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Affichage du contenu le plus aimé le 23/04/2024 dans toutes les zones

  1. 4 points
    Salut, Je poursuis mon suivi solaire entre les nuages ! Toujours la même configuration, qui fonctionne bien : Skywatcher 80ED + Astrosolar 3.8 + Réducteur x0.87 + ZWO 178 mm + Baader K Line Et une animation de notre étoile sur 3 jours : Daniel
  2. 4 points
    Pôle Sud et Mons Mouton Pas souvent imagé, le Pole Sud lunaire présente quelques belles cibles, notamment les cratères Moretus (avec son éjectat remarquable), Démonax et Schomberger mais on trouve aussi une petite chaine montagneuse très intéressante mais assez difficile à imager, formée par la réunion des remparts des cratères météoritiques environnants (Malapert, Nobile et Scott). Cette formation se situe à une latitude d'environ 5° Sud et a été baptisée récemment, en mai 2022 : Mons Mouton Cette chaine a été nommée en l'honneur de Melba Roy Mouton ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Melba_Roy_Mouton ), mathématicienne afro-américaine (1929 - 1990). Elle a été programmeuse en chef au Goddard Space Flight Center et s'est occupé des calculs de trajectoire des premiers satellites US. Pour en savoir plus: https://planetarynames.wr.usgs.gov/Feature/16070 Vue globale du Sud lunaire (bon l'image est à l'envers, mais c'est moi qui décide de ce qui rend le mieux ) Recadrage sur la région du Pole Sud Zoom sur Mons Mouton qui laisse apparaitre un petit impact sur la crête Nord Melba Roy Mouton (1929-1990) Captures réalisées le 17 avril 2024, setup : C11 XLT + ASI178MM + filtre rouge + AstroSurface V2 bon ciel a toutes et a tous Lionel
  3. 3 points
    bonsoir , cette image a été prise la même nuit que le triplet du Lion , en suivant, mais ce coup ci sans la lune , toujours avec la FS60 et son correcteur et le Sigma FP refiltré. 147 poses de 60 s à 1250iso 112 poses retenues Prétraitement et traitement sur PI images présentées : full à 1850 px ; crop à 50%; crop à 100% bonne soirée Olivier
  4. 3 points
    Salut, il ne faut pas être bien sain d'esprit pour imager de minuscules galaxies de magnitude 14 sous la Lune à 98%, à 20km de Paris Après les résultats satisfaisants obtenus la nuit dernière, j'ai adopté la même stratégie, en m'éloignant encore plus de la clarté lunaire vers le nord. J'arrive à une magnitude limite de 20,8, soit un dixième de perdu par rapport à la nuit dernière. Arp 104, appelé aussi Système de Keenan, est un couple de galaxies (NGC 5216 et NGC 5218) en interaction dans le nord de la Grande Ourse, à environ 17 millions d'a.l., et reliés par un pont de matière galactique de 22000 a.l. de long. Le champ contient aussi la galaxie spirale à faible brillance de surface NGC 5205 située à environ 89 millions d'a.l. ainsi que de nombreuses autres plus petites. Le champ complet : Un recadrage : Et enfin la luminance annotée : Bonne journée, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm (0,66"/pix) Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 250*60sec à gain 110, -10 °C Chrominance 22*60sec à gain 110, -10 °C par couche Turbulence passable (FWHM médiane 2,2" après empilement), lune presque pleine (98%), pollution lumineuse de l'IdF
  5. 2 points
    Bonjour à tous suite à mon image réussie de Théophile, Cyrille et Catherine du 14 février, j'ai consulté mes archives (pas très anciennes !) et trouvé une image quasiment identique point de vue résolution et éclairage mais...prise en phase descendante puisque réalisée en septembre 2023 au matin. Bon, celle du 14 févreier est quand même un cran au dessus... J'ai fait un petit montage pour les mettre côte à côte. C'est amusant et intéressant de les comparer ainsi sur des phases lunaires opposées Et j'en ai profité pour peaufiner le traitement de mon image du 14 février... Celle de septembre faite avec une caméra ZWO 178mm et la plus récente avec une QHY 678 Toutes les deux au filtre rouge; focale identique Traitement AS3, astrosurface, Gimp pour les 2
  6. 2 points
    Entre deux averses et les nuages, une petite photo du soleil au seestar sans traitement
  7. 2 points
    Bonsoir, Ayant beaucoup de difficultés à sortir mon matériel habituel à cause de problèmes de santé j'ai décidé d'acquérir un Seestar. Eh bien lui au moins il sort souvent, dès qu'il fait beau, et les premiers essais ont été concluants, sans vouloir rivaliser bien sûr avec du matériel plus gros. Pour mes premiers clichés solaires je me suis satisfait des "one shot" sans traitements supplémentaires. Mais la possibilité de sauvegarder les films en RAW et de les traiter permet quand même de sortir quelque chose d'assez correct. Il est vrai que le diamètre de l'objectif fait 50mm, mais en solaire avec le filtre d'origine le diamètre n'est plus que de 41mm ! Voici donc l'image de ce jour, 102 images retenues sur 300 avec le prétraitement sous AS3 (un peu meilleur qu'avec Siril où j'ai quelques problèmes d'alignement), très légères ondelettes (uniquement niveau 25 sur la deuxième ligne) sous Registax6 et cosmétique sous Gimp. L'image est en pleine résolution: Le résultat est assez remarquable pour une focale de 250mm, mais bien en-dessous de mon matériel habituel pour l'imagerie solaire (lunette 80ED SW + Astrosolar + Asi178mc), dont voici un "crop" en pleine résolution sur une tache solaire: Luc
  8. 2 points
    Bonjour à tous, Une très jolie galaxie qu'on aime refaire, surtout avec une nova. Bon ciel, Jérôme
  9. 2 points
    un cratère rarement imagé pour ma part ma dernière image remonte à 2019 avec le CFF 350 Double clic
  10. 2 points
    Les écrits d'A.B. sont très souvent agaçants, exaspérants même parfois car empreints de formules empesées, d'expressions tarabiscotés, voire carrément absconses, tout ceci rendant sa prose extrêmement peu accessible voire surtout.. incompréhensible. Ce qui est forcément rédhibitoire.. J'ai longtemps fait abstraction de la forme car ce monsieur peut être passionnant à lire ou écouter sur le fond, mais voilà, aujourd'hui j'arrive plus à "digérer", c'est difficile à expliquer. Concernant le critère poppérien, un tabou qu'il s'amuse à remettre en question, j'imagine qu'il y a une bonne part de posture là dedans (genre "retenez moi ou je fais un malheur"), car en fait il faut surtout noter qu'il se garde bien de transgresser, au contraire.. Mais c'est sans doute un faux problème, car comme le souligne @George Black, force est de constater que la science, pour avancer, prend souvent quelques distances avec ce critère. Perso j'apprécie davantage A.B. dans ses conférences, même s’il y est parfois volontiers théâtral, surtout lorsque qu’il y instille des intermèdes poétiques… un peu "lourdingues" (en tout cas à mon goût, et j'adore la poésie). Dans ses écrits on retrouve cette théâtralisation.. en exacerbée, mais il lui arrive aussi de savoir mettre en perspective. Oui, il y a du bon et du "moins bon" en chacun d'entre nous ..Par exemple quand on parle du "Système solaire" on traduit généralement ces termes en pensant d'abord à la gravitation qui organise le bal des planètes autour du soleil. Or voici ce qu'en dit A.B. : "Bergson voyait notre corps se prolonger jusqu’aux étoiles ; l’astrophysique étend le Soleil jusqu’à la Terre. Son bord est arbitraire, rien n’impose de le limiter au mince disque lumineux perçu aux longueurs d’ondes visibles. Du point de vue du bain de particules énergétiques qu’il émet ou des lignes de champ magnétiques qui se déploient depuis ses pôles, notre planète est, strictement parlant, à l’intérieur de son étoile." En effet, en toute rigueur, nous sommes à bien "à l’intérieur de notre étoile". C'est sans doute que je suis complètement con (ou à moitié intelligent, c'est pareil), mais pour moi cette approche est bien plus parlante, plus évocatrice, plus puissante pour décrire le "réel".. Je n'y avais jamais vraiment réfléchi ainsi auparavant. Dans l'absolu l'esprit scientifique nous apprend à nous défaire de la représentation subjective au sens le plus ordinaire : celle des partis pris, des prises de position idéologiques, des vues partiales, fantaisistes, des spéculations, des préjugés divers et variés. Il obéit à des méthodes d’élaboration, des procédures de vérification, des tests de falsifications. Avec un langage le plus souvent mathématique, l'expérimentation et l'observation ont été érigées en ligne de démarcation entre le juste et le faux. Ainsi "un mode du réel" s’impose effectivement et avec efficacité. Mais malheureusement la nature n'offre pas vraiment à l'observateur des faits bien propres, rangés, étiquetés, absolus. Dans ce cadre, bien des théories scientifiques sont des "constructions" provisoires, classées en termes de probabilités plus ou moins hautes. Et l'histoire des sciences révèle aussi une nécropole d'idées défuntes. Néanmoins les théories dominantes installent un paradigme, c'est à dire un modèle explicatif qui s’installe dans la conscience collective des scientifiques d’une époque et devient une référence commune, à consolider si possible ou à remettre en question partiellement ou totalement (mais avec des "billes", comme on dit communément). Sachant que plus on avance dans le domaine et plus il semble que la physique "mécaniste" et la représentation "atomiste" laissent place au "murmure quantique" et aux fluctuations du vide comme probable fondement de notre Univers matériel.. et donc de NOUS même.. L'image que nous pouvons avoir de "l'essence" de la matière en est radicalement changée, et même si elle est particulièrement complexe à appréhender, c'est un nouveau paradigme.. Capra écrit : "La théorie quantique nous oblige à considérer l'Univers, non comme une collection d'objets physiques, mais comme un réseau complexe de relations entre les diverses parties d'un tout. Le monde dit "matériel" n'est rien d'autre en définitive qu'un tissu complexe d'évènements dans lesquels les relations se forment, se combinent, se superposent, déterminant par là la trame de l'ensemble". Dans "La connaissance objective" Popper écrit : "Ce que nous sommes capables de déterminer, c’est, au mieux, la fausseté de nos théories". Il qualifie sa méthode de "méthode critique" car il s’agit d’une "méthode d’essai et d’élimination des erreurs qui consiste à proposer des théories et à les soumettre aux tests les plus rigoureux que nous puissions concevoir". Tout peut trouver un sens et une place chez Popper car une assertion qui ne peut être soumise à des tests en raison de sa forme logique peut, dans les meilleurs cas "jouer dans la science le rôle d’un stimulus : elle peut suggérer un problème". Ainsi, pour Popper, n’y a-t-il rien d’absolu dans la base empirique de la science objective. "Toutes nos théories restent des suppositions, des conjectures, des hypothèses". Ce qui est au centre, pour Popper, c’est le progrès de la science et non son fondement, il écrit d’ailleurs dans "La logique de la découverte scientifique" : "Ce qui fait l’homme de science, ce n’est pas la possession de connaissances, d’irréfutables vérités, mais la quête obstinée et audacieusement critique de la vérité. La vérité joue le rôle d’une idée régulatrice . Nous testons pour la vérité, en éliminant la fausseté". Il écrit plus loin : "L’idée de vérité est donc absolutiste mais il est impossible de prétendre à une certitude absolue : nous sommes des chercheurs de vérité mais nous n’en sommes pas les détenteurs". Le fait que la science soit un édifice inachevé et inachevable rend l’être humain plus humble et donc plus lucide quant à ses théories. Ce qu’il y a de rationnel dans la connaissance réside uniquement dans son caractère dynamique, c’est-à-dire dans sa possibilité de croître. La science ne conduit pas à la Vérité absolue, mais elle a le grand mérite de permettre de lever le voile sur des parts de réel. Car la science, contrairement à la pensée mythique, est avant tout partielle et ne vise donc pas à tout expliquer à la fois. Dans tous les cas, Popper a apporté à la philosophie des sciences une originalité dans laquelle l’erreur a sa légitimité et son rôle à jouer. Le scientifique a le droit de se tromper car en se trompant, il s’intègre encore dans le processus de la découverte scientifique. Il y a toujours une perfectibilité possible de nos théories, il y a donc toujours une perfectibilité possible de l’être humain. Plus l’humanité avance dans les siècles et plus nos connaissances se perfectionnent et se rapprochent de la vérité. Et l’épistémologie poppérienne dépasse la science proprement dite puisqu’elle nous invite à une réflexion sur l’être humain.
  11. 2 points
    Bonjour Alain, Autant il s'initialise bien la nuit en prenant des clichés (plate solving), autant la journée il est un peu perdu... Il faut bien faire la calibration de la boussole et la mise en niveau (le tout contrôlé par logiciel), et comme il connaît la position géographique et l'heure exacte il se dirige automatiquement vers le Soleil et balaie autour de la position jusqu'à le centrer. Pour ma part j'ai aussi bricolé un petit viseur solaire qui me permet de le diriger directement vers le Soleil. Bonne soirée, Luc
  12. 1 point
    M53 sous une lune gibbeuse ; le 19/04 , 153 image de 2 secondes , au c11 , camera 224mc ,traitement as3 , siril , gimp et astrosurface .
  13. 1 point
    voici apres 61 brutes de 3mn avec telescope 200mm,asiair plus,traitement siril,sous un ciel pas terrible ,et la lune tres presente
  14. 1 point
    bravo olivier !! superbes images ! polo
  15. 1 point
    Pour rebondir sur les derniers commentaires, on peut néanmoins s'interroger sur comment les physicien(e)s construisent leurs hypothèses et comment ils construisent des modèles de cela. On a montré que finalement, la science construisait des cartes, et que la validation de ces cartes se faisait par leur confrontation au réel. J'entends par là, confrontation en tant que méthode que l'on peut éprouver face à d'autres, ou confrontation à des mesures physiques. De la multiplicité des confrontations s'opérera une sélection. Il y a vraiment quelque chose de darwinien dans la science, dans le sens où ce qui marche le mieux sera sélectionné (ou non) de par son adaptation (ou non) à la pratique, au réel. Mais au-delà de ça, y a-t-il une méthode pour construire une carte ? En fait, cela dépend ! Mais si je m'appuie sur mon domaine, celui de la physique au-delà du modèle standard (de la physique des particules) et d'une manière générale celui de la physique théorique, le point de départ d'une idée a souvent une base philosophique, ou ludique, voir une croyance (plus ou moins convaincue) de ce que pourrait être le monde. Ce qui nourrit ces réflexions, c'est une certaine culture générale, qui dépasse celle de la physique ou des mathématiques seules. Tout ceci contribue à se forger une certaine représentation intuitive du monde. Ainsi, pour reprendre plus ou moins les propos de Henri Poincaré : c'est par l'intuition que nous découvrons, c'est par la logique que nous prouvons. A ce stade, la science devient un art créatif avec une part de subjectivité. Mais cette créativité n'est rien sans maîtrise technique (par exemple, des mathématiques). De mon point de vue, il ne peut y avoir de physique théorique sans philosophie. On ne peut pas avancer sans avoir une certaine vision de ce que pourrait être le monde. Et cette représentation passe par la maîtrise du langage. J'aime à dire que contrairement à l'idée reçue, la physique n'est pas qu'un truc de forts en maths ! Pour faire de la physique, il faut être bon en math et bon dans les matières littéraires. Le langage permet de s'approprier le monde, de l'intuiter, les mathématiques permettent de donner un squelette logique à l'ensemble.
  16. 1 point
    Superbe j'adore cette version grand champ de M13
  17. 1 point
    Bonjour et bravo Robin
  18. 1 point
    bravo Luc @ALAING moi il m'a épaté tournicoti pour la boussole le niveau vas sur le soleil puis bng c'est dessus
  19. 1 point
    hello, une seule petite trouée aujourd'hui qui s'est faite attendre jusqu'à 17h45 locales, il était temps. Grosse turbu par vent de Nord-Est, normal. C'est juste pour garder la forme.
  20. 1 point
    Ce n'est pas ma cible préférée, mais j'ai retrouvé celui ci fait un peu a la va vite le soir du réveillon de Noel
  21. 1 point
    C'est ce que pensait bien avant lui un scientifique et philosophe comme Alfred North Whitehead, contemporain d'A. Einstein, qui avait également établi parallèlement sa propre théorie de la relativité. Cette révolution de la pensée scientifique l'a conduit sur des nouvelles théories de l'organisation de la nature et du cosmos qui renversent la condition de la connaissance telle que Kant pouvait la concevoir à partir d'objets inertes et d'un sujet pensant capable de concevoir des vérités à partir de l'expérience. Pour Whitehead, l’homme de science ne se contente jamais de décrire ce qui est observé, pas plus qu’il n’a la capacité de connaître a priori ce qu’il met lui-même dans les choses. Pour lui, les processus sont affaires de "vibrations et de potentialités". Ils ont un caractère événementiel qui excède toute forme d’objectivité préexistante ou construite, chaque processus possédant une rationalité propre et déterminable qui advient dans un "présent local". Il n'y a plus d'objet, il n'y a que des évènements qui se déroulent dans un temps et un espace non plus figés et déterminés comme à l'époque de Kant mais dans un espace temps relatif dans lequel la matière est une énergie. Pour Whitehead, le caractère imprévisible ou instable des processus témoigne de l’omniprésence de la possibilité du chaos dans le monde. "Il n’y a pas de raison de concevoir le monde réel, dit il, comme purement ordonné, ou purement chaotique. La confusion ou le désordre est un élément possible aussi déterminant pour l’univers que la possibilité qu’ont les choses de s’harmoniser ou de s’ordonner entre elles". En cela, et à la différence de Popper qui pourrait être taxé ici de "positiviste" quand il témoigne de foi dans le progrès des sciences, Whitehead ne croit pas à la possibilité que des théories scientifiques successives puissent progresser vers une approximation de plus en plus fine du réel. Il n'est pas non plus "évolutionniste", en cela qu'il ne pense pas le chaos dans sa disparition progressive au profit de la formation du monde, il a un autre point de départ : "le cosmos ne se détache pas graduellement du chaos car il coexiste à la possibilité du désordre".
  22. 1 point
    Ben voilà... M13 jolie. JF
  23. 1 point
    Cette M101 est chouette. Bon un poil de logiciels IA visible, mais c'est à la limite 🙂 JF
  24. 1 point
  25. 1 point
    Moi je fais coup double, Schiller ET Clavius !
  26. 1 point
    Les photos sont sympas... Quant à la dénomination cryocomètedudiablekappadraconid j'aime pas! (1) comète cryovolcanique ça veut rien dire ou n'a pas de sens, je ne parle pas de cryovolcan quand je sors un plat surgelé du congel... (2) comète du "diable" c'est un peu de la com de NASE... (..A ?) j'aime pas et les amateurs ont plutôt comparé son aspect lors des premiers sursauts au faucon millenium de starwars ou à un fer-à-cheval, mais sans la rebaptiser... (Si on me parle de "comète du diable" je ne suis pas pressé de répondre....!)... C'est la manie actuelle de tout renommer?... super-lune-bleu-du-machintrucchouette - comète-du-saucisson-qui-part-en-vrille... (3) Quand à l'association avec les K-draconides... j'ai survolé l'article: c'est chercher loin, quand le calcul de l'orbite de la comète dans le passé devient suffisamment chaotique pour qu'il croise l'orbite de la terre il y a 25 mille ans... et qui connait les K-draconides? On est loin des perséides et 109P/Swift-tuttle - qui aurait une taille et activité comparable à 12P/Pons-Brooks. Actuellement il y a 0.18 au de distance entre l'orbite de 12P et la Terre, ce qui ne créé aucune averse d'étoile filante notoire. Nicolas
  27. 1 point
    Je savais bien que cela me disait quelque chose, mais il a fallu remonter loin pour le retrouver et si ce n'est pas le plus beau, c'est au moins le plus ancien de ce topic pour l'instant, et quelle magnifique mosaïque : Allez qui dit plus vieux ?
  28. 1 point
    J'en ai commandé un aussi Le résultat est remarquable je trouve aussi Tu peux me dire comment il s'initialise en plein jour pour viser le soleil ? Bonne soirée, AG
  29. 1 point
    Joli Daniel et bien l'animation sur 3 jours Bonne soirée, AG
  30. 1 point
    Je n'étais pas présent (snif), mais les amis du GAPRA ont eu le courage de me prendre une petite manip pour faire le spectre du soleil éclipsé le 8 avril aux USA, en particulier Denis Huber qui a bien pris sur lui en observant spectro pour la première fois. C'est un champion ! Un simple boitier Lumix GM1 + un réseau 300 traits/mm en mode grism de 25 mm à l'avant d'un petit téléobjectif de 100 mm. Une seule pose de 1/5 de seconde... et après on s'amuse bien ! C'est tout frais, avec notemment une observaion de la raie verte et rouge coronale, et à ma grande surprise, des images correspondantes d'aspects bien différent. Voir aussi ce topic où je décris plus en détail la manip : Christian B
  31. 1 point
    Oui la monture et le trépied, avec des axes beaucoup trop petits. Et le tube optique qui fait pas loin de 1 m de long amplifie encore le problème.
  32. 1 point
    Pas facile a retrouver dans les fichiers. Trop dans l'ombre mais il est la pour le partage.
  33. 1 point
    Merci beaucoup @COM423, @ALAING, @Sauveur, @jeffbax, @wilexpel et @Bigcrunch pour vos sympathiques messages. Finalement l'effet de la Lune n'est pas si catastrophique, je suis à une mag. limite de 20,8 alors que d'habitude c'est vers 21,1 ou 21,2. Je m'attendais à bien pire C'etait le suspense jusqu'à la fin de l'empilement parce que sur les brutes... comment dire
  34. 1 point
  35. 1 point
    Voici la procédure écrite à partir de leur video Centrer le 1er cercle sur le tube du PO (réglage de l’offset) Mettre une feuille blanche dans le tube en vis-à-vis du PO Faire tourner le secondaire pour mettre le primaire au centre du 1er cercle Faire la MaP sur le secondaire Définir les directions H->Secondary holder, B->opposé au secondary holder, D et G Collimation du secondaire o Changer la taille du 1er cercle à la taille du secondaire o Mettre le 2ème cercle à la taille du primaire o Faire coincider le 2ème cercle avec le primaire (réglage dans la direction H/B=vis du secondaire en face du PO (A), dans la direction G/D=les 2 autres vis du secondaire ou rotation du secondaire(B et C)) o Step 1 - faire coincider le secondaire et le 1er cercle avec les vis B/C l’une après l’autre (en G/D à minima). Le primaire bien sûr n’est plus centré sur le 2ème cercle o Step 2 - Faire tourner le secondaire pour faire coincider le primaire avec le 2ème cercle Si alors le secondaire n’est pas ajusté au 1er cercle en H/B, cela veut dire qu’il n’est pas à la bonne hauteur. o Step 3 - Dévisser les 3 vis ABC du secondaire une après l’autre et visser la vis centrale du secondaire. Recommencer Step 1 et 2 jusqu’à collim du secondaire (secondaire coincide avec 1er cercle, primaire avec le second). Resserrer les vis ABC alternativement (ne pas serrer une vis complètement – prendre son temps) en maintenant bien le primaire dans le 2ème cercle Collimation du primaire o Step 4 – centrer le 3ème cercle sur le collimateur en joaunt sur les vis de collimation du primaire Faire coïncider la croix avec les branches de l’araignée du secondaire
  36. 1 point
    bravo fred pour ton courage ! tu tournes sur trois pattes , mais tu tournes quand même ! belle image ! polo
  37. 1 point
  38. 1 point
    c'est spécifié dans la doc tak apour l'epsilon 180 et dans la doc de l'ASA 300
  39. 1 point
    bonjour il faut collimater sans le correcteur en place !
  40. 1 point
    L'image est magnifique. J'adore avec toutes ces tachouilles partout Bravo XavS
  41. 1 point
    Lame démontée et nettoyée Il y a quelques petites marques mais je ne vais pas insister : Et je vous montre aussi le Astrola Cave 8" que je restaure : Merci pour précédents vos conseils avisés, Frank
  42. 1 point
  43. 1 point
  44. 1 point
    Salut, Le nuage de poussières galactiques LBN 438 dans le Lézard n'est pas sans rappeler le globule cométaire CG4 dans la Poupe, immortalisé par l'image célèbre de David Malin, "La Main de Dieu." D'autant plus que, là aussi, la main semble vouloir de saisir d'une petite galaxie, PGC69439. Ce n'est pas une cible évidente sous mon ciel pollué d'IdF, mais heureusement les nuits commencent à s'allonger, j'ai donc pu accumuler 320min de luminance et 60min de chrominance cette nuit. La turbulence globalement faible (FWHM de 1.8" sur la luminance empilée) a permis de détailler correctement la galaxie. Voici le résultat (clic droit pour la full) : Une brute de luminance (pas grand chose à voir !) Et la luminance annotée Bonne journée, Dan Détails techniques : Astrographe 200/800 carbone optiques Zen + Wynne 2.5" sur AP900 ASI183mm (0,66"/pix) Guidage OAG + ASI120MM, ASIAIRv1 Luminance 320*60sec à gain 110, -10 °C Chrominance 20*60sec à gain 110, -10 °C par couche Turbulence correcte (FWHM 1,8" après empilement), pollution lumineuse de l'IdF, faible transparence et lune en fin de nuit
  45. 1 point
    Hello J'ai enfin trouvé le temps pour te répondre 🤣 🤣 😋 Cette bino point de vu taille du champs, est moins bonne que les bino standard 😢 mais perso, j'ai du suivi donc cela ne me dérange pas. Pour les reflets, ils sont là sur les objets hyper lumineux comme Jupiter, Saturne, la lune à très faibles grossissement. Pour les autres observations, je n'ai jamais été dérangé 😉 Et franchement, même sur du Jupiter à aujourd'hui, cela ne me dérange pas car mini x400, Jupiter est tellement énorme dans le champs que les reflets sont hors champs. Pour quand j'observe des objets très faibles, perso, je repasse en mono ou alors, pour rester en bino, il faut mini un 600 mais j'en ai pas 🤣 Avis perso 😋 Concernant la résolution genre sur Jupiter à x400, il y a pas de secret. La vision mono est totalement explosée par l'optique adaptative de notre cerveau. Je m'amuse souvent à regarder en mono avec la bino et revenir avec les deux yeux. Et là, il y a pas photo : bino obligé 😉
  46. 1 point
    Et bien je l'avais acheté par curiosité et méfiant quand a la vision bino, j'ai été absolument conquis , voire carrément enthousiaste sur la lune, les planètes, M13, M42. Pour être clair je préfère le rendu avec ces oculaires basiques qu'en mono avec un mon Nikon HW 12.5, un des meilleurs oculaires au monde! + oui, une paire d'oculaires a 130€ la paires font mieux qu'un Nikon à 800/1000€. Du coup je me suis dit que j'étais prêt a aborder les choses plus sérieusement et a investir plus, j'ai commandé la Maxbright2 avec son correcteur pour newton, budget 625€. La Technosky à 2 défaut, la vision est un peu plus sombre que ses concurrentes, donc exit le ciel profond, nébuleuses et galaxies, j’espère que la maxbright qui a été optimisée pour la luminosité et la transmission me permettra d’accéder un peu mieux a ces objets, c'est un pari. L'autre défaut non rébarbatif c'est qu'elle est sujette a des reflets sur les astres très lumineux ce qui n’empêche de voir les détails mais j’espère que j'aurais moins besoin de déplacer le truc lumineux a une autre position, bon ok, c'est du luxe, c'est pour couper les cheveux en 4, l'ombre de saturne sur ses anneaux la première fois que je l'ai vu c'était avec la bino, pas au nikon. La ou je ne suis pas sur de mon coup c'est que je vais passer d'une bino qui ne comporte que de l'optique et des mirroir contre une qui aura des prismes épais a traverser, en netteté et finesse, rien a reprocher a la technosky, même comparée a la Mark V du club, j’espère qu'il en sera de même pour la maxbright. J'ai préparé mon tube a la maxbright en le raccourcissant de 30mm a la meuleuse, bref je ne sais pas encore si ma décision était la bonne, mon pari est que oui, résultat dans quelques semaines.