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Showing most liked content on 05/17/18 in all areas

  1. 11 points
    De la nuit dernière, seeing assez correct pour l'altitude quoique qu'un flux assez rapide d'altitude a pas mal "flouté" les petits détails de la RVB... J'ai tenté une bleue pour voir, à noter qu'elle est traitée en drizzle avec Autostakkert!, car sous-échantillonnée à l'acquisition. La version drizzle est un peu mieux que la version non drizzle (non montrée). Le 740 a encore fait mieux que le BP642 (pas montré non plus) Ce sont les longitudes juste avant la TR...
  2. 10 points
    Bonjour Aujourd'hui , je vous présente un travail collectif :) une Ballade autour des Monts Apennins en 3D Alain Benoît pour la 3D Alain Paillou pour la colorisation géologique Jp-Brahic pour l 'image N/B Bon survol :) pensez à mettre en HD
  3. 7 points
    Une comète à Tauxigny (C/2016 M1) Découverte dans la nuit du 22 juin 2016 par le télescope PanSTARRS, la comète C/2016 M1 se situe actuellement à presque 2 UA de la Terre et à près de 3,5 UA du Soleil. Elle sera au plus près de la Terre le 25 juin 2018 à près de 1,28 UA. D’une magnitude actuelle d’environ 10, elle devrait briller aux alentours de 9 au maximum, à moins d’un sursaut inattendu. C/2016 M1 atteindra son périhélie le 10 août prochain. Etant aux Nuits Astronomiques de Touraine à Tauxigny, je décidais de l’imager dans la nuit du jeudi 10 au vendredi 11 mai qui a été superbement dégagée toute la durée du crépuscule astronomique. Cette comète se situe dans la constellation du Sagittaire. Il a donc fallu attendre 3h du matin pour commencer à la chercher. Après avoir revu la mise au point, cela n’a pas été trop compliqué de la trouver et la cadrer. Elle était déjà bien visible sur les poses de 30s. J’ai dû arrêter la prise de vue à 4h30… d’une part, le crépuscule astronomique avait atteint son terme et les arbres du pré de l’observatoire de la Société Astronomique de Touraine, commençait à se mettre entre le Sagittaire et ma lunette. Je ne vois pas de queue sur le résultat final… peut-être aurais-je plus de chance quand je la tenterais à nouveau le mois prochain… et cette fois, plus longtemps Photo prise le 11 mai 2018 à Tauxigny (37) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 56 poses d’1 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS et Toshop. Le film Les photos Registration sur les étoiles Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur la comète Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff.
  4. 6 points
    Ha les amis, ké périple !!!! De retour hier vers minuit à la maison, la tête ce matin bien dans l’cul, la tête bouillonnante de souvenirs encore bien frais. Un seul mot : sublime ! Sublime malgré quelques micros bémols qui auraient magnifié davantage ce séjour s’ils avaient pu être évités, à savoir : - Cette date décalée pour cause de tarif aérien excessif qui nous fit perdre 1 à 2 jours précieux à La Palma, - Et donc un planning perfectible de notre semaine où aurait pu être mis à profit une journée « découverte » du sud de l’ile. Mais pour le reste, je trouve qu’on a fait carton plein : - Un lieu d’hébergement quasi parfait, à 40mn des coupoles, et surtout à 20mn d’un nouveau spot dont il sera question ensuite. Seul manquait une cuisine et un coin salon, histoire de se poser la fesse et de se faire la popote. Cela étant, de la popote n’en eûmes que rarement l’occasion, occupé que nous étions soit à honorer un resto local pour le midi, soit à casse-crouter au sommet en attendant la nuit, soit au p’tit dej-midi après une nuit bien tardive. - L’immense plaisir de retrouver le Fabrice, l’un des coauteurs du bouquin astrodessin, avec qui nous partageâmes de bien beaux moments. Avec sa dame, il est désormais installé dans une bien coquette maison à flanc de montagne, avec vue imprenable sur l’Océan ouest, dans une nature assez exubérante. Il y a installé son T600 qui bénéficie ainsi d’un emplacement remarquable, généralement au-dessus de la couche d’inversion et avec une visibilité intéressante au sud. Si l’envie vous en prenait, il fait gite astro, et je le recommande chaudement ! - Les visites de 3 observatoires au sommet : le Mercator, « petit » télescope bien sympa dédié à de la belle spectro, le SST guidé par une charmante suédoise dont le Cyrillounet ne resta point insensible. Elle nous fit découvrir cette tour solaire avec sa salle des commandes où besognaient 2 astrophysiciens patibulaires, son labo obscur où la lumière était analysée sous de multiples aspects, et surtout cette montée vertigineuse sur la plateforme sommitale avec un héliostat de belle facture et une vue imprenable sur la Roque de Muchachos. Mais que dire de la visite du GranTeCan si ce n’est qu’on a touché au merveilleux, à la démesure ! Une visite bien détaillée du plus grand télescope européen sur les travaux étonnants en cours du fait de l’incroyable puissance des 10 mètres d’ouverture et sur le gigantisme de la structure elle-même. Une esthétique de ferraille triangulée remarquable pour cette étrange surface optique segmentée desservant pas moins de 6 foyers distincts sous un dôme métallique monumental. - Des nuits d’observation au sommet aux caractères variés. La p’tite plateforme que jadis nous occupions au bord de la route est désormais inaccessible et il y a fallu faire avec les rares autres possibilités du site. La première sur une mini terrasse en travaux avec pelleteuse et container au pied du Herschel, ma foi pas trop mal, la suivante sur une micro aire de stationnement où stationnait pour une durée indéterminée un semi-remorque huileux, la troisième assez pénible sur le chantier de ce qui deviendra un truc touristique astronomique, pénible à cause d’un vent autant présent que perpétuel que donc pénible. La quatrième fut la révélation de la semaine, spot révélé par l’ami Fabrice. De là où nous créchions à Puntagorda, une petite route taille droit dans la pente et grimpe ainsi jusqu’au sommet en ligne quasi droite dont un théorème chinois dit avec justesse que c’est le plus court chemin pour se rendre à destination et que l’on y vomit d’autant moins. Ainsi, autant dire que ça grimpe fort, voir très fort. Une erreur de parcours à travers les vignes en terrasse nous mit dans l’impossibilité d’aller plus loin, les roues refusant d’adhérer sur l’étroite piste scabreuse. Ce point dur contourné nous permit d’accéder à un point de vue remarquable, bien que n’étant pas arrivés tout à fait au sommet, avec le confort inégalable de l’absence totale de vent. Par bonheur, nous eûmes le privilège de deux nuits exceptionnelles où les observations de haut vol s’enchainaient guillerettement dans la joie et l’allégresse. Le dossier de dessin s’en trouva subitement bien gonflé avec de la galaxie à foison et du Jupiter honorable. Seule la dernière nuit sur la route du retour ne nous enthousiasma point, peut-être un brin de fatigue ou de lassitude, mais aussi et surtout à cause de ce satané vent qui rendait l’observation vraiment pénible, voire impossible. Dommage car on avait trouvé un spot sur un escarpement dominant la Caldera Taburiente vraiment exceptionnel. Lors de la sieste vautré sur un rocher plat, j’entendais les sifflement des martinets fendant l’air lors de leurs acrobaties en raz motte. Mais le soir venu, le vent s’y installa au point de nous en faire déguerpir et de nous obliger à nous retrancher sur le bord de la route en contrebas. Ce vent et les visites matinales des couples nous fit écourter la majorité des nuits d’observations – toutefois bien au-delà de minuit. Cependant, je retiendrais 2 nuits quasi pleines exceptionnelles, enchainant plus de huit heures d’affilées ininterrompues d’observations poussées. - On a noté des SQM de 22.25 au zénith !!! avec une Voie Lactée superbement structurée, un airglow bien présent sur l’horizon nord et une lumière zodiacale affirmée à l’ouest. Mais ce chiffre phénoménal est à analyser plus finement, la transparence étant un chouya perfectible, attestée par la présence d’un très discret mini halo solaire arc-en-ciel, d’un bleu de ciel pas si profond que ça, et d’une zone très légèrement brumeuse au-dessus de la couche d’inversion. Tout cela conforte l’idée qu’un SQM parfait se situe vers les 21.7, 21.8, les chiffres supérieurs témoignant d’un zeste d’opacité. En tout cas, ces conditions exceptionnelles et quasi parfaites nous offrirent un festival galactique de haut vol et le cul du Lion fut copieusement labouré. Bien que pas dessiné, j’ai vraiment apprécié l’observation des piliers de la création sur M16, dont la structure complexe par instant se dévoilait discrètement, mais cependant de façon certaine. - Pour l’anecdote, après la visite du SST, l’on imaginait vivre LA nuit de rêve, la charmante guide évoquant la possibilité d’observer au pied de l’observatoire au beau milieu des coupoles et au bord des remparts vertigineux de la caldera. On imaginait déjà les prises de vue nocturnes magnifiées par ce paysage fantastique. C’est ainsi que confiant, l’on s’y installa, déballant le matériel, se reposant pour une sieste réparatrice, puis se gargarisant d’un mémorable apéro dans la lumière rosée du couchant. C’est alors que débarqua un Pépito un peu nerveux – quoique sympathique – nous intimant gentiment l’ordre de déguerpir de la zone de l’observatoire de la Roque. Caramba et consternation, c’est ainsi que l’on se retrouva sur l’esplanade du chantier susmentionné, à mille lieues du paradis que nous escomptions vivre. - N’oublions surtout pas ces apéros au sommet, l’un des moments les plus fameux du périple avec une vue imprenable sur le couchant, bien au-dessus de la couche nuageuse. Dans la douceur de la fin de journée, nous remplissons les godets d’un bon rhum –et de jus de pomme pour Alexandre. C’est alors que les boites de calamars à l’encre ou à l’escabèche sont décapsulées, que le contenu goûtu est tartiné généreusement sur le pain, que le fromage local est tranché, le jamon iberico religieusement dégusté. La caisse du télescope désormais témoigne par ces traces indélébiles de ces agapes huileux. C’est- alors que majestueuse tombe la nuit, c’est alors qu’un à un brillent les astres de ladite nuit, c’est alors le moment venu de nous emmitoufler dans nos douillettes doudounes, c’est désormais le moment de se jeter goulûment sur l’oculaire pour de l’observation hors norme. - Ya eu de l’image avec des time-lapse prometteurs et de la vidéo dont on attend avec impatience la sortie d’un moyen métrage évocateur de cette mémorable semaine. - Ya eu quelques authentiques restos, l’un sur le port où l’on ressortait la bedaine joliment rebondie et les doigts encore graisseux des poulpes, calamars et éperlans frits engloutis, l’autre repu de la paella ou du poisson du jour, des moules tigres arrosées d’une bière locale bien agréable, ou ce tout premier à Ténérife où l’on ne s’entendait plus brailler tant la tablée voisine d’un groupe de copines fêtait joyeusement l’anniversaire de l’une d’entre elles alors qu’on dégustait du cochon à la sauce aux champignons et du fromage poêlé arrosé de pesto. - Pi ya eu l’opportunité de grimper sur le pic du Teide et découvrir ce paysage volcanique stupéfiant, en imaginant le Fred installé avec son télescope derrière le Parador lors de son dernier séjour ici-même. - Pi vraiment, on a passé un bien bon moment partagé ensemble à la mode MAGNITUDE 78. De tout cela, il est assuré qu’on y reviendra, fort de ce nouveau point d’observation de grande qualité rapidement accessible, avec des possibilités d’hébergement et de restauration au plus près, de profiter de la présence de Fabrice, en gérant mieux le planning de la semaine des vols et des visites des observatoires pour y intégrer quelques virées au bord de mer ou au sud de l’ile. Dediou, que ce fut bon !!!! les dessins, à venir dès que près, ce qui fera que ce post évoluera dans les jours à venir. mais sans tarder, série Jupiter avec quelques transit : et voila le suivant, Grand classique, M57, mais dont la perception des teintes m'ont comblées de joie, au point de prendre le crayon en toute fin de nuit, après un copieux safari galactique. Juste de la vision directe, sans filtre, et dessiné en négatif couleur. Ensuite la magie du passage en négatif, je ne m'en lasse jamais : Et pi un p'tit bidule tordu, cette nébuleuse planétaire qui montre que c’est probablement complexe : Plus délicat, Abel 39 sorti récemment de son trou où elle sommeillait grâce à l’article d’Alexandre Renou, avec l'aide inestimable du "doudou" de Pierre, truc qui accessoirement sert de téléphone mais qui dispose aussi d'une carte du ciel redoutablement précise et précieuse - au risque d'y être encore à la chercher. Un truc bien rond apparait avec l'OIII et l'UHC, avec un bord ourlé irrégulier. Passons maintenant qu vif du sujet, le festival galactique, principal objet de ce périple. Disons-le tout net, le cul du Lion, celui de la grande Ourse, sans omettre ceux des Chien de chasse, ont été copieusement besognés. Je ne sais trop dans quel ordre présenter la chose. Ainsi en vrac des p"tits Messiers oubliés de mes classeurs, comme M58 avec 2 départs de bras évidents dans un halo discret : et bien plus couillu et texturé, M108. Pas si facile que ça à mettre les bonnes nodosités au bons endroits et les zones sombres là où il faut. Ça ressemble à peu près à ça : Le reste après le weekend, j'me barre ! Pour compléter la série des Messier, en voici un dont j'suis vachte content, M102. Trèèèèèèèèès content car outre la forme générale et les extensions lointaines, c’est surtout cette perception fugace par instant de distinguer une fine bande noire passant par le centre. Difficile à affirmer, mais avec les encouragements du Fabrice, j'ai mis ce détail, et immense joie, à la maison, des images confirment la chose. C'est vraiment ça que j'aime dans la discipline du dessin astro !!!! Enfin, le dernier du catalogue, mon devoir de vacances imposé, bizarrement pas encore dessiné, et pourtant. Voici M81 décortiquée 2 nuits d'affilées à divers grossissements. C'est marrant de remarquer combine il est délicat de placer correctement des rehauts discrets dès lors que les étoiles se font rares comme ici dans la partie gauche : Bon, maintenant on entre dans le vrac, la bonne besogne amusante qui n'amusera que les intimes. En les classant plutôt par aspect, les trucs allongés. A noter des cœurs quasi stellaires sur 4264 et 4762, et comme une torsion dans les parties extrêmes sur certaines : les bidules vu de 3/4. A noter l’extension ténue très lointaine à droite de 4559 : Ceux vu quasi de face. Là, on est dans le sexe des anges avec des départs vraiment, vraiment hypothétiques, notamment le départ vers le bas de 4731 : enfin, les machins irréguliers : Une autre, un autre !!! bon d'accord, mais c’est la dernière. Ou plutôt les dernières avec les siamoises, et un bidule en prime dans le champ : Voila l'boulot, arrrffff, ça fait plaisir car ça faisait longtemps. j'espère ne pas vous avoir trop saoulé et merci pour votre attention.
  5. 6 points
    dans la série lunaire, on termine par les quartiers des 23 et 24 avril, au 7R III sur TOA-150 Les full réduites à 80% : http://www.astrophoto.fr/l180423_80_c.jpg http://www.astrophoto.fr/l180424_80_c.jpg
  6. 5 points
    Bonjour à toutes et tous, Comme demandé par Polo et William, je vous propose une expérimentation du drizzle 1,5X sous AS2. Les deux essais sont tentés sur Clavius et Copernic, shootés le 25 avril dernier au C8 Orange. Cyrille Clavius pour commencer.... ...et Copernic pour terminer.
  7. 5 points
    Bonjour, Juste deux images de jupiter, les deux meilleures en rgb et r+ir. C'est dur dur !!! j'ai même réduit un peu la taille des images pour cacher la misère... T250 barlow TVx3 ADC+asi224mc raf ir-cut et rg610 200G passé à detect3, nada! des faux positifs et autres rayons cosmiques arno
  8. 5 points
  9. 4 points
    Assez bon seeing cette nuit, et du temps dispo: j'installe le materiel tot dans la soirée: Pour une fois, il n'y a plus ce grand bouillonnement de turbulence, Jupiter a le contour bien rond et stable, mais les details sont effacés régulièrement, et de temps en temps on voit particulierement net: j'ai essayé pour la premiere fois une dérotation avec winjupos sur une capture de 5 minutes: Effectivement, il y a un net gain au niveau bruit, et ça permet de pousser les curseurs dans Registax sans rajouter trop de bruit. Par contre niveau detail ce n'est pas top top.... Mais je suis persuadé de ne pas maîtriser le processus. Et que c'est long en traitement! .... Voila une premiere image: j'ai 3 autres captures de 5 minutes a traiter.. mais la machine rame..
  10. 3 points
    Bonjour, Temps maussade oblige... j'en ai profité pour commencer à traiter des films que j'ai en retard sur le disque dur et comme c'est la farandole des lunes gibbeuses, alors voici celles du 24 avril 2018 en deux versions : couleur avec le Sony A7RIII et n&b avec l'ASI183mm, le tout avec la lunette TS 130/910 Je vous ai mis les images avec les orientations Sud/Nord et inversement... chacun choisira selon ses préférences Je vous recommande de visualiser les images "full" pour en profiter vraiment... sinon, tant pis pour vous Commençons par les versions couleurs avec l'APN SONY A7RIII Sud/Nord lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_ts130_ffc_sonya7riii_as_cc_sn_copyright.jp Nord/Sud lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_ts130_ffc_sonya7riii_as_cc_ns_copyright.jpg Maintenant, voici les versions n&b avec l'ASI183MM Sud/Nord lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_ts130_2x_asi183_as_3img_cc_sn_copyright.jpg Nord/Sud lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_ts130_2x_asi183_as_3img_cc_ns_copyright.jpg Voilà pour ces mignonnes petites lunes gibbeuses du 24 avril... en espérant qu'elles vous plaisent EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* EDIT ******* A la demande de Simon et Pascal, voici un mix ASI183mm (pour la luminance) et Sony A7RIII (pour la couleur) en restant dans le "naturel" pour les couleurs orientation Sud/Nord lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_lrvb_ts130_2x_asi183_sonya7riii_as_3img_cc_sn_copyright.jpg Orientation Nord/Sud lien direct vers l'image full : http://www.naturepixel.com/view/2018_04_24_lune_gibbeuse_lrvb_ts130_2x_asi183_sonya7riii_as_3img_cc_ns_copyright.jpg En espérant que vous apprécierez ce mix Gérard
  11. 3 points
    Bonjour, J'ai retraité avec AS!3 mes images de Lune du 23 avril prises avec ma TSA 120 et mon Nikon D850 et je trouve le résultat un peu meilleur? Votre avis sera le bien venu. Bonne soirée Christian Important: Pensez à cliquer sur ces liens pour voir l'image à 100% : http://www.image-heberg.fr/files/1526503335555041552.jpg
  12. 3 points
    Le printemps des galaxies se poursuit, et voici une petite tout à fait sympatique. M64 - Galaxie de l'oeil au beurre noir. Faite le 6 mai peu après minuit. Lunette AP130gtx prime-focus Sony a7s défiltré 3200iso 66 poses de 30 secondes AZEQ6 Bonne soirée, Olivier.
  13. 3 points
    Salut à tous, Juste pour vous donner des news, et bien le setup fsq85 et sphinx de Michel (colmic) va changer de propriétaire . Patrice
  14. 3 points
    Moi aussi.. mais ptêt' pas pour les mêmes raisons ..
  15. 3 points
    J'ai 26 lunettes et télescopes des années 70-80 (une dizaine en double ou plus). La plupart dans les caisses d'origine avec les montures et oculaires dédiés. Un tél de 250 Keppler récent et une lunette probablement REBSON D. 70 du début du 20em (photo). Je pense qu'une bonne cinquantaine de lunette et téléscopes sont passés dans mon grenier. Mais pour agrandir la collection j'ai vendu ceux auxquels je tenais le moins. J'ai aussi eu le privilège d'avoir quelques oculaires clavé pour lesquels il faut une bague d'adaptation pour les utiliser sur du 31.7 (photo) et une belle série de PERL royal (par paire) en 24.5 pour une utilisation binoculaire (photo)
  16. 2 points
    Voilà ma meilleure Jupiter de la saison (jusqu'à aujourd'hui). Par ciel plutôt voilé aux NATs, mais bon seeing, malgré un vent un peu gênant. C'était aussi 22h après l'opposition, l'occasion de voir Io occulter en partie son ombre, clairement vue sous forme de croissant (Io était plus délicat à voir pendant une partie du transit). Avec en plus la tache rouge et l'oval BA, que rêver de mieux comme configuration... peu avant je m'endormais dans un transat, mais là, l'attrait du dessin a pris le dessus! Nicolas
  17. 2 points
    Bonsoir à tous Comme d'habitude, les soirs ou j'ai les meilleures conditions de turbu sont les soirs ou j'en profite pour accumuler les bêtises ^^ L'image ne bougeait que très très peu dans le champ, ce qui a généré une trame assez conséquente... j'ai essayé de la masquer au mieux ici, mais elle m'a donné pas mal de fil à retordre et est encore assez présente. Qui plus est, j'ai été victime je crois d'une fuite de lumière qui a pollué ma couche rouge, c'était toujours exploitable mais j'ai du batailler sur le retrait du gradient, et l'aspect final des couleurs est assez étrange. Aussi je vous la livre également en version noir et blanc, qui a ma préférence En terme de résolution cependant, c'est sans conteste ma meilleure image. Les brutes étaient excellentes, et après traitement aux petits oignons, j'atteins quasiment le pouvoir séparateur de mon instrument. D'ailleurs, pour la première fois, j'affiche ma version finale à 200% soit 0.4"/pixel ; je trouve qu'elle le supporte très bien Pour les conditions de prise de vue, c'est comme d'habitude... le 150/750, la NEQ5, la QHY290 et le petit filtre rouge R610 baader pour la couche couleur. J'ai retenu ici 2h de poses tout rond... pas énorme, mais la lune était de la partie en fin de nuit malheureusement. Au total donc, 3600x2s + 290x8s pour le rouge. Sans plus attendre, voici donc les deux versions : N'oubliez pas de cliquer pour aller voir les full, ça vaut vraiment le coup d'oeil ! Bon alors clairement ce qui me manque pour aller encore plus loin, c'est le signal... je n'étais pas dans le meilleur endroit question pollum ( même si ça restait pas mal ) et la trame est également bien visible et gênante, j'ai du y aller à grand coup de lissage. On ne peut pas tout avoir ^^ Mais bon, question résolution, je crois que là j'ai franchi un nouveau cap, et du coup j'avais envie de m'amuser un peu avec ma photo C'est en comparant mon image avec celle de Capella Observatory - utilisée ici avec leur accord, crédit image : http://www.capella-observatory.com - que je me suis aperçu que certaines étoiles avaient bougé ! Pas étonnant, leur image date d'il y a 10 ans ! Du coup j'ai eu l'idée de faire cette petite animation pour bien mettre le phénomène en évidence... ( et puis on en profite pour vérifier que tous mes petits détails obtenus sont bien réels... pour moi ya pas de doute ) Malheureusement je n'ai pas trouvé de soft permettant de faire de GIF assez gros, donc j'en présente deux ici, un du champ complet et un crop à 100% du centre. Alors, vous trouvez combien d'étoiles qui bougent ? Le champ : Le crop : Bon oui d'accord, leur image est mieux d'ailleurs pour aller la voir en grand et en vrai, c'est par là : http://www.capella-observatory.com/ImageHTMLs/Galaxies/M51Secondary.htm A vrai dire, j'ai repéré 10 étoiles mobiles avec certitude, mais il y en a certainement plus. Les voici bien marquées, sur une version un peu plus péchue de ma galaxie ( mais aussi plus bruitée évidememment ). En plus j'ai indiqué une petite double qui est séparée à 1.08" d'écartement... mon record, même si il faut un peu les yeux de la foi ^^ Et du coup, vu qu'on a reçu un super catalogue de notre cher satellite GAIA dernièrement, j'ai eu envie de mesurer le déplacement ici pour voir si le satellite en question ne s'était pas trop trompé... Donc j'ai fait un petit tableau. En alignant correctement l'image et en mesurant le point central de chaque étoile avec précision, j'ai mesuré le déplacement de chaque étoile ( j'ai compté 0.376"/pixel car j'ai pris les mesures sur une version un peu agrandie, et 9.95 années entre les deux prises ) Résultat : ben, très convaincant, bien plus que je ne le pensais ! L'écart moyen de mes mesures de vitesse de déplacement avec celles de GAIA est seulement de 10 millisecondes d'arc par an ! ça correspond à une précision d'environ 1/8ème de pixel sur mes prises de vue dans les mesures... D'ailleurs, aligner parfaitement les deux images n'a pas été une mince affaire, et je suspecte que les deux étoiles mesurées en haut du champ soufrent d'un très léger défaut d'alignement ( les points de repère étant plus épars dans cette zone ) ce qui expliquerait leurs valeurs assez éloignées de la réalité. En les enlevant de ma petite moyenne, on tombe à 7.8 millisecondes d'arc d'écart-type... encore mieux Donc en mesurant avec précision la position exacte de toutes les étoiles, j'en détecterais certainement quelques autres qui auraient pu avoir bougé... seulement à ce stade il faudrait que j'apprenne à automatiser le processus. ça doit sûrement être possible d'ailleurs Voilà, j'espère que mes petites expériences vous auront plu en tout cas je ne m'attendais pas à une telle précision, ça c'est clair. Personnellement, c'est le genre de petite manip qui change complètement ma vision des choses. Par exemple de pouvoir constater soi même que les étoiles ne sont pas des points immuables mais se déplacent bien toutes dans le même sens au sein du grand tourbillon galactique... je trouve ça fascinant ! Sur ce, vive l'astronomie, bons cieux, et à bientôt pour de nouvelles aventures Romain
  18. 2 points
    Bonsoir juste une image ce soir et la suite demain bonne soirée et bon ciel
  19. 2 points
    Je pense qu'il n'y a pas de secret, juste un peu de recherche historique pour comprendre comment cela a été conçu. C'est Ernst Abbe qui est à l'origine de pas mal de principe en optique mais il n'est pas le premier à avoir inventé un bon oculaire. Pour mémoire, les travaux de GS Plössl en microscopie sont antérieurs à ceux de Abbe. L'oculaire d'Abbe est un élément d'un ensemble optique : objectif achromatique + oculaire. C'est applicable sur les lunettes à long f/D sachant que les oculaires astronomiques sont tout de même légèrement adaptés pour les optiques très souvent à f/D=15 et autour de 100mm Mais c'est l'aboutissement de la formule aplanétique, acomatique et achromatique (voir apo, première définition très stricte par Abbe) est à mettre sur le compte de Abbe. (à lire ... aberrations chromatiques) Plus tard en 1940, je vais aller jusqu'à dire que le plössl "Clavé" est une invention d'Albert Kônig conçue pour être utilisé sur les objectifs B : un triplet apo sans fluorite à f/D=15 de chez Zeiss. Le plössl asymétrique de König a initialement plus de champ natif (62°) mais il est moins adapté aux achromats plus ouvert. Celà ne veut pas dire qu'il n'y a pas eu d'amélioration par la suite : l'avantage immense de l'ortho Abbe est que beaucoup de surfaces sont cémentées, donc avec moins de pertes par reflets mais également, une certaine tolérance aux irrégularités de polissage grâce au cement. C'est encore mieux sur le monocentrique mais l'aplanétisme, l'astigmatisme et le chromatisme ne peuvent pas être corrigé uniquement sur quatres surfaces.
  20. 2 points
    un autre essai : à 50% tu devrais utiliser les ondelettes iris ou registax ! tu as encore un artefact sur ta dernière version !
  21. 2 points
    voila j'ai tenter plusieur chose j'ai quasi rien toucher en traitement a part les niveaux. la c'est l'image qui ressort apres avoir fait 2 groupe sur dss avec des poses 30 s 1600iso d'un cote et 15s 6400 iso.
  22. 2 points
    Ca change de visiter les lieux ainsi ! Remarque: la position du LEM d'Apollo 15 me semble erronée, non ? Claude
  23. 2 points
    Motta, merci ! Non je n'ai pas fait de compte-rendu, mon blog est inaccessible pour le moment il y en aura peut-être un dans un futur Astrosurf magazine mais c'est sans doute plutôt Marc qui s'y collera. En attendant, la plupart des présentations du Workshop seront accessibles en ligne dans quelques temps, comme pour celui de 2016. Le principal site d'origine est celui-là, j'imagine que c'est là qu'on les trouvera: https://www2.le.ac.uk/departments/physics/people/leighfletcher/ras-juno-europlanet-meeting-2018 Salut Michel, en ce moment mais RVB sont faites avec la 224MC couleur. Donc pas plus de souci de rotation qu'avec un filtre monochrome sinon 15 mn en RVB et cam n&b ça commence à être tendu oui, mais pas impossible. Quand je faisais les images avec cette méthode je préférai me cantonner à 10 mn cependant.
  24. 2 points
    Depuis le 7 mai 2018 (sol 2044) Curiosity s'est dirigé vers le Nord et s'est éloigné de la Crête "Vera Rubin" pour rechercher une zone de forage dans la partie haute de l'unité géologique nommée "Formation Murray" (la roche sédimentaire du lac antique, un grès à grains très fins appelé "Mudstone"). Le but est de tester la nouvelle méthode de forage sur une roche réputée plus tendre que celle constituée majoritairement d'hématite sur la crête, là où deux tentatives de forage ont échouées à "Lake Orcadie" . Aucun forage n'avait pu être effectué dans cette zone haute de "Murray" (atteinte ici en juin 2017) du fait d'un système de forage HS depuis fin 2016. Curiosity avait atteint la partie basse de la "Formation Murray" à "Pahrump Hills" en septembre 2014 et les forages avaient été multiplié à mesure que le rover s'élevait peu à peu en altitude afin d'étudier les différentes couches sédimentaires de cette unité géologique dont l'épaisseur est estimée à 200 mètres. Avec la panne du système de forage cette analyse stratigraphique s'était arrêtée prématurément fin 2016, et le haut de cette formation n'avait pu être étudiée que superficiellement (avec le laser ChemCam et le spectro APXS). En revenant dans cette zone près d'un an après pour forer, les géologues de la mission tentent donc de combler cette lacune. Le 14 mai 2018 (sol 2051) était prévu un nouveau déplacement d'une dizaine de mètres, mais le rover a stoppé au bout d'environ.. 50 cm ! En cause, probablement un gros rocher qui a bloqué une roue et l'avancée, une anomalie que le système de gestion de navigation du rover n'a pas aimé. Donc, nouvelle tentative le lendemain 15 mai 2018 (sol 2052), cette fois-ci couronnée de succès avec 9,60 mètres parcourus au Nord pour atteindre ce qui constitue probablement la prochaine cible de forage : Un gros bloc de roche finement stratifiée de la "Formation Murray", roche nommée "Duluth". Ci-dessous image HazCam du 16 mai 2018 (sol 2053) le bloc nommé "DULUTH" : En phase préparatoire le 16 mai 2018 (sol 2053) le laser ChemCam va entrer en action sur le bloc, puis une imagerie MastCam permettra de documenter les observations de ChemCam et de fournir un contexte supplémentaire sur les côtés exposés verticalement. Actuellement les trajectoires de vol des orbiteurs (MRO et Mars Odyssey) au-dessus du cratère Gale n'ont pas une géométrie de configuration favorable aux relais de communication avec Curiosity, ce qui signifie que la durée des passes permettant les liaison descendantes de données vers la Terre sont plus réduites, entre autres pour les images. Temporairement les activités vont être limités à des occupations de routine : Collecte des données de la cible d'étalonnage de ChemCam, imagerie du plateau du rover avec Mastcam, une cible laser choisie de façon autonome en utilisant le logiciel AEGIS, observations pour caractériser l'environnement et la poussière dans l'atmosphère et des images du bord du cratère, du ciel et de l'horizon. Il est prévu aussi de tenter de saisir le passage de Phobos passant devant le soleil vers 8h30 du matin au 18 mai 2018 (sol 2055), ces données pouvant aider à mieux contraindre l'orbite de cette petite lune en forme de pomme de terre. POSITION AU 15 MAI 2018 (SOL2052) : HAZCAM AVANT - 15 MAI 2018 (SOL2052) - "Duluth" apparaît sur le bord droit de l'image : HAZCAM ARRIÈRE - 15 MAI 2018 (SOL2052) : NAVCAM - 15 MAI 2018 (SOL2052) : La crête est déjà assez loin derrière Un regard vers l'Ouest ...... et vers l'EST NAVCAM - 16 MAI 2018 (SOL2053) - "DULUTH" La cible probable de forage : MASTCAM - 15 MAI 2018 (SOL2052) :
  25. 2 points
    OLIVIER ============>> GRAND M E R C I , pour moi et sans doute pas mal d'autres j'ai donc appliqué ce que tu préconises , coté Mémoire Virtuelle Buffer et Gestion alimentation des ports Usb et tout fonctionne parfaitement que ce soit avec FireCapture et Sharpcap Aucun plantage , pas d'images droppées :-) Comme je pense que d'autres Astrams seront intéressés , je vais décrire les manips : Concernant la Mémoire Virtuelle ( Buffer Ram) dans : Parametres Systeme Avancé aller dans Paramètres allez dans Avancé allez dans Modifier -> décoché gestion automatique .... (si coché) -> cocher taille personnalisée -> dans taille initiale et taille maximale -> saisir la valeur lue dans "recommandée" ______________________________________________________________ Concernant la Gestion d'alimentation des ports USB3 dans : Options d'alimentation (du panneau de configuration) aller dans Modifier les Paramètres du mode allez dans Modifier les paramètres d'alimentation Avancée dans la fenêtre qui vient de s'ouvrir cliquer Paramètres USB cliquer Paramètres de la Suppression selective USB Bernard_Bayle
  26. 2 points
    Bonjour à toutes et à tous , Petit post vite fait à la demande général , c'est juste un petit aperçu pris au pif dans mes vidéos Newton maison de 400 , miroir Skyvision de 400 F/D 4 en Zerodur , Powermate TV de X5 pour les RVB , ADC PA , caméra ASI224MC , capture et collimation avec Genika Astro , AS!3 et R6 . Jupiter en RVB la seule , le 15/05/2018 à 22h24 TU caméra ASI224MC , Powermate TV de X5 raccourcie , ADC PA , F/D 19,14 c'est costaud mon affaire ( essais ) , 00.10 pix . La même , un poil soutenue . Jupiter en IR 685 le 15/05 à 21h53 TU , Barlow TV de 3 , caméra ASI290MM . pas d'ADC . F/D 12,87 , 00.12 pix . Le 15 à 22h01 TU . Bon , tout compte fait , ben…….. ce sera les seules images , les autres vidéos sont parties à la poubelles , pas mal en début de séance ( les IR ) mais beaucoup d'humidité ensuite , je me suis fait avoir avec mon secondaire embuée Pffffff quel c.. que je suis , j'e l'ai vue en rangeant le matos ………….. Michel
  27. 2 points
    Bonjour j'ai enfin pu tester le programme Atik Infinity avec le TN450Z !!!! bon c'est juste un test sur 30 mn de poses cumulées Alors en gros tu alignes ta monture à peu prêt sur la Polaire , tu places l'objet dans le champ , tu choisis ton exposition et tu lances le programme sur ton écran tu vois les images s'empiler les unes après les autres au fil des poses , le programme empile , aligne, fait la dérotation à la volée , plus besoin d'autoguidage il y a aussi le FWHM reject , on choisi le FWHM au dessus duquel on ne veut pas que le programme ajoute les images , il ne gardera de ce fait que les bonnes images l'Evscope fait la même chose je trouve çà ludique même si çà ne remplacera pas les longues poses , et çà peut être intéressant pour des montures Altaz , sur cet essai , j'ai fais des poses de 15 sec sur 30 mn seulement , on peut descendre en dessous de la seconde si on veut pour figer la turbulence , le faible bruit des Cmos le permet désormais pour les soirées publiques d'observation ce peut être une bonne solution avec un vidéo projecteur et projeter sur grand écran Lien pour se donner une idée du programme : Télescope Newton de 450mm F/D 4 Zerodur Terry Ostahowski Atik Horizon N/B Programme Infinity 120 poses de 15sec ( 30mn) Filtre Clear Astrodon Log, DDP sur Prism 10 Ech : 0.37"/pix Seeing : 2.5" SQM :21.3 Voilà l'image brute sortie au bout de 30mn de pose : https://www.astrobin.com/full/346820/0/?nc=jp-brahic&real=&mod=
  28. 2 points
    Et ma première photo dans l’obsevatoire Que j’ai appelé Stella Maris. Horse head nebula, 600“, single shot avec TS 80/500, QHY10, Vixen atlux, PHD2 et Nebulosity. Pas de darks/bias/etc...
  29. 2 points
  30. 2 points
    Merci les observateurs ! Mon site de BarbaNantes n'a pas encore dit son dernier mot Dans un mois on pourra commencer à observer Jupiter dans le moment de calme qui suit le coucher du Soleil... et là on aura vraiment des trucs nets.
  31. 2 points
    Salut Salut, ma préférée est celle fraîchement acquise, une sw80ed bd, mais tout le monde la connait... Juste derrière arrive la perl halley qui me suit presque partout, comme une belle photo de la perl à déjà été posté je vous présente les deux 60/700 que j'adore et que je sors peu mais qui ont des optiques surprenantes... Surtout la j. Cerf... Bon ciel Seb
  32. 2 points
    Pour l'écartement des pieds de la CARTON j'ai pris l'option de la hauteur pour une meilleure observation. si la stabilité en souffre certainement elle reste néanmoins très bonne. MM
  33. 2 points
    Pour la config, C8 + barlow Televue x2.5 + ASI120MC-s sur CG5 Empilement sous AS3 avec 70% Traitement Registack6 et Acdsee pro 2.5 Plus de détail ici http://www.astro.bob974.fr/jupiter-du-15-05-2018
  34. 2 points
    Oui c'est du beau matos qu'un astronome amateur de l'Hérault m'a vendu il y a quelques années ainsi qu'une royal 112/1600 (photo). Celle là je l'ai sur catalogue ayant le PERL de 1984 version papier. Il faut dire que je collectionne un peu les modèles des années 70-80 (photo de groupe). La royal 118 était vendue seule tube seul et j'ai fait la caisse. Elle est utilisée sur une EQ6. J'ai observer la lune de fin janvier de cette année avant qu'elle soit pleine. Une image d'école de grande qualité MM
  35. 2 points
    c'est vrai que chez Nikon il y avait du beau matos. En voici une en vente chez APM depuis plusieurs mois: http://www.apm-telescopes.de/de/secondhand/nikon-100-mm-f-1200-mm-ed-apochromat-refraktor-teleskop.html
  36. 2 points
    Et aussi la Lune du 24 retraitée avec AS!3, toujours avec la TSA 120 et le Nikon D850. Bonne nuit Christian Cliquez sur ce lien pour voir l'image à 100 %: http://www.image-heberg.fr/files/1526663511541696182.jpg
  37. 2 points
    Jup_012449_lapl4_ap68 12_05_2018_pipp
  38. 2 points
    Mieux vaut le vin d'ici que l'eau de là
  39. 1 point
    Toujours dans un ciel blanchâtre (brume de haute altitude), voici le célèbre couple de galaxies en intéraction connu sous le nom du "Héron" dans les "Chien de Chasse " :-) Meade 12" FD10 - ZWO ASI 1600 mmc - 350 poses de 10s gain 350 bin 2 au traitement ddp sous IRIS Dommage pour l'empâtement des détails ....à refaire sous un ciel plus limpide !! Les NGC 5395 et 5394, connues sous le nom d'Arp 84 ou galaxie héronienne, sont deux galaxies en interaction situées à un peu plus de 160 millions d'années-lumière de la Terre dans la petite constellation nordique de Canes Venatici (les chiens de chasse). Il faut peu d'imagination pour voir le corps d'un héron bleu, avec son cou, sa tête et son bec qui tend la main vers un poisson à proximité. La plus grande, NGC 5395, est une galaxie spirale quelque peu allongée, presque face à face, d'environ 140 000 années-lumière, située à environ 162 millions d'années-lumière de la Terre, alors qu'elle se retire à environ 3511 kilomètres par seconde. NGC 5394, également galaxie frontale, est une spirale barrée d'environ 90 000 années-lumière, située à 161 millions d'années-lumière, alors qu'elle se retire de nous à environ 3448 kilomètres par seconde. Le disque principal de NGC 5395, avec une région centrale lumineuse et allongée, est asymétrique et déformé en raison de l'interaction avec son compagnon proche NGC 5294. Le bras spiral dominant de cette galaxie spirale à deux bras forme un grand anneau quelque peu décentré par rapport à le noyau. Des voies de poussière obscurcissantes peuvent être observées dans toute la galaxie. La plus petite galaxie, NGC 5394, a un disque ovale, deux grands bras de marée ouverts, assez symétriques, et des bras spiraux intérieurs très brillants, disjoints des bras de marée extérieurs. La plus grande partie du gaz contenu dans NGC 5394 est concentrée autour du centre, ce qui permet d'alimenter l'étoile en son centre. Malgré la présence de gaz hydrogène, deux des trois bras spiraux internes de NGC 5394 ne montrent aucune preuve de formation continue d'étoiles. Le 25 juin 2000, la supernova SN 2000cr de Type Ic a été découverte dans NGC 5395, au nord-est du noyau. Robert
  40. 1 point
    Bonjour, Voici quelques petits objets de Printemps, 4 objets du catalogue Arp imagés au tube de 280mm à F10 depuis la région Lilloise. Ces objets enigmatiques sont passionnants à capturer, ils sont tous différents, aucun ne se ressemble vraiment. Ils sont au nombre de 338 regroupés dans le célèbre catalogue de 1967. Leur difficulté réside surtout dans leur taille apparente souvent très modeste pour une grande majorité d'entre eux. 10 ans déja... 10 ans sont passés depuis notre présentation de ce catalogue avec Papilain aux journées RCE de 2008 de la Villette... le temps passe vite mais les objets restent ! Les conditions d'amusement restent inchangées : le C11 à 2.8 metres de focale et la Sbig ST10XME qui fournit un échantillonnage de 0.5"/pix Le site en région Lilloise est pollué à SQM 19.4 environ quand le temps est sec, le ciel est <= 2.0" d'arc sur pré image, cela s'obtient au prix d'une longue climatisation du tube en extérieur. L'équipement est posé sur la pelouse, sur des plots en briques, loin de toute source de turbu d'ascendance de sol ou de surfaces "dures" : La constellation du Bouvier renferme plusieurs objets ARP, ils sont généralement petits. Voici UGC 9618, une interaction entre 2 spirales. Fait surprenant : une étoile s'est posée juste entre ces 2 galaxies... La taille des objets est de 1' d'arc environ. J'ai posé 16 x 5 mn : Dans le Serpent on trouve de nombreux objets intéressantes, dont le fameux Sextette de Seyfert que je conseille vivement aux amateurs de résolution. Cette fois j'en resterais aux ARP avec ce 1er objet, Ngc 5953, une autre interaction entre 2 galaxies, l'échantillonnage et le seeing permirent d'acceder à quelques détails. J'ai posé 18 x 5mn : Toujours dans le Serpent on trouve Ngc 5996, un échange de matiére entre 2 corps lointains... : Enfin, j'ai "refait" Ngc 4194 dans la Grande Ourse, un objet très mystérieux, sans forme bien définie, difficile à acquérir il est petit et forme 2 "boucles" sur sa partie gauche : Amicalement Christian http://www.astrosurf.com/chd
  41. 1 point
    Bonjour à tous, En complément des images de Saci59, voici ce que cela donne au Star Analyser, avec une belle raie large, et étincelante, en Halpha. Particularité de cette Nova, bien qu'elle soit basse dans le ciel et passe très vite sous les toits de nos voisins, on peut encore l'attraper rapidement au Star Analyser sans trop s'enquiquiner. Sa magnitude vient de passer la barre des 10 mais elle est encore facile à trouver, même avec la pollution lumineuse des grandes agglo. Les photos jointes, sont celles prises le 10 mai à Toulouse, et les nuages étaient malheureusement de la partie. Mais sur les 60 secondes, malgré le bruit, on peut nettement apercevoir les raies d'hélium (autour de la Halpha ) dont celle en He1 à 5875, plus importante que la Hbeta. Il commence à y avoir pas mal de suivis et de contenus sur cette Nova (cf. forum spectro aras) et son évolution est vraiment intéressante. Pour les "Star analyser'istes", il va rester encore quelques jours d'observations, alors n'hésitez pas ! Frédéric
  42. 1 point
  43. 1 point
    WOW !! elle est très belle ! Faut que je m'y essaie !!
  44. 1 point
    Ce post révèle des trésors cachés en France. Le but est atteint mais je n'ai pas vu beaucoup de zeiss APQ ou Meniscas . Je me souviens d'un passage à Vichy chez Medas et ils avaient encore en exposition des ZEISS APQ 150 mm sur monture et pied colonne...je ne pense pas qu'ils en aient vendus des tonnes....
  45. 1 point
    Merci Frédéric pour ton chouette retour sur ces images et le Sony m'épate à chaque fois... car effectivement, il ne s'en laisse pas compter
  46. 1 point
    Superbe Juju Bernard, on sent tout le potentiel dégradé par la turbulence, l'image est cependant très fine et détaillée ! Ce n'est pas la rotation, pas à cette focale, avec le C14 proche des 8 mètres de focale, je n'ai pas de bougé en 2 minutes. Sur 3 minutes ça aurait été discutable, je pense plutôt à la turbulence ! De plus je remarque que le bougé n'est ni dans le sens horizontal ni vertical mais dans le sens bas à droite en direction de la gauche en haut (ou vice versa), on le voit bien sur certains petits détails notamment les wos.
  47. 1 point
    270 meilleures images additionnées sur 2700 Caméra couleur TIS DFK41 - Lentille de Barlow 5x Newton 200/1000 sur monture Sirius EQ-G
  48. 1 point
    ------------------------------------ Il s'agit peut-être également de déterminer la magnitude de surface d'une galaxie, d'une nébuleuse ou de tout objet étendu. Les magnitudes indiquées sont celle données par mesure intégrale de l'objet. La magnitude surfacique couramment utilisée est la magnitude par minute d'arc carrée (M.Morel, SAF, cf post de J.Gricourt sur webastro) Pour l'avoir expérimenté avec un dobson 203 : Messier catalogue ex M33, galaxie du triangle : Mv = 5.7, 64x35 => +8.15 Ms=13.85, ça reste difficile à voir l'ensemble de la galaxie, on titille un peu les bras ! ex2 : M57, nébuleuse de la Lyre : Mv = 9, 2,5' => + 1.74 Ms=10.74, visible mais difficile de voir les couleurs à la 80mm (il faut compter environ une magnitude d'écart pour la vision colorée.
  49. 1 point
  50. 1 point
    CFF 300 f/d de 20 asi 178mm ir 684 turbulence 3/10 dé_rotation de 3x60s à 80%