Les machines du GAP 47 |
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La première machine utilisée par le GAP 47 a été fabriquée à l'occasion du polissage du miroir de 500 mm en 1992 .L'objectif était de mener cette phase en limitant les efforts tout en gardant les caractéristiques et avantages du travail manuel (mouvements relativement aléatoires limitant les défauts associés à la périodicité de mouvements mécaniques) . Le principe retenu est celui bien connu du pantographe qui permet de démultiplier les force. La maîtrise des mouvements reste quant à elle entièrement manuelle |
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Les bras articulés du pantographe sont reliés par des articulations. L'extrémité de l'un d'eux est constituée d'un pivot fixe (3) . Au bout de l'autre extrémité on trouve une poignée de manœuvre (1) qui permet d'actionner le bras qui s'appuie sur un plateau (2) par l'intermédiaire d'une roulette. Un doigt permet d'entraîner le polissoir. Ce système ne permet pas de travailler miroir dessus. Le plateau tournant est mû par un moteur 220 V alternatif récupéré sur une ancienne caisse de supermarché. Sa vitesse de rotation est de 10 tours / minute et n'est pas modulable. Une pédale permet de commander le mouvement de rotation |
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La seconde machine réalisée par le GAP 47 est plus récente (2006). Elle est de type Hindle déportée à double excentrique. Elle sera utilisée pour le polissage du 400 et pour mener le plus loin possible sa mise en forme parabolique. Les principes qui ont guidé sa conception sont les suivants : |
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