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Affichage du contenu le plus aimé le 13/11/2018 dans toutes les zones

  1. 10 points
    Bonjour à tous A la fin du mois d'octobre je suis allé dans le désert marocain pour encadrer un groupe d'adultes qui souhaitait découvrir le désert et l'astronomie. Nous étions dans le sud marocain, à une trentaine de kilomètres de la frontière algérienne, dans le désert de Chegaga. C'est un endroit somptueux avec de magnifiques dunes qui mesurent plus de 200 m de haut pour certaines. Ça faisait 18 ans que je ne 'avais pas revu le ciel du désert et j'avais oublié à quel point il est magnifique de transparence et avec une absence de pollution lumineuse. Nous avons passé une nuit à l'hôtel Sahara Sky, où nous avons été reçu très chaleureusement par Patrick (Syncopatte). Je le remercie encore de son accueil et de m'avoir mis à disposition le matériel de l'hôtel. Quelques photos prise avec un Canon 6D (refiltré Astrodon) et un Tamron 24 - 70 mm à f/2.8. Pose entre 10 et 15 secondes à 3200 ou 6400 iso. Patrick
  2. 7 points
    bonjour à tous et à toutes ! de bonnes condition ce soir , malgré les prévisions pessimistes de météoblue ! il me reste les ir à faire ! CFF 300 f/d de 20 as2 drizzlex3 ondelette iris à 18h45 loc : à 80% : polo
  3. 4 points
    Bonjour, NGC 7331 et ses copines. 2 heures de poses avec des unitaires de 6''. Toujours pour avoir vos avis pour ces 1ers essais. Une photo de la lune aussi, même si le planétaire n'est pas un objectif pour moi, pour l'instant. Merci d'avance.
  4. 4 points
    Bonjour Encore une spirale d'Andromède... il faut dire que certaines zones de cette constellation sont très riches en petits objets à la portée du C11, et c'est un réel amusement de s'y balader ! Ngc 753 est une spirale Sc, donc sans barre apparente, ses spires s'étendent assez loin d'un coeur lumineux et ponctuel. Des zones plus lumineuses parcourent les bras, sièges d'activité stellaire évidente. C'est un objet de 2.5' d'arc qui se prête bien à l'échantillonnage offert par le C11, suffisant pour montrer quelques détails sur sa morphologie. Cette galaxie est éloignée de 180 millions d'AL pour une magnitude apparente de 12.5, mais la brillance de surface est un peu faiblarde due aux spires externes beaucoup plus discrêtes. J'ai posé 20 x 280 secondes en bin1 à F10, temps de pose "standardisé" avec le Kaf3200 sous un seeing correct <= 2.0 secondes d'arc. Ciel péri urbain de la banlieue Lilloise à 19.4, qui ne change pas depuis 10 ans. Traitement façon dinosaure avec Iris puis PS CS2. Que voit on sur une pose unitaire de 280 secondes ? : Amicalement Christian http://www.astrosurf.com/chd
  5. 4 points
    Magnitude 8.8 estimée ce matin au T256x53 dans la pollution parisienne... (15s de pose au Foyer du T256, sans suivi) L'aspect visuel semblait suggérer une possible structure rappelant des désintégrations cométaires comme C/2017 S3 ou C/2017 E4... Donc pas impossible qu'il s'agisse du sursaut d'une toute petite comète qui vient de s'allumer, et risque de se désintégrer dans les jours ou semaine(s) à venir... Si l'excentricité de l'orbite peut être précisée, cela nous dira aussi si elle est sur une longue période (ou non), qui pourrait par contre expliquer une montée en éclat rapide mais normale. Par contre c'est vrai que son élongation était maximale à la découverte (39.8°) et moindre avant (26° un mois plus tôt), ce qui a pu nous la "cacher" auparavant. Nicolas
  6. 4 points
    accessoirement beaucoup figurent dans la littérature scientifique et ne sont donc pas en accès libre et pas forcément compréhensibles du quidam (surtout sur les trous noirs )
  7. 4 points
    Moi aussi il m'a fait rêver ce C14 séquence nostalgie avec 2 images extraites de ' Astronomie du Ciel Profond' édition 1991 Photo de X.Audouard avec ce C14 et une photo de ce C14 dans le désert
  8. 3 points
    Ngc 1365 et ses copines de l'amas du Fourneau. ça fait du bien de reprendre l'astro... 200mm f/3 canon 6D astrodon, 1h30 de pose à 1600 iso en tongue… à la Réunion ;-) jérôme
  9. 3 points
    Une partie du problème c'est en effet que l'on trouve tout et surtout n'importe quoi, et l'internaute derrière son smartphone ou son PC n'a souvent pas l'expertise pour le faire ce tri. D'où les nouveaux amis de la terre plate, les climatosceptiques, l'invention des illuminatis, la théorie du grand remplacement et j'en passe. Actuellement et encore plus qu'avant, une partie du travail du journaliste ou de l'écrivain sérieux est de faire le tri et la vérification des informations. Ca prend du temps, ça coûte de l'argent. Et encore ce n'est pas toujours fait assez sérieusement. Quand je vois Gargamel venir sur tous les plateaux TV réhabiliter Pétain sans un historien en face de lui, ça me sidère. La TV à la limite c'est une cause perdue, mais la même chose se passe à la radio, et ça c'est plus inquiétant. Un autre aspect est la quantité d'informations même fiables. On vit dans un ère de publication scientifique effrénée, et extraire les informations vraiment intéressantes de ça, c'est un boulot énorme. Le fait que l'on trouve tout sur le web, c'est un argument que m'avait opposé un éditeur quand on a fait le livre sur les jumelles avec Guillaume Blanchard. Dis moi où tu trouves une histoire fiable et détaillée sur le sujet (avec de nombreuses infos issues d'archives historiques et des fabricants) ? Dis moi où tu trouves plus de 60 tests faits avec des moyens de métrologie fiables ? Dis moi qui sur le web est allé visité 4 usines à travers l'Europe pour traiter ce sujet ? Dis moi qui a dialogué avec plus de 100 interlocuteurs dans le domaine pour synthétiser les informations sur le sujet ? Au final c'est un an de boulot en sacrifiant beaucoup de nuits et beaucoup de we, il est difficile d'imaginer ce travail donné gratuitement (encore que du côté de ce que touchent les auteurs on n'en est pas loin, mais c'est un autre débat). Je vais prendre un autre cas plus en rapport avec notre sujet. Pas mal de monde attend d'en savoir plus sur eVscope et Stellina, pour le moment seul C&E a fait une prise en main de ces produits. Ah non pardon il y a aussi un "test "sur youtube du Stellina, tu peux aller voir, .... accroche toi. On pourrait multiplier ainsi les exemples à l'infini, mais l'information juste ça se paye, quand c'est gratuit, le produit c'est toi (pub). Quasi le seul contre exemple c'est wikipedia, mais tout n'est pas juste dessus, c'est loin d'être complet sur des sujets pointus, c'est loin d'être à jour dans un domaine comme le notre (est ce que les distance Gaïa ont été intégrées par exemple), les liens vers les sources sont souvent cassés, comme dit @Motta c'est plutôt un complément qu'autre chose. Parfois c'est aussi un point de départ avant d'approfondir dans les livres. J'ai un très grand respect pour les gens que tu évoques, mais aucun d'eux n'est bénévole. Si leur contenu est en accès gratuit c'est parce qu'ils sont sur des sites très fréquentés et ils parviennent à se rémunérer un peu avec la pub. (Donc le produit c'est toi, le Monde a vendu ta visite à l'annonceur). Je sais qu'au moins dans le cas de l'un d'eux il est payé en droit d'auteur en fonction du nombre de clic. C'est un peu beaucoup précaire, heureusement qu'il ne compte pas que sur ça pour vivre. D'ailleurs, ce modèle n'est pas suffisant, il ne t'aura pas échapper que le site du Monde n'est pas sur un modèle tout gratuit. Ils espèrent bien te fidéliser pour t'amener vers l'abonnement (ce qui est bien légitime). Le problème du web et de la pub c'est que les sites internet sérieux comme celui du Monde sont en concurrence avec les site "pute à clic", qui eux n'ont pas d'effort à faire pour créer des contenus "vous ne devinerez jamais qui partage la vie de la célébrité n°40 de notre diaporama" . Du coup la valeur du clic a été fortement dévalorisée, et tout le monde est en train de revenir de ce modèle économique. Rue 89 a disparu, Médiapart existe toujours, et les site d'infos qui hier étaient gratuits passent de plus en plus vers le payant. C'est aussi ce qui a été fait à C&E d'ailleurs. Si vous voulez soutenir du journalisme pro en astro, vous savez comment faire Bref l'info de qualité ce n'est pas gratuit, ...
  10. 2 points
    Bonjour à tous les chasseurs de comètes, Je vous fais part de l’observation d’une nouvelle comète en toute fin de nuit : C/2018 V1 Maccholz- Fujikawa-Iwamoto. Il est maintenant très rare qu’une comète soit découverte à l’ancienne, c’est-à-dire en cherchant visuellement, c’est le cas de celle-ci ! Voir les infos sur http://www.astrosurf.com/topic/122816-c2018-v1-6-mag-4-décembre-2018/?tab=comments#comment-1600178 et aussi sur le site https://www.skyandtelescope.com/astronomy-news/observing-news/machholz-12th-comet/ pour la carte entre autres. Consultez aussi l’incontournable site http://www.aerith.net/comet/weekly/current.html Il est grand temps de l’observer en toute fin de nuit le matin car son élongation diminue et donc sa hauteur sur l’horizon, risquant alors de ne plus être visible, d’autant plus la Lune arrive en fin de semaine à la fin. Hauteur de l’ordre de 18° au tout début du crépuscule actuellement et plus bas encore à moins de 10° environ 10 jours après pour finir dans les lueurs du levant. Il faut l’observer à la limite de la nuit noire, c’est-à-dire juste avant le tout début du crépuscule astronomique le matin. Toutefois son éclat augmente en même temps qu’elle disparaît dans le levant. Dans 2 semaines, ce sera sans doute trop tard. Voilà mon observation ce matin du 13 novembre à 5h TU avec un TN 120x45 : mag m1 mesurée à 9,4 (méthode M), diamètre 1’ d’arc donc toute petite, DC = 6 donc bien contrastée. Observée aussi avec un TN 250x80, elle était facile, bien contrastée, ronde sans queue apparemment mais un petit doublet stellaire dans l’axe de la queue théorique a pu gêner. Le filtre C2 est efficace ! Une photo faite par Jean-François Soulier montre bien son aspect aussi bien visuel que photo (voir http://lesia.obspm.fr/comets/lib/display-obs1.php?Num=19976 ) Par comparaison, j’ai observé un peu avant la comète 38 P/Stephan-Oterma avec le même matériel : Au TN 120x45, mag m1 mesurée à 10,7 (M), dia 2’ d’arc, DC 4 environ. Son aspect est assez différent puisqu’elle est plus grande mais surtout moins contrastée et étant de brillance moindre, sa visibilité est bien moindre. Au TN 250x80, on s’aperçoit que c’est surtout son faux noyau qui est le plus évident car le reste de la coma est bien peu contrasté. Filtre C2 efficace sur la coma mais pas sur le faux noyau. Un dernier mot pour dire que 38 P/ était dans le champ de l'amas ouvert NGC 2420, nettement plus grand et plus brillant que la comète.
  11. 2 points
    (je poste ici parce que le sujet peut intéresser les astrophotographes, les admins laisseront un fil) Salut à tous J'ai enfin trouvé le temps ce week-end de m'attaquer à des données acquises au printemps sur Jupiter avec un Star Analyzer. Quand j'ai commencé à utiliser cet accessoire d'initiation, j'ai découvert qu'en orientant la caméra correctement, on obtenait un spectre où les bandes et zones de la planète sont visibles, comme autant de sous-spectres. J'ai cherché à extraire ces sous-spectres pour tenter de mettre en évidence les différences de couleur et de luminosité. Pour info le spectre de départ ressemble à ça : En utilisant IRIS, j'ai effectué différents types de corrections géométriques pour parvenir à fenêtrer les principales bandes et zones de la planète, ici la Zone équatoriale, les deux bandes équatoriales, et la Zone tropicale sud (celle de la GTR). EZ et STrZ présentaient cette année des teintes un peu inhabituelles et affirmées, jaune pour l'EZ, et blanc/bleu pour la STrZ. Les spectres ont été corrigés de la réponse instrumentale et de l'extinction atmosphérique en utilisant Zubenelgenubi comme étoile de référence (Beta Librae, située juste à côté de Jupiter à l'époque. Pour aller au fait, en calibrant les spectres entre eux j'obtiens le résultat suivant : Le résultat montre correctement le fait, par exemple, que la STrZ était à ce moment-là la région de la planète la plus lumineuse en UV/B. Sur les images ça donne ça, c'est cette zone qui est cramée en bas : Le graphique montre également la teinte jaune de la Zone équatoriale (forte pente de luminosité en B) ainsi que l'éclat plus faible des deux bandes équatoriales. Voici quelques-uns de ces sous-spectres traités avec Rspec: Pour finir, la calibration en longueur d'onde du spectre global m'a permis d'extraire quelques coupes photométriques à des longueurs d'ondes choisies (principalement les Johnson mais pas que) et qui sont cohérentes là-encore avec les différences de couleur constatées sur les images: L'idée est de poursuivre ce travail dans les prochaines années pour tenter un suivi un peu plus objectif des couleurs de la planète. J'ai quelques autres idées aussi sur lesquelles il faut que je travaille...
  12. 2 points
    Hello Je vous propose toujours ce petit trognon de M76 mais cette fois je suis passé sur un plus gros calibre pour lui tirer le portrait , j’ai pu grâce à l’équipe de C2PU ( David Vernet et Jean Pierre Rivet que je remercie au passage ) bénéficier d’un peu de temps sur un des deux télescopes d’un métre de C2PU ( le télescope Epsilon ) , le setup optique était configuré en mode cassegrain avec un réducteur 0.67 X ce qui donnait une focale de 9 métre environ , en fait j’avais depuis un certain temps l’idée de mesurer le potentiel de cet instrument avec la technique des poses courtes notamment sur quelques petites nébuleuses planétaires je vous livre donc ce tout premier test , il résulte d’un stack de 1010 images avec une expo unitaire de 3 sec et une caméra ZWO 1600 refroidie , côté traitement autant dire que j’en ai un peu bavé,en cause une trame horizontale persistante , malheureusement un peu habituelle avec cette technique de pose courte et avec des caméras CMOS , en fait pour limiter les dégâts j’aurais dû faire du dithering, comme le télescope n’était pas asservi sur une étoile guide je pensais que cela devrait un peu arranger les choses mais bon visiblement ça n’a pas suffit .la première image est une brute issue du fichier vidéo au format SER ,la deuxième une image monochrome issue du stack traité sous SIRIL avec un tri à 90 % basé sur la FWHM des étoiles qui tourne autour de 1.4 ‘’ pour les meilleures images et un peu cosmétisée( merci encore à RV pour ses précieux conseils ) pour diminuer au mieux cette fichue trame mais en essayant de ne pas trop altérer les informations de l’image, et enfin une image LRVB ou j’ai relevé un peu le niveau des faibles extensions et ou je me suis permis de rajouter pour le fun les couches couleur de ma précédente image réalisée avec mon scope perso ( C11 )qui avait servi la veille pour shooter le même objet en LRVB . Comme on peut le constater l’image manque beaucoup de signal notamment dans les extensions ,le constat est simple il faudra la prochaine fois poser largement plus 5 ou 6 heures par exemple et sans doute descendre un peu le temps d’exposition question d’arranger encore la FWHM, sinon pour info l’étoile centrale qui est parfaitement dédoublée ici affiche une séparation de 1.3" (01423+5134CUD dans le catalogue WDS ) enfin côté échantillonnage je pense qu’on a de la marge avec pratiquement 0.1’’ /pix , ceci considérant la turbu moyenne du site et les durées de pose plus proche de la seconde que de la millisec Dominique
  13. 2 points
    bonjour à tous et à toutes : comme il fait mauvais , j'ai fait cette mosaïque avec des images faites le 24 avril ! c'est perfectible , je suis limité sur les ondelettes avec le centre d 'alphonse et le cratère en haut à gauche de ptolémée ! CFF 300 f/d de 20 AQSI 178mm filtre rouge as2 5% ondelettes iris + imerge : bon ciel ! polo
  14. 2 points
    Salut à tous, Pour fêter le 20è jour nuageux consécutif, je vous poste cette image d'un filé d'étoiles autour de la coupole Schaumasse de l'Observatoire de Nice, faite en août. Lointain souvenir d'une époque maintenant révolue où le ciel était dégagé le soir... C'est la somme de 676 images de 30" de pose (~5h40), faites avec un Canon 60da et un objectif 8mm à f/4.6, 2000 asa. On devine la coupole qui a beaucoup tourné ce soir là (elle commence à rouiller, maintenant). Pendant que j'observais mes étoiles variables, mes collègues observaient au pied de la coupole avec un C8 Edge et un Dobson 350. J'ai un peu triché dans les coins. Avec une telle focale, les coins sont noirs. Heureusement, il y a des arbres qui masquent un peu le noir, puis j'ai fini au pinceau à cloner. J'ai additionné les images sous Iris, puis j'ai fait les coins sous PaintShop Pro. Matthieu
  15. 2 points
    Cadeau pour toi Yves, voici la preuve qu'on peut dessiner un amas ouvert riche sans trame stellaire (je dis ça pour les débutants qui ont envie de se lancer) et il s'agit justement de NGC 7789 (dessin de 2006). Je dois avouer qu'en 2018, le courage me manque parfois pour récidiver... C'est effectué au T356 x 337, voyez comme il y a de faibles duos et 344 étoiles ont été pointées. Il est possible qu'il y ait des déformations dans certains secteurs d'étoiles. Désolé pour le vieux scan publié (il est de la même époque) et il y a bien sûr inversion gauche-droite propre aux SCT avec renvoi coudé (cela est signifié dans l'orientation). Je l'avais certainement comparé à une photo jadis et je ne me souviens plus quelle note je m'étais mis. Je me rappelle juste que la partie dessinée n'est que la zone centrale de l'amas. Fabrice M.
  16. 2 points
    Je vois que que mes images vous plaisent si vous insistez je vous montrerait une photo de Superfulgur de 1988 en short avec une jolie brune en train de tester le Celestron Compustar ... maintenant vous savez d'ou vient mon pseudo
  17. 2 points
    Ah oui ça les amis perso je recommande... Mais j'ai l'intention d'ouvrir un fil (que j'espère serein) sur ces instruments , ça fera une cartouche pour bien se marrer... Le type qui fait le "test" dit notamment qu'on peut voir Andromède avec, ça d'accord, mais que, évidemment, ça n'est pas comme dans les images qu'on a l'habitude de voir... Sur ce, il montre une photo d'Andromède, classique, banale j'allais dire... Puis il explique que bien sûr dans l'instrument ça n'est pas comme ça qu'on la voit parce que.... attention.... ce genre d'images d'Andromède, eh bien ce sont des....... "vues d'artistes" !! Whaou... Le type certainement quatre minutes avant de faire sa vidéo il n'avait jamais entendu parler d'astronomie.... Donc en effet c'est un très bon exemple, quand on compare aux articles sérieux, précis, dans C&E, de ce que donne le gratuit comparé au professionnel. Avec les deux articles de Jean-Luc, pour ma part c'est la première fois que j'ai des infos fiables et structurées, pas seulement des bribes, sur ce que sont réellement l'Evscope et Stellina, pas sur ce qu'ils promettent, ou devraient être, etc. etc., sur ce qu'ils sont concrètement. Dans un journal payant. Et c'est tout à fait normal de payer quand on a la garantie du sérieux et du professionnalisme - et ça se voit tout de suite en lisant.
  18. 2 points
    Je vais prendre moins de gants que mon ami Motta. Sylvestre Huet est journaliste et payé pour, et s'il n'y avait pas des professionnels payés en amont pour faire de la recherche, il parlerait assez vite de la pluie et du beau temps. Guillaume Canat, ben, Il collabore avec des journaux, des radios, il écrit des livres... Ce qu'il fait est très bien, mais je ne crois pas que ce soit de la philantropie pure, et ne négligeons pas l'intérêt, en terme d'image, qu'il peut avoir à faire un blog. Ce n'est pas une critique, j'admire ce qu'il fait, et c'est très profitable aux amateurs de science, mais ça fait partie d'un tout.
  19. 2 points
    T'es sacrément optimiste toi ! Comme si c'était pas possible de faire un mauvais correcteur... Et là il y en a deux !! Ça a l'air d'être une sacrée usine à gaz de mon point de vue. Mais bon pourquoi pas, si c'est bien fait. Ils annoncent un champs corrigé de 62 mm. Qui va faire du ciel profond à FD10 ???
  20. 2 points
    La magnitude surfacique se calcule (c'est bizarre mais c'est comme ça !) en additionnant à la magnitude de l'objet 2,5 fois le logarithme de sa surface (nombre de secondes carré ou minutes carré) pour obtenir la magnitude moyenne d'une portion d'une seconde (ou minute) carré de cet objet. Dans le cas de NGC 7000, vu comme c'est étendu, log(S) multiplié par 2,5 fait grimper la magnitude par portion de surface bien comme il faut, ce qui explique que l'objet est plus galère à observer qu'on pourrait croire. Cette nébuleuse ne doit qu'à sa grande surface sa magnitude assez faible, "somme" (pas dans le sens purement arithmétique, mais intégral) des magnitudes assez élevées des nombreuses "petites portions" qui constituent cette "grande surface". Ainsi pour les objets étendus la magnitude n'est pas très appropriée pour rendre compte de ce qu'on voit... Là où ça se complique, c'est si la magnitude surfacique n'est pas uniforme ! Un exemple sorti récemment dans un post très intéressant de @yves65 (rubrique observation visuelle) est celui de M33 est ses bras spiraux. Une parcelle d'une minute carré de M33 a en moyenne une magnitude de 14,1. Sauf que cette valeur ne nous renseigne pas sur la facilité ou difficulté à voir les bras spiraux, par exemple, car leur magnitude surfacique est plus basse ("ils brillent plus" ) que la moyenne de la galaxie. Bon, dans ce cas précis c'est à l'avantage de l'observateur, mais celui qui se baserait sur cette même valeur moyenne pour espérer au contraire voir la matière entre les bras dans un instrument de petit diamètre l'aurait probablement dans le baba On voit que la notion de magnitude surfacique a elle aussi quelques limites ! Dernier point, il faut être sûr que l'on parle bien de magnitude visuelle et pas de magnitude photographique. Car l'oeil est plus sensible à certaines longueurs d'onde (maximum dans le vert) qu'à d'autres (rouge et tout ça...). Ce qui fait que pour une magnitude photographique (même surfacique) égale, une nébuleuse planétaire toute verte sera très bien perçue à l'oculaire, alors qu'une nébuleuse riche en hydrogène émettant surtout dans le rouge sera quasiment voire totalement invisible sans filtre (les exemples ne manquent pas : Rosette, Tête de cheval... accroche-toi ! ). Je crois me souvenir que la nature de la magnitude est précisée sur Stellarium, au moins dans certains cas... En conclusion, le mieux c'est de se fier juste un peu aux données fournies par le logiciel, puis surtout tester. Même sur plusieurs semaines, dans des conditions différentes de transparence, avec ou sans filtre, etc. Et ne pas jeter l'éponge dès la première tentative plantée !
  21. 2 points
    Oui @iblack, tu as tout à fait raison sur les sites dont tu parles, évidemment. Mon propos n'était pas du tout contre ces sites, et bien au contraire puisque je les lis également. C'était un propos qui visait autre chose. Avec lequel les auteurs que tu cites, du reste, il me semble, seraient d'accord. Déjà, parce que parfois ils écrivent des livres (pense à Guillaume Cannat... De très bons livres du reste : et on trouve chaque année dans son Guide du ciel, c'est un bon exemple, des infos beaucoup plus détaillées que celles qu'il met sur son blog en accès gratuit, et tout cela très structuré, etc....) Ensuite parce que tu cites aussi des journalistes, qui sont (et encore heureux !) rémunérés pour leur travail. Si les personnes que tu cites faisaient du tout gratuit, ils ne pourraient pas vivre, tout simplement... Du reste tu trouveras chez Sylvestre Huet une défense constante du financement du savoir et de la recherche. http://huet.blog.lemonde.fr/2017/10/08/budget-de-la-recherche-2017-la-verite-est-dans-le-bleu/ http://huet.blog.lemonde.fr/2018/10/22/antoine-petit-cnrs-et-les-stars-de-la-science/ Voilà, je ne sais pas si j'ai été clair, mais voulais dire ça, pas plus. En résumé que : 1/ Sur la question du livre, et je pense que S. Huet, P. Berthémémy, G. Cannat, etc. seraient d'accord : oui pour les papiers web, les blogs, qui éveillent, qui informent, mais sur le fond, on acquiert des connaissances solides qui sont les fondements avec les livres (et les articles détaillés). 2/ Sur la question de la gratuité : oui pour les blogs etc., qui donnent des infos, qui éveillent là encore, etc., c'est essentiel, mais il n'y a pas de modèle économique défendable du tout gratuit, sinon il n'y a plus les moyens de construire des connaissances solides, ni même de la vulgarisation bien faite. Parce que les connaissances, et même la vulgarisation bien faite, ça suppose du temps, donc des gens qui bossent sur ça (de l'astronome amateur au moins défrayé quand il participe à des missions scientifiques, au journaliste scientifique, jusqu'aux chercheurs, etc.) Je dis que trop faire de la gratuité une valeur, c'est dangereux. Perso je suis content par exemple de payer mon journal, parce que je sais que derrière ça permet à des journalistes d'en vivre et de bien bosser. Et je sais que si je ne veux plus payer mon journal, le modèle économique c'est : 20mn. Non merci... PS : sur pas le client mais le produit oui, c'est ce à quoi je faisais référence, on est d'accord.
  22. 2 points
    C'est marrant, mais j'ai toujours dit à mes voisins observateurs (visuels) que pour reconnaitre Neptune, c'était le point brillant à côté de Triton ... et je confirme à chaque fois, c'est à dire que le couple serré Neptune Triton est unique dans les objets observable, où on voit bien ce petit point lumineux à côté de la planète... disons que dans un T400mm c'est flagrant - dans un 250mm c'est sans doute moins évident, mais avec "seulement" 5.6 magnitudes d'écart (le plus faible des Planètes visibles) entre Neptune et son principal satellite, ce dernier est facilement identifiable - à moins de 7 diamètres de la planète mère! Nicolas
  23. 2 points
    Ben oui, quand même, et c'est très différent. Si tu veux trouver la même quantité d'infos fiables sur internet que dans un livre vraiment bien fait par un bon (ou très bon) spécialiste d'un domaine, compte tenu du temps de recherche et de "tri", c'est juste une perte de temps totale. Internet, ça complète ce que tu peux apprendre dans de bons livres, mais en gros c'est tout... Défi : trouve moi sur internet la même quantité d'infos précises, avec une présentation intelligente des enjeux, etc. etc., en planétologie, que dans un livre de synthèse (mettons le Planétologie en coll. "Sciences sup" chez Dunod). Rien que le temps qu'il te faudra pour trouver toutes les références de sites, pour faire le tri, etc., etc., un lecteur aura déjà fini le livre et assimilé les connaissances qui s'y trouvent...
  24. 1 point
    Bravo Polo, avec une belle calotte polaire bien brillante JC
  25. 1 point
    Merci à tous pour vos commentaires c'est sympa mais on va rester cool sinon désolé pour la longueurs de mes réponses oui pour la trame dur dur ! on feras ce qu'il faut la prochaine fois lors de l'acquisition en fait c'était vraiment le premier éssai avec cette technique et ce télescope et comme les poses unitaires laissait à peine entrevoir les extensions et que je savais que je ne pourrais pas shooter toute la nuit j'ai préféré ne pas trop descendre l'expo merci pour l'info pour le detrammage dans siril et pour les liens , mais je l'avais utilisé et je doit dire sans amélioration notable , mais je vais peut être retenter la chose ,sinon je me suis rabatu sur un tuto photoshop pour les pb de trame avec un certain succés Merci Papilain c'est sympa Oui effectivement à terme je pense que ce sera le but du moins pour l'instant avec ce télescope là et cette config mais pour un tout premier test j'ai voulu assurer avec un objet pas trop faiblard oui je vous l'accorde ce n'est pas la config idéale mais j'ai fait en fonction des disponibilité des instruments mais j'ai espoir de pouvoir passer sur l'autre télescope de 1 m qui peut disposer d' une config à F/D 3,3 et comme le précise superfulgur cette config marche d'enfer mais elle est peu disponible , le bénéfice évidement seras de pouvoir shooter plus court voire commençer à approcher les conditions du planétaire tout en restant dans les clous au niveau échantillonnage du moins au regard des conditions de seeing du site qui peut descendre au alentour de 0.5 /0..6 " par nuit trés calme ( mesuré sur le moniteur de seeing de la manip CATS ) d'ou l'intêret d'un échantillonage pas trop dégeu qd même lors de certaines nuits , par contre c'est vrai que lorqu'on va taper dans de trés petites nébuleuses il va falloir trouver le juste compromis entre résolution et signal sinon comme le signale EXAXE17 la turbu dégrade vraiment la FWHM à partir de qq dizaines de sec de pose , avant l'acquisition j'avais shooté qq poses à 60 s et la différence était notable avec mes images de 3 sec , Oui je confirme c'était le cas de ma derniére image de M76 au C11 même si la séparation était largement moins nette que sur celle du T1M au vu du temps d'expo c'est normal que le signal soit faible indépendamment des histoires de résolution si j'avais pu j'aurais shooter beaucoup plus longtemps et ça aurait changé la donne quant à l'autre config à F/D 3.3 le jour ou elle sera accessible avec des poses 10 x plus courte ,des expo de plusieurs heures et quand même plus de 3 métre de focale ça causera autrement , sinon là c'est vrai qu'on est largement sur échantillonné et encore j'ai utilisé un réducteur mais bon j'ai fait avec Bon ciel à tous Dominique
  26. 1 point
    Salut mon ami Pierre Alain, tu as bien réussi ton coup, c'est superbe, mais en regardant en visuel c'était aussi superbe, encore merci pour cette excellente journée passé en votre compagnie , c'était un régal , quant on est rentré avec Léandre on a essayé mais sans succès , pour une prochaine fois A bientôt mon ami
  27. 1 point
    Voilà un beau projet, dans cette région aux nuits cristallines ( en Creuse, avec mon ancien 250 , j'en voyais à peine moins que dans mon 400 actuel sous un ciel moyen..) un gros Dobson y fera des merveilles, et cela redonnerait une belle structure astro dans la région , si l'observatoire des monts de Guéret est toujours en sommeil (? ). Ahlala, et les photos du C14 dans les Tassili du Hoggar, qu'est-ce que ce reportage de C&E avait fasciné l'ado astram que j'étais, observant avec une lulu 60/800; j'y ai repensé en voyant le haut de la Croix du Sud à Ténérife au printemps entre les bords de la caldeira ( il y avait une superbe photo du ciel saharien avec la Croix entre les dunes...). Et l'année d'après, c'était l'expédition astro-alpinisme de l'Ojos del Salado, jusqu' à 6400m je crois, dans les pénitents de glace du volcan...quelle époque!
  28. 1 point
    Bientôt le champagne pour fêter ça Alain
  29. 1 point
    Merci Alain Tu sais, AG33 a été créée à la base pour faire de l'animation... on aime transmettre, c'est super valorisant Je prépare d'autres CR... je suis à la bourre
  30. 1 point
    La magnitude globale, qui s'exprime en magnitudes, mesure l'éclat de l'ensemble de l'objet. Exemple : magnitude 5 pour NGC 7000. La magnitude surfacique, qui s'exprime en magnitudes par minute d'arc carrée (ou par seconde d'arc carrée), mesure la densité de lumière. Exemple : magnitude 14 par minute d'arc carrée pour NGC 7000. Ce sont deux choses différentes. Il est donc normal que les valeurs numériques soient différentes. C'est comme pour la population : il y a 65 millions d'habitants en France, et 110 habitants par kilomètre carré en France. Ce n'est pas la même chose qui est mesurée : ce n'est pas la même valeur numérique. Ce qui complique les choses, c'est que l'échelle des magnitudes est « logarithmique » (comme les décibels, ou les intensités des séismes). On sait qu'un objet 100 fois plus brillant a une magnitude de 5 unité plus petite (c'est la définition des magnitudes). Imaginons une nébuleuse qui fait 100 minutes d'arc carrés et a une magnitude surfacique de 10 par minute d'arc. Puisqu'elle est 100 fois plus grande qu'un carré de 1 minute d'arc carré, elle sera 100 fois plus brillante qu'un tel carré (un centième de la nébuleuse). Donc elle aura la magnitude globale 5 (10 moins 5). NGC 7000 est nettement plus grande que ça, ce qui explique la différence importante entre la valeur numérique de sa magnitude de surface et la valeur numérique de sa magnitude globale.
  31. 1 point
    bonjour On dédouble également la centrale avec un C11HD en longue pose classique sous un ciel correct , 1.3" d'arc d'écartement ce n'est franchement pas trop compliqué à résoudre avec un tel telescope, sauf à faire un barbecue devant l'ouverture du tromblon... Ici il aurait fallu bosser en longue pose + autoguidage, compte tenu de la magnitude surfacique de l'objet... c'est évident. Donc pas de miracle avec la pratique des courte poses sur de tel objet. Mais pour rester sur une note positive : c'est bien d'avoir essayé... Christian
  32. 1 point
    Excellent travail Christophe ! Je trouve ça très intéressant ça me donne envie d’essayer ! Faut que j’investisse dans ce petit accessoire pour tenter la manip et découvrir la chaîne de traitement et réduction des spectres Par contre on risque d’être assez vite limité avec nos montures AZ...
  33. 1 point
    Ah ! Merci @Kirth et @jldauvergne, j'avais l'impression de parler chinois ça me faisait bizarre...
  34. 1 point
    beaucoup font de la photo sans..... mais après c'est un choix Perso je fais sans, aucun soucis. Carte du ciel connecté à la monture, le pointage se fait "finger in the nose"
  35. 1 point
    Je parle du groupe proche du foyer dont les défauts éventuels ont moins d'impact que les autres éléments optique dans le train. Avec les moyens de prod de syntha il n'y a pas de raison qu'il soit mauvais en terme de surface. En terme de traitement c'est autre chose. Le groupe devant le secondaire si il y en a un est plus sensible (mais toujours moins qu'une lame de SC ou un menique de Mak). Un Edge sur le papier c'est un peu une usine à gaz, mais dans la pratique ça fonctionne pas plus mal qu'un SC. Regarde aussi là où on va le plus loin en résolution c'est en planétaire, on passe à travers 2 lentilles dans la Barlow, deux prismes, un filtre, le hublot du capteur, et pour les Edge tu ajoute un correcteur et une lame de fermeture. Ca fonctionne Ou encore regarde les optiques photo, il y a souvent 16 à 18 lentilles traversées, or pour les optiques haut de gamme là encore ça fonctionne. Mais tu as raison de souligner que ça doit être bien fait, c'est clair. L'ajout d'éléments optiques que simplifie pas, c'est une évidence. Les Mewlon nouvelle version sont aussi corrigé et à f/10. Ce n'est pas incompatible avec l'ajout d'un réducteur. Idem pour les Edge. Pour un télescope que tu utiliserais en remote au Chili par exemple partir de f/10 n'est pas forcément absurde si tu utilises un KAF16803 ou un FAF 09000 (12µm, ça ne fait que 0,8"/pix, ce n'est pas dingue). Sous nos contrées avec 2 ou 3 " de seeing c'est une autre histoire.
  36. 1 point
    Pascal, si tu fait un dessin du SC tu va te rendre compte d'un certain nombre de problèmes déjà remontés par Kirth : Le primaire est en général ouvert à 2 (sauf C9), donc le faisceau (cylindrique, on fait abstraction de ce qui se passe par la lame) se transforme en un cône dont le foyer se situe un peu après le secondaire. Ce cône est intercepté par le secondaire qui va amplifier la focale (d'un facteur x5 environ, sauf C9 encore une fois) pour que le sommet du cône (le foyer) se situe un peu après l'arrière de l'instrument. Avoir un rapport final de 10 c'est donner une indication sur l'angle du cône tu est d'accord ? Donc avoir un SC ouvert à 6 ou à ce que tu veux c'est tout à fait possible, il suffit de changer la "force" du secondaire. A la limite, un miroir plan et tu aura un SC ouvert à 2. Sauf qu'il faudra bien sur aussi rapprocher le secondaire du primaire pour que le foyer sorte du tube ... logique non ? Et rapprocher le secondaire dit aussi intercepter le faisceau plus tôt donc un secondaire plus "large". Grosso modo, un SC ouvert à 2 (secondaire plan) aura un secondaire de la moitié du diamètre du primaire ... donc une obstruction de 0,5 !!! Au contraire, si tu intercepte le faisceau un peu plus "tard" le cône est plus petit, l'obstruction plus faible, et si ton secondaire est à x7 pour sortir le foyer, ton F/D final sera de 14 (moi je préférerais mais cela ne se fait pas). L'ouverture de F/10 est un compromis, compromis qui date des années 70 (ça fait un bout) où les newtons étaient généralement entre 6 et 8 ... F10 c'était pas une grosse révolution. Sinon, autre option : en Fastar, tu vire le secondaire et tu te colle au foyer du primaire (à F2 donc). Si c'est trop peu, un doublet divergent x2 ou x3 te donnera F4 ou F6 à volonté. Cela me semble plus aisé ! Problème c'est un peu contre nature de l'esprit Fastar, surtout pour atteindre F6 que tu a avec un correcteur, ... mais cela marchera (personne n'a fait ça à ma connaissance). Marc
  37. 1 point
    bravo christophe! sujet très intéressant ! polo
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  39. 1 point
    salut les amis, He bein, je ne comprendrais jamais ces gens là à vouloir prendre le photos des autres et rammasser les lauriers mais après ça, quel plaisir ressentent ils ? C'est vraiment des nuls pour faire ça et moi aussi, ça me dégoute. Bref, je préfère 1000x mieux m'occuper que de mes images que je fais car je ressents à chaque image, un plaisir immense à avoir réussi une image qu'elle soit belle ou moche et donc loupée mais au moins, je sais le temps que j'y ai passé entre mettre en place le setup et faire tous les réglages etc... De toutes façons, les plagieurs peuvent toujours essayer de me voler mes images mais pour celle-ci que j'avais faite vers 2007 de cette belle nébuleuse du Crabe, je suis sure qu'il ne me la voleront jamais car il y a que moi qui sache ou je l'ai photographié et je l'a reconnaitrait entre 1000 photos de la meme Et le setup pour cette belle image de M1 bien cuit était ; TSA 102 + 40D + un super réducteur qui m'avait divisé par 3 la focale. Magique non ? Franck
  40. 1 point
  41. 1 point
    D'accord avec les derniers intervenants, je préfère de loin les bouquins. Je passe beaucoup de temps sur le web, mais c'est difficile pour moi de lire des longs textes, encore moins un livre complet ! Par contre un article en ligne peut-être corrigé rapidement et remis à niveau si une découverte significative est faite. Et la quantité d'info disponible (et gratuite), sur de nombreux thèmes, est presque illimitée... pour mon "temps de cerveau disponible" !
  42. 1 point
    Hello hello Je crois que c'est l'objet à aujourd'hui avec lequel j'ai eu le plus de mal Cela aura été très très dur pour réussir à sortir cette beauté !!!!!!! J'ai même failli l'abandonner - ciel horrible en Septembre et Novembre, - correct en Août, - 2 sessions à la poubelle en Octobre, - darks loupés en septembre, - plantage firecapture en Novembre, - magnitude surfacique très faible, - lune présente ☹️ Je suis pas franchement enjoy car je peux faire plus mieux avec ma "Dent" mais voili voilou. Je stoppe ici Je préfère continuer une belle avec une quantité dingue galaxies dans le champ A peluche David https://www.astrobin.com/full/375821/0/?nc=Shaihulud&real&mod&fbclid=IwAR1dxgpzZjEvVPPuu4uBzuk9By7V8ZuFk2zx5y9d1CjB_GOZVK30TGmS8Ic
  43. 1 point
    à 70%, la texture devient délicieuse ! à ouvrir en pleine trame bien sûr.
  44. 1 point
    Christian ! Comment peux tu seulement imaginer qu' un e telle image nous laisse indifférents !! Pffff ! jean Marc
  45. 1 point
    Un petit passage de ciel clair ce midi, ça change des passages nuageux Vénus à 10,5° du soleil maintenant, 1,6% d'illuminé. Quelques vues volées à la turbulence qui a tenté de faire une bouclette avec le terminateur sur la dernière
  46. 1 point
    Je te propose, comme le dit Michel, de repartir à la base, depuis les objets. En gros il y a trois types de champ envisageables en première approximation : - Le grand champ, par exemple avoir M31 sur un seul champ ou faire de grandes nébuleuses. Pour cela, on part plutôt sur des réfracteurs courts (FSQ106), ou un petit newton comme l'Epsilon 130, ou des instruments spécialisés comme les Ackerman Rowe ou les SCT en hyperstar. On est dans des focales de 500/600mm, voir moins. On échantillonne à 2-4"/pixel. Le seeing est négligeable. - Les groupes de galaxies ou des détails de grandes nébuleuses, le catalogue sharpless et compagnie. La règle implicite, c'est qu'on double la focale pour être dans la plage 800-1200mm. On va faire M65/M66, la triplette du lion, le golf de north america, de grandes NP comme Helix voir des mosaïques sur des objets un peu plus grand comme california. Là on a le choix des grands réfracteurs (130/150mm), ou des newtons de 250/300mm. Sachant que les seconds donneront plsu de signal, mais au prix d'une complexité un peu supérieure, mais gérable en poste fixe. On passe ici à autour de 1" par pixel, le seeing pointe son nez. - Les petits objets (galaxies, NP...) et on double encore la focale, et plus (donc 2m ou plus). Là le seeing redevient important. On cherche la résolution limite, soit moins de 1"/pixel en imagerie classique, voir moins de 0,5"/pixel en lucky imaging. Un autre point à prendre en compte, c'est qu'un astrographe, comme un newton, sera pas vraiment bien utilisable en visuel car il sera accastillé avec son focuser/correcteur, et que le foyer sortira vers l'axe Dec de la monture, donc avec une position acrobatique à l'oculaire. Pour commencer sérieusement, les choix 1 et 2 sont moins contraignants que le 3 qui demande un ciel décent. En revanche le grand champ demande lui un ciel de bonne qualité en termes de PL. La PL est moins gênante au traitement avec un champ serré. Voilà donc le choix structurant.
  47. 1 point
    Ben justement, c'était tout l'objet de mes questions (auxquelles tu n'as pas répondu). Il me semble que tu pars bille en tête sur du matériel très lourd et encombrant, sans avoir peut-être bien mesuré le rapport plaisir/emmerdement que ça va te procurer. Si tu veux rester petit amateur, pourquoi tout de suite cette débauche de moyens ? On peut se faire énormément plaisir avec 2000 euros, et on peut largement se faire chier avec du matos trop compliqué, trop lourd, trop cher. D'où mes questions : - quels objets veux-tu privilégier ? - comment est ton ciel ? - poste fixe ou nomade ? - as-tu de bonnes connaissances en informatique ? C'est pas obligatoire, mais quand on démarre la CCD il vaut mieux savoir un minimum retrouver ses fichiers et bidouiller quelques trucs Bref, le choix d'un T400 ou même T350, sur une aussi énorme monture, n'est-il pas disproportionné ?
  48. 1 point
    Bordel, pourquoi personne ne vole jamais MES images ?? C'est vachement vexant !!
  49. 1 point
    moi j'en connais un qui fait une image de la Corse du bord de mer. On voit qu'il y a des trucs bizarres dans l'image, mais tout le monde est heureux d'y croire et c'est trop bon car son image a le semblant de la Corse et les gens sont heureux. Et depuis mon arrivée? , plus de nouvelles Faut il éduquer les autres? non, il faut les laisser médire continuons tous à nous faire plaisir et à partager notre bonheur tout simplement
  50. 1 point
    La forme du Soleil, bien trop découpée, lisse et régulière, notamment la partie en bas derrière les nuages qui doit traverser une couche d'atmosphère énorme vu la très faible hauteur du Soleil. Et surtout, il est facile (même sans informations instrumentales) de calculer la distance à laquelle doit se trouver le photographe pour que les dimensions angulaires du Soleil et du Sacré Cœur soient cohérentes, et là on voit qu'il faut se trouver à des dizaines de km de Paris...et à des dizaines de km de Paris va photographier le Sacré Cœur avec une telle netteté ! (il faudrait déjà qu'il soit visible, or la région parisienne est assez plate avec énormément de constructions)... Bref, c'est une photo physiquement impossible à réaliser. Ce n'est d'ailleurs pas le seul photomontage de ce "photographe" (français ) dont le pseudo est Vegastar Carpentier : http://spaceweather.com/archive.php?view=1&day=16&month=07&year=2012 http://spaceweather.com/archive.php?view=1&day=12&month=05&year=2012 (on peut faire le même calcul avec la Tour Eiffel et montrer que la distance de prise de vue doit être gigantesque, des dizaines de km, alors que la photo est censée avoir été prise tout près, depuis "le pont de la Concorde" )