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Affichage du contenu le plus aimé le 25/04/2024 dans toutes les zones

  1. 10 points
    Bonjour les amis, Les dernières semaines de vaches maigres pour les observations n'ont pas eu que des inconvénients (même si c'est mieux quand il fait beau). Elles ont laissé du temps au traitement et à la gestation d'images, dont particulièrement celle-ci. L'idée est née avec @GuillaumeGZ, avec qui nous partageons beaucoup, suite à la publication d'un travail colossal effectué par un groupe d'une quinzaine de photographes en plus de 250 heures. Ils ont détecté les extensions de M51 comme jamais, dont en Ha. Guillaume voulait tenter cette détection et de mon coté je voulais un truc avec plus de résolution. On a d'abord pensé à des poses rapides au T350 pour la galaxie... C'était déjà pas mal. Mais en voyant s'accumuler les poses en luminance, on a changé de calibre. Exceptionnellement, nous avons marié les données issues du T1000, publiées en 2021 par la team Omicron avec celles du T250 f/4 de Guillaume. Il y a au T1000 f/3.2 8h10 de luminance et 1h45 par couche RVB - Ancienne CCD STX. Au T250 f/4 il y a 58h de L conservée sur 69h + 18h de Ha et 3h de RVB avec une 2600 MM Pro. Soit environ 92 heures. Durant ces dix derniers jours, entre les transferts de données, les versions intermédiaires et les choix partagés de rendu, on a bossé dur et finalement on s'est arrêtés sur l'image suivante. Elle résulte des compromis et corrections à tous les 3 avec @Superfulgur. Ne ratez pas la FULL en 6000 pixels : C'est un résultat tout en compromis que nous proposons, dont les différentes étapes de mixage seraient bien trop longues à expliquer en détails. En gros, tout ce qui est LSB (extensions lointaines) provient du T250, ainsi que le Ha. La galaxie jusqu'aux moyennes lumières vient du T1000, ainsi que les étoiles faibles et pétouilles de fond de ciel. Les extensions proches sont du T1000 + T250. On est à MAG 24 environ avec l'ancienne STX contre un peu plus de 22,5 avec le T250. Ca reste cohérent. La dynamique est monstrueuse et pour garder un aspect visuel équilibré, la galaxie est laissée en hautes lumières et brille fort. Le Ha a été intégré dans la couche rouge. Enfin, la couleur RGB vient d'un mixage des 2 télescopes. L'image du T1000 a été un poil réduite et celle du T250 agrandie raisonnablement. Pour finir on a gardé du bruit dans les extensions. On peut lisser ces extensions encore plus, même complètement, mais ça dénaturerait trop ce signal, extrêmement ténu. Ca moutonne déjà un peu là. Pour partage voici la L de 58h, déjà débarrassée d'une grande part de halos en prétraitement "spécial" (il en reste encore). Montée d'histogramme en GHS avec SIRIL + un masque sur la galaxie. On voit bien les structures de marée et c'est déjà surprenant. Et le petit lien Astrobin : La team remercie infiniment Guillaume pour ce partage et cette réalisation. Nous n'aurons jamais le temps de télescope pour attaquer ce type de LSB. Mais comme c'est moins le diamètre que le rapport F/D, la noirceur du ciel et le temps de pose qui comptent pour ces extensions, ce partage nous permet d'y accéder quand même. Voilà... On en est assez contents. Espérons qu'elle vous fera voyager aussi. Bon ciel. JF
  2. 8 points
    Bonjour! Bon je vais traité les brutes j'attend d'accumuler assez de temps de pose mais je vous fais une petite mise en bouche Bon Un test pour un ami qui a des problème de connection bien sans carte Sim ca marche il faut lui donnée le wifi le temps que le Seestar vois la connection apres ça roule ma poule Donc un peu de psychédélique hi hi hi Il a trouver le soleil a travers les branche ! En faite il fait un balayage on peut faire stop quand ca passe devant Fait au Seestar sans traitement mise au point auto Des que ca passe l'arbre re mp auto Je vais rajouter des poses et traité La c'est toujours traitement Zwo g Bon ca marche bien même sans slim Zwo vs temps de poses plus long c'est pas fait hier traitement en manuel siril en drizzle mix L Lextrem mais faut que je retente Bonne journée et bon ciel
  3. 7 points
    Bonsoir à toutes et tous, Je vous poste quelques plans lunaires pris avec un Doctelescope de 382 mm / focale native de 1722mm /f4.5 La caméra est un e QHY5-III-678MM sous un filtre Astronomik rouge car la turbulence était bien présente ce soir là. j'avais utilisé aussi une barlow APM avec un tirage allongé à 3.13 donnant une focale de 5228 mm. Bon visionnage ...et très bon ciel à vous Bruno
  4. 6 points
    Bonjour à tous, Un ciel sans nuage ce matin. Après avoir réalisé des images sans barlow des deux principaux groupes, j'ai pu utiliser la barlow 2X. Le calibrage de l'échantillonnage n'est pas certain. Je dois être autour de 0.2" d'arc/pixel. Je peux vous dire que par moment, c'était assez saississant sur l'écran du PC avec un magnifique granulation et de beaux détails dans les pénombres. Je pense avoir saisi au mieux le visuel. Je mettrais le reste des images ultérieurement, Bon ciel, ClaudeS PS: Les informations sont sur le cliché. J'ai retenu 1% des iamges, soit 18 sur 1800 avec AS!3 et Registax 6.
  5. 6 points
    hello, petite éclaircie ce matin, à peine suffisante pour enquiller une vingtaine de SER sur les raies Na et He, positionnées dans le même fen^tre spectrale d'acquisition. Toujours avec triplet 80 f6, ASI178, AZEQ6, ici en bin 2 avec expo 7,3 ms. Traitement INTI 6.0, bien facilité pour la raie He avec l'option "polynôme automatique". Ci-dessous, images Na et He (assez spectaculaire de mon point de vue)
  6. 5 points
    Hello, Il fait froid, il neige ou pleut, il vente, alors on fait le ménage dans les SSD, on rafistole des vieux laptops , bref on s'occupe. Avant de le formatter, j'ai retrouvé dans un SSD une série d'images lunaires intitulées lunemosa1, lunemosa2, etc... tiens tiens qu'est ce que ça peut bien être? Ca date du 21 mai 2020, période ou Vénus allait passer en conjonction inférieure et nous montrer son atmosphère complète autour du limbe. Donc je bourrinais bcp avec la 130EDT, et je n'avais pas forcément le temps de tout traiter. C'est donc chose faite pour cette mosaique lunaire, plus aucun souvenir des détails d'acquisition mais le format de l'image m'incite à croire que c'est fait à la basler 1920-155 + powermate x4 derrière l'AP130EDT. Série acquise autour de 21h45. Bien sûr dans le ciel du soir après des journées bien ensoleillées la turbu n'a pas aidé, mais je trouve que c'est une phase magnifique avec bcp de rendus inhabituels. Simon
  7. 5 points
    Merci pour vos commentaires bien sympathiques. Une images d'une autre vidéo pris quelques minutes plus tard. Il y avait plus d'images de meilleurs qualités. Le traitement me semble un peu fort par contre.
  8. 5 points
    Pas facile de trouver ce cratère dans mes archives. J'en ai au moins deux mais le cratère est quasiment entièrement dans l'ombre ! En voici un, mieux éclairé, d'avril 2023 : Mak 180 avec barlow Jérôme
  9. 4 points
    SLIM toujours en vie !! "...Nous avons réussi à communiquer avec #SLIM le 23/04, confirmant que SLIM a survécu à sa 3ème nuit ! Il s'agit de la surface lunaire prise par la caméra de navigation le 23/04. Parce que cela a été capturé au cours de la première phase de la Lune, la Lune est brillante et les ombres sont courtes..."
  10. 4 points
  11. 3 points
    Quelques années après l'achat d'un 31cm "Mosser" en config NC. 1550 mm de focale en Newton F/d 5 et petit capteur donc pas de correcteur environ 6000 mm de focale en Cassegrain (sans doute peu utilisé dans cette config) La CAO est finalisée à 90%. (malgré tout quelques centaines d'heures au gré des versions, hésitations) Quelques achats sont encore en cours. Mais l'essentiel est là Le cahier des charges était : Pas d'ensemble de plus de 10kg C'est presque réussi mais avec un primaire de plus de 7kg c'est un peu dur. L'ensemble Première étape, centrage rapide, appui plan et maintien en position rapide du tube balsa carbone sur le raccord Astrophysics à ce moment le tube est en mode parking et vise la polaire. Le tube est assez léger (dans les 7 kg) Ensuite le sous ensemble primaire (10.6 kg) est glissé et bloqué en position L'équilibrage se fait par coulissement de la caméra guide sur son rail (non représenté) pour un usage Cassegrain, le baffle est introduit par l'arrière L'ensemble PO + RAF et caméra est positionné (type baïonnette) et maintenu en position par des écrous au cul du barillet Le baffle est serré dans cette opération Usage Newton Le tiroir Newton dans les 4 kg avec PO et RAF caméra, est glissé dans ses rails, positionné et bloqué par rapport au tube principal Pour l'usage Cassegrain, un autre tiroir sur glissières est prévu. Le changement de configuration sera en théorie rapide. Aucune pièce à visser dévisser avec un outil. Les serrages se font sur des boutons, écrous moletés. Collimation du primaire et des secondaires avec vis micrométrique Thorlabs Encore quelques heures de réalisation à venir Merci d'avoir lu !
  12. 3 points
    Décidément le Soleil éjecte pas mal de matière. Là, il valait mieux avoir un Soleil grand-champ. Le contexte : Une séquence : Christian
  13. 3 points
    Les soirées sont bien tardives, couvertes et ventées sur Toulouse et en plus c'est pleine Lune, j'ai quand même sorti une petite M51 avec juste 1000s récupérables dans cette grisaille avec beau gradient Ca m'a l'air sympa et assez facile, j'y reviendrai c'est sûr ! A+ Alain Set up SW200x1000 + Sony alpha 6000 + table EQ
  14. 3 points
    Merci beaucoup, Alain Merci Sauveur, mais je pense qu'on peut remercier surtout Lucien qui nous gratifie d'un excellent logiciel Merci Will , les logiciels mis à disposition nous facilite aussi la tâche Effectivement @Guy03 , la turbulence s'est fait ressentir très rapidement juste après le coucher de soleil ce soir là ! Il fallait se dépêcher à capturer ces images . Merci de ton passage . Merci ....Oui, il en faut pour tout les goûts donc pas de problème si cela plaît ! Merci Polo... J'attends des conditions plus favorables pour pouvoir l'exploiter davantage ! Il faut juste être patient .
  15. 3 points
    J'adore. Je proposais ça, misquer des images provenant de plusieurs télescopes, il y a une dizaine d'années ici-même, comme le font les pros depuis à la louche près d'une trentaine d'années, mais on me renvoyait un silence poli. Le traitement de @jeffbax est nickel, l'image ne souffre pas trop d'effet de "sur résolution", et la photo posée des dizaines d'heures au 250 de Guillaume est énorme. Bref bravo ! Ces poses en collaboration sont l'avenir pour détecter des trucs hyper faibles, imaginez 20 gonzes posant chacun 20 heures sur un objet ! Ca ferait... euh... voyons... plein d'heures de pose ! S
  16. 3 points
    Ce n'est pas aussi industrialisé, mais ça existe déjà et ça coûte 1/4 du prix du SmartEye. https://www.astrowlbox.com/
  17. 3 points
    Salut les Astros, Une petite photo de la nébuleuse de la flamme prise il y a une semaine, toujours à Cayenne ( en Guyane ) au seestar avec 15 minutes de poses et le filtre activé. C'est pas le TOP DU TOP, mais j'espère qu'elle vous plaira quand même ... Bien à vous. PS : Comme @BobSaintClar m'avait conseillé, c'est de faire un temps de pose un peu plus long pour avoir de meilleurs détails, donc on va considérer celle-ci comme un premier test, et dès que le ciel nocturne me permettra je referais une session sur cette nébuleuse ( et pleins d'autres aussi ) ...
  18. 3 points
    C'est sûr mais vu que plus on monte en diamètre plus les spec élevées sont difficiles à tenir, on en revient toujours à la même chose, rien de tel qu'un télescope en planétaire. Faire une lunette très performante en 200 mm il n'y a que APQ avec strehl polychromatique à 0,95 entre 360 et 1000 nm. Là les télescopes peuvent aller se coucher. Sauf que pour ce tarif là on doit pouvoir s'offrir un T500 voire T600 monture incluse.
  19. 3 points
    Ca bouge aussi du côté chinois. Aujourd'hui, décollage de la mission habitée Shenzhou -18: La Chine a dévoilé son dernier équipage de trois personnes qui se lancera dans une mission de six mois en orbite terrestre basse. Shenzhou 18 est sur le d'être lancé sur une fusée Longue Marche 2F depuis le port spatial de Jiuquan, dans le nord-ouest de la Chine, jeudi 25 avril, et de se diriger vers la station spatiale chinoise Tiangong. L'équipage de la mission a été dévoilé lors d'une conférence de presse à Jiuquan mercredi 24 avril, également à l'occasion de la Journée nationale de l'espace en Chine, par l'Agence chinoise des missions spatiales habitées (CMSA). Shenzhou 18 sera commandé par Ye Guangfu, 43 ans, qui a fait partie de la mission Shenzhou 13 en 2021-2022. Il est accompagné des pilotes de chasse Li Cong, né en octobre 1989, et Li Guangsu, né en juillet 1987, qui effectueront leurs premiers vols dans l'espace. https://www.space.com/china-reveals-shenzhou-18-astronauts-video https://english.news.cn/20240424/f15be1b0171c496c98d581eb49ebc68c/c.html
  20. 3 points
    Pour la première version, j'ai utilisé un peu de BlurX Terminator sur l'image fit brut comme préconisé sous pixinsight, pour cette nouvelle version je n'ai pas utilisé BXT et refait un traitement un utilisant qu'un peu de passe haut, le rendu était beaucoup plus doux et moins piqué. Pour amélioré un peu l'image j'ai superposé les deux versions et j'ai réduit l'opacité à 75% sur la 2e versions pour donner un peu plus de définition mais en évitant l'écueil de la première, le résultat mais plait davantage, à vous de juger.... jérôme
  21. 2 points
    Bonjour les amis la meteo clemente a duré 2 jours soit le 18 et 19 avril ciel clair mais turbulences tres presentes j ai quand meme fait quelques photos doctelescope 460 f 4.2 barlow 2 fois et filtre ir 742 et parfois filtrre rouge
  22. 2 points
    salut sauveur ! bravo pour toutes ces images ! magnifique soleil , il manque un peu ici , pas de claquettes car il gèle encore ! je trouve la mise au point parfaite sur les galaxies et un poil moins sur les nébuleuses l'appareil fait la MAP tout seul ou tu peux intervenir ? une bonne soirée et un bon ciel ! curieux de voir une image de + d'1heure de pose sur ngc 4565 !! polo
  23. 2 points
    Je rajoute le Ha et le continuum autour du Ha, à fins de comparaison avec He.
  24. 2 points
    Hello, petite galaxie pas très originale, mais toujours intéressant de refaire les classiques. Je suis moyennement satisfait du résultat, j'ai refait mes couches couleurs suite à mes déboires de parasites sur les brutes mais je pense que je n'en fait pas assez. Je ne sais pas trop d'ailleurs si le LRGB est la meilleure approche pour les galaxies. Là il y a 87x2mn en L et 10x2mn par couche RGB. Il y a une règle de ratio entre L et RGB ? Les images date du 18 avril donc il y a déjà pas mal de lune. Je ne sais pas non plus si mon approche du traitement est la bonne, pour résumer (tout sur Pixinsight) : - prétraitement en auto avec WBPP - couche L : retrait de gradient, BXT, SXT, montée d'histogramme par GHS, NXT (en non linéaire donc) - couche RGB : création RGB, BXT en correct only, calibration des couleurs par SPCC, retrait de gradient, SXT, montée d'histogramme par GHS, augmentation de la saturation, NXT - création LRGB avec L et RGB en starless - couche étoiles RGB : montée d'histogramme par GHS, NXT - ajout des étoiles RGB sur LRGB starless Je ne suis pas fan du rendu des étoiles avec les halos violacés partout Bref, vivement le retour des grandes nébuleuses et de la poussière, c'est trop galère les galaxies avec un petit setup ! Altair 183M mono + Skywatcher 72ED sur HEQ5 L : 87x2mn soit 2h54mn RGB : 10x2mn soit 20mn par couche
  25. 2 points
    https://www.telescopengineering.com/telescope/apo200fl-f-11/
  26. 2 points
    Bonjour , quelques images de notre astre faites ce matin. La turbulence + vent lissent les détails en lumière blanche. Les trous de turbulence sont rares. Une image rescapée en LB : Avec le Quark Day Star en bande étroite Ha , c'est plus facile de sortir quelques choses de montrable:
  27. 2 points
    Yo ! de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir. Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo. Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps. Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude, (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison" bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique. Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale. Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal ! Reste à peaufiner ce dessins que voilà : La suite à venir, restez à l'écoute
  28. 2 points
    Alors en fait, j'avais plutôt proposé de faire un temps de pose BEAUCOUP plus long, genre DEUX FOIS plus long, à minima Passer de 10 à 15 minutes ne va pas bouleverser tes résultats ; passer de 10 à 45 minutes, là oui, tu vas voir la différence ! Pour l'instant, mon temps d'exposition le plus long (au Seestar, hein) est de 1h30. Il y a moyen de faire mieux ! L'ennemi de la pose longue, avec cet instrument, est la rotation de champs. Pour la combattre, deux solutions s'offrent à nous : La première, très simple à mettre en oeuvre, est de bien choisir ses plages horaires, en évitant de viser des cibles qui vont traverser le méridien en cours de pose (c'est le moment où leur rotation relative est maximale). Pour un objet donné, il est très facile de voir quelles plages horaires sont les meilleures, en utilisant un soft comme Stellarium. De toute façon, ne fut-ce que pour avoir un peu de contrôle sur l'orientation dudit objet dans le capteur, il est bon de voir comment il va se comporter durant la pose. La seconde, c'est de passer le Seestar en mode équatorial. Il y a des tutos Youtube qui expliquent comment faire, c'est assez facile et ça permet d'éliminer le problème de la rotation de champs une fois pour toutes. Cependant, c'est une complication qui sied peu à la philosophie de l'engin (si j'avais voulu m'emmerd... avec du suivi équatorial, j'aurais louché sur d'autres astrographes que ma femme ne m'aurait jamais offert, vu leurs prix) et qui ne permet pas - pour l'heure - de viser des astres sous l'équateur céleste. Bref, à l'exception de nébuleuses notoirement brillantes (genre m17, M42, M31, M13 et consorts), il faut poser au moins 1/2heure pour sortir quelque chose de plaisant. La team Seestar doit performer, les gars ! Avec Alain en France, Etienne en Guyane et moi au Japon, dès que ZWO va intégrer l'interférométrie longue base dans son bidule, ça va chier !!
  29. 2 points
    Salut, Par un beau temps ce midi, j'ai pu prendre quelques photos du soleil et de ses "spots" ... Toujours au Seestar, depuis la Guyane. Bien à vous.
  30. 2 points
    Premier soleil Suite à mon post "débutant solaire", j'ai beaucoup lu sur le forum et regardé beaucoup de vidéos sur Youtube (la Chaine Astro a une très belle série de mon point de vue de débutant). J'ai équipé mon setup principal et ma lulu de guidage avec des filtres OD 5.0, j'ai suivi les différents conseils. Pour mes toutes premières images solaires, je suis très contente. Bien sûr, on a pas tous ces détails que l'on a avec des filtrages nanométriques, mais c'est déjà pas mal pour moi. Au final: - ma monture AM5 fonctionne très bien sans auto-guidage pour du lucky imaging - mon setup principal donne de bien meilleures images avec la caméra mono Acquisition: 18 Avril Setup: ZWO AM5, 130PDS (Newton 130/650), ASI 533MM, filtre L2 Astronomik, filtre OD 5.0 Acquisition: Asiair en mode ROI vidéo Post-traitement: Autostakkert (AS3) + Astrosurface + Photoshop Autostakkert: selection des 3% Astrosurface: ondelette de Wiener Photoshop: couleur Lien sur astrobin: https://astrob.in/63kafp/0/ zoom (le zoom sur l'image astrobin rend mieux que ce crop)
  31. 2 points
    Tiens mon ami, ta photo elle est très bien, pour les halos bleus tu peux réduire le chromatisme avec un logiciel comme Lightroom et tu verras que ton image finale est très bien
  32. 2 points
    ooohhh, y en a un qui est taquin quand même
  33. 2 points
    C'est intéressant toutes ses images prises avec des diamètres différents. Cela permet de voir le gain en résolution en passant à un diamètre supérieur. Mais plus le diamètre est grand, plus les contraintes sont importantes et demande donc une plus grande maîtrise !
  34. 2 points
    Bonjour, en vente cause passage Sony , état neuf, 300 mm F4 IS USM EF .sans poussières, sans choc, parfait état. (port offert) . . . .
  35. 2 points
    Je ne sais vraiment pas si je vais réussir à faire fonctionner mon projet "Sun Kwisatz Haderach" mais, je suis vraiment impatient de chez impatient de récupérer ma nouvelle optique et de passer plein plein plein d'heures en réglages, en recherche, en analyse........... Bon cela va être hyper chaud de faire mieux qu'avec le 251 mais c'est frissonnant d'expérimenter ce qui n'a été expérimenté par personne
  36. 2 points
    Bonsoir Un des miens : Bonne nuit. Luc avec un Mistral de fou.
  37. 2 points
    Moi je fais coup double, Schiller ET Clavius !
  38. 2 points
    Merci coquinou de Nicolas Il suffit de faire pivoter la photo de quelques degrés dans le sens horaire pour retrouver la configuration du dessin. ... Et la fin des dessins. Et tout d'abord, ce chapelet qui tente de restituer l'instant, ces nuées d'altitude tant filamenteuses que pommelées et les couleurs du couchant à l'horizon. Il est remarquable de constater que l'ombre de l'éclipse a littéralement éteint la couche pommelée. Ce n’est qu'à moitié satisfaisant car je n'ai pas trouvé d'astuce pour rendre sur le dessin l'altitude du phénomène à environ 70° de l'horizon, ce qu'on ne ressent pas à la vue du dessin. Le chapelet est réalisé avec une cadence d'un dessin toutes les vingts minutes, puis à T-1mn où l'on distingue les premiers morcellements de la griffe solaire, les fameux grains de Bailly, puis cette formidable sortie en C3 où, émergeant entre de folles protubérances, deux diamants éclatants, un très grand souvenir. On remarque 2 groupes de tâches solaires mais aussi la rotation du champ tout au long du déroulement du phénomène, visible avec la position de la Lune sur le Soleil, caractéristique de toute visée altaz. Sur un précédent post, je vous avais évoqué cette vision stupéfiante du décollage d'une fusée Falcon 9. La voilà revisitée en mode dessin. La première observation le 2 avril fut à Loreto situé en Basse Californie du Sud sur la mer de Cortes, en périphérie de ville dans une zone pavillonnaire. On s'était installé à 100m de l'habitation un peu à l'écart des violents lampadaires pour observer la comète plein Ouest. Et là un peu plus au Nord, émerge cette lueur improbable, très forte, très marquée, quasi immobile si ce n'est la subtile sensation que ça s'élève quelque peu. Il s'agit du tir de la Flacon 9 depuis la base de Vandenberg à 1300km de nous, expédiant en orbite basse 22 de ces Starlink V2 qui nous désolent tant. La trajectoire est à 53° de l'équateur, au dessus du Pacifique longeant de près la cote Californienne. A cet instant, le premier étage a déjà fait sa besogne et l'on voit le second étage dans ses dernières minutes de fonctionnement. Allant en accélérant franchement par effet de perspective et devenant vraiment énorme, elle passera au plus près de nous à 170km de distance et un chouya moins d'altitude, d'où une visée à un peu moins de 45°. Ce qu'il y a de stupéfiant, c’est la persistance de ce large panache gazeux jusqu'à l'horizon tant qu'il est éclairé par le Soleil, et il se coupe instantanément lorsqu'il entre dans l'ombre de la Terre, laissant visible seulement les flammes orangées s’échappant de la tuyère. Peu de temps après, c’est l'extinction du moteur. Fort impressionnés de ce spectacle - ici une routine hebdomadaire - nous nous promettons de voir un second tir dès que possible. Celui-ci, prévu pour le 6 avril toujours pour des Starlinks, fut reporté le lendemain pour cause météo. Désormais, nous logeons à Mazatlan en plein centre ville. Par conséquent nous sommes à plus de 350km de la trajectoire et plus proche de la fin du lancement. Aussi, nous la verrons surgir bien plus basse sur l'horizon pour une courte durée, le panache s'occultant rapidement à son passage dans la nuit, puis l'extinction du moteur quelques secondes plus tard. Et voilà pour les comptes rendus astronomiques qui, comme on a pu le constater, furent particulièrement hétéroclites, passant d'un sujet à un autre. Varier les sujets, c'est ce que j'aime. Peut-être quelques témoignages de cet incroyable périple viendront par la suite, tant ils étaient riches, étonnants et tout autant variés. Et merci d'avoir tenu jusqu'au bout Tout cela, et tout le reste, est visible sur mon site : http://www.astrosurf.com/magnitude78/serge/index.html
  39. 2 points
    Pour la comète du précédent chapitre, j'ose vous dire que notre dernière soirée d’observation au lendemain de l'éclipse était des plus charmantes, revenu dans les mangroves au point (A) de la veille, au milieu d'un foultitude d’oiseaux et d'un ciel merveilleux. La comète avait vraiment bonne bouille, avec une queue particulièrement complexe. Mais il est des jours- ou des nuits - où l'on se botterait copieusement le cul : j'avais tout emporté.....sauf la lunette Alors foin de ces turpitudes, la reprenons le récit (de-diou, rude besogne que ces remises au propre...) Étant venu ici pour le Soleil qui se fera éclipser dans quelques jours, Phébus fut l'objet de toutes nos attentions, et cela dès le début du périple. Nous le choyâmes, le chouchoutâmes, nous l’idolâtrâmes et lui firent maintes offrandes en vue du phénomène, mais aussi nous l'observâmes en amateurs consciencieux. Notre premier hébergement à Puerto San Carlos, dans la baie de Magdalena, était des plus sympathiques, au bord de la mangrove avant d'arriver au village. Nous y étions vraiment tranquille et c'était un bon point d’observation, tant pour une multitude d'oiseaux qui batifolaient sous notre terrasse (allez voir ce que sont les Callipepla californica, ou les Melanerpes uropygialis, les Aphelocoma californica ou les Pyrocephalus obscurus), que pour voir la comète comme cela a été décrit, ou observer à la L80x60 et Astrosolar le disque Solaire histoire de se mettre en jambe, avec la disparition prochaine sur le limbe d'un gros groupe de tâches (AR 3615 ?) Mais plus amusant fut la traque aux rayons verts. J'avais perçu à l’œil nu quelques beaux spécimens lors de mon périple plongée sur le bateau et ici sur la terre ferme, les conditions me semblaient toutes autant idoines. C’est ainsi que nous en vîmes de sublimes d’une rare évidence. Mais la flemme des premiers jours du séjour on fait que le matériel à dessin n'était pas encore d'actualité à proximité de la longue vue. Aussi, celui du 28 mars fut réalisé juste après l'observation et de mémoire, ce qui fut bien ballot car assurément l'un des plus spectaculaire que je n'ai jamais vu. Tout d'abord un Soleil fortement tourmenté, déformé, comme une poire la tête en bas, voire un champignon bizarre, avec de fortes ondulations et échancrures sur le pourtour, forme évolutive trop complexe pour la dessiner après coup - dommage.... Ces effets de mirage dès le toucher sur l'horizon n'augurent que du très bon à venir. Et en effet, la partie supérieure se scinda franchement, se sépara du disque cabossé du Soleil, et cela à de nombreuses reprises. On comptera plus de sept itérations successives tout au long de l'immersion du Soleil à l'horizon. Et à chaque fois, les teintes perçues s'affirmaient d’avantage, les premières tirant sur un vert classique, mais les dernières virant sur un bleu affirmé. L'ultime détachement restera gravé dans ma mémoire car de grosse taille, d'un bleu soutenu comme jamais vu auparavant, avec une bordure franchement outremer sur un cœur plutôt turquoise. Une merveille. Fort de cela et de ce manque de préparation, je me promis d'être au rendez-vous le lendemain 29 mars. Mais, comme une sorte de punition d'un nonchalance trop avérée, le phénomène fut alors infiniment plus timide, comme on le remarque sur le second dessin. Nous en vîmes un autre assez spécial plus tard à La Paz, car le dernier éclat perçu par tous était franchement violet. Mais pas de dessin de cela, juste celui de la comète du 5 avril du précédent chapitre. Yen reste encore un peu, la suite à venir
  40. 1 point
    Je trouve que la monture fait tout zizi vs. le gros machin, mais bon, là, on vend le gros machin, et pas la monture. Moi j'aurais peur que ça casse, ou que ça tombe, mais voilà, ce n'est pas non plus le sujet. Faudrait un humain à côté pour bien se rendre compte de l'encombrement !
  41. 1 point
    à titre perso, je plussois à 100%!
  42. 1 point
    Hello Sauveur, Les images du Soleil dans les arbres sont très photogéniques je trouve Pour le reste, merci de toute cette panoplie de tests qui vont ravir les amateurs de Seestar Il en a de la chance ton ami d'avoir un ami comme toi Bonne journée, AG
  43. 1 point
    Pour l'interférométrie longue base ? c'est vrai ? Merci Polo.
  44. 1 point
    Super pour toi Sauveur, c'est un matériel parfaitement adapté à ta situation, du matériel pas tros lourd et qui te permet du coup de te déplacer plus facilement. On attend la suite mon ami !
  45. 1 point
    C'est dommage qu'il n'y ait pas d'offre de doublet de grands diamètres (200-250mm) avec des verres exotiques japonais similaires comme le couple Russe OF1-OK4. C'est certain qu'avec 2.5 mètres de focales mini, c'est difficile à gérer question monture. A 185/200mm, on atteint les limites du raisonnable avec un triplet à mon avis. Avec 152mm, comme la mienne, c'est super cool par contre à utiliser si on ne la bouge pas souvent. Montage et démontage à chaque utilisation (fréquemment) avec la monture, ce serait non pour moi aussi. Il faut être un peu maso.
  46. 1 point
    Plus de 5m de focale ça commence sérieusement à causer! Il faut des conditions top du top avec une telle focale, sinon la moindre turbule se fait sentir! Bravo pour ce survol lunaire.
  47. 1 point
    bonjour à toutes et à tous Comme william avait ouvert un sujet avec Clavius , j'en ouvre un autre avec ce cratère pas si souvent imagé ! CFF 300 f/d de 20 ASI 178MM filtre rouge le 4 avril 2020 , ça date un peu .......... à vous ! polo
  48. 1 point
  49. 1 point
    Bonjour à toutes et à tous. Le nouveau numéro de Pour la Science de mai 2024 donne un petit papier sur certains résultats de l'instrument ALMA
  50. 1 point
    Remarque, en regardant ton avatar, je comprends pourquoi !