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Affichage du contenu le plus aimé le 25/04/2024 dans toutes les zones

  1. 6 points
    Bonsoir à toutes et tous, Je vous poste quelques plans lunaires pris avec un Doctelescope de 382 mm / focale native de 1722mm /f4.5 La caméra est un e QHY5-III-678MM sous un filtre Astronomik rouge car la turbulence était bien présente ce soir là. j'avais utilisé aussi une barlow APM avec un tirage allongé à 3.13 donnant une focale de 5228 mm. Bon visionnage ...et très bon ciel à vous Bruno
  2. 4 points
    Hello, Il fait froid, il neige ou pleut, il vente, alors on fait le ménage dans les SSD, on rafistole des vieux laptops , bref on s'occupe. Avant de le formatter, j'ai retrouvé dans un SSD une série d'images lunaires intitulées lunemosa1, lunemosa2, etc... tiens tiens qu'est ce que ça peut bien être? Ca date du 21 mai 2020, période ou Vénus allait passer en conjonction inférieure et nous montrer son atmosphère complète autour du limbe. Donc je bourrinais bcp avec la 130EDT, et je n'avais pas forcément le temps de tout traiter. C'est donc chose faite pour cette mosaique lunaire, plus aucun souvenir des détails d'acquisition mais le format de l'image m'incite à croire que c'est fait à la basler 1920-155 + powermate x4 derrière l'AP130EDT. Série acquise autour de 21h45. Bien sûr dans le ciel du soir après des journées bien ensoleillées la turbu n'a pas aidé, mais je trouve que c'est une phase magnifique avec bcp de rendus inhabituels. Simon
  3. 3 points
    hello, petite éclaircie ce matin, à peine suffisante pour enquiller une vingtaine de SER sur les raies Na et He, positionnées dans le même fen^tre spectrale d'acquisition. Toujours avec triplet 80 f6, ASI178, AZEQ6, ici en bin 2 avec expo 7,3 ms. Traitement INTI 6.0, bien facilité pour la raie He avec l'option "polynôme automatique". Ci-dessous, images Na et He (assez spectaculaire de mon point de vue)
  4. 3 points
  5. 3 points
    Pas facile de trouver ce cratère dans mes archives. J'en ai au moins deux mais le cratère est quasiment entièrement dans l'ombre ! En voici un, mieux éclairé, d'avril 2023 : Mak 180 avec barlow Jérôme
  6. 2 points
    Bonjour! Bon je vais traité les brutes j'attend d'accumuler assez de temps de pose mais je vous fais une petite mise en bouche Bon Un test pour un ami qui a des problème de connection bien sans carte Sim ca marche il faut lui donnée le wifi le temps que le Seestar vois la connection apres ça roule ma poule Donc un peu de psychédélique hi hi hi Il a trouver le soleil a travers les branche ! En faite il fait un balayage on peut faire stop quand ca passe devant Fait au Seestar sans traitement mise au point auto Des que ca passe l'arbre re mp auto Je vais rajouter des poses et traité La c'est toujours traitement Zwo g Bon ca marche bien même sans slim Zwo vs temps de poses plus long c'est pas fait hier traitement en manuel siril en drizzle mix L Lextrem mais faut que je retente Bonne journée et bon ciel
  7. 2 points
    https://www.telescopengineering.com/telescope/apo200fl-f-11/
  8. 2 points
    Salut les Astros, Une petite photo de la nébuleuse de la flamme prise il y a une semaine, toujours à Cayenne ( en Guyane ) au seestar avec 15 minutes de poses et le filtre activé. C'est pas le TOP DU TOP, mais j'espère qu'elle vous plaira quand même ... Bien à vous. PS : Comme @BobSaintClar m'avait conseillé, c'est de faire un temps de pose un peu plus long pour avoir de meilleurs détails, donc on va considérer celle-ci comme un premier test, et dès que le ciel nocturne me permettra je referais une session sur cette nébuleuse ( et pleins d'autres aussi ) ...
  9. 2 points
    C'est sûr mais vu que plus on monte en diamètre plus les spec élevées sont difficiles à tenir, on en revient toujours à la même chose, rien de tel qu'un télescope en planétaire. Faire une lunette très performante en 200 mm il n'y a que APQ avec strehl polychromatique à 0,95 entre 360 et 1000 nm. Là les télescopes peuvent aller se coucher. Sauf que pour ce tarif là on doit pouvoir s'offrir un T500 voire T600 monture incluse.
  10. 2 points
    Bonjour , quelques images de notre astre faites ce matin. La turbulence + vent lissent les détails en lumière blanche. Les trous de turbulence sont rares. Une image rescapée en LB : Avec le Quark Day Star en bande étroite Ha , c'est plus facile de sortir quelques choses de montrable:
  11. 2 points
    Yo ! de retour à la maison, après un formidable périple mexicain, dont le prétexte était cette éclipse prometteuse du 8 avril. Prometteuse car de longue durée, pensez-donc 4mn27s à l’endroit choisi, bien loin des 62 secondes de l'an passé en Australie, qui plus est avec une activité solaire bien musclée et avec des statistiques météo en ces contrées tout autant prometteuses - mais qui ne se concrétisa pas à l'optimum, comme on va le voir. Voyage organisé de longue date avec les copains, avec comme approche sur la ligne de centralité de fuir le Texas, de ne pas tenter le nord de l'Amérique dont les prévisions n'étaient pas folichonnes, et d’envisager un périple hors des sentiers battu en Basse Californie où l'on observerait le phénomène de l'autre côté de la Mer de Cortes à Mazatlan - ou dans l'arrière pays si nécessaire - site quasi au maximum de durée avec les meilleurs statistiques météo. Commençons donc ce récit par ce point d'orgue de l'éclipse, le reste suivra au fil du temps. Quinze jours auparavant, les premières prévisions météo montraient une dépression sur l'Amérique du Nord d'où s'enroulait une large trainée nuageuse se superposant diaboliquement avec la trajectoire de l'éclipse sur le continent, configuration des plus fâcheuses laissant à penser que les dieux nous boudaient et qu'il fallait remédier à ces disgrâces par des offrandes et libations de circonstances, ce qui fut pieusement fait à grand coup d'apéro désormais pleinement justifiés. Que ceux qui médisent sur la fiabilité des métrologues soient immolés car ces prévisions tinrent bon et s’affirmèrent jusqu'au jour J - à notre grand dam. C'est ainsi que la veille au soir, nous n'étions toujours pas déterminés à savoir où nous irons observer. Deux solution se présentaient, excluant la troisième qui était de rester sur la ville de Mazatlan : (A) aller vers le sud, le long du littoral pile sur la ligne de centralité, ce qui faisant gagner 10 secondes de totalité et nous écartait un peu de cette bande coquine de nuages d'altitude, (B) ou entrer dans les terres et gagner en altitude un peu avant Durango où une trouée semblait se dessiner - ce qui fut le cas. Aussi à l'aube faute d'avoir choisi, nous allâmes d'abord en A, découvrant un environnement de lagunes sauvages plein de jolis volatiles et de cultures de piments dont on pouvait lire qu'ils étaient les "mejor del Pacifico", mais avec un ciel perfectible qui nous fit prendre la décision de partir illico en B. C'est ainsi que par une route rapide, nous nous enfonçâmes rapidement dans l'arrière pays montagneux, jusqu'à - Caramba, consternation et merdum - être bloqués par une interminable queue de gros bahuts à l'arrêt pour cause d'accident et incendie dans un tunnel à quelques dizaines de kilomètres de là. Et là, on se trouve tout à coup bien couillon, pris au piège, dans l’expectative. Après un instant de sidération, nous la jouâmes à la mode mexicaine, à savoir remonter la file de camion à contresens jusqu'à l'une des rares bretelles d'accès, elle aussi prise à contre-sens, pour se sortir de ce pétrin. Mais de là, la route alternative pour se rendre à destination était bien plus tortueuse, moins roulante, plus longue et ne nous permettait plus d'arriver à temps, d'où la sage décision de rester sur place et s'installer tranquillement, car rien n'est plus important que de soigner l’installation où l'improvisation et l'à-peu-près ne sont pas de mise en ces circonstances. Pour ma part, ce sera la Swaro 80ED qui fait merveille sur ce sujet, un filtre astrosolar bricolé "maison" bien rodé lors des précédentes éclipses, les feuilles de papier où les gabarits de diverses dimensions ont été préalablement tracés, les crayons en double en cas de casse, le positionnement de chaque bidule où le geste doit être machinal et ergonomique. Ainsi, dans un joli paysage montagneux planté de conifères, nous regardâmes avec quelques autres spectateurs le ciel se faire envahir de cirrus échevelés, mâtinés d'autres d'aspect pommelés, toutefois pas suffisamment denses pour masquer le Soleil, mais juste un peu chiants pour une observation optimale. Bien que parfaitement compréhensible, je trouve extraordinaire la précision des phénomènes astronomiques. Une petite application fort bien faite me donne tous les paramètres de l'éclipse pour un endroit donné et pile à C1, soit 9h52mn38s, l'on observe la première morsure de la Lune sur la Soleil, l'émotion devient palpable, le tension monte, les commentaires vont bon train. Je fais un dessin toutes les 20mn de l'avancé du phénomène, note la présence de deux groupes de tâches qui inexorablement se feront grignoter par l'avancée de la Lune. A T-10mn, l'on sent physiquement un changement de température, de luminosité et à l'oculaire, le Soleil n'est déjà plus qu'une jolie griffe. A T-5mn, on entre dans le vif du sujet et je lance mon compte-à-rebours enregistré, aide précieuse qui permet une relative sérénité en ces instants où le temps semble s’emballer, ou être suspendu, ou en tout cas se déroule de façon étrange dans nos esprits totalement perturbés. L'on devient des animaux, on regarde hébétés de toute part les changements envahir l'espace, les couleurs, l’assombrissement progressif qui se fait de plus en plus intense, preuve d'une éclipse de longue durée. Le crépuscule s'affirme fortement comme je ne l'ai encore jamais perçu. T-1mn, l'on perçoit les premiers grains de Bailly, le découpage en petits tronçons aux extrémités de la très fine griffe du aux reliefs lunaires. Ça vacille, on perçoit déjà Vénus à droite, Jupiter plus loin à gauche, à T-30s on à la sensation de la présence de la couronne à l'opposé de la disparition éminente du Soleil, à T-10s je retire le filtre et regarde le monde environnant se faire engloutir par cette nuit si particulière, 9-8-7-6-5-4-3-2-1 TOPPPPPPPP !!!!! Hop punaise de-diou, quel spectacle !!!! Ça fuse de toute part, ça irradie, c'est fort, contrasté, étendu, magnifié par ces nuées d'altitude, bien qu'à 70° de hauteur, le Soleil noir me semble gros comme le ferait un plein Lune à son lever sur l'horizon, c'est magnifique, on en tremble. En mode automatique, je trace les principales lignes de la couronne, le trait est bien tremblotant, il faut se faire violence, s'appliquer. Délicate besogne car l’assombrissement est tel que je ne vois pas bien mon travail sur le papier. L'observation à l'oculaire n'est pas aisée car le contraste est tout de même atténué par ces voiles d'altitude. Je note les nombreuses protus du côté où le Soleil vient de disparaitre quand déjà quelques coquines énormes pointent leur nez à l'opposé. Ces 4mn27s sont un vrai luxe pour le dessin et quelque part, je m’apercevrais par la suite qu'elle ne m'oblige pas à une concentration maximale, on peut dire que j'étais davantage en dilettante. Je prends mon temps, reviens sur un détail, repasse autre part, affirme un contour, une lueur. Déjà la sortie s'annonce avec comme fleurons deux magnifiques protus d'un rose électrique incomparable, 5-4-3-2-1 FINI !!!!! Une sortie grandiose avec quelques diamants joliment répartis entre ces deux flammes, un régal ! Reste à peaufiner ce dessins que voilà : La suite à venir, restez à l'écoute
  12. 2 points
    Ca bouge aussi du côté chinois. Aujourd'hui, décollage de la mission habitée Shenzhou -18: La Chine a dévoilé son dernier équipage de trois personnes qui se lancera dans une mission de six mois en orbite terrestre basse. Shenzhou 18 est sur le d'être lancé sur une fusée Longue Marche 2F depuis le port spatial de Jiuquan, dans le nord-ouest de la Chine, jeudi 25 avril, et de se diriger vers la station spatiale chinoise Tiangong. L'équipage de la mission a été dévoilé lors d'une conférence de presse à Jiuquan mercredi 24 avril, également à l'occasion de la Journée nationale de l'espace en Chine, par l'Agence chinoise des missions spatiales habitées (CMSA). Shenzhou 18 sera commandé par Ye Guangfu, 43 ans, qui a fait partie de la mission Shenzhou 13 en 2021-2022. Il est accompagné des pilotes de chasse Li Cong, né en octobre 1989, et Li Guangsu, né en juillet 1987, qui effectueront leurs premiers vols dans l'espace. https://www.space.com/china-reveals-shenzhou-18-astronauts-video https://english.news.cn/20240424/f15be1b0171c496c98d581eb49ebc68c/c.html
  13. 2 points
    Alors en fait, j'avais plutôt proposé de faire un temps de pose BEAUCOUP plus long, genre DEUX FOIS plus long, à minima Passer de 10 à 15 minutes ne va pas bouleverser tes résultats ; passer de 10 à 45 minutes, là oui, tu vas voir la différence ! Pour l'instant, mon temps d'exposition le plus long (au Seestar, hein) est de 1h30. Il y a moyen de faire mieux ! L'ennemi de la pose longue, avec cet instrument, est la rotation de champs. Pour la combattre, deux solutions s'offrent à nous : La première, très simple à mettre en oeuvre, est de bien choisir ses plages horaires, en évitant de viser des cibles qui vont traverser le méridien en cours de pose (c'est le moment où leur rotation relative est maximale). Pour un objet donné, il est très facile de voir quelles plages horaires sont les meilleures, en utilisant un soft comme Stellarium. De toute façon, ne fut-ce que pour avoir un peu de contrôle sur l'orientation dudit objet dans le capteur, il est bon de voir comment il va se comporter durant la pose. La seconde, c'est de passer le Seestar en mode équatorial. Il y a des tutos Youtube qui expliquent comment faire, c'est assez facile et ça permet d'éliminer le problème de la rotation de champs une fois pour toutes. Cependant, c'est une complication qui sied peu à la philosophie de l'engin (si j'avais voulu m'emmerd... avec du suivi équatorial, j'aurais louché sur d'autres astrographes que ma femme ne m'aurait jamais offert, vu leurs prix) et qui ne permet pas - pour l'heure - de viser des astres sous l'équateur céleste. Bref, à l'exception de nébuleuses notoirement brillantes (genre m17, M42, M31, M13 et consorts), il faut poser au moins 1/2heure pour sortir quelque chose de plaisant. La team Seestar doit performer, les gars ! Avec Alain en France, Etienne en Guyane et moi au Japon, dès que ZWO va intégrer l'interférométrie longue base dans son bidule, ça va chier !!
  14. 2 points
    Salut, Par un beau temps ce midi, j'ai pu prendre quelques photos du soleil et de ses "spots" ... Toujours au Seestar, depuis la Guyane. Bien à vous.
  15. 2 points
    Premier soleil Suite à mon post "débutant solaire", j'ai beaucoup lu sur le forum et regardé beaucoup de vidéos sur Youtube (la Chaine Astro a une très belle série de mon point de vue de débutant). J'ai équipé mon setup principal et ma lulu de guidage avec des filtres OD 5.0, j'ai suivi les différents conseils. Pour mes toutes premières images solaires, je suis très contente. Bien sûr, on a pas tous ces détails que l'on a avec des filtrages nanométriques, mais c'est déjà pas mal pour moi. Au final: - ma monture AM5 fonctionne très bien sans auto-guidage pour du lucky imaging - mon setup principal donne de bien meilleures images avec la caméra mono Acquisition: 18 Avril Setup: ZWO AM5, 130PDS (Newton 130/650), ASI 533MM, filtre L2 Astronomik, filtre OD 5.0 Acquisition: Asiair en mode ROI vidéo Post-traitement: Autostakkert (AS3) + Astrosurface + Photoshop Autostakkert: selection des 3% Astrosurface: ondelette de Wiener Photoshop: couleur Lien sur astrobin: https://astrob.in/63kafp/0/ zoom (le zoom sur l'image astrobin rend mieux que ce crop)
  16. 2 points
    Tiens mon ami, ta photo elle est très bien, pour les halos bleus tu peux réduire le chromatisme avec un logiciel comme Lightroom et tu verras que ton image finale est très bien
  17. 2 points
    ooohhh, y en a un qui est taquin quand même
  18. 2 points
    Pour la première version, j'ai utilisé un peu de BlurX Terminator sur l'image fit brut comme préconisé sous pixinsight, pour cette nouvelle version je n'ai pas utilisé BXT et refait un traitement un utilisant qu'un peu de passe haut, le rendu était beaucoup plus doux et moins piqué. Pour amélioré un peu l'image j'ai superposé les deux versions et j'ai réduit l'opacité à 75% sur la 2e versions pour donner un peu plus de définition mais en évitant l'écueil de la première, le résultat mais plait davantage, à vous de juger.... jérôme
  19. 2 points
    Merci coquinou de Nicolas Il suffit de faire pivoter la photo de quelques degrés dans le sens horaire pour retrouver la configuration du dessin. ... Et la fin des dessins. Et tout d'abord, ce chapelet qui tente de restituer l'instant, ces nuées d'altitude tant filamenteuses que pommelées et les couleurs du couchant à l'horizon. Il est remarquable de constater que l'ombre de l'éclipse a littéralement éteint la couche pommelée. Ce n’est qu'à moitié satisfaisant car je n'ai pas trouvé d'astuce pour rendre sur le dessin l'altitude du phénomène à environ 70° de l'horizon, ce qu'on ne ressent pas à la vue du dessin. Le chapelet est réalisé avec une cadence d'un dessin toutes les vingts minutes, puis à T-1mn où l'on distingue les premiers morcellements de la griffe solaire, les fameux grains de Bailly, puis cette formidable sortie en C3 où, émergeant entre de folles protubérances, deux diamants éclatants, un très grand souvenir. On remarque 2 groupes de tâches solaires mais aussi la rotation du champ tout au long du déroulement du phénomène, visible avec la position de la Lune sur le Soleil, caractéristique de toute visée altaz. Sur un précédent post, je vous avais évoqué cette vision stupéfiante du décollage d'une fusée Falcon 9. La voilà revisitée en mode dessin. La première observation le 2 avril fut à Loreto situé en Basse Californie du Sud sur la mer de Cortes, en périphérie de ville dans une zone pavillonnaire. On s'était installé à 100m de l'habitation un peu à l'écart des violents lampadaires pour observer la comète plein Ouest. Et là un peu plus au Nord, émerge cette lueur improbable, très forte, très marquée, quasi immobile si ce n'est la subtile sensation que ça s'élève quelque peu. Il s'agit du tir de la Flacon 9 depuis la base de Vandenberg à 1300km de nous, expédiant en orbite basse 22 de ces Starlink V2 qui nous désolent tant. La trajectoire est à 53° de l'équateur, au dessus du Pacifique longeant de près la cote Californienne. A cet instant, le premier étage a déjà fait sa besogne et l'on voit le second étage dans ses dernières minutes de fonctionnement. Allant en accélérant franchement par effet de perspective et devenant vraiment énorme, elle passera au plus près de nous à 170km de distance et un chouya moins d'altitude, d'où une visée à un peu moins de 45°. Ce qu'il y a de stupéfiant, c’est la persistance de ce large panache gazeux jusqu'à l'horizon tant qu'il est éclairé par le Soleil, et il se coupe instantanément lorsqu'il entre dans l'ombre de la Terre, laissant visible seulement les flammes orangées s’échappant de la tuyère. Peu de temps après, c’est l'extinction du moteur. Fort impressionnés de ce spectacle - ici une routine hebdomadaire - nous nous promettons de voir un second tir dès que possible. Celui-ci, prévu pour le 6 avril toujours pour des Starlinks, fut reporté le lendemain pour cause météo. Désormais, nous logeons à Mazatlan en plein centre ville. Par conséquent nous sommes à plus de 350km de la trajectoire et plus proche de la fin du lancement. Aussi, nous la verrons surgir bien plus basse sur l'horizon pour une courte durée, le panache s'occultant rapidement à son passage dans la nuit, puis l'extinction du moteur quelques secondes plus tard. Et voilà pour les comptes rendus astronomiques qui, comme on a pu le constater, furent particulièrement hétéroclites, passant d'un sujet à un autre. Varier les sujets, c'est ce que j'aime. Peut-être quelques témoignages de cet incroyable périple viendront par la suite, tant ils étaient riches, étonnants et tout autant variés. Et merci d'avoir tenu jusqu'au bout Tout cela, et tout le reste, est visible sur mon site : http://www.astrosurf.com/magnitude78/serge/index.html
  20. 1 point
    Hello, petite galaxie pas très originale, mais toujours intéressant de refaire les classiques. Je suis moyennement satisfait du résultat, j'ai refait mes couches couleurs suite à mes déboires de parasites sur les brutes mais je pense que je n'en fait pas assez. Je ne sais pas trop d'ailleurs si le LRGB est la meilleure approche pour les galaxies. Là il y a 87x2mn en L et 10x2mn par couche RGB. Il y a une règle de ratio entre L et RGB ? Les images date du 18 avril donc il y a déjà pas mal de lune. Je ne sais pas non plus si mon approche du traitement est la bonne, pour résumer (tout sur Pixinsight) : - prétraitement en auto avec WBPP - couche L : retrait de gradient, BXT, SXT, montée d'histogramme par GHS, NXT (en non linéaire donc) - couche RGB : création RGB, BXT en correct only, calibration des couleurs par SPCC, retrait de gradient, SXT, montée d'histogramme par GHS, augmentation de la saturation, NXT - création LRGB avec L et RGB en starless - couche étoiles RGB : montée d'histogramme par GHS, NXT - ajout des étoiles RGB sur LRGB starless Je ne suis pas fan du rendu des étoiles avec les halos violacés partout Bref, vivement le retour des grandes nébuleuses et de la poussière, c'est trop galère les galaxies avec un petit setup ! Altair 183M mono + Skywatcher 72ED sur HEQ5 L : 87x2mn soit 2h54mn RGB : 10x2mn soit 20mn par couche
  21. 1 point
    Mais pas son comptable ... Ce que Xavier te propose est ce qu'il y a de mieux. Et il a tout à fait raison de dire que tu vas avoir mal aux cervicales. J'ajoute : 1) Si tu regardes haut (du zénith jusqu'au 1/5 du ciel de chaque côté) 2) Si la hauteur de ton matos est trop basse Mais si tu ne regardes pas au zénith (perso, qu'importe le matos, c'est très rare que je regarde très haut dans le ciel) et si le trépied est haut, tu n'auras pas de problème aux cervicales. Donc mon conseil (qui est très bon mais moins bon que celui de Xavier quoi que bien plus économique) est de t'acheter la Vixen Porta 2 et d'y installer une barre en T. Cette monture supporte beaucoup de poids et elle peut monter en hauteur. Avec la barre en T, t'es encore un peu plus haut. Si tu trouves que tu n'es pas assez haut, tu peux modifier ton trépied. Là c'est sûr et certain que, même si tu es très grand, la monture va être assez haute. La barre en T Mon trépied modifié par moi-même Modifier le trépied de la Vixen Porta 2 est facile à faire. Dépendamment de ta grandeur, il est tout à fait possible que tu n'aies même pas besoin de modifier le trépied. Avec la Vixen Porta 2 et la barre en T, tes jumelles 25X100 sont montées sur une monture et un trépied excellent !!! Mais tu n'auras pas accès au zénith et à ce qui est autour sans trop te pencher la tête vers l'arrière. Tu peux regarder le zénith mais vraiment pas longtemps sans avoir mal au cou. Ma solution est très bonne. Celle de Xavier est meilleure. Le prix n'est pas le même.
  22. 1 point
  23. 1 point
    On en sait plus sur : https://smarteyepiece.com/pages/smarteye-frequently-asked-questions Prix annoncé autour de 1500 USD, monture motorisée indispensable sauf sur la lune, oculaire 2'' et meilleur résultat sur F7, équivalent 20mm 90° avec 12 mm de relief d’œil (merci pour les porteurs de lunettes :-(, l'écran est de technologie OLED silicone, 2560 x 2560 résolution 3500 ppi, mémoire interne 16 GB, caméra à refroidissement passif IMX533, Pegasus étudie un refroidissement pour plus tard, possibilité de s'en servir comme d'une caméra traditionnelle, possibilité de mettre des filtres OIII, UHC etc possibilité de zoomer sur les objets Pégasus étudie la possibilité de guider la monture à partir du smart eye Images visibles sur tablette, smartphone Aligne et rotate l'image automatiquement avant l'empilage d'images possibilité d'alimenter le smart eye sur un powertank par USB-C bientôt disponible sur terre mais on sait pas quand... Sur le papier ça apparait comme un super produit et même s'il n'est pas complètement aboutit c'est bien pensé. Étonnant qu'il ait fallu attendre 2024 pour voir sortir un tel accessoire ! ça roupille ferme dans le petit monde de l'astronomie commerciale...
  24. 1 point
    Bonjour à tous, Traitement d'une vidéo ce matin entre les passages nuageux.
  25. 1 point
    Bonjour à toutes et tous Tres heureux de rejoindre la grande famille d' astrosurf ,je suis un fidele lecteur et surtout un fervent admirateur de vos superbes photos planetaires et du CP . Je voulais juste partager avec vous le 10 eme anniversaire c 'etait le 1 er avril 2014 ça ne s'invente pas de la decouverte d' une minuscule nouvelle NP Ra 5 Celle-ci a ete confirmee par la tres geniale equipe des spectros un grand merci à eux Pascal Thierry Olivier Lionel et les autres ! Quand je parle de poisson je n' y croyais pas moi meme j' ai mis quelques heures avant d' envoyer les images à Pascal et Mme Agnes Acker . Je vous communique ses coordonnees 21H 02' 38",00 + 44° 46' 42",00 vous aurez compris qu' elle se situe "sur" un des objets les plus photographies au monde NGC 7000 . Elle fut pour ma part une de mes premieres cibles il y a 50 ans avec un OM1 et du TRI X celà ne nous rajeunit pas ! Je ne pensais pas que 40 ans plus tard il y aurait encore des objets à decouvrir dans ce magnifique coin du ciel Je laisse les futurs astrophotographes lui tirer le portrait quand elle reviendra . Je vous laisse quelques images (j' espere que ça va marcher ) du DSS 2 SDSS9 et de PanSTARRS Bon ciel à vous tous Thierry
  26. 1 point
    Une lunette de moins de 200 mm, ce n'est pas pour le planétaire
  27. 1 point
    Je l'ai déjà écrit précédemment, à ce ratio f/D c'est chaud. Les verres, sur leurs propriétés chez CGDM, ont des dispersions de fabrication ... larges. Recalcul nécessaire sur chaque lot de de stripglass. De plus, le réglage de l'aberration sphérique nécessite du soin, c'est la raison pour laquelle il faut choisir une raie fine disponible, sinon ça se cale sur la dispersion couleur. Et dans ce cas c'est juste un astrographe et certainement pas un instrument qui donnera à coup sûr du piqué. Ce serai dommage pour la classe 200-250 mm qui permet de taquiner les plus forts grossissements à travers l'atmosphère.
  28. 1 point
    Je suis tout à fait d'accord, les photos sont toutes plus belles les unes que les autres, mais celle de luc c'est quand même d'une autre dimension. Je ne post pas ma version au C8 sinon Luc risque de vendre son gros troblon GreG.
  29. 1 point
    Bonjour, sérieusement? Ce genre de remarque n'apporte que des mal-entendus. Bien que le nom "Dragonfly" n'est pas très beau comparé au nom Français: "libellule" impossible pour un Anglophone de prononcer. Le nom libellule me parait très pétique comme d'ailleurs la langue Française!
  30. 1 point
  31. 1 point
    Weeeeeeeee ! Je me disais bien ... Je sais pas pourquoi mais je l'ai ressenti ... SEESTAR MAFIA !
  32. 1 point
    salut Claude très belle images jean marc
  33. 1 point
  34. 1 point
    Simon Très Belle série d'images de la Lune, tu as bien fait d'y regarder Bon Ciel marc
  35. 1 point
    bonjour , une comparaison du continuum et du OIII sur ma lunette. Paul 2024-04-20-09h06mn-TU-OIII.tif
  36. 1 point
  37. 1 point
  38. 1 point
    C'est intéressant toutes ses images prises avec des diamètres différents. Cela permet de voir le gain en résolution en passant à un diamètre supérieur. Mais plus le diamètre est grand, plus les contraintes sont importantes et demande donc une plus grande maîtrise !
  39. 1 point
    j'en ai pas a mettre sur le banc mais si un proprio ou un magasin veut couper court a des pages de discussions sans fondement réel ca serait top !
  40. 1 point
    C'était le 10.04.2024 vers 21h15 locale, alors qu'il faisait encore trop jour pour poser suffisamment et juste avant que la discrète comète 12P/Pons-Brooks ne parte derrière un arbre du verger ... Canon 600d à 1600iso, vieux téléobjectif argentique Tokina fermé à 5.6, pose unique de 2 secondes avec soustraction d'un dark ...
  41. 1 point
    Très belles images; j'adore cette région lunaire. Le gros plan sur Mons Mouton est super! et c'est vrai que je ne pense jamais à l'imager: je shoote le sud plutôt lorsque Moretus et le Mont Malapert sont visibles...c'est un tord, ton image prise 1 journée de lunaison plus tôt est très intéressante. Tiens, si tu le permets, voici la "suite", justement, avec le Mont Malapert dont le sommet émerge tout juste sur ton image, complètement à droite...On pourrait presque faire un montage avec les 2 images
  42. 1 point
    Le remède c'est de faire la calibration de la boussole avant , et alors il trouve le Soleil à coup sûr. Il faut quand même remarquer que cette petite lunette de 50mm de diamètre (41mm avec le filtre solaire livré) donne une qualité d'image remarquable. Certains doutaient de la qualité du filtre solaire livré, alors j'ai réalisé un nouveau filtre avec de l'Astrosolar Baader (grade 5)... pas de différence en piqué d'image ! Voici un crop agrandi 2x de l'image prise hier avec le filtre orange: Nota: ce n'est pas la granulation qu'on voit sur les images du Seestar, l'objectif n'ayant pas assez de diamètre pour la résoudre. Luc
  43. 1 point
    ALERTE GENERALE !! Les grandes heures de 2017 sont-elles revenues ? Souvenez-vous, à l'époque, pour la 1ère fois une contre partie électromagnétique était observée pour une OG produite par la fusion de deux étoiles à neutron : GW170817 Que s'est-il passé ? il y a deux jours LIGO et VIRGO ont détecté un évènement interprété comme la fusion d'un TN et d'une étoile à neutron... Et la localisation est "relativement précise". En conséquence de nombreux observatoires se sont mis à observer la zone pour tenter de repérer le phénomène , pour l'instant dénommé S240422ed Et un télescope a peut-être (peut-être) réussi. Espérons, car les retombées scientifiques pourraient être considérables ! Affaire à suivre...
  44. 1 point
    Dans la région dont je parlais, on peu actuellement encore voyager, si on ne craint pas d'être pris en otage ou de simplement être occis. A l'époque de mes tribulations africaines (1985 -1986), le pays était assez paisible, avec pour seul gros inconvénient les barrages de "police", toutes les cinquante bornes, qui rackettaient les voyageurs en taxi-brousse. Mais mon passeport et ma couleur de peau me préservaient en général de ces taxes exaspérantes. Pardon pour cette digression, mais quand on parle voyage je deviens trop bavard. PS : J' m'en va dans Bric à brac pour ouvrir une causerie " Voyages voyage "
  45. 1 point
    De son nom officiel 12P/Pons-Brooks, cette comète est la 12ème à avoir été classée comme comète périodique, du fait de son voyage dans le système solaire qui la ramène à proximité du Soleil tous les 71 ans environ. On l’observe depuis au moins 1385 mais ce n’est que très récemment qu’on a découvert ses différents passages. Il est possible que la comète ait été enregistrée dans des sources chinoises en septembre 245. C’est une comète cryovolcanique de type Halley. Ce sont Jean-Louis Pons (astronome français) qui la découvre en 1812, et William Robert Brooks (astronomie américain) qui la redécouvre en 1883, qui auront la paternité de sa découverte. Son périhélie (approche au plus près du Soleil) se fera le 21 avril prochain. Plus elle se rapproche, plus le rayonnement solaire fissure son noyau d'environ 30 km de diamètre. Ce dernier est entouré d'une coma constituée de glace et de gaz qui s’échappe du noyau. Suite à un sursaut en octobre 2023, cette coma a formé deux « cornes » la qualifiant de "comète du diable". Les éruptions (sursauts) qu’elle subit au fur et à mesure de son approche, la rendent de plus en plus visible dans le ciel nocturne. 12P/Pons-Brooks est probablement la comète responsable de la pluie d’étoiles filante des kappa-Draconides, active du 29 novembre au 13 décembre, ce qui lui a valu l’autre surnom de la « Mère des Dragons ». Enfin les bonnes conditions météo de cette mi-avril m’ont permis d’aller sur notre site d’observation à Saucats pour l’imager. Il était grand temps car avec la Lune croissante et le passage de la comète dans l’hémisphère sud, nous n’aurons plus l’occasion de la revoir avant son prochain périhélie en 2094 ; Poses uniques de 2 s prisent le 11 avril 2024 à Saucats (33). Canon 40D défiltré avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW (cliquez sur l’image pour voir la full) (cliquez sur l’image pour voir la full) Avec les satellites de passages… (cliquez sur l’image pour voir la full) (cliquez sur l’image pour voir la full) Version annotée (cliquez sur l’image pour voir la full) Poses uniques de 2 s prisent le 12 avril 2024 à Saucats (33). Canon 400D avec objectif Samyang 85 mm, ouvert à f/1.4, ISO 1600 – Camera RAW (cliquez sur l’image pour voir la full) Avec le public venu en profiter (cliquez sur l’image pour voir la full) Avec le public venu en profiter (annotée) (cliquez sur l’image pour voir la full)
  46. 1 point
    Bonsoir Un des miens : Bonne nuit. Luc avec un Mistral de fou.
  47. 1 point
    Moi je fais coup double, Schiller ET Clavius !
  48. 1 point
  49. 1 point
    Merci à tous ! Ha que oui qu’elle était belle celle-là. Outre une chromosphère très active dont il était assez aisé de placer chaque protubérance, il était plus délicat de dessiner les panaches de la couronne. Tout d’abord la principale à 10h, formée de deux plumets superposés chacun avec une forme particulière, puis celle presqu’en vis-à-vis dont le bord vers 6h est particulièrement marqué, formant comme une échancrure, une démarcation sombre avec les panaches en partie basse. De ces panaches se détache un jet particulièrement puissant, visible à l’œil nu et s’étendant au loin. Les panaches de la partie haute se montrent assez filandreux et je note vers 2h le départ d’un discret plumet. Pour te répondre mon cher Simon, le disque solaire occulté – qui est la face non éclairée de la Lune - n’est jamais plus noir que le noir du fond de ciel !!!! C‘est une erreur que je faisais jadis, corrigée depuis. Me reste à finaliser un chapelet qui me donne bien des difficultés. Ca va venir… Alors pour la suite, ce sera un plat de comète Pons-Brooks, astre brillant particulièrement bien visible dès le début du crépuscule et une vision allant en s’améliorant au fil de l’avancée de la nuit, jusqu’à un optimum à l’approche de l’horizon. C’est qu’ici, on a le ravissement d’un écliptique quasi vertical et quand le ciel est bon, c'est-à-dire les rares fois où l’on a eu le courage de quitter nos hébergements urbains pour aller dans la nature préservée. On observe alors avec ravissement une large lumière zodiacale qui monte sur Jupiter, passe le Taureau et se perd dans les Génaux quelque par vers le zénith. Nous sommes en début de séjour et, après une expédition plongée extraordinaire dans l’archipel de Revillagigedo, je retrouve Elyane et les copains, Pierre, jean-Françoué, Jean-Paul et Nicolas. Installés dans la baie de Magdalena, endroit paumé à l’écart d’un village de pécheurs, nous irons à la rencontre étonnante de la baleine grise, d’une colonie d’otarie et d’une multitude d’oiseaux. Il me faudra 3 nuits d’observation avant d’entreprendre un premier dessin, peut-être une flemme bien affirmée, attisée par la quiétude des lieux. Comme à l’accoutumé, c’est Nicolas –ce coquinou – qui lance les hostilités, ne perdant pas une seconde d’observation avec son T200 alors que seul Jupiter est visible dans le couchant. On repère vite cet astre cotonneux et au fil du temps, on note un noyau marqué évoquant une pette planète floue dans une petite bulle, ou plutôt une méduse, un parapluie, avec un bord avant marqué et un arrière évanescent, le tout baigné dans une large coma verdâtre. Expert en la matière, Nicolas nous explique que cette couleur est due au gaz éjectés et la présence de méthane d’acétylène (correctif du Nicolas, ce coquinou) qui rapidement va être dissocié par les UV du Soleil ; la recombinaison des atomes de carbone en C2 produit une raie d’émission principale verte, et deux autres dans le bleu puis le jaune. De ce noyau part une longue queue sur plus d’un degré. Elle forme un angle fermé présente des irrégularités. Elle est accompagnée de jets plus ou moins marqués. Au fil des jours au second dessin, un sursaut d’activité est noté, la partie centrale grossissant et évoquant une petite nébuleuse planétaire avec son étoile centrale. Le troisième dessin souffre d’un environnement urbain bien lumineux au pied de notre hébergement à a Paz. Sur le dernier dessin, on note le résultat de cette activité par une queue plus complexe. la suite à venir....
  50. 1 point
    Titan bien sûr, on est bien d'accord.. Mais bon, en étant très optimiste ça nous fait du 2032 / 2033... ça fait un peu loin pour ma génération.. Le soucis, c'est que ce qu'on appelait autrefois "l'âge mûr" a disparu. Aujourd'hui, aucune transition, on reste "jeune" très longtemps... puis on devient gâteux . Déjà, perso, je ne sais pas trop où j'en suis exactement PS > Pour d'autres j'ai ma petite idée ...