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Comme je l'ai mentionné plus haut, l'autoguidage permet de palier au problème de défaut de la mécanique d'entraînement de la monture de son télescope et également des défauts de mise en station. De cette manière une photo prise sur de longue pose permettra d'avoir des étoiles ponctuelles. Il faut savoir
(pour ceux qui ne le savent pas encore) qu'une monture quelle qu'elle soit a
forcément un défaut d'entraînement. Ce défaut est dû à différents éléments,
comme le jeu qu'il peut y avoir dans la mécanique. Ces défauts sont plus ou moins
importants en fonction du poids installé sur la monture, de l'équilibrage de la
monture, de l'orientation de la monture... De plus, un défaut de mise en station se traduit par un mauvais suivit du télescope. Par conséquent, sur la photo acquise pendant une "longue durée", les étoiles présentent une forme allongée, voir sous forme d'un trait suivant l'amplitude du défaut de mise en station et la longueur du temps de pose de l'acquisition. La solution qui est
préconisé dans cet article à une certaine originalité au regard de nombreux
montages déjà existants. Donc, contrairement à beaucoup d'autre montage,
celui-ci est conçu autour d'un circuit intégré. Beaucoup d'autre système était
réalisé à partir de relais. Ces derniers nécessitaient une consommation en
courant pas forcément adéquate sur le terrain. La technique du Circuit Intégré
permet une alimentation légère. Bonne lecture... Bonne réalisation...
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L'électronique.
Sur les systèmes Meade, il semble que si deux ordres contraires (Nord et Sud en même temps ou Ouest et Est en même temps) sont envoyés simultanément, le télescope ne sera pas endommagé. Dans un tel cas les deux ordres semblent s'annuler. Toutefois pour les développer il est conseillé d'éviter se type de "Contre-ordre". Voilà pour ce qui
est des pré requis. A l'aide de ces quelques renseignements, j'espère que la
lecture, de ce qui suit, n'en sera que plus facile. |
De manière à comprendre le fonctionnement de ces cartes j'ai préféré les câbler d'abord sur une platine d'expérimentation comme le montre la photo ci-dessous. Cela parait brouillon (j'en convient) mais c'était opérationnel et cela permet de câbler le montage petit à petit sans faire aucune soudure !
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Chaque LEDs est
reliés au 5 volts simulant les "sorties" du port d'AutoGuidage du LX200. La
commande du 4066 devant permettre de relier les "sorties" du LX200 à la masse,
si tel est le cas alors les LEDs se trouveront entre la masse et le 5 volts.
Elle devront donc s'allumer. Le fichier de ce schéma est téléchargeable
ici. Il a été réalisé avec un
petit logiciel freeware qu'il est possible de trouver à l'adresse suivante:
http://b.urbani.free.fr/pagesds/sds.htm.
Quelques explications concernant ces cartes:
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Avant la
réalisation, proprement dite, de la carte il m'a fallu dessiner le circuit de
cette carte. J'ai donc tracé un circuit.
La réalisation que
j'ai faite n'est pas un modèle en terme de qualité. Cela dit c'est réalisé avec
les quelques moyens que j'ai à ma disposition.
Remarques: J'ai remplacé les
deux interrupteurs INT1 et INT2 par un seul interrupteur Bipolaire. Le fait
d'avoir deux interrupteurs permettait de mettre sous tension le circuit et de
n'ouvrir l'interrupteur INT1 que lorsque le port parallèle est branché et
initialisé par le logiciel d'autoguidage. Or il n'y a pas de raison particulière
à ce que le circuit soit préalablement alimenté. L'utilisation d'un interrupteur
bipolaire permet de simplifier l'utilisation et de n'avoir un seul trou à faire
sur le boîtier (gain de place). |
La seconde
solution est dite "logiciel".
Avertissement concernant le programme cité ci-dessus.
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A bientôt... |
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