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Affichage du contenu le plus aimé le 25/04/2024 dans toutes les zones

  1. 6 points
    Bonsoir à toutes et tous, Je vous poste quelques plans lunaires pris avec un Doctelescope de 382 mm / focale native de 1722mm /f4.5 La caméra est un e QHY5-III-678MM sous un filtre Astronomik rouge car la turbulence était bien présente ce soir là. j'avais utilisé aussi une barlow APM avec un tirage allongé à 3.13 donnant une focale de 5228 mm. Bon visionnage ...et très bon ciel à vous Bruno
  2. 4 points
    Hello, Il fait froid, il neige ou pleut, il vente, alors on fait le ménage dans les SSD, on rafistole des vieux laptops , bref on s'occupe. Avant de le formatter, j'ai retrouvé dans un SSD une série d'images lunaires intitulées lunemosa1, lunemosa2, etc... tiens tiens qu'est ce que ça peut bien être? Ca date du 21 mai 2020, période ou Vénus allait passer en conjonction inférieure et nous montrer son atmosphère complète autour du limbe. Donc je bourrinais bcp avec la 130EDT, et je n'avais pas forcément le temps de tout traiter. C'est donc chose faite pour cette mosaique lunaire, plus aucun souvenir des détails d'acquisition mais le format de l'image m'incite à croire que c'est fait à la basler 1920-155 + powermate x4 derrière l'AP130EDT. Série acquise autour de 21h45. Bien sûr dans le ciel du soir après des journées bien ensoleillées la turbu n'a pas aidé, mais je trouve que c'est une phase magnifique avec bcp de rendus inhabituels. Simon
  3. 3 points
  4. 3 points
    Pas facile de trouver ce cratère dans mes archives. J'en ai au moins deux mais le cratère est quasiment entièrement dans l'ombre ! En voici un, mieux éclairé, d'avril 2023 : Mak 180 avec barlow Jérôme
  5. 2 points
    Salut les Astros, Une petite photo de la nébuleuse de la flamme prise il y a une semaine, toujours à Cayenne ( en Guyane ) au seestar avec 15 minutes de poses et le filtre activé. C'est pas le TOP DU TOP, mais j'espère qu'elle vous plaira quand même ... Bien à vous. PS : Comme @BobSaintClar m'avait conseillé, c'est de faire un temps de pose un peu plus long pour avoir de meilleurs détails, donc on va considérer celle-ci comme un premier test, et dès que le ciel nocturne me permettra je referais une session sur cette nébuleuse ( et pleins d'autres aussi ) ...
  6. 2 points
    Bonjour , quelques images de notre astre faites ce matin. La turbulence + vent lissent les détails en lumière blanche. Les trous de turbulence sont rares. Une image rescapée en LB : Avec le Quark Day Star en bande étroite Ha , c'est plus facile de sortir quelques choses de montrable:
  7. 2 points
    Yo ! de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir. Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo. Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps. Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude, (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison" bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique. Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale. Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal ! Reste à peaufiner ce dessins que voilà : La suite à venir, restez à l'écoute
  8. 2 points
    Ca bouge aussi du côté chinois. Aujourd'hui, décollage de la mission habitée Shenzhou -18: La Chine a dévoilé son dernier équipage de trois personnes qui se lancera dans une mission de six mois en orbite terrestre basse. Shenzhou 18 est sur le d'être lancé sur une fusée Longue Marche 2F depuis le port spatial de Jiuquan, dans le nord-ouest de la Chine, jeudi 25 avril, et de se diriger vers la station spatiale chinoise Tiangong. L'équipage de la mission a été dévoilé lors d'une conférence de presse à Jiuquan mercredi 24 avril, également à l'occasion de la Journée nationale de l'espace en Chine, par l'Agence chinoise des missions spatiales habitées (CMSA). Shenzhou 18 sera commandé par Ye Guangfu, 43 ans, qui a fait partie de la mission Shenzhou 13 en 2021-2022. Il est accompagné des pilotes de chasse Li Cong, né en octobre 1989, et Li Guangsu, né en juillet 1987, qui effectueront leurs premiers vols dans l'espace. https://www.space.com/china-reveals-shenzhou-18-astronauts-video https://english.news.cn/20240424/f15be1b0171c496c98d581eb49ebc68c/c.html
  9. 2 points
    Alors en fait, j'avais plutôt proposé de faire un temps de pose BEAUCOUP plus long, genre DEUX FOIS plus long, à minima Passer de 10 à 15 minutes ne va pas bouleverser tes résultats ; passer de 10 à 45 minutes, là oui, tu vas voir la différence ! Pour l'instant, mon temps d'exposition le plus long (au Seestar, hein) est de 1h30. Il y a moyen de faire mieux ! L'ennemi de la pose longue, avec cet instrument, est la rotation de champs. Pour la combattre, deux solutions s'offrent à nous : La première, très simple à mettre en oeuvre, est de bien choisir ses plages horaires, en évitant de viser des cibles qui vont traverser le méridien en cours de pose (c'est le moment où leur rotation relative est maximale). Pour un objet donné, il est très facile de voir quelles plages horaires sont les meilleures, en utilisant un soft comme Stellarium. De toute façon, ne fut-ce que pour avoir un peu de contrôle sur l'orientation dudit objet dans le capteur, il est bon de voir comment il va se comporter durant la pose. La seconde, c'est de passer le Seestar en mode équatorial. Il y a des tutos Youtube qui expliquent comment faire, c'est assez facile et ça permet d'éliminer le problème de la rotation de champs une fois pour toutes. Cependant, c'est une complication qui sied peu à la philosophie de l'engin (si j'avais voulu m'emmerd... avec du suivi équatorial, j'aurais louché sur d'autres astrographes que ma femme ne m'aurait jamais offert, vu leurs prix) et qui ne permet pas - pour l'heure - de viser des astres sous l'équateur céleste. Bref, à l'exception de nébuleuses notoirement brillantes (genre m17, M42, M31, M13 et consorts), il faut poser au moins 1/2heure pour sortir quelque chose de plaisant. La team Seestar doit performer, les gars ! Avec Alain en France, Etienne en Guyane et moi au Japon, dès que ZWO va intégrer l'interférométrie longue base dans son bidule, ça va chier !!
  10. 2 points
    Salut, Par un beau temps ce midi, j'ai pu prendre quelques photos du soleil et de ses "spots" ... Toujours au Seestar, depuis la Guyane. Bien à vous.
  11. 2 points
    Premier soleil Suite à mon post "débutant solaire", j'ai beaucoup lu sur le forum et regardé beaucoup de vidéos sur Youtube (la Chaine Astro a une très belle série de mon point de vue de débutant). J'ai équipé mon setup principal et ma lulu de guidage avec des filtres OD 5.0, j'ai suivi les différents conseils. Pour mes toutes premières images solaires, je suis très contente. Bien sûr, on a pas tous ces détails que l'on a avec des filtrages nanométriques, mais c'est déjà pas mal pour moi. Au final: - ma monture AM5 fonctionne très bien sans auto-guidage pour du lucky imaging - mon setup principal donne de bien meilleures images avec la caméra mono Acquisition: 18 Avril Setup: ZWO AM5, 130PDS (Newton 130/650), ASI 533MM, filtre L2 Astronomik, filtre OD 5.0 Acquisition: Asiair en mode ROI vidéo Post-traitement: Autostakkert (AS3) + Astrosurface + Photoshop Autostakkert: selection des 3% Astrosurface: ondelette de Wiener Photoshop: couleur Lien sur astrobin: https://astrob.in/63kafp/0/ zoom (le zoom sur l'image astrobin rend mieux que ce crop)
  12. 2 points
    Tiens mon ami, ta photo elle est très bien, pour les halos bleus tu peux réduire le chromatisme avec un logiciel comme Lightroom et tu verras que ton image finale est très bien
  13. 2 points
    ooohhh, y en a un qui est taquin quand même
  14. 2 points
    Pour la première version, j'ai utilisé un peu de BlurX Terminator sur l'image fit brut comme préconisé sous pixinsight, pour cette nouvelle version je n'ai pas utilisé BXT et refait un traitement un utilisant qu'un peu de passe haut, le rendu était beaucoup plus doux et moins piqué. Pour amélioré un peu l'image j'ai superposé les deux versions et j'ai réduit l'opacité à 75% sur la 2e versions pour donner un peu plus de définition mais en évitant l'écueil de la première, le résultat mais plait davantage, à vous de juger.... jérôme
  15. 2 points
    Merci coquinou de Nicolas Il suffit de faire pivoter la photo de quelques degrés dans le sens horaire pour retrouver la configuration du dessin. ... Et la fin des dessins. Et tout d'abord, ce chapelet qui tente de restituer l'instant, ces nuées d'altitude tant filamenteuses que pommelées et les couleurs du couchant à l'horizon. Il est remarquable de constater que l'ombre de l'éclipse a littéralement éteint la couche pommelée. Ce n’est qu'à moitié satisfaisant car je n'ai pas trouvé d'astuce pour rendre sur le dessin l'altitude du phénomène à environ 70° de l'horizon, ce qu'on ne ressent pas à la vue du dessin. Le chapelet est réalisé avec une cadence d'un dessin toutes les vingts minutes, puis à T-1mn où l'on distingue les premiers morcellements de la griffe solaire, les fameux grains de Bailly, puis cette formidable sortie en C3 où, émergeant entre de folles protubérances, deux diamants éclatants, un très grand souvenir. On remarque 2 groupes de tâches solaires mais aussi la rotation du champ tout au long du déroulement du phénomène, visible avec la position de la Lune sur le Soleil, caractéristique de toute visée altaz. Sur un précédent post, je vous avais évoqué cette vision stupéfiante du décollage d'une fusée Falcon 9. La voilà revisitée en mode dessin. La première observation le 2 avril fut à Loreto situé en Basse Californie du Sud sur la mer de Cortes, en périphérie de ville dans une zone pavillonnaire. On s'était installé à 100m de l'habitation un peu à l'écart des violents lampadaires pour observer la comète plein Ouest. Et là un peu plus au Nord, émerge cette lueur improbable, très forte, très marquée, quasi immobile si ce n'est la subtile sensation que ça s'élève quelque peu. Il s'agit du tir de la Flacon 9 depuis la base de Vandenberg à 1300km de nous, expédiant en orbite basse 22 de ces Starlink V2 qui nous désolent tant. La trajectoire est à 53° de l'équateur, au dessus du Pacifique longeant de près la cote Californienne. A cet instant, le premier étage a déjà fait sa besogne et l'on voit le second étage dans ses dernières minutes de fonctionnement. Allant en accélérant franchement par effet de perspective et devenant vraiment énorme, elle passera au plus près de nous à 170km de distance et un chouya moins d'altitude, d'où une visée à un peu moins de 45°. Ce qu'il y a de stupéfiant, c’est la persistance de ce large panache gazeux jusqu'à l'horizon tant qu'il est éclairé par le Soleil, et il se coupe instantanément lorsqu'il entre dans l'ombre de la Terre, laissant visible seulement les flammes orangées s’échappant de la tuyère. Peu de temps après, c’est l'extinction du moteur. Fort impressionnés de ce spectacle - ici une routine hebdomadaire - nous nous promettons de voir un second tir dès que possible. Celui-ci, prévu pour le 6 avril toujours pour des Starlinks, fut reporté le lendemain pour cause météo. Désormais, nous logeons à Mazatlan en plein centre ville. Par conséquent nous sommes à plus de 350km de la trajectoire et plus proche de la fin du lancement. Aussi, nous la verrons surgir bien plus basse sur l'horizon pour une courte durée, le panache s'occultant rapidement à son passage dans la nuit, puis l'extinction du moteur quelques secondes plus tard. Et voilà pour les comptes rendus astronomiques qui, comme on a pu le constater, furent particulièrement hétéroclites, passant d'un sujet à un autre. Varier les sujets, c'est ce que j'aime. Peut-être quelques témoignages de cet incroyable périple viendront par la suite, tant ils étaient riches, étonnants et tout autant variés. Et merci d'avoir tenu jusqu'au bout Tout cela, et tout le reste, est visible sur mon site : http://www.astrosurf.com/magnitude78/serge/index.html
  16. 1 point
    en vente car jamais utilisés, 550 euros ( port compris) le MGEN 3 (neuf) 230 euros la lunette (neuve) (240 port compris) : merci ( et les deux port compris 720 euros) https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/autoguidage/lacerta-mgen-3-autoguider_detail https://www.telescopes-et-accessoires.fr/lunette-guide-gt-40-c2x30338152 . . voici les images en détails: . . .
  17. 1 point
    Hello, petite galaxie pas très originale, mais toujours intéressant de refaire les classiques. Je suis moyennement satisfait du résultat, j'ai refait mes couches couleurs suite à mes déboires de parasites sur les brutes mais je pense que je n'en fait pas assez. Je ne sais pas trop d'ailleurs si le LRGB est la meilleure approche pour les galaxies. Là il y a 87x2mn en L et 10x2mn par couche RGB. Il y a une règle de ratio entre L et RGB ? Les images date du 18 avril donc il y a déjà pas mal de lune. Je ne sais pas non plus si mon approche du traitement est la bonne, pour résumer (tout sur Pixinsight) : - prétraitement en auto avec WBPP - couche L : retrait de gradient, BXT, SXT, montée d'histogramme par GHS, NXT (en non linéaire donc) - couche RGB : création RGB, BXT en correct only, calibration des couleurs par SPCC, retrait de gradient, SXT, montée d'histogramme par GHS, augmentation de la saturation, NXT - création LRGB avec L et RGB en starless - couche étoiles RGB : montée d'histogramme par GHS, NXT - ajout des étoiles RGB sur LRGB starless Je ne suis pas fan du rendu des étoiles avec les halos violacés partout Bref, vivement le retour des grandes nébuleuses et de la poussière, c'est trop galère les galaxies avec un petit setup ! Altair 183M mono + Skywatcher 72ED sur HEQ5 L : 87x2mn soit 2h54mn RGB : 10x2mn soit 20mn par couche
  18. 1 point
    Le champ avec un réducteur 0,3 est vraiment petit. A vue de nez je ne suis pas certain que tu couvres l'IMX533. Est ce que ça ne fait pas trop d'obstruction de faire de l'hyperstar sur un C6 ? J'ai l'impression que dans ton budget tu aurais plus de polyvalence avec un Newton 200/800 plus correcteur de champ. Pour ce qui est du tirage du réducteur, je suppose de c'est callé pour les appareil photo, donc de l'ordre de 55 mm entre la sortie et le capteur. En tout cas utiliser un 0,63 te donnerait de meilleurs résultats.
  19. 1 point
    Hello, très belle éclaircie de longue durée ce matin. Des mois que j'en avais pas vu Grosse turbu au début par contre, le résultat est myen en Ha et continuum. Par contre ca s'est calmé en Champ magnétique par la suite, j'ai intégré sur... 40 minutes ce qui donne un super résultat, enfin de mon point de vue (à gauche SDO, à droite Sol'EX)
  20. 1 point
  21. 1 point
    Bonsoir, Ayant beaucoup de difficultés à sortir mon matériel habituel à cause de problèmes de santé j'ai décidé d'acquérir un Seestar. Eh bien lui au moins il sort souvent, dès qu'il fait beau, et les premiers essais ont été concluants, sans vouloir rivaliser bien sûr avec du matériel plus gros. Pour mes premiers clichés solaires je me suis satisfait des "one shot" sans traitements supplémentaires. Mais la possibilité de sauvegarder les films en RAW et de les traiter permet quand même de sortir quelque chose d'assez correct. Il est vrai que le diamètre de l'objectif fait 50mm, mais en solaire avec le filtre d'origine le diamètre n'est plus que de 41mm ! Voici donc l'image de ce jour, 102 images retenues sur 300 avec le prétraitement sous AS3 (un peu meilleur qu'avec Siril où j'ai quelques problèmes d'alignement), très légères ondelettes (uniquement niveau 25 sur la deuxième ligne) sous Registax6 et cosmétique sous Gimp. L'image est en pleine résolution: Le résultat est assez remarquable pour une focale de 250mm, mais bien en-dessous de mon matériel habituel pour l'imagerie solaire (lunette 80ED SW + Astrosolar + Asi178mc), dont voici un "crop" en pleine résolution sur une tache solaire: Luc
  22. 1 point
    Je l'ai déjà écrit précédemment, à ce ratio f/D c'est chaud. Les verres, sur leurs propriétés chez CGDM, ont des dispersions de fabrication ... larges. Recalcul nécessaire sur chaque lot de de stripglass. De plus, le réglage de l'aberration sphérique nécessite du soin, c'est la raison pour laquelle il faut choisir une raie fine disponible, sinon ça se cale sur la dispersion couleur. Et dans ce cas c'est juste un astrographe et certainement pas un instrument qui donnera à coup sûr du piqué. Ce serai dommage pour la classe 200-250 mm qui permet de taquiner les plus forts grossissements à travers l'atmosphère.
  23. 1 point
    Je suis tout à fait d'accord, les photos sont toutes plus belles les unes que les autres, mais celle de luc c'est quand même d'une autre dimension. Je ne post pas ma version au C8 sinon Luc risque de vendre son gros troblon GreG.
  24. 1 point
  25. 1 point
    et pour aller encore plus loin dans l'exploration du pole Sud a la recherche d'eau, voici une présentation de la mission VIPER de la Nasa ( https://fr.wikipedia.org/wiki/VIPER_(astromobile) ) video:
  26. 1 point
    Superbe cette suite temporelle ! C'est vrai, je n'avais pas remarqué que sur la première image on voyait poindre le Mons Malapert ! Sur la seconde il se dégage bien du reste, c'est magnifique ! Je vais m'atteler aux prochaines lunaisons à mitrailler cette zone en espérant que la brume de sable et les conditions atmosphériques le permettent En tout cas merci Henri-Pierre pour ce partage Merci William, ces régions polaires sont malheureusement trop souvent laissées pour compte, et pourtant il y a du potentiel Merci Fabrice, oui dans cette orientation la on apprécie mieux la profondeur du limbe et le relief saute aux yeux Merci le batracien J'ai essayer de faire une petite parenthèse culture pour que le post soit agréable et enrichissant a lire j'essayerai de faire des petites flèches la prochaine fois "On dirait le Sud, Le temps dure longtemps. Et la vie sûrement. Plus d'un million d'années..."
  27. 1 point
    Bonjour, sérieusement? Ce genre de remarque n'apporte que des mal-entendus. Bien que le nom "Dragonfly" n'est pas très beau comparé au nom Français: "libellule" impossible pour un Anglophone de prononcer. Le nom libellule me parait très pétique comme d'ailleurs la langue Française!
  28. 1 point
  29. 1 point
    j'ai aussi le seestar en autre 😁 puis le c11 c 8 etc …😃
  30. 1 point
  31. 1 point
    Simon Très Belle série d'images de la Lune, tu as bien fait d'y regarder Bon Ciel marc
  32. 1 point
    le oiii ily a pas photo Paul je préfère jean-marc
  33. 1 point
  34. 1 point
  35. 1 point
    Salut, Je rajoute une nouvelle capture solaire de cet après midi, Le montage habituel : Skywatcher 80ED + Astrosolar 3.8 + Réducteur x0.87 + ZWO 178 mm + Baader K Line Et l'animation sur 4 jours : Daniel
  36. 1 point
    C'était le 10.04.2024 vers 21h15 locale, alors qu'il faisait encore trop jour pour poser suffisamment et juste avant que la discrète comète 12P/Pons-Brooks ne parte derrière un arbre du verger ... Canon 600d à 1600iso, vieux téléobjectif argentique Tokina fermé à 5.6, pose unique de 2 secondes avec soustraction d'un dark ...
  37. 1 point
    Le remède c'est de faire la calibration de la boussole avant , et alors il trouve le Soleil à coup sûr. Il faut quand même remarquer que cette petite lunette de 50mm de diamètre (41mm avec le filtre solaire livré) donne une qualité d'image remarquable. Certains doutaient de la qualité du filtre solaire livré, alors j'ai réalisé un nouveau filtre avec de l'Astrosolar Baader (grade 5)... pas de différence en piqué d'image ! Voici un crop agrandi 2x de l'image prise hier avec le filtre orange: Nota: ce n'est pas la granulation qu'on voit sur les images du Seestar, l'objectif n'ayant pas assez de diamètre pour la résoudre. Luc
  38. 1 point
    Les soirées sont bien tardives, couvertes et ventées sur Toulouse et en plus c'est pleine Lune, j'ai quand même sorti une petite M51 avec juste 1000s récupérables dans cette grisaille avec beau gradient Ca m'a l'air sympa et assez facile, j'y reviendrai c'est sûr ! A+ Alain Set up SW200x1000 + Sony alpha 6000 + table EQ
  39. 1 point
    Bonjour, en vente cause passage Sony , état neuf, 300 mm F4 IS USM EF .sans poussières, sans choc, parfait état. (port offert) . . . .
  40. 1 point
    oui enfin y en a d'autres qui sont pas mal dans le lot...Notamment celui de Jean-Pierre, j'adore le traitement et le rendu... Mais c'est vrai qu'au 625 avec bon seing, c'est pas le même jeu Sauf que l'image de Luc date de 2021. Demandez lui de nous sortir un Schiller de 2023 ou 2024, il va moins faire le malin le pauvre
  41. 1 point
    Bonjour à tous Debutant en astrophoto, c'est mon premier post sur ce forum, que je suis depuis longtemps. Je vous propose ma version du rapprochement du 10 avril ( Comete 12P / Jupiter / Lune cendrée / Uranus) Photographié pres de Montpellier, avec un Canon 60D, 5*20sec + 1sec, F5, 153mm, ISO 800, sur monture Star Adventurer. Bon ciel à tous.
  42. 1 point
    Bonjour. J'ai pu profiter de ce soleil matinal. Turbulence assez faible ! Marc. Données techniques: ERF Baader 18 cm Lunette 155 TS F8 Télécentrique Baader x 4 -> focale 4960 mm Filtre H Alpha Solar Spectrum 0.3 Å. Daystar interférence éliminator. Caméra [ZWO ASI174] Gain=91 Expo = 4.69ms Film SER de 30s 2948 images à 98 image/sec Autotakkert3 de10 % des meilleures images Ondelettes 3 niveaux Régistax Traitement photoshop (niveaux, colorisation) E = 0,24 sec arc/pix
  43. 1 point
    Bonsoir Un des miens : Bonne nuit. Luc avec un Mistral de fou.
  44. 1 point
    merci, je sais pas si tout le monde réalise, mais Sol'Ex en plastoc n'est plus très loin derrière SDO, je trouve ça assez extraordinaire quand même.
  45. 1 point
  46. 1 point
    Pour la comète du précédent chapitre, j'ose vous dire que notre dernière soirée d’observation au lendemain de l'éclipse était des plus charmantes, revenu dans les mangroves au point (A) de la veille, au milieu d'un foultitude d’oiseaux et d'un ciel merveilleux. La comète avait vraiment bonne bouille, avec une queue particulièrement complexe. Mais il est des jours- ou des nuits - où l'on se botterait copieusement le cul : j'avais tout emporté.....sauf la lunette Alors foin de ces turpitudes, la reprenons le récit (de-diou, rude besogne que ces remises au propre...) Étant venu ici pour le Soleil qui se fera éclipser dans quelques jours, Phébus fut l'objet de toutes nos attentions, et cela dès le début du périple. Nous le choyâmes, le chouchoutâmes, nous l’idolâtrâmes et lui firent maintes offrandes en vue du phénomène, mais aussi nous l'observâmes en amateurs consciencieux. Notre premier hébergement à Puerto San Carlos, dans la baie de Magdalena, était des plus sympathiques, au bord de la mangrove avant d'arriver au village. Nous y étions vraiment tranquille et c'était un bon point d’observation, tant pour une multitude d'oiseaux qui batifolaient sous notre terrasse (allez voir ce que sont les Callipepla californica, ou les Melanerpes uropygialis, les Aphelocoma californica ou les Pyrocephalus obscurus), que pour voir la comète comme cela a été décrit, ou observer à la L80x60 et Astrosolar le disque Solaire histoire de se mettre en jambe, avec la disparition prochaine sur le limbe d'un gros groupe de tâches (AR 3615 ?) Mais plus amusant fut la traque aux rayons verts. J'avais perçu à l’œil nu quelques beaux spécimens lors de mon périple plongée sur le bateau et ici sur la terre ferme, les conditions me semblaient toutes autant idoines. C’est ainsi que nous en vîmes de sublimes d’une rare évidence. Mais la flemme des premiers jours du séjour on fait que le matériel à dessin n'était pas encore d'actualité à proximité de la longue vue. Aussi, celui du 28 mars fut réalisé juste après l'observation et de mémoire, ce qui fut bien ballot car assurément l'un des plus spectaculaire que je n'ai jamais vu. Tout d'abord un Soleil fortement tourmenté, déformé, comme une poire la tête en bas, voire un champignon bizarre, avec de fortes ondulations et échancrures sur le pourtour, forme évolutive trop complexe pour la dessiner après coup - dommage.... Ces effets de mirage dès le toucher sur l'horizon n'augurent que du très bon à venir. Et en effet, la partie supérieure se scinda franchement, se sépara du disque cabossé du Soleil, et cela à de nombreuses reprises. On comptera plus de sept itérations successives tout au long de l'immersion du Soleil à l'horizon. Et à chaque fois, les teintes perçues s'affirmaient d’avantage, les premières tirant sur un vert classique, mais les dernières virant sur un bleu affirmé. L'ultime détachement restera gravé dans ma mémoire car de grosse taille, d'un bleu soutenu comme jamais vu auparavant, avec une bordure franchement outremer sur un cœur plutôt turquoise. Une merveille. Fort de cela et de ce manque de préparation, je me promis d'être au rendez-vous le lendemain 29 mars. Mais, comme une sorte de punition d'un nonchalance trop avérée, le phénomène fut alors infiniment plus timide, comme on le remarque sur le second dessin. Nous en vîmes un autre assez spécial plus tard à La Paz, car le dernier éclat perçu par tous était franchement violet. Mais pas de dessin de cela, juste celui de la comète du 5 avril du précédent chapitre. Yen reste encore un peu, la suite à venir
  47. 1 point
    Merci à tous ! Ha que oui qu’elle était belle celle-là. Outre une chromosphère très active dont il était assez aisé de placer chaque protubérance, il était plus délicat de dessiner les panaches de la couronne. Tout d’abord la principale à 10h, formée de deux plumets superposés chacun avec une forme particulière, puis celle presqu’en vis-à-vis dont le bord vers 6h est particulièrement marqué, formant comme une échancrure, une démarcation sombre avec les panaches en partie basse. De ces panaches se détache un jet particulièrement puissant, visible à l’œil nu et s’étendant au loin. Les panaches de la partie haute se montrent assez filandreux et je note vers 2h le départ d’un discret plumet. Pour te répondre mon cher Simon, le disque solaire occulté – qui est la face non éclairée de la Lune - n’est jamais plus noir que le noir du fond de ciel !!!! C‘est une erreur que je faisais jadis, corrigée depuis. Me reste à finaliser un chapelet qui me donne bien des difficultés. Ca va venir… Alors pour la suite, ce sera un plat de comète Pons-Brooks, astre brillant particulièrement bien visible dès le début du crépuscule et une vision allant en s’améliorant au fil de l’avancée de la nuit, jusqu’à un optimum à l’approche de l’horizon. C’est qu’ici, on a le ravissement d’un écliptique quasi vertical et quand le ciel est bon, c'est-à-dire les rares fois où l’on a eu le courage de quitter nos hébergements urbains pour aller dans la nature préservée. On observe alors avec ravissement une large lumière zodiacale qui monte sur Jupiter, passe le Taureau et se perd dans les Génaux quelque par vers le zénith. Nous sommes en début de séjour et, après une expédition plongée extraordinaire dans l’archipel de Revillagigedo, je retrouve Elyane et les copains, Pierre, jean-Françoué, Jean-Paul et Nicolas. Installés dans la baie de Magdalena, endroit paumé à l’écart d’un village de pécheurs, nous irons à la rencontre étonnante de la baleine grise, d’une colonie d’otarie et d’une multitude d’oiseaux. Il me faudra 3 nuits d’observation avant d’entreprendre un premier dessin, peut-être une flemme bien affirmée, attisée par la quiétude des lieux. Comme à l’accoutumé, c’est Nicolas –ce coquinou – qui lance les hostilités, ne perdant pas une seconde d’observation avec son T200 alors que seul Jupiter est visible dans le couchant. On repère vite cet astre cotonneux et au fil du temps, on note un noyau marqué évoquant une pette planète floue dans une petite bulle, ou plutôt une méduse, un parapluie, avec un bord avant marqué et un arrière évanescent, le tout baigné dans une large coma verdâtre. Expert en la matière, Nicolas nous explique que cette couleur est due au gaz éjectés et la présence de méthane d’acétylène (correctif du Nicolas, ce coquinou) qui rapidement va être dissocié par les UV du Soleil ; la recombinaison des atomes de carbone en C2 produit une raie d’émission principale verte, et deux autres dans le bleu puis le jaune. De ce noyau part une longue queue sur plus d’un degré. Elle forme un angle fermé présente des irrégularités. Elle est accompagnée de jets plus ou moins marqués. Au fil des jours au second dessin, un sursaut d’activité est noté, la partie centrale grossissant et évoquant une petite nébuleuse planétaire avec son étoile centrale. Le troisième dessin souffre d’un environnement urbain bien lumineux au pied de notre hébergement à a Paz. Sur le dernier dessin, on note le résultat de cette activité par une queue plus complexe. la suite à venir....
  48. 1 point
  49. 1 point
    Salut! Une capture du mois d'avril. La galaxie du Hamburger, ou ngc 3628, est une galaxie assez brillante pour pouvoir profiter des avantages des courtes poses. qui sont nombreux... Les conditions n'étaient pas optimales pour aller plus loin dans la résolution de cet objet , je suis resté avec un échantillonnage relativement large (0.6''/ photosites). D'habitude j'utilise une barlow pour détailler un peu le cœur de certains objets , une autre fois peut etre! Mes captures sont réalisées avec un télescope newton 300mm F4 , avec un correcteur de coma , le TSKomaKorr, il est vraiment excellent pour le F4 le tout positionné sur une EQ6. Elle va tres bien! du moment qu'elle n'est pas l'esclave d'un autoguidage pour subir ces ordres (va à l'Est-non à l'Oeust-non à l'Est-nonnnn au nord...etc...)😁 J'ai profité de mes cameras Playerone pour l'acquisition. C'est des modèles non refroidie, pour les courtes poses, c'est moins impactant mais il faut suivre la température du capteur (FC la donne) pour faire correspondre les Darks. La Saturn (imx533 NB) pour les couches de luminance et d'IR685 (pour gratter un peu d'info dans le coeur et de moins subir la turbulence de ces nuits troublées): 8hx2s en IR685 4hx1s en L with Saturn P1 et la Uranus (imx585 color) pour la couche couleur: 6hx4s en Color . Le traitement est fait avec Siril, j'ai utilisé le mode starless pour une meilleure intégration des calques, et utilisé une déconvolution différente sur la cible principale et les étoiles. le traitement un peu plus détaillé: -La capture se fait en mode SER 16b (16b si le gain est inférieur à 50% ou temps de pose relativement long) -Je crée un SER maitre avec les SER de même température (à ce moment là j'incorpore les Darks correspondant), j'utilise Pipp mais Siril le fait aussi. -je crée un SER global avec les SER obtenu par Pipp ou Siril. (attention on active pas la couleur à ce moment là si on a une camera couleur) ---------traitement avec Siril--------- -j'aligne en mode global si je suis en mode plan large, sinon 2-3 étoiles (ctrl F6 pour changer les paramètres de détection des étoiles) -Dans l'onglet graphique je selectionne en mode nuage rondeur et fwhm la partie la moins touchée par les flous (vent,turbu) -Dans l'onglet empilement ,j'active le mode Somme (plus vite pour un résultat équivalent que les autres modes) ou le mode avec rejet si les Darks ou passage d'avion ou décalage de champ trop important entre la 1er et la dernière image. Et oui , j'utilise pas d'autoguidage (mon monture me remercie!) -Chaque nuit est traitée de maniere différente (les conditions sont différentes selon les nuits) . -Dans le 1er onglet, le mode conversion, je lie tous les résultats de mes nuits pour créer un "super" Fit pour améliorer le rapport signal sur bruit. -Traitement habituel mais avec du starless pour cette photo , l'impact sur les étoiles du traitement est plus facile et plus rapide qu'en mode monocouche. Siril est vraiment l'outil à utiliser et a fouiller pour sortir un maximun d'info sur une image prise en poses courtes, il gere parfaitement le SER . Je le dis souvent... merci aux concepteurs de Siril ! La finale: une brute de L en 1s: la L et IR: et la couche couleur avec l'imx 585: Stephane
  50. 1 point
    Titan bien sûr, on est bien d'accord.. Mais bon, en étant très optimiste ça nous fait du 2032 / 2033... ça fait un peu loin pour ma génération.. Le soucis, c'est que ce qu'on appelait autrefois "l'âge mûr" a disparu. Aujourd'hui, aucune transition, on reste "jeune" très longtemps... puis on devient gâteux . Déjà, perso, je ne sais pas trop où j'en suis exactement PS > Pour d'autres j'ai ma petite idée ...