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Affichage du contenu le plus aimé le 22/12/2017 dans toutes les zones

  1. 3 points
    Atlas et Hercules, les deux géants s'apprêtent à aller au lit. Veinards! Pour moi il était 4h47 UT le 7 décembre dernier. Les perturbations qui nous ont amené beaucoup de neige sur les sommets auvergnats approchaient d'où une belle turbulences un peu atténuée avec un filtre Astronomik rouge; la photo n'est pas géniale mais depuis c'est le calme plat ou plutôt le gris total. C11 DMK31AuAs 500 images sur 3000 AS 2 et Registax 6. Joyeuses fêtes à tous et bon ciel.
  2. 2 points
    Bonjour à tous, Nous profitons de cette fin d'année pour vous présenter un petit récapitulatif de nos photos 2017 sous forme de poster ! :) ....déjà 3 ans et toujours le même bonheur Et, par la même occasion, l'équipe APO_Team vous souhaite d'excellentes fêtes de fin d'années ! @+, Thierry APO_Team Thierry Demange, Richard Galli, Thomas Petit http://www.atacama-photographic-observatory.com
  3. 2 points
    Hello A chaque saison, c'est un passage obligé de notre voute céleste. De nouveaux clichés et surtout, cette fois-ci, il y a du Ha. D'autres informations ici : http://astrob.in/326459/C/ Carte technique Instrument ou objectif: APM 107/700 Imageurs: Sony A7s Monture: iOptron iEQ45 Pro Réducteur/correcteur de focale: Riccardi Flattener 1.0x Logiciels: Photoshop CS6, DeepSky Stacker (DSS) Deepskystacker 3.3.6 Filtre: Astronomik H-alpha 12nm CCD Clip-Filter Sony Résolution: 3516x2114 Dates: 19 novembre 2017, 20 novembre 2017, 24 novembre 2017 Images: 120x10" ISO3200 120x2" ISO3200 390x30" ISO3200 120x5" ISO3200 Astronomik H-alpha 12nm CCD Clip-Filter Sony: 212x30" ISO3200 Intégration: 5.6 Heures --
  4. 2 points
    Instrument ou objectif: Skywatcher 80ED ED 80/600 Imageurs: ASI 1600 MM - Cooled ASI1600MM-cooled Monture: Skywatcher HEQ5 Pro HEQ5 Pro Caméra de guidage: ASI ZWO 120MM Réducteur/correcteur de focale:Skywatcher .85x Focal Reducer & Corrector Correcteur de champ 0.85 Logiciels: APT Filtres: Baader SII 8nm 1,25" Baader SII 8nm 1,25'', Baader Ha 7nm 1.25" Baader 7nm Ha, Baader OIII 8.5nm Accessoires: Diviseur Optique Atik OAG, Xagyl Filter USB Wheel roue à filtre EFW2 Résolution: 4599x3348 Dates: 16 décembre 2017, 17 décembre 2017 Images: Baader Ha 7nm 1.25" Baader 7nm Ha: 67x600" -20C bin 1x1 Baader OIII 8.5nm: 15x600" (gain: 75.00) -20C bin 1x1 Baader SII 8nm 1,25" Baader SII 8nm 1,25'': 21x600" (gain: 75.00) -20C bin 1x1 Intégration: 17.2 Heures Âge moyen de la Lune: 28.38 jours Phase moyenne de la Lune: 1.70% Echelle d'obscurité de Bortle: 4.00 Échelle des pixels: 1,499 arcsec/pixel Rayon du champ: 1,184 degrés Lieux: Argelliers , ARGELLIERS, 34, France http://astrob.in/full/326573/0/
  5. 1 point
    Bonjour Un petit passage avant les fêtes pour lesquelles je vous offre cette vue d'Alphonse qu'en 2016 je n'avais pas trouvé très intéressante à traiter. Le film étant encore sur le DD je m'y suis attaqué. Je l'ai quand même réduite à 80 % car pas très piquée. C'est juste un petit cadeau pour Noël vu la météo en cours sur la France. Je souhaite que le père Noël vous comble ainsi que toute votre famille et amis. Bonnes fêtes à tous et soyez prudents sur la route. Bonne journée Luc
  6. 1 point
    Salut à tous, J'ai gratté un peu le fond de mes disques durs pour vous présenter encore quelques photos d'aurores (les prochaines n'arriveront pas de sitôt ;) ) Johann
  7. 1 point
    Je vais le remettre à chaque fois : ça c'est pour du classique verre BK7/F2, avec un petit coup de pouce sur les verres et la formule optique on peut tirer quelques pourcent sur le f/D (un peu plus court). Ex : la Vixen en f/D=9.8 qui n'est pas >3 mais le réglage chromatique est bien ajusté. A part ça : même conclusion, j'ai une apo f/D6 -> photo, elle est sympa mais rien ne remplace un f/D un peu plus long et surtout une courbure de champ dépassant les 33cm pour une bonne utilisation des meilleurs oculaires planétaires. Courbure de champ
  8. 1 point
    il y a quelques temps j'avais essayé de placer un D-ERF de 110mm devant le secondaire du C14 , comme il était Hyperstar j'ai pu démonter le secondaire pour accéder à l'ERF , autant dire qu'il était plus que bouillant , je dirais même " Brulant" bien entendu une bouillasse infame au niveau des images avec la caméra , imaginez toute cette chaleur se dissipant dans le tube fermé du pauvre C14!!!!! j'ai refais cette année la même chose avec le CFF350 en plaçant l'ERF-D de 110mm pil poil au bon endroit pour que l'ERF récupère le faisceau remontant vers le secondaire au maximum du son diamètre , et la même avec un tube ouvert, c'était catastrophique, mais çà je m'y attendais aussi trouver un artisan qui fasse un singlet H-Alpha avec correcteur , il y en a , mais faut trouver le bon , par contre le prix!!!!!!
  9. 1 point
    Je pense au contrairement que cela devrait coûter plus cher : - c'est du sur mesure, - il faut asphériser la surface ... ce qui demande une certaine expertise.
  10. 1 point
    J'ai retrouvé d'autres photos faites avec ma 120/1000 Celestron :
  11. 1 point
    La discussion est un peu difficile à suivre car on passe des lunettes aux télescopes. Dans ton dernier post tu sembles parler du Newton avec un montage Serrurier ? La question : où comptes-tu mettre les filtres ? Voici par exemple un télescope de 300 mm pour faciliter ta réflexion ... solaire :-) Et surtout ... de quel diamètre on parle ? Une lunette de 50 mm, ce n'est pas du tout pareil qu'un télescope de 400 mm ;-)
  12. 1 point
  13. 1 point
    Voici l'aberration sur le champ pour une lentille simple asphérique 200 mm F/10 optimisée pour le Ha. Bon ... il faut le décodeur : - la courbe intéressante est la courbe bleu. Il s'agit de l'erreur sur le front d'onde en rms. Le truc à savoir, c'est que l'instrument est limité par la diffraction tant que l'erreur rms est < 0.07. - l'axe horizontal représente la distance par rapport au centre du champ. La valeur 1.0 correspond au bord du champ qui est pris ici égal à 0.4 degré. On voit donc que l'instrument est limité par la diffraction sur un champ d'environ : 0.8 x 0.4 = 0.3 degré en rayon, soit un diamètre de 0.6 degré. Le disque solaire est donc complètement net (0.5 degré en diamètre). Si on avait une optique de plus grand diamètre, ou plus ouverte, le champ limité par la diffraction serait plus petit.
  14. 1 point
    a7s 150x30 sec 3200 iso
  15. 1 point
    Je parle de coma, pas de courbure. L'asphérisation compense le mauvais calage du verre pour éviter l'aberration sphérique, mais reste la coma (et la courbure en prime).
  16. 1 point
    Une lentille simple n'est pas aplanétique contrairement à un doublet, donc coma présente, et ce d'autant plus que le F/D est court.
  17. 1 point
    AR 12962 - 22 décembre 2017 - 04h44 UT Île Maurice - Petit Raffray - Observatoire William & Caroline Herschel Instruments: HaT 203, F/27.5, Filtre SS 0.3, caméra ASI174MM Applications: Genika - AS!3 - CS5 images retenues - 109/3500 (3%) Cadence - 127 img/s Exposition - 6.0 ms Gain - 20% Gamma - 45% SSM 0.80 - 1.20 - 1.75 (min-avg-max )
  18. 1 point
    je n'ai pas mesuré la température avec un thermomètre mais seulement avec le doigt , donc pas de mesure précise. Le F/D est de 11 pour cette lentille La structure du montage est très aérée, le filtre est bien décollé sur ses supports ce qui permet quand même un bon refroidissement ,(vu le vent permanent chez moi c'est pas peu dire). Mais je ne ferais pas la même manip avec un ERF qui lui travaille en absorption d’où les risques de surchauffe, puisque c'est le filtre qui doit dissiper l'énergie , le D-ERF si l'on le met dans le bon sens travaille en réflexion (je sais pas si c'est le terme exact ) pour toutes les longueurs d'ondes autres que le Ha.(avec un peu de Ir lointain ) Pour le temps d'utilisation face au soleil ,je ne me rappelle plus mais certainement au minimum 10 mn, Merci pour les spots diagrammes , mais comment déterminer et contrôler la déformation par rapport à sphère et de quel coté est-il plus "facile" de travailler coté plan ou convexe? Je compte recommencer cette manip quand le soleil sera plus haut et un jour sans vent car sur l'eq6 c'est du sport et il faudrait que je renforce la structure du "tube". Pour Froggy: les D-ERF se trouve chez la plus part des fournisseurs Français/Allemagne . Mais comme je pense que tu n'est pas encore un utilisateur confirmé (ce n'est pas une critique) des télescopes solaires ,je te conseille de commencer avec du matériel du commerce avant de te lancer dans la (belle) aventure du solaire. Autant on peut débuter avec un instrument de gros diamètre en Ciel profond et planétaire , autant avec le soleil il faut faire très très très très attention on n'a droit à aucunes fausses manœuvres, et les constructions hasardeuses comme celle que je te montre doivent être faites avec beaucoup de précautions . La lentille m'a été donnée par un super ami qui va se reconnaitre. Paul
  19. 1 point
    Intéressant. Tu as pu mesurer la température du filtre ? Tu as fait combien d'heures d'observation comme cela ? Sinon, pour revenir à la question des singlets, voici les spot diagrams de deux singlets de 200 mm F/10, l'un est sphérique (Strelh de 0.12), l'autre est asphérique.
  20. 1 point
    l'avantage des poses courtes est aussi dans la monture qui peut être beaucoup plus abordable, et plus transportable non?
  21. 1 point
    bonjour, pour répondre à C.V essais avec lentille simple de 250mm et D-ERF 75mm à ~40cms en avant du foyer pratiquement pas de surchauffe du D-erf du fait que les rayonnement autres que le Ha sont renvoyés vers l'avant et le ha traversant doit avoir 5 à 10% de l'énergie étalée sur un disque de 60mm,par contre au foyer ça reste très chaud donc verre anti-calorique ou comme sur la photo un renvoi avec filtre uv/ir incorporé. Cela dit je ne parle qu'en photo ,je n'y risquerai pas un œil en visuel. Ce n'était qu'une petite expérience pour voir si l'on pouvait photographier les protus sans étalon. Paul
  22. 1 point
    Comme je le disais, on n'a pas le choix du matériel. Tu trouveras ici la bande passante du filtre D-ERF Baader : http://www.baader-planetarium.com/en/baader-d-erf-energy-rejection-filter-(75---180mm).html# Si tu veux faire des filtres ERF avec des bandes passantes qui se décalent ... prévois probablement 10 000 € par filtre. Il faut donc faire avec ce que l'on a ;-) Sur un télescope, il suffit de faire un tracé des rayons lumineux pour voir qu'il y a une grosse difficulté pour insérer un ERF entre le primaire et le secondaire. La seule possibilité serait devant le secondaire (devant la face côté primaire). Il y a alors deux problèmes: - Pas simple à fixer. - Le diamètre de l'ERF est alors égal à celui du secondaire, soit 25 à 30% du diamètre du primaire => pas sûr que l'ERF résiste ... Ce qui a été fait sur le Newton d'Alexandre et de Jean-Christophe est différent. C'est le miroir primaire qui est traité ERF. Le secondaire est classique. La limite à cette manip, c'est le prix du traitement et la taille de la cloche pour faire le traitement. Actuellement (et en France), il n'est pas possible de traiter des miroirs de plus de 260 mm. Pour le traitement ERF sur une lentille frontale, c'est ce qui est fait sur les SC par Airy Lab et Baader. L'inconvénient, c'est que cela réduit la polyvalence de l'instrument. On a alors un instrument spécialisé pour le soleil.
  23. 1 point
    Question CP il faudrait pouvoir comparer des pommes avec des pommes, i.e. tester la même cible avec une bonne CCD et un bon CMOS, le même setup optique, sous le même ciel, etc... L'avantage énorme des acquisition CMOS à courtes poses unitaires c'est de faire gagner en résolution et confort d'utilisation (plus besoin d'autoguidage), mais à côté de cela il faut un F/D un peu court, sans quoi les poses de 1 sec n'iront pas très loins en mag. Pi stacker un To de données (disons 20000images de 4656p ×3520p fois 16bits) faut aussi de la puissance de calcul, du stockage,... La à mon avis ou les CCD ont encore de beau jours devant elles c'est pour les objets vraiment faiblards. Avec un instrument amateur, je ne suis pas certain que d'aller taper dans des magnitudes au delà de 23 ou 24 avec un CMOS est pour tout de suite (à cause des poses unitaires trop courtes), alors qu'avec n'împorte quelle CCD et un petit instrument c'est sans soucis, du fait qu'on peut aller taper des 15 ou 20 minutes de poses. Donc au final je me demande si tout cela n'est pas un faux débat (pas lu le sujet sur le forum d'en face), simplement parce que les "forces" respectives des CMOS et CCD se situent dans des champs d'application potentiellement assez différents.
  24. 1 point
    Tu poses la question des ERF en position interne. Cela ne s'applique donc qu'aux lunettes. Ce qui marche de façon sûre (jusqu'à 250 mm de diamètre) : ERF ayant un diamètre de 2/3 du diamètre de la lunette, l'ERF étant fait d'un blank transparent (BK7 ) traité multicouche. Ce qui semble marcher : ERF ayant un diamètre égal à 50% du diamètre de la lunette. En-dessous du rapport 1/2 ... on ne sait pas trop où est la limite ... on cherche des volontaires pour essayer ... il y a déjà eu de la casse ;-) Le truc à bien comprendre, c'est que l'on n'a pas énormément le choix dans le matériel. Répartir la contrainte thermique sur 4 ERF ? Et bien non .. c'est le premier ERF qui prend toute la charge thermique. Soit il résiste, soit il casse. Et s'il il casse, le suivant cassera aussi ;-) D'autre part, même 4 ERF, cela veut dire 8 surface air-verre en plus ... ce n'est pas le top optiquement. Sinon, pour ajouter à ce tour d'horizon, il y a aussi l'option de traiter ERF la lame de fermeture d'un Schmidt-Cassegrain. C'est ce que fait Airy Lab et bientôt Baader. Le diamètre max actuel est de 280 mm.
  25. 1 point
    Félicitations, tu viens de remporter la pioche d'or au festival de déterrage de post de Saint-Bougnard-les-Olivettes.
  26. 1 point
    Attention, il ne faut pas 'cropper', il faut réduire, c'est pas pareil Pour l'aspect de l'homme qui court, c'est normal vu que tu n'es pas complètement en RVB. Voici une image que j'ai faite il y a quelque temps. Je n'ai pas pas pu récupérer l'image individuelle Halpha car je ne suis pas sur mon ordi, mais on voit quand même en décomposant en R,V B que l'aspect B est totalement différent du R (là on voit le R et le B). En halpha c'est encore plus flagrant. Alors si ton image finale est H-HVB, c'est normal que ça ne ressemble pas à un homme qui court.
  27. 1 point
    En matière de CCD, j'ai commencé par la ST4 du club dans les année 90, avec un pc 286 mmx ! Puis une MX916, des cam st6-8 (matériels de club) et j'ai eu mon premier cmos en 2005 avec le 350D. Il y avait le prix des CCD (quelques collègues ont cassé leur tirelire pour s'offrir leur Stl)qui était (toujours) dissuasifs. Les nouvelles cam à base de cmos sont "abordables", efficaces pour faire de belles images, elles offrent la possibilité d'avoir un grand capteur cooled... Pour un peu de science, je ne sais pas, mais C.Buil semble dire que c'est possible. arno
  28. 1 point
    Ta dernière image est bien meilleure que la 1ère, même si la 'full' est encore un peu spéciale. Mais je ne retrouve plus cet effet aquarelle très présent sur la 1ère. Dans une image suréchantillonée (quand tu as des pixels très petits), ce n'est pas toujours une bonne chose de présenter les images en plein format, car tu as parfois des étoiles grosses et du bruit de fond qui ressort. C'est pourquoi les gens font souvent un lissage outrancier qui dénature l'image. Avec ma propre caméra et mon télescope, mes images sont également suréchantilonnées, alors, sur mon site, j'affiche toujours les images entre 40 et 70% de zoom. Avec nos caméras qui ont des millions de pixels, ça donne quand même une grosse image, pas besoin de mettre la full. Comme ça, on voit nettement moins les défauts. Sinon, le halpha en luminance peut être une bonne idée, mais dans ce cas, l'aspect de ce genre de nébuleuse, qui contient aussi des zones en réflexion (nuages bleus) change beaucoup. Je ne reconnais pas du tout la nébuleuse de l'homme qui court (ngc1977) à gauche. Mais je conviens que ce n'est pas facile de combiner un halpha lumineux avec les autres couleurs. Dans ce cas, je combine toujours le halpha avec une image rouge pour que l'image finale soit un peu plus réaliste, quitte à perdre un peu de signal halpha. Matt
  29. 1 point
    Il y a plusieurs aspects : le CMOS est économiquement beaucoup moins cher car tout ce qui est nécessaire au fonctionnement est intégré sur le chip. Le coût d'intégration est d'un CMOS est abyssalement (?) inférieur à celui d'un CCD ! Du coup les industriels délaissent la techno du CCD et cela accentue encore le différentiel de prix. Et quand les investissements se portent sur une technologie, celle ci avance à grand pas. La détéctivité s'améliore sur chaque génération de modèles (de CMOS) alors que ma dernière CCD date de la PLA-Mx ! C'est presque une éternité aujourd'hui ! La technologie est quasi gelée et bien inférieure à ce que l'on fait aujourd'hui en CMOS ! Il n'a pas fallu attendre de toute façon, les CMOS (QHY5L2) mettaient déjà un vent (un ouragan même) à la pauvre CCD. Je parle en planétaire en tout cas, en pose longue (disons au delà d'une seconde) ma CCD a des avantages que n'on pas mes CMOS : ma DMK21 présente une image parfaitement lisse sous 30 secondes de pose, chose que mes CCD ont bien du mal à atteindre. Pour autant il ne me viendrait pas à l'idée de ressortir la DMK c'est évident. Sur les APN c'est pareil, entre le capteur 6Mpix CCD de mon D5D (qu'on retrouve chez Nikon D70) et celui CMOS de 12Mpix de l'a700 (Nikon D90) puis de 24Mpix de l'a77 (D7200), il y a un gouffre. La densité de photosites est quadruplée mais les images sont aussi bien plus propres (y compris en observant au pixel près). Et le pire c'est qu'avec son miroir semi transparent, l'a77 perd 1/3 du flux, il faut que j'essaie à l'occasion en virant cette lame, qui ne sert qu'à l'AF, donc inutile en astro. Du coup, c'est très bien ALAING que tu parle de l'a7S qui était un exercice de style pour Sony, mais qui s'est finalement imposé car il y avait un marché insoupçonné, non pas pour l'astrophoto (trop mineur pour Sony) mais de ceux qui font de la photo dans des conditions difficiles, et surtout de la vidéo. L'a7S 2 apporte surtout un plus pour cet usage (filmer en 4K sous la seule lumière de la lune c'est un exploit) et stabilisé sur plusieurs axes. Pour le reste pas grand chose ne change ! Marc
  30. 1 point
    Bien le bonjour, Ben . . . y a qu'à voir les aficionados du Sony A7S de plus en plus nombreux Bonne journée et meilleurs voeux aussi, AG
  31. 1 point
    Sauf erreur de ma part, cet instrument existe toujours. La lentille unique taillée dans du RG610 offre 120 mm de diamètre. Elle coule des jours heureux en bord de mer et satisfait particulièrement son propriétaire (que je salue au passage) pourtant fort bien pourvu en Ha.
  32. 1 point
    oui certainement un singlet asphérisé mais avec un grand rapport F/D
  33. 1 point
    Jp-Brahic : dans le cas du coronographe de Lyot, c' est une lentille simple il me semble ?
  34. 1 point
    Il me semble que dans l' article dont je parle la lentille était asphérisée
  35. 1 point
    une lentille simple ne suffit pas ( pour des F/D court ) , il faut un correcteur aplanisseur à l'arrière lui aussi calculé pour le H-Alpha pour mon futur set-up Solaire , en étude de faisabilité actuellement par un opticien renommé spécialistes des réfracteurs , j'ai une Singlet H-Alpha de 330 - 350mm avec correcteur , ce sera l'option B en cas ou l'ERF-D de 350 mm ne soit trop difficile à réaliser pour le cassegrain CFF350 sur ma Lunette Solaire de 230mm Special H-Alpha ( sphérochromatisme calé sur la bande H-Alpha ) , il s'agit d'un doublet anastigmate qui corrige les aberrations sphériques Alors oui un singlet c'est intéressant à partir d'un certains diamètre , car au delà de 250mm les prix des doublets calés sur cette bande explosent!!!! compté 10 000 € pour 250mm et 22 000 € pour 300 mm , je ne parle même pas de 350 mon opticien me disait en fait qu'à partir d'un certain diamètre le plus dur c'est de trouver le blank adéquat !!! le nerf de la guerre actuellement c'est la réalisation des ERF de grand diamètre pas tellement les optiques de l'instrument
  36. 1 point
    Dans le cas de diamètres importants, on peut imaginer que la lentille entre en concurrence défavorable avec le miroir...
  37. 1 point
    Il y a bien longtemps, dans la revue Astrociel, était paru un article à ce sujet. Un refracteur solaire dont l'objectif, une simple lentille, était teinté dans la masse en rouge. Il me semble que l'auteur en était Robert Lartigau, mais je peux me tromper. L' avantage de la lentille unique, ce serait de pouvoir la tailler soi même jusqu'à des diametres importants.
  38. 1 point
    Un doublet classique de type flint-crown ne coûte plus grand-chose. Plutôt que de refaire toute une gamme dédiée au solaire Ha à bande très resserrée, il est sans doute plus simple - donc moins coûteux - pour les fabricants d'adapter l'existant. Peut-être aussi qu'une simple lentille, à moins d'avoir une forme spéciale, souffrirait d'aberrations géométriques (genre aberration de sphéricité) qu'un doublet corrige plus facilement ? Subsidiaire : mais pourquoi tu poses toutes ces questions ?
  39. 1 point
    Bonsoir Yves et polo . Oui, Sean Doran fait un travail extraordinaire, et pas seulement sur Mars. Ses productions aident beaucoup à saisir le contexte. Les 13 et 14 décembre 2017 (sols 1903&1904)), Curiosity explorait une région de la dorsale "Vera Rubin" qui apparaîssait plus "bleue" que l'environnement habituel et constituée de plaques de sable et d'un substrat rocheux. Curiosity a passé plusieurs jours à cet endroit, essayant de comprendre la diversité au sein de cette région géologique intéressante, de prendre des photos et de faire des mesures géochimiques. Le 15 décembre 2017 (sol 1905) après un trajet d'environ 14 mètres à l'Est de cette région "bleue, nous sommes dans un paysage complètement différent - beaucoup de roches plus petites et des affleurements rocheux qui semblent plus "rouges" ou "violets" que les précédents, "bleus". Le plan initial était d'essayer de brosser une surface rocheuse et d'effectuer une série d'analyses géochimiques pendant le week-end, mais l'absence de gros blocs empêche de brosser une roche. Au lieu de cela, l'équipe utilisera les analyses ChemCam LIBS après les tirs laser pour mesurer la chimie de deux cibles rocheuses ainsi que la poussière de surface, ce qui permettra à l'instrument APXS d'avoir une vision claire (l'onde de choc provoquée par le laser ChemCam peut aussi jouer le rôle de "décapant" pour la poussière) Le 20 décembre 2017 (sol 1910) un parcours d'environ 20 mètres vers l'Ouest a ramené Curiosity sur un terrain familier, près du site déjà visité sur le sol 1905 pour examiner de plus près la transition entre les roches bleu-gris et rouge pour comprendre les processus géologiques pouvant être responsables de ce changement de couleur. Curiosity est positionné juste à côté de cette transition, ce qui a permis de planifier une mosaïque stéréo Mastcam de 180 images qui couvrira toute la zone avec des informations de couleur à très haute résolution. La liaison descendante de toutes ces images de Mars vers la Terre peut prendre un certain temps, mais les vacances de cette fin d'année offriront des opportunités d'envoyer les données pendant les périodes d'inactivités. Ce même jour 20 décembre le labo SAM a réalisé sa première expérience de "chimie humide". Sur les derniers sols, l'équipe de SAM a mélangé une partie de l'échantillon de sable prélevé à "Ogunquit Beach" avec des produits chimiques spéciaux appelés "agents de dérivatisation" conçus pour rendre certaines molécules plus faciles à détecter. L'opération semble s'être déroulée avec succès, les résultats sont en attente. Pour ce genre d'opération SAM comporte neuf coupelles fermées par un opercule transperçable. Elles contiennent un solvant et des composés chimiques servant à la dérivatisation. Pour pouvoir être séparée par chromatographie en phase gazeuse les molécules organiques doivent être volatilisées. La technique la plus simple pour les rendre volatiles est de les chauffer à plus ou moins haute température. Cependant, pour étudier des molécules fragiles, sensibles à la chaleur, il est également possible de passer par la technique de dérivatisation. Celle-ci permet de rendre volatile des molécules organiques en attachant sur ces dernières des fonctions chimiques particulières. Ainsi dérivatisées, les molécules passent facilement à l'état gazeux, ce qui rend alors possible leur analyse. La dérivatisation est plus efficace que la chaleur pour l'étude de molécules organiques volumineuses, ou réactives. Par ailleurs Sam est équipé de 59 autres coupelles fabriquées en quartz dont certaines déjà utilisées avec la méthode plus classique de chauffage des échantillons à très haute température (1000 °C ). Ce qui a parfois pour effet de dégrader certaines molécules et aussi de rendre actif le perchlorate présent sur la surface de Mars. En principe, Curiosity devrait passer un long séjour sur cet emplacement et reprendre la route après les fêtes. Il y passera donc la nuit de Noël par - 80°C avant de supporter allègrement les -23°C aux meilleurs moments du timide soleil de cet hiver martien.. Merci à cette incroyable machine et à l'équipe qui gère tout le bazar, en particulier pour toutes les images fabuleuses de cette année 2017, et vivement 2018.. avec la reprise des forages ?! POSITION AU 20 DÉCEMBRE 2017 (SOL 1910) : HAZCAM AVANT - 20 DÉCEMBRE 2017 (SOL 1910) : HAZCAM ARRIÈRE - 20 DÉCEMBRE 2017 (SOL 1910) : NAVCAM - 20 DÉCEMBRE 2017 (SOL 1910) : RAPPEL DU TRAJET PRÉVISIONNEL : DÉTAIL DU TRAJET DERRIÈRE LA CRÊTE VERA RUBIN (noter le long parcours dans la zone argileuse, puis dans le delta alluvial) :
  40. 1 point
    Salut Ray, joli comme tout ce champ céleste ! "on dirait qu'elle a été peinte !!", oui c'est le seul petit bémol pour moi, le lissage visuel est très visible. Mais bon, c'est pô grave.
  41. 1 point
    Et voilà ma belle image en couleur J'ai appliqué le Ha en luminance et j'ai mis un filtre photo réchauffant, plus un petit tampon par-ci, par-là...
  42. 1 point
    Voici déjà l'image Ha :
  43. 1 point
    Très beau résultat Un tout petit plus de rouge et ce sera parfait Johann
  44. 1 point
    en regardant la full ,on dirait qu'elle a été peinte !! bonne fêtes ! polo
  45. 1 point
    BJR Mara Comme tu as été pendant 3 ans dans un club astro, tu as du apprendre qu'il était plus facile d'allonger une focale que de la réduire ! En d'autres termes, pour allonger une focale on utilise avec moins de contrainte une Barlow que de réduire une focale avec un réducteur de focale ! Ainsi, tu recherches une lunette pour faire du planétaire ET du CP. Pour un premier instrument, une lunette est un bon choix car peu ou pas d'entretien (en principe c'est fait en usine). Néanmoins ton critère de F/D de plus de 1000mm n'est pas pertinent selon moi pour ce que tu recherches. En effet, le premier critère pour un instrument que ce soit un réfracteur (Lunette) ou un réflecteur (Télescope avec miroirs) est le Diamètre et pas la focale ! Ensuite, selon moi pour du planétaire pur, tu as besoin avant du plus grand diamètre (pour avoir plus plus de lumière) avec une focale importante (pour pouvoir de plus grands grossissements) et là un réfracteur valable devient hors de prix et encombrant comme tu l'as indiqué. Ainsi, selon moi, pour du planétaire, la meilleure formule optique est un reflecteur de type Maksutov Cassegrain (ex: Mak 127 de SW ou Orion) ou de type Cassegrain (VMC200L de Vixen) : tu peux avoir un set up Maksutov Cassegrain de 127mm et 1540mm de focale pour moins de 500€ https://www.promo-optique.com/telescopes-maksutov-c-97.html ou https://www.loisirsplaisirs.com/skywatcher/3368-telescope-sky-watcher-mak-127-az-synscan-goto.html pour ce qui est de la Clef des étoiles ce sont des gens très sérieux que j'ai rencontré au Pic mais je n'ai rien acheté chez eux. Pour ce qui est de Loisirs Plaisirs, ce sont des pro et des passionnés à côté de Bordeaux chez lesquels j'ai acheté une Lulu 80/400 SW pour compléter mon set up ultra nomadeet pour me servir de lunette guide pour mes tubes de focale supérieur à 1500mm En effet, en CP, la focale de 1000m va être pénalisante car une longue focale de 1000mm va trop assombrir ton visuel et ton imagerie (si tu te mets à l'astrophoto) tout en réduisant ton champ. Or, en CP, tu as souvent des objets de grand champ et peu lumineux ! En CP, je pense qu'un refracteur à courte focale est mieux qu'un reflecteur mais sera limité par le diamètre. En effet, au delà de 150mm, un refracteur devient lourd et donc très cher. C'est la raison pour laquelle, j'utilise deux types de tubes pour le CP, à savoir : une lunette 152/760 Bresser Messier de type Petzval (4 lentilles) un Ritchey-Chrétien 8" (203/1560) Pour le planétaire, je préfère en visuel le piqué et les détails du Mak127mm (j'envisage d'ici 18 mois de peut être passer à un Vixen VMC260) Pour te donner une idée, voilà quelques exemples de que l'on peut imager ! ATTENTION CES PHOTOS SONT ISSUES D'EMPILEMENT DE PLUSIEURS PHOTOS AVEC TRAITEMENTS : CE N'EST PAS CE QUE L'ON VOIT AVEC L'OEIL A L'OCULAIRE même si cela se rapproche pour le planétaire ! tu trouveras ci-dessous quelques exemples de photos faites avec cette lunette Bresser Messier 152/760 sur HEQ5 GOTO : Et ci-dessous, tu trouveras ci-dessus des exemples avec mon Mak127 SW sur monture EXOS2 GOTO : Ainsi tu peux voir que l'on peut faire du CP et du planétaire avec un même instrument mais il ne peut être aussi bon en CP ou en planétaire ! J'ai eu un tube vraiment polyvalent qu'est le Celestron C8 qui est aussi bon en planétaire qu'en CP ! Je l'ai revendu depuis assez longtemps pour prendre la 152/760 pour faire du CP Grand Champ. Mais en rajoutant une Bonne Barlow Télévue X2,5 ou X5 tu as de beaux détails en planétaire ! Sur les lunettes que tu as présenté la starwave est la mieux techniquement ! Espérant t'avoir éclairé par mon "petit" vécu ! Bon Ciel
  46. 1 point
    Vladimir, rien à voir avec les affaires de Donald?
  47. 1 point
  48. 1 point
    De superbes couleurs JF
  49. 1 point
    Belle découverte ! Merci pour le partage. Les vegans sont partout
  50. 1 point
    salut ;), juste la suite de 2017 ,