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Affichage du contenu le plus aimé le 06/04/2019 dans toutes les zones

  1. 14 points
    Bonjour, je ne résiste pas à vous présenter une image non aboutie, mais les nuages vont s'installer et j'ai programmé d'autres cibles, je ne pourrai sans doute pas faire les couches couleur cette année ! Cette image est la résultante de 27 poses de 15 minutes en lum + 35 poses de 5 minutes en luminance bin1, ce qui fait 10 heures, les couleurs sont celles que j'avais faites avec un C11 , et que j'ai bidouillé, le résultat est que seule la galaxie et quelques étoiles autour ont de la couleurs, le reste de l'image est monochrome. L'imageur est un astrosib 360 + Moravian G4 16000, traitement Pix et PHP, acquisitions maxpilote en auto , et pour une fois un seeing correct de 2.2" sur pré images :). Je ne me suis pas trop préoccupé des étoiles qui n'ont eu droit à aucun traitements particuliers, j'y reviendrai lorsque j'aurai les bonnes couches couleurs. l'image croppé et réduite à 1300px : Version luminance only du champ complet ramené à 1300 px : http://astro.equinoxe.free.fr/images/images_constelations/chiens_de_chasses/test.jpg Version full luminance JC mario
  2. 10 points
    Bonjour a tous Une image qui date du 28 et 29 Mars dernier, et que je viens a peine de traiter pour cause de travaux dans mon appart! Il y a deux heures par couches soit 8h au total, toujours avec le 150/750 sur monture Heq5 et asi1600pro Les infos et détails technique se trouve ici: https://www.astrobin.com/399551/0/?nc=user Le Crop: V2 Info techniques : Instrument ou objectif:Skywatcher 150/750 Explorer BD Imageurs:ZWO ASI1600MM-Cool pro ASI 1600MM pro Monture:Skywatcher HEQ5 PRO (belt modification) Instrument de guidage:GSO 50mm Finder Guide Scope Caméra de guidage:ZWO ASI120MM-S Réducteur/correcteur de focale:Baader MPCC coma corrector Logiciels:siril, APT - Astro Photography Tool Filtre:ZWO LRGB 31 MM Accessoires:ZWO EFW 5x31 Résolution: 4388x3177 Dates:28 mars 2019 Images: ZWO B 31 mm: 24x300" bin 1x1 ZWO G 31 mm: 24x300" bin 1x1 ZWO L 31 mm: 24x300" bin 1x1 ZWO R 31 mm: 24x300" bin 1x1 Intégration: 8.0 Heures Échelle des pixels: 1,038 arcsec/pixel Orientation: 58,172 degrés Rayon du champ: 0,781 degrés Bon ciel et a bientot Guillaume
  3. 8 points
    Coucou les astro-sapiens ... C'est juste en passant.....coucher de soleil sur le Rhin ...avec le soleil dans le dos....rigolo comme phénomène ... ...bref, j'suis vieux...un rien m'épate
  4. 7 points
    Bonjour à Toutes et à Tous, Dans les Alpes du Sud, nous avons été gâtés par la météo pour la nouvelle lune de fin Mars. Une absence d'humidité digne du Chili : 25% en milieu d'après midi, moins de 50% en milieu de nuit. Résultat sur trois nuits, des valeurs étonnantes pour le SQM: 21.8 - 21.9, et 22.0 - 22.02 et 22.06 pour le SQML au zénith.. Le seeing a commencé par être très mauvais, 5" - 6", causé par les reste d'un épisode de mistral, puis s'est bien vite repris, d'abord à 2.0", puis à 1.6", pour les deux dernières nuits. Cela m'a permis de faire plus d'une douzaine d'observations, que je remets au propre progressivement. Je vous livre quelques exemples, dont vous trouverez les comptes rendus d'observation détaillés ici: http://www.deepsky-drawings.com/ "derniers dessins". En espérant une aussi belle NL le mois prochain, Bon ciel à Tous Bertrand
  5. 5 points
    Salut, NGC 6210 est une nébuleuse planétaire qui se trouve dans la constellation d'Hercule . Elle est située entre 4000 et 6500 AL de la terre. C'est difficile de situer exactement une nébuleuse planétaire.Le problème ,c'est qu'il est impossible de faire la différence entre une NP qui se trouve à 4000 AL d'une autre qui se trouve à 8000AL mais qui est 2x plus lumineuse! La Tortue est une NP bien brillante (mg surface :9) mais de petite taille, le cœur fait presque 18''. Il faut un échantillonnage serré pour différencier les détails entre eux. Elle est parfaite pour les poses courtes! J'ai utilisé ma barlow 2x avec du tirage, soit un rapport de 2,7x , pour le 300mm F4 c'est parfait! Comme d'habitude , j'ai additionné plusieurs nuits. J'ai commencé en avril 2018 mais le résultat me plaisait pas.. J'ai ajouté quelques nuits ces jours ci . j'ai totalisé 12500x500ms en 2018, et 50000x500ms cette année. Pour les extensions, j'ai utilisé des poses de 3sx2200. Dans le groupe des poseurs rapides j'ai posté une description du traitement que j'ai utilisé pour obtenir cette photo. http://www.astrosurf.com/topic/126019-differentes-etapes-de-traitement-de-ngc-6210-avec-siril/ En realité j'ai utilisé plusieurs nuits de même expo pour faire ressortir le max de détails que mon setup et le seeing me permettaient de faire. J'ai utilisé SIRIL pour l'empilement , la révélation des détails et le l’amélioration du fond. Après j'ai utilisé cs pour le mélange des calques et le peaufinage cosmétique C'est un drizzle 2x... l'image finale: un crop du centre avec une image du HST pour juste verifier que certains details sont présents sur mon image: puis un montage pour rendre compte de la dimension apparente de cette nébuleuse planétaire avec d'autres nébuleuses planétaires plus connues: cliquez pour la full: http://ekladata.com/PMfdCphMNZXqzPZo1E6DsAGPUDY.jpg Stephane
  6. 5 points
    10 heures de poses Ha OIII RVB sur le ASA20 de Chilescope. La full est ici https://www.astrobin.com/full/399541/0/ Thanks Sergey
  7. 5 points
    Bonjour à tous! De retour vers les belles galaxies, voici NGC3313 en LRVB. C'est une magnifique galaxie, rarement observée. On trouve peut d'images sur Internet de cette objet, et encore moins, des 3 galaxies plus petites (PGC31514, MCG-04-25-035, MCG-04-25-030). A premiere vue, j'ai eu bien du mal à trouver de information sur NGC3313. Nous sommes dans la constellation de l'Hydre, a environ 180 millions d'AL. C'est une belle spirale barrée. Comme toujour, quelques jolis amas de galaxies dans le fond de ciel, et de l'IFN sur le coté droit de l'image. Nous, on ADORRE ce type de champ:-). La fiche technique: Télescope JANUS Sud situé à l'Hacienda des Étoiles au Chili. Temps de pose: Couche L en 13h15. Couche R, V et B en 1h35mn par couche. Poses élémentaires de 5min. Les meilleures images élémentaires présentent un seing de 1.2 sec d'arc, et la moins bonne retenue de 2.2 sec d'arc. l'image finale a un seing d'environ 1.7sec d'arc. Télescope de type Newton de 520mm de diamètre FD 3.5. Echantillonnage de 0.4 sec d'arc par pixel. Camera ZWO 1600MM Cool. Filtres LRVB ZWO avec la roue à filtres de la même marque. Motorisation Directdrive Alcor System. Conception mécanique de l'ensemble du télescope (tube et monture) de Michel Meunier. Piloté en automatique sous PRISM V10, prétraitement sous PRISM V10 et traitement final sous CS6. Voici l'image, la full comme toujour via clic sur l'image elle meme puis les fenêtres Astrosurf: En espérant que vous aurez passés un petit moment sympathique devant cette image:-). Amitiés à tous, et bonne astro! La JANUS Team Michel Meunier et Laurent Bernasconi http://team-janus.astrosurf.com/ https://www.facebook.com/JanusTeamNordSud/
  8. 4 points
    bonjour à tous et à toutes ! un très beau ciel ce matin à 5h , avec une voie lactée bien marquée , mais les étoiles du scorpion qui scintillaient très fort , bon on est levé , on tente tout de même ! cff 300 f/d de 20 asi 178mm filtre ir 680 12 films de 2mn de 6h17 à 6h 40 loc : à 6h50 jupiter Io ,Europe et Ganymède : bon ciel et merci polo
  9. 4 points
    Images légendées de la face cachée, diffusées par Ctyastro sur FCS.
  10. 4 points
    Une de mes galaxies favorites, si ce n'est LA galaxie... celle qui me ferait me mettre à l'astronomie, si ce n'était pas déjà fait... elle me sert donc de cible test en pose de 300 secondes avec le CDK 12.5 sur Paramount II. Je dois pouvoir améliorer la finesse de l'image, mais pour une troisième essai (le second, sur NGC 3675, est en cours de traitement, sur un mix de poses de 150 et de 300 s). NGC 4594, nuits du 24 et du 28 mars 2019. Rowe, Nouveau Mexique Planewave CDK12.5. SBIG STF 8300 MM. Paramount ME II. Poses unitaires de 300 s sans suivi. 94L 18R 10G 20B Suivi et acquisitions par TheSkyX uniquement. Traitement PixInsight exclusif. Image Plate Solver script version 5.1.1 =============================================================================== Resolution ........ 0.439 arcsec/px Rotation .......... 179.376 deg Focal ............. 2537.27 mm Pixel size ........ 5.40 µm Field of view ..... 22' 26.8" x 15' 37.2" Image center ...... RA: 12 39 59.472 Dec: -11 37 28.61 Image bounds: top-left ....... RA: 12 39 13.971 Dec: -11 45 24.23 top-right ...... RA: 12 40 45.674 Dec: -11 45 09.74 bottom-left .... RA: 12 39 13.313 Dec: -11 29 47.03 bottom-right ... RA: 12 40 44.930 Dec: -11 29 32.55 =============================================================================== NGC 4594 (également connue sous le nom d'objet Messier 104 ou - et surtout - comme la galaxie du Sombrero) est une galaxie située à 9,55 Mpc (soit 31.1 millions d’années lumières) dans la constellation de la Vierge. Elle a un diamètre d’environ 15 kpc (50 000 Al), soit environ 30% de la taille de la Voie Lactée. Elle présente un noyau brillant, un bulbe central exceptionnellement grand et une traînée de poussière bien visible dans son disque incliné. La bande de poussière sombre et le renflement donnent à cette galaxie son apparence si particulière qui lui a valu son surnom. S’il a été longtemps cru que le halo était petit et léger, révélateur d’une galaxie spirale, le télescope spatial Spitzer a révélé que l’anneau de poussière autour de la galaxie était plus grand et plus massif qu’on ne le pensait auparavant, révélant ainsi que le sombrero une galaxie elliptique géante. Elle présente une magnitude apparente de +8,0, étant la galaxie dont la magnitude absolue est la plus élevée dans un rayon de 10 mégaparsecs autour de la Voie Lactée. En crop, couche L Elle fut découverte pour la première fois le 11 mai 1781 par Pierre Méchain, qui la décrivit dans une lettre de 1783 adressée à J. Bernoulli (publiée ultérieurement dans le Berliner Astronomisches Jahrbuch). William Herschel la découvrit indépendamment en 1784 et nota le premier la présence d'une "strate sombre" dans le disque de la galaxie, l’un des éléments les plus frappants de cette galaxie étant cette bande de poussière qui forme un anneau symétrique autour du bulbe. La majeure partie de l'hydrogène gazeux atomique froid et de la poussière de M104 se trouve dans cet anneau, qui semble également contenir la majeure partie du gaz moléculaire froid de la galaxie. En spectroscopie infrarouge, l'anneau de poussière apparaît comme le site principal de la formation d'étoiles dans la galaxie. La galaxie de Sombrero se situe dans un nuage complexe de galaxies en forme des filaments qui s'étend au sud du groupe de la Vierge. Cependant, il est incertain qu'elle fasse partie d'un groupe formel de galaxies. Les méthodes hiérarchiques d'identification des groupes, qui déterminent l'appartenance à un groupe en considérant si les galaxies individuelles appartiennent à un plus grand ensemble de galaxies, semblent montrer que M104 fait partie d'un groupe comprenant NGC 4487, NGC 4504, NGC 4802, NGC 4804, UGCA 289 ainsi que quelques autres galaxies. Mais des résultats reposant sur la méthode de percolation (ie. méthode des "amis d'amis", qui relie des galaxies individuelles pour déterminer l'appartenance à un groupe) indique que M104 ne ferait partie d'aucun groupe, ou qu'elle semble faire partie d'une paire de galaxies avec UGCA 287. Simbad ne la relie qu’à NGC 4504 et NGC 4804. Ceci étant, elle est accompagnée d'une galaxie naine ultracompacte, SUCD 1, de masse de 3,3.10^7 M☉ découverte en 2009 de magnitude absolue de -12.3, avec un rayon au sein duquel la moitié de sa lumière est émise de seulement 47.9 années lumières. Zoom sur SUCD 1 Le noyau de M104 est de type LINER. Pour rappel, il s’agit d’une région au sein de laquelle du gaz ionisé est présent, mais dont les ions ne sont que faiblement ionisés (c’est-à-dire que les atomes ne manquent d’électrons qu’en relativement faible nombre). La source d'énergie pour l'ionisation du gaz des régions LINER peut être alimentée par de jeunes étoiles chaudes (comme dans les régions de formation d'étoiles) ou par des noyaux galactiques actifs (comme dans le cas des régions hautement énergétiques contenant des trous noirs supermassifs). Les observations par spectroscopie infrarouge ont montré que le noyau de M104 est dépourvu d'activité de formation d'étoiles significative. Or les données spectroscopiques du CFHT et du télescope spatial Hubble montrent que la vitesse de révolution des étoiles dans le centre de la galaxie ne peut être maintenue sans une masse égale à 1 milliard de fois celle du Soleil, faisant suspecter la présence d’un trou noir supermassif qui serait l'un des trous noirs les plus massifs parmi les galaxies les plus proches. Ce trou noir supermassif est probablement la source d'énergie qui ionise faiblement le gaz du Sombrero. Aux longueurs d'onde radio et X, le noyau est une source importante de rayonnement synchrotron (rayonnement qui se produit lorsque des électrons de grande vitesse oscillent en traversant des régions soumises à des champs magnétiques puissants). Cette émission est assez commune dans les noyaux galactiques actifs et présente parfois des variations dans le temps, comme dans le cas de M104, qui présente une émission radio qui varie de 10 à 20%. Séquence souvenir : M104 vue par Sandage au Mont Palomar. De façon plus remarquable, il a été mis en évidence en 2006 une émission d’un rayonnement térahertz du noyau de la galaxie de Sombrero à la longueur d'onde 850 µm, ne provenant ni des émissions thermiques de poussières (généralement observées dans les longueurs d’onde infrarouge et submillimétriques), ni du rayonnement synchrotron (généralement observé dans les longueurs d’onde radio) ni des émissions de Bremsstrahlung émises par le gaz chaud (rarement observé à des longueurs d’onde millimétriques) ni enfin par le gaz moléculaire (qui produit couramment des raies spectrales submillimétriques). La source de ce rayonnement térahertz reste non identifiée. Mais l’élément le plus remarquable pour les amateurs que nous sommes sont les amas globulaires de M104. Sur cette photo, la plupart des petits points blancs dans et autour du halo correspondent à des amas globulaires de M104… La galaxie en présente un nombre relativement important puisque les études observationnelles estiment leur population entre 1 200 et 2 000. Ceci étant, le ratio entre le nombre d'amas globulaires et la luminosité totale de M104 est comparable à celui des autres galaxies à gros bulbe, tendant à faire penser que le nombre d'amas globulaires dans les galaxies serait lié à la taille de leur bulbe. La densité de surface des amas suit le profil de lumière du bulbe, sauf à proximité du centre de la galaxie. Les amas globulaires de M104 référencés sur Aladin Zoom sur M104 et ses amas par Hubble, l'image de droite présente un masque Sources : The distribution of neutral hydrogen in the Sombrero galaxy, NGC 4594. E. Bajaja, G. Van Der Burg, S. M. Faber, J. S.Gallagher et al. Astronomy & Astrophysics. 141: 309–317. The large-scale radio continuum structure of the Sombrero galaxy (NGC 4594). E. Bajaja,R.-J. Dettmar,E. Hummel, R. Wielebinski. Astronomy and Astrophysics (ISSN 0004-6361), vol. 202, no. 1-2, Aug. 1988, p. 35- Hubble Space Telescope Spectroscopic Evidence for a 1 × 109 M☉ Black Hole in NGC 4594. J. Kormendy, R. Bender, A. A. Ajhar, A.dressler, S. M. Faber, K. Gebhardt, C. Grillmair, T. R. Lauer, D. Richstone, and S. Tremaine. The Astrophysical Journal Letters, 473 (2): L91–L94, 1996 December 20. The radio sources in the nuclei of NGC 3031 and NGC 4594. A. G. de Bruyn, P. C. Crane, R. M. Price, J. B. Carlson. Astronomy & Astrophysics. 46: 243–251. An XMM-Newton and Chandra Investigation of the Nuclear Accretion in the Sombrero Galaxy (NGC 4594). S. Pellegrini; A. Baldi; G. Fabbiano; D.-W. Kim (2003). The Astrophysical Journal. 597 (1): 175–185. Radio polarization and sub-millimeter observations of the Sombrero galaxy (NGC 4594). Large-scale magnetic field configuration and dust emission. M. Krause, R. Wielebinski, M. Dumke. Astronomy & Astrophysics. 448 (1): 133–142. Radial distribution and total number of globular clusters in M104. K.-I. Wakamatsu . Publications of the Astronomical Society of the Pacific. 89: 267–270. Globular clusters in galaxies beyond the local group. III NGC 4594 (the Sombrero). W. E. Harris, H. C. Harris, G. L. H. Harris. The Astronomical Journal. 89: 216–223. The globular cluster system of NGC 4594 (the Sombrero).T. J. Bridges, D. A. Hanes. The Astronomical Journal. 103: 800–814 Diamonds on the Hat: Globular Clusters in The Sombrero Galaxy (M104). W. E. Harris, L. R. Spitler, D. A. Forbes & J. Bailin. 2010, MNRAS , 401, 1965 Hubble Space Telescope photometry of globular clusters in the Sombrero galaxy. S. S. Larsen, D. A. Forbes, J. P. Brodie. Monthly Notices of the Royal Astronomical Society. 327 (4): 1116–1126 The Stellar Halo of M104. I. A Survey for Planetary Nebulae and the Planetary Nebula Luminosity Function Distance. H. C. Ford, X. Hui, R. Ciardullo, G. H. Jacoby, K. C. Freeman . The Astrophysical Journal. 458: 455–466. An ultra-compact dwarf around the Sombrero galaxy (M104): the nearest massive UCD. G. Hau, L. Spitler, D. Forbes, R. Proctor,J. Strader, J. Mendel, J. Brodie, W. Harris. Monthly Notices of the Royal Astronomical Society: Letters. 394 (1): L97–L101. A très bientôt. JB
  11. 4 points
    Bonjour Voici quelques liens ou notes supplémentaires Recherche infos 17min40 Hawaii Monakea CFHT http://www.cfht.hawaii.edu/fr/ PR BRENT TULLY 35 min 43 Green Bank Telescope GBT USA 110 m diam DR KAREN O’NEIL Ajustement 100 micron par moteurs Green Bank Observatory Mesure de la vitesse de rotation de galaxie spirale avec l’effet doppler raie 21 cm https://greenbankobservatory.org/ https://greenbankobservatory.org/science/telescopes/gbt/ Main Reflector: 2004 actuated panels (2209 actuators); Average intra-panel RMS 68 μm its unblocked aperture, and its excellent surface accuracy provide unprecedented sensitivity across the telescope’s full 0.1 – 116 GHz (3.0m – 2.6mm) operating range. Guide observateur http://www.gb.nrao.edu/scienceDocs/GBTog.pdf http://www.gb.nrao.edu/scienceDocs/GBTpg.pdf Afrique du sud 51min20 PR RENEE C.KRANN-KORTEWEG MeerKAT radio telescope Square Kilometre Array (SKA) telescope http://www.ska.ac.za/science-engineering/meerkat/ http://www.ska.ac.za/wp-content/uploads/2016/07/meerkat-fact-sheet-2016.pdf 1h05 autralie Siding Spring Observatory UK Schmidt Telescope PR TAMARA DAVIS https://www.aao.gov.au/about-us/uk-schmidt-telescope Taipan https://www.taipan-survey.org/ https://www.aao.gov.au/technology/new-instruments/taipan https://openresearch-repository.anu.edu.au/bitstream/1885/65478/2/01_Kuehn_TAIPAN%3A_Optical_spectroscopy_2014.pdf https://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/1407/1407.4873.pdf Cordialement Daniel
  12. 4 points
  13. 3 points
    Salut Avec, un objet un peu plus exotique cette fois! Voici NGC 5394 et 5395, connus sous le nom de Arp 84 ou la galaxie du Héron, sont deux galaxies en interaction situées à un peu plus de 160 millions d'années-lumière dans les chiens de chasse. Difficile de ne pas voir ce Héron avec son cou, sa tête et son bec tendu vers un poisson proche La full vaut vraiment le détour Newton 16po f4 sur EQ8 QSI683wsg à moins 35 degrés Filtres Astrodon LRVB=150-30-20-20 minutes Autoguidage. ASI120mm sur diviseur optique. Avec PHD2. prétraitement CCDSoft. Traitement final PS CS6. Bon visionnement! Martin
  14. 3 points
    Hello hello Vu le résultât pour un shoot pour le fun, je vais faire de cette beauté ma cible prioritaire avec ma "Dent". Je vais le tordre le Newton car je veux plus plus plus de résolution et de finesse A+ David Full : https://www.astrobin.com/full/399537/0/?real=&mod= 200% : https://www.astrobin.com/full/399537/B/?real=&mod= 200% : https://www.astrobin.com/full/399537/C/?real=&mod=
  15. 3 points
    Ce petit moment de sérénité dédié à tous les astrophotographes qui patiemment, avec Foi, " imagent" sous des ciels pas toujours cléments, pour débusquer les profondeurs de la voûte étoilée, les ombres, les reliefs, les ondulations secrètes des planètes........Relax.... Sur une musique céleste de Ravel...Relax ( faut que je me l'applique à moi-même! ) Amitiés
  16. 3 points
    Bonjour, C'est une distance comobile: https://fr.wikipedia.org/wiki/Distance_comobile. L'univers est âgé de 13 milliards d'années, et en expansion. La distance spatiale entre nous et un objet situé à peu près à cette distance temporelle [merci Alain Moreau] est d'à peu près 45 milliards d'années lumières. Pour se faire une idée des différentes distances cosmologiques en fonction du redshift et des paramètres du modèle il y a la calculatrice de Ned Wright : http://www.astro.ucla.edu/~wright/CosmoCalc.html
  17. 3 points
    LOL, C'était mon erreur! La correction a déjà été apportée à l'astrobine.
  18. 3 points
    Une nouvelle vue de Bennu ; L'objet rectangulaire au dessus de la zone sombre fait 2.40 m https://www.asteroidmission.org/20190329-fb4-equator-view/
  19. 2 points
    Mars cette année a donné un vrai spectacle. . . Cela étant, je ne pouvais pas manquer de l'enregistrer. Cette composition, composée de 10 à 15 jours d’intervalle environ, commence le 31 juillet lorsque la planète atteint le plus grand diamètre apparent (arc de 24,3 ") et se termine le 5 décembre avec seulement 8,9 "d'arc. Trois choses sont très évidentes dans un tel travail: premièrement, la réduction marquée du diamètre au moment du départ de la planète; deuxièmement, la phase diminue à l'approche de la quadrature et, enfin, la réduction marquée du calota sud, qui, sur la dernière photo, est réduite à un petit point. . . A l'instar de Nike, la déesse grecque de la victoire, source de mon inspiration, Mars a su répondre à mes attentes, à mes aspirations et m'a apporté le sentiment d'avoir assisté à un événement épique inoubliable. . . "L'arrangement planétaire a été inspiré par la forme de l'aile de la déesse Nike" PS: C’était une composition que j’avais enregistrée sans précédent pour le photographe de l'année 2019 du magazine Astright Insight Investment. Même si elle n'a pas été sélectionnée, elle mérite d'être publiée! https://www.astrobin.com/full/399358/0/?nc=user
  20. 2 points
    Salut, Voici une version révisée de ma mosaïque hivernale que j'ai postée il y a quelques temps. J'ai ajouté 3 tuiles pour gommer le reflet de Sirius qu'il y avait en partie basse, et pour donner un peu de champ en partie haute (j'avais oublié de faire une tuile la première fois, m'obligeant à recadrer l'image). J'ai également changer le système de projection de la mosaïque dans APP, c'est mieux maintenant, ça ne part plus en vrille sur les bords de l'image. Considérant mon ciel cet hiver, je suis plutôt satisfait du résultat, même si j'ai un peu tiré sur les curseurs pour faire ressortir les nébulosités, donc ça bruite un peu, forcément. Comme d'hab : A7s modifié, Samyang 135 à F2, Star Adventurer, IDAS LPS D1 clippé. 15 tuiles entre 80 et 250 x 30 sec à 3200 ISO. L'image est à 33%. La full est là http://astrob.in/full/398983/0/
  21. 2 points
    Ce n'est pas la raison. La figure d'équilibre d'un astre sans rotation est une sphère, on le sait tous. S'il tourne sur lui même, il s'aplatit et devient un ellipsoïde de révolution, cf. Saturne. Mais cette configuration devient instable au-delà d'une certaine vitesse de rotation (qui dépend de la masse du rayon et du profil de densité), et elle se transforme en ellipsoïde triaxial. Du fait qu'il n'y a plus de symétrie axiale, un tel objet est source d'émission d'ondes gravitationnelle, qui vont ralentir sa rotation jusqu'à ce qu'il se réajuste en ellipsoïde de révolution. Ces histoires d'ellipsoïde triaxial ne sont pas une pure vue de l'esprit. Dans la vraie vie, près de chez nous, il y a au moins un corps qui a cette configuration d'ellipsoïde triaxial du fait de sa rotation rapide : il s'agit d'Hauméa, dont la courbe de luminosité est totalement incompatible avec un ellipsoïde de révolution. Mais bien sûr, lui n'émet rien de mesurable sous forme d'ondes gravitationnelles.
  22. 2 points
    Bonsoir à tous; J'ai possédé longtemps un RC de Deep sky instruments (boite qui a racheté les Rc cos, et qui maintenant travaille plus pour les militaires) et ce télescope m'a apporté de grandes satisfactions; je pense qu'on peut toujours acquérir aux USA ce télescope qui faisait 10" à F/7,5.. Alain.
  23. 2 points
    Très beau résultat pour un tel setup ! Bravo ! Par contre, dommage de ne pas donner les infos techniques ... du coup, j'ai fais un copier/coller pour qu'on ait les détails techniques à la fin du post.
  24. 2 points
    Merci à vous Pas de logiciel à prendre en compte. Sauf ceux de traitement bien évidemment. Pas de simulation possible. Le site de programmation est bien fait. Il faut choisir le télescope, regarder ses disponibilités, le programmer. Ne pas oublier de payer (PayPal) Tu as à disposition tous le fichiers calibration à télécharger. Tu peux suivre en direct les prise de vue. 1 ou 2 heures aprés la fin les fichiers sont dispos sur le site. C'est assez facile. La difficulté vient du choix de la cible, des phases de lune, de la hauteur de l'objet , des limites de temps nocturne, de la météo, du seeeig, etc... Pas évident. En cas de nuages ou de plantage du suivi par exemple, Chilescope rembourse sans discuter. Le compte est recredité. Pour essayer tu t'inscris, tu verses une somme même modique et tu programmes par exemple 1 heure de Ha autour de la pleine lune, c'est 15 $ de l'heure avec les 500. Essayez de me laisser quelques créneaux disponibles, ça commence à bouchonner.
  25. 2 points
    Chapeau ! Je laisse aux spécialistes les très intéressants détails techniques quant aux recettes d'une bonne acquisition et du "traitement "( quel mot affreux !), je garde une photo emblématique de l'imagination ...sans limites de l'Univers pour générer d'aussi jolis monstres que cette galaxie un peu "olé olé " Que dire d'autre, à part mon étonnement sans cesse renouvelé des prouesses réalisées par des amateurs qui peuvent légitimement se permettre de "convoquer" des images du Mont Palomar, histoire de comparer... Chapeau bas pour ce Sombrero à montrer aux néophytes, histoire de les envoûter Amitiés
  26. 2 points
    désolé Alain de te décevoir
  27. 2 points
    Les premières images de la Lune prises par Beresheet en orbite :
  28. 2 points
    Heureux de ton passage parmi nous Daniel Je trouve saisissante cette séquence du passage de Phobos devant le disque solaire !
  29. 1 point
    Extrait d'un article qui date de 2008 : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronomie-montagnes-etoiles-neutrons-15188/ Les pôles attirent la matière de l'astre compagnon L'idée est simple. La majorité des étoiles vivent en couple, formant des binaires. Il arrive que l'une des deux étoiles arrache du gaz à sa compagne. Lorsqu'il s'agit d'une étoile à neutrons, un phénomène se produit qui est lié à son intense champ magnétique. Le gaz chauffé et accrété par l'étoile cannibale étant ionisé, il se dirige vers les pôles magnétiques de l'étoile en suivant les lignes de champ, comme on peut le voir sur la figure 2. En s'accumulant à la surface de l'étoile et grâce aux propriétés stabilisantes du champ magnétique, des montagnes pouvant atteindre entre 10 centimètres et 1 mètre de hauteur pourront se former sur cet astre de quelques dizaines de kilomètres de diamètre et pesant en général aussi lourd que le Soleil. Comme les pôles magnétiques ne coïncident pas avec les pôles de rotation (voir la figure 1), la structure de l'étoile devient asymétrique du point de vue de la génération des ondes gravitationnelles et il s'en émettrait donc. Contrairement à celui des collisions d'astres compacts, en raison de son origine liée à la rotation de l'étoile à neutrons, une partie du signal devrait être très régulier, ce qui aiderait à l'extraire du bruit de fond dans les détecteurs.
  30. 1 point
    Je pense qu'on en a tous été victime, mais il faut impérativement se garder de céder à cela. Au moins 3 glimpses au même endroit (apparition de l'objet, même très furtive et brève) devraient être comptabilisées pour valider une observation. A défaut, je note que l'objet a été soupçonné mais non confirmé, surtout si la lueur ne semble pas fixe et provenir de localisations proches mais différentes. La "croyance" que tu décris m'est arrivée récemment sur des galaxies naines ou irrégulières, particulièrement peu contrastées, mais pourtant de mag pas terrible : Leo 1 et NGC 3109 dans l'Hydre. Pour Leo 1 grâce au dessin des Splendeurs du ciel profond j'ai reconnu l'environnement stellaire, et peut-être soupçonné l'objet. A contrario, je n'aurais absolument rien soupçonné sans carte précise. Cela est vrai aussi pour tout objet plus condensé mais flirtant avec les limites théoriques de l'instrument, moyennant les conditions déjà évoquées (état du ciel, etc ...) Certains catalogues ont mauvaise réputation (ou bonne, pour les extrémistes ...) quand à la pâleur des objets qu'ils contiennent, nébuleuses planétaires Abell, amas globulaires Palomar, quelques amas ouverts Trumpler, Tombaugh, ou nébuleuses diffuses Sharpless par exemple. Bien souvent toutefois, quand on taquine ce genre de limites, on parvient néanmoins à valider un objet justement grâce à la connaissance de sa localisation précise. Sans cela, c'est souvent peine perdue. Combien de petites galaxies secondaires proches d'autres plus brillantes,ai-je ainsi loupées n'apprenant leur existence qu'après coup ? Concernant cette vision psychologique et un test de mag limite des instruments, rapide sortie hier soir aux jumelles 8X42 ED dans un ciel à peu près clair mais diffus par endroits (donc transparence pas au top, et accoutumance au noir insuffisante) : - NGC 2903 vue sûrement quasi tout de suite, bien allongée (mv 9,0) - M66 encore un peu plus facile, en continu, ovalisée (mv 8,9) - M65 juste à côté non vue, malgré l'assurance de sa position à côté (mv 9,3) - duo M95 (mv 9.7) - M96 (mv 9.3) et M105 (mv 9.3) non validées, malgré la connaissance de sa position. J'ai cru deviner 2 ou 3 fois M96 et M105 mais pas confirmé, très faibles. Je peux donc dire que dans les conditions de hier, la mv limite galactique se situait entre 9 et 9.3. Je pense qu'avec quelques minutes d'accoutumance au noir en plus, M96 et M65 au moins m'auraient été accessibles. En effet je les avais vues aux 10X50, or un autre récent test sur étoile m'avait montré une meilleure transmission de ces nouvelles 8X42 ED que les 10X50. Mais il faut savoir prendre acte d'une non-vision. Aux 10X50 j'atteignais effectivement des mv de 9.5 environ en bonnes conditions sur des galaxies de contraste "'normal' comme celles -ci.
  31. 1 point
    Falcon Heavy Boosters Mated Together (timelapse)
  32. 1 point
    Quel poète Polo! Merci pour ton passage. AMITIÉS
  33. 1 point
    Bonjour Magnifique image qui restitue la finesse de cette galaxie sans la dénaturée, tout est bien dans cette image et en plus on découvre un objet effectivement peu montré et c'est bien dommage... jerome
  34. 1 point
    Je rajoute mon grain de sel suite à ma petite expérience récente d'achat de verre. Le borofloat33 et le supremax33 sont deux verres identiques dans leur composition (tous deux produits par SCHOTT) mais le procédé de fabrication est différent. Les tensions internes, à composition identique, si je ne me trompe pas sont liées au cycle de chauffe/refroidissement. Le borofloat33 n'est produit que jusqu'à 25mm d'épaisseur, ce qui limite son usage à des miroirs pas trop gros (à peu près 300mm, voire 400 si on aime les miroirs minces). Les verres que j'ai utilisés pour faire mes miroirs secondaires étaient en borofloat33 de 25mm d'épaisseur provenant de chez Stathis. J'ai fait le test en lumière polarisée : aucune trace visible. Pour avoir une plus grosse épaisseur, il faut acheter du supremax33, ce que j'ai fait pour mes primaires de 600 et 41 d'épaisseur. Mais là encore, ce n'est pas si simple. Les disques que j'ai commandés chez Stathis ont bénéficié d'un refroidissement lent différent de la production classique et facturé en supplément (+123 € HT par disque). Ils ont tout de même des tensions visibles en lumière polarisée, mais probablement moins que du supremax "de base". Voila tout ce que je peux dire sur le sujet. Sinon, tes explications sur les propriétés des verres sont passionnantes, c'est un domaine dont j'ignore tout ou presque.
  35. 1 point
    Enfin la CCD reçue, j'ai pu la tester hier, pas les conditions optimum comme tout le monde a eu, mais j'étais en congés à Prague ! Pour le setup c'est fait avec une petit lunette Perl80 qui a pas mal de chromatisme... j'ai utilisé un filtre jaune (merci Matthieu Conjat) pour essayer de le réduire au maximum. Bon la lunette est petite donc pas évident d'avoir du flux sur ces objets hors M13. Voilà les images. Ce qui il y a de super sur M13 ce sont les 2 étoiles de magnitude ~7 de part et d'autres de l'amas, c'est comme ça qu'on le reconnait avec des jumelles ! Ca rend bien je trouves. A+
  36. 1 point
    Concernant Vénus il y a aussi le projet européen EnVision en concurrence avec deux autres missions ; La sélection doit être faite en 2021 pour un lancement en… 2032 : https://en.wikipedia.org/wiki/EnVision_(spacecraft) (voir le post de Bob deux réponses plus haut)
  37. 1 point
    Ah oui ... Je note moi aussi ... Surtout qu'autour du 10/11 avril, la vitesse de déplacement apparent sera inférieure à 1" par heure ! C'est l'occasion de faire une image de comète en longues poses
  38. 1 point
    Très jolie cette aiguille Nathanaël
  39. 1 point
    En ciel profond il faut à mon avis considérer le type physique (disons la morphologie) de l'objet observé. Cela est vrai pour les amas, les nébuleuses diffuses et planétaires mais aussi les galaxies. Globalement pour les galaxies à matière assez concentrée, vues selon un angle assez fermé, elliptiques, lenticulaires ou présentant une forte condensation centrale, la magnitude visuelle classique mv correspond assez à la difficulté à laquelle on peut s'attendre à l'oculaire. Certaines elliptiques ou spirales fortement condensées (bulbe ou noyau proéminent) donnent parfois de bonnes surprises, l'éclat de leur centre permettant de compenser quelque peu la difficulté habituelle liée à la détection de zones diffuses. En revanche, les galaxies très diaphanes, spirales de face, naines, irrégulières, vues par la tranche avec zone sombre, se présentent de façon moins contrastée, souvent plus étalée sur le fond céleste et la mv classique ne reflète pas sur le terrain la difficulté d'observation. Il vaut mieux dans ce cas consulter la magnitude surfacique, même si ce n'est encore pas le critère absolu. C'est ainsi que de telles galaxies données pour mv dans les environs de 10 peuvent être très difficiles au T 300, alors que des elliptiques plus petites et contrastées de mv 13 pourront être assez faciles. Il faudra alors bien trouver la tranche de grossissement optimal, trop peu on n'obscurcit pas assez le fond de ciel pour faire ressortir la grande tâche fantômatique, trop fort on noie cette tâche dans le ciel.
  40. 1 point
    Très belle prise. Bravo JF
  41. 1 point
  42. 1 point
    les conditions sont loins d'etre facile! cette année on va ramer! Bravo Polo!
  43. 1 point
    Une bien belle vue de ce couple. Ca rend bien l'impression d'immensité qu'on ne retrouve pas sur les plans plus serrés JF
  44. 1 point
    C'était plus un documentaire sur Hélène Courtois que sur l'astrophysique mais qui s'en plaindrait ? Et puis on a fait une superbe ballade dans les observatoires autour du monde Le nouveau venu, Meerkat en Afrique du Sud à de la gueule… ça promet lorsque SKA sera construit d'ici quelques années ! Green Bank m'a rappelé un reportage photo de folie dans l'obs il y a quelque temps (faudrait que je le retrouve !) Etant donné la protection dont il bénéficie pour observer l'univers en onde radio, de nombreux "électrosensibles" ont trouvé refuge à proximité. Je ne sais pas si ce sont de doux dingues ou s'ils ressentent réellement une souffrance mais ils y en a beaucoup… Quelques images mises en ligne par l'Obs :
  45. 1 point
    J'ai un peu de temps, je livre donc ces quelques infos et images : Transit de Phobos devant le Solei le 26 mars 2019 (sol 2359). Les images ont été capturées par la caméra téléobjectif de Curiosity (MastCam droite) équipée de son filtre solaire. 10 images sur environ 35 secondes. MAHLI - 24 MARS 2019 (sol 2357) - atomoid : Cette image nous est très familière sur Terre. Sauf qu'ici il s'agit du sol d'une autre planète située actuellement à environ 308 millions de km et dont les ondes radio mettent plus de 17 mn à nous parvenir. Ces galets sont très probablement significatifs d'une érosion dans un courant d'eau. Le rôle le plus important du polissage est tenu par les grains de sable entraînés par le courant. Zone atteinte le 2 avril 2019 (sol 2365) tout près d'un champ de dunes - Phil Stooke : HAZCAM AVANT - 2 AVRIL 2019 (SOL 2365) : Immédiatement à l'avant, l'affleurement rocheux cible probable d'un prochain forage. Plus loin le champ de dunes noires NAVCAM - 2 AVRIL 2019 (SOL 2365) : Pano MastCam de Jean van Driel - 2 AVRIL 2019 (SOL2365) - Probable météorite : Pano MastCam de Sean Doran - 2 AVRIL 2019 (SOL 2365) : Comme promis un petit condensé des incidents de mémoire des deux ordinateurs : Pour la redondance le rover a été équipé de deux ordinateurs, un seul peut être actif à la fois. Tous deux sont conçus avec le même processeur “BAE RAD750” d’une puissance maxi de 200 mégahertz. Chaque ordinateur est équipé de 2 gigaoctets de mémoire flash, 256 Mo de mémoire vive et de 256 kilo-octets de mémoire effaçable programmable en lecture seule. Le 27 février 2013 (sol 200) soit 7 mois après son atterrissage, l’ordinateur principal A avait déjà connu une défaillance matérielle partielle de sa mémoire flash et un bug logiciel. L’équipe avait alors basculé le rover sur l’ordi de sauvegarde B. Sur l’ordi A les ingénieurs ont limité l’utilisation de sa mémoire à un niveau inférieur et corrigé le bug logiciel. Il a joué ensuite à son tour le rôle d’ordinateur de secours pendant la majorité de la mission. Le 15 septembre 2018, le système informatique de l’ordinateur B ne permettait plus d’accéder au stock de données de la mémoire flash, et la question qui se posait était de déterminer s’il s’agissait d’un problème matériel ou de logiciel (ou les deux). En conséquence, le 3 octobre 2018, Curiosity a été rebasculé sur l'ordinateur A (utilisé initialement par le rover depuis l’atterrissage jusqu’au sol 200). Je cite : ".. mais cela pourrait nous prendre du temps pour bien comprendre la cause fondamentale du problème et trouver des solutions de contournement pour la mémoire du côté B." Le 18 octobre 2018 le JPL annonçait un « retour aux activités scientifiques », essentiellement des activités relatives à l’observation de l’environnement, des opérations routinières effectuées presque chaque jour par le rover depuis son arrivée sur Mars. Mais toujours rien de nouveau côté diagnostic de la mémoire de l’ordinateur B. Enfin, le 2 novembre 2018 (sol 2218), Curiosity s’est déplacé d’environ 5 mètres vers le Nord, un parcours "test" permettant de vérifier si les systèmes du rover sont opérationnels Le 6 février 2019 (sol 2172) : Curiosity fonctionnait toujours sur l’ordinateur A. À cette date Les ingénieurs n’avaient toujours pas déterminé la cause fondamentale du grave problème de mémoire de Curiosity sur l’ordinateur B (problème logiciel ou matériel). L'équipe a fait appel à des experts du JPL pour voir si quelqu'un pouvait suggérer d'autres moyens de déterminer la cause, mais les éléments limités fournis par le rover ont rendu la tâche difficile. Ils ont l'intention de le reformater pour tenter de le remettre en état de fonctionnement complet. Après le reformatage, l'équipe espère être en mesure de restaurer l'ordinateur B avec sa capacité scientifique. Dans un communiqué du 22 février 2019, la Nasa précise que le 15 février 2019 (sol 2320) l'ordinateur A a déclenché un mode de sécurité ("mode sans échec") et qu'il a été réinitialisé le mardi 19 février et fonctionne normalement après avoir démarré avec succès plus de 30 fois sans autre problème. "Nous ne sommes toujours pas sûrs de la cause exacte et nous collectons les données pertinentes pour l'analyse", a déclaré Steven Lee, chef de projet adjoint de Curiosity au JPL : "Le rover a subi une réinitialisation ponctuelle, mais il fonctionne normalement depuis, ce qui est bon signe. Nous travaillons actuellement à prendre un instantané de sa mémoire afin de mieux comprendre ce qui a pu se passer." Après une interruption totale de deux semaines Curiosity est provisoirement revenu aux opérations scientifiques le 28 février (sol 2333) et explore à nouveau l'unité d'argile. L'équipe d'ingénierie de la mission continue d'étudier la réinitialisation de l'ordinateur A subie par le rover le 15 février (sol 2320). Après plus de 15 jours de black-out, des images des 5 et 6 mars 2019 (sols 2238 et 2339) ont été transmises et le JPL annonce "qu’une foule d’activités scientifiques" ont été conduites pour achever les observations sur l’affleurement "Midland Valley". Après en avoir terminé avec les observations scientifiques, Curiosity a enfin repris la route le 5 mars 2019 (sol 2338) pour se diriger au Sud en parcourant environ 25 mètres vers sa prochaine destination riche en substrat rocheux, une zone appelée "Milltimber". Le 6 mars 2019 (sol 2339) l’ordinateur A s’est encore réinitialisé intempestivement ce qui a déclenché le mode sans échec du système. C'était la deuxième réinitialisation de l'ordinateur en trois semaines, et les deux sont liées à la mémoire de l'ordinateur. L’ordinateur B a eu son propre problème de mémoire en septembre 2018, mais fort opportunément l’équipe a enfin pu diagnostiquer la question et a réussi à le reformater en isolant les zones de mémoire corrompues. L'équipe de la mission a donc décidé de rebasculer le rover de l'ordinateur A à l'ordinateur B (celui-ci a été utilisé pendant la majeure partie de la mission, de fin février 2013 à septembre 2018). Avec ses deux "cerveaux" régulièrement et successivement "en carafe", il semble évident que la situation demeure fragile. On "serre les fesses" au JPL.. Plus que jamais la gestion des déplacements et du temps passé par Curiosity sur certains sites pose vraiment question quant à leur pertinence. Source principale : https://mars.nasa.gov/news/8416/curiosity-resumes-operations-after-switching-computers/
  46. 1 point
    Il y a CFF (https://cfftelescopes.eu/category/reflectors/ritchey-chretien/) qui semble se positionner comme tel, mais faudrait confirmation (en terme de qualité). Sinon dans le haut du panier, il y a aussi astrosib qui est très très bon...mais aussi très très cher 😀
  47. 1 point
    Il y a plusieurs fabriquant de RC : http://agoptical.com/ https://cfftelescopes.eu/ http://www.knaeble-eng.com/ Après ca passe a beaucoup plus cher et arrive dans les meme prix que Planewave. Rodolphe
  48. 1 point
    Tiens je croyais avoir déjà mis un commentaire, c'est fait, c'est impressionnant , je reviendrai voir
  49. 1 point
    Pour l'instant, deux photos extraites de la séquence vidéo :
  50. 1 point
    Bonjour à tous, Je pense que nous pouvons interrompre cette alerte, le 15 mars la magnitude de l'objet est passée sous la magnitude 16. Merci pour vos réponses et vos nombreux messages perso. Je continue à la suivre au cas où un hub serait observé, si c'était le cas j'en parlerai ici. PS: pour votre information une seconde nova naine est active pour l'instant dans le Cocher, cette nuit (20190316) elle était de magnitude +12. elle semble du même type que celle de la Licorne. Pour ceux que ce type d'objet intéresse voici le croquis du champ et la carte de repérage: Un joli ciel pour vous tous, sans nuages, sans fumées! Michel