usine, un très bon système (Max Dome 2) qui fonctionne à la perfection et qui gère les 2 cimiers et le dôme.















Pendant que j'y suis, le système de semi automatisation avec capteurs infrarouges de Technical Innovations (qui fonctionne parfaitement bien) est à vendre pour 450.-- Euros, si ça intéresse quelqu'un …


Troisième et dernier changement : L'achat d'un télescope de grand diamètre.


Pour compléter et finir (enfin) mon installation, j'ai décidé d'acquérir un télescope de 355mm. Mon choix s'est porté sur un Célestron C14.

Pourquoi ce choix me direz-vous, alors que le Meade LX200R 14 est mois cher.

Et bien simplement à cause du poids !

En effet, le Célestron C14 est 10Kg plus léger que le Meade de même diamètre, et ça, ça compte, 10Kg de moins au final sur la monture.























Ce tube me permettra d'imager (de part sa focale de presque 4 mètres) les petits objets du ciel profond comme les nébuleuses planétaires, (que j'affectionne particulièrement), les petits amas globulaires, etc… ainsi que les planètes.

Mais également de profiter pleinement d'observations visuelles (trop souvent délaissées) et qui commencent vraiment à me manquer.


Février 2008


Enfin ! J’ai reçu la totalité de mon matériel avec plusieurs mois de retard …

Comme toujours !

Tout est installé mais il y a encore quelques « bugs » informatique qui m’empêche d’utiliser tout mon matériel en même temps (problèmes de compatibilité me semble t’il …)

Encore un peu de patience et tout devrait rentrer dans l’ordre.


J'espère maintenant, pouvoir vivre ma passion pleinement et dans de bonnes conditions.


Et enfin, un grand merci à toute ma famille pour sa patience, sa compréhension et son soutien inconditionnel dans ce long et coûteux projet.


2008, 2009, 2010, 2011, 2012 ...


Aïe aïe aïe !!!


Et bien, la honte !!! Rien, nada, zéro !!!


Pas une image ...


Un peu de visuel et encore ...


Un gros raz le bol de l’astro, une maladie (et oui, ça n’arrive pas qu’au autre), la construction d’une maison, la naissance de ma fille Clara m’ont fortement occupé durant ces années !


Ainsi qu’une constatation : Aucun plaisir de faire de l’astro derrière un ordinateur à des kilomètres de son matériel ...


En effet, j’ai remarqué que j’adore être à côté de mon matos, le voir, l’entendre, etc

La sophistication extrême, ce que je croyais être la panacée s’est en fait révélé être pour moi un long chemin de croix !


Après une énième réflexion, j’ai décidé de presque tout vendre et de revenir à une solution beaucoup plus simple.


Fini les coupoles ou autres abris !


Un gros télescope sur un trépieds maison à roulette, un petit jardin, de la simplicité et surtout du plaisir !!!

















J’ai fais l’acquisition d’un Meade LX200 AFC de 14’ ainsi que d’une lunette Skywatcher 120 ED sur une monture I-Optron Mini Tower Pro. Et je vais essayer avec ça !


Je garde de côté pour l’instant, ma lunette Starway 152mm. (Je n’ai plus de monture adaptée à cet instrument).


Il n’y aura pas d’image cette année encore.


En effet, nous déménageons dans notre nouvelle maison au début 2013 ...


Mais ensuite ...





Laurent Bourret




P.S. Je vends ma coupole Sirius Home en parfait état avec motorisation complète pour la somme de 4’000 Euros (à venir chercher en Suisse, région Genève).

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