Charge utile : environ 30 kg Soit, cette monture est lourde et assez encombrante à transporter, mais une fois en station c'est du pur bonheur ;o) Sur la mienne j'ai estimé l'erreur périodique de suivi à environ +/- 4" d'arc maxi, ce qui est plutôt bon ! Avec environ 800 mm de focale, en photographie j'arrive à faire des poses de 4 à 6 minutes tout à fait correctes (sans aucun guidage ni correction d'erreur périodique). Elle est dotée d'une lunette de mise en station dans l'axe AD avec un réticule permettant d'aligner très précisément la monture avec la polaire en fonction de la date et du lieu d'observation. Il est préférable de calculer sa position exacte avec un petit soft "PolarFinder" que l'on peut télécharger sur le site du revendeur "Optic-Unterlinden". En configuration "nomade", l'ensemble est monté sur un superbe trépied en chêne massif vitrifié de 1,20m réalisé par un artisan menuisier retraité. Au passage Merci à Gabriel ;o) | La NJP avec mon ex-GPDx... Mais au fait, Pourquoi une monture équatoriale ? Pour photographier les étoiles, nébuleuses, galaxies et autres amas d'étoiles, il faut parfois poser plusieurs dizaines de minutes pour que les précieux photons venus du fin fond du cosmos se manifestent sur le capteur électronique de l'appareil photo ! La terre tournant sur elle même, les astres ne sont donc pas immobiles, ils sont animés d'un mouvement apparent de rotation autour d'un axe imaginaire passant pas les pôles de la Terre. Pour compenser le mouvement de rotation de la Terre, et donc maintenir l'image de l'astre photographié au même endroit sur le capteur (afin d'éviter un filé d'étoile), il faut : - Aligner parfaitement un des axes de rotation de la monture sur l'axe des pôles célestes - C'est la mise en station.
- Animer le télescope d'un mouvement de rotation parfaitement synchrone avec celui de la Terre mais dans le sens inverse autour de cet axe ! La vitesse de rotation est d'environ 15°/h...
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