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Affichage du contenu le plus aimé le 18/10/2019 dans toutes les zones

  1. 10 points
    Bonjour, La dernière version de la boite à outils AstroSurface est disponible au téléchargement sur le site habituel. Il s'agit d' AstroSurface ERIS du 18 octobre 2019. http://astrosurface.com Dans l'idée de consolider l'existant voici les principales évolutions : - amélioration de l'alignement multi-points dans certains cas de figure, - restructuration des boutons d'accès rapide pour les fonctions les plus fréquentes, La méthode Déconvolution Richardson-Lucy est dans ces boutons : "Deconv RL" La méthode HContrast permet de réduire le contraste des images à haute-dynamique mais aussi de relever les faibles niveaux des images. Pour les images RGB, il y a possibilité, si besoin, d'ajuster la Saturation des couleurs sans passer par la méthode Saturation. Dans le Menu, Image Tools, il y a : > Contrast : Equalize Histogram > Contrast : Local Contrast > Contrast : High Dynamic Range ( c'est la HContrast dans les boutons ) > Gamma, qui permettent de régler les contrastes. NB : "Contrast : Local Contrast" est surtout à utiliser pour les images plein cadre, pas vraiment pour le petit disque perdu sur fond de ciel. Pratique pour les images lunaires en gros plan mais pas seulement. Ciel profond de grandes structures... PARAMÈTRES DES MÉTHODES : - Il est possible de mémoriser les paramètres de réglage pour les méthodes : Curves, Sharpen, Deconvolution RL, Deconvolution Wiener et Wavelets-Deconvolution (ce qui était déjà le cas ). Cette dernière est la seule qui restitue automatiquement au lancement les derniers réglages utilisés. MODE DE PRÉVISUALISATION GRANDES IMAGES : - Dans le traitement des grandes images, de nombreuses méthodes réclament de tracer un ROI : Region Of Interest. C'est indiqué aussi dans le titre de la méthode. Ceci est destiné à permettre des réglages plus fluides sur ce ROI et à tout moment on peut appliquer les réglages à toute l'image : bouton DoAll. On peut tracer un autre ROI à tout moment etc. Ceci reste inchangé car très pratique avec les grandes images. Le changement est dans la prévisualisation (coche preview). Auparavant, on pouvait comparer "avant-après" uniquement après un DoAll. Maintenant on peut comparer "avant-après" même sur un ROI (traitement d'une portion d'image). Ce qui est très pratique afin d'atteindre le réglage optimal. TRAITEMENTS PARTIELS : Quand on charge une vidéo ou une série de fichiers (ce qui est tout à fait identique pour AstroSurface), il arrive parfois que l'on veuille exclure des images de certains traitements. Pour ça il y a la coche à cet effet (ou bien par la touche du clavier Escape = Echap). Mais c'est assez limité de le faire image par image, il y a maintenant une méthode dédiée qui permet : - de cocher/valider toutes les images ou bien aucune, ou bien par plages : de X à Y par exemple : valider ou pas valider ! Ces effets étant cumulatifs, on peut faire un peu ce que l'on veut, si l'on fait attention. Une utilisation pratique est d'exclure par exemple 89 images au milieu d'une vidéo lors d'un passage nuageux. Ou bien de ne traiter qu'une partie des images etc. NB : s"il s'agit de limiter seulement la vidéo en longueur, c'est plus simple; dans Analyze-Register il suffit de renseigner la numéro de l'image de fin. TRI EN QUALITÉ DES IMAGES POUR EMPILEMENT : Lorsqu'on désire aligner-additionner des images, souvent on souhaite limiter aux meilleures, ou moins mauvaises. Pour ça AstroSurface utiliser systématiquement deux algorithmes. Un algorithme principal qui servira à classer les images par ordre de Qualité décroissante. Et un second algorithme qui ne donnera pas le même résultat que le premier : second filtre. Par le jeu de deux curseurs l'utilisateur peut ensuite limiter l'empilement aux meilleures images. NB : Le second algorithme peut être rendu inopérant par la position basse du second curseur si on le souhaite. Auparavant l'utilisateur choisissait lequel des deux algorithme était le principal : - S : algorithme de similitude : plus l'image ressemble à l'image de référence meilleure elle est. Pour ciel profond, nébuleuses, galaxies, alignement sur des étoiles, petits objets... Pour des nébuleuses par exemple, il sera plus précis d'aligner sur un petit groupe d'étoiles pas exemple... - C : algorithme fréquentiel : plus il y a de fins détails meilleure l'image est. Pour disques ou surface détaillées : Lune Soleil, planètes détaillées... Actuellement la possibilité rajoutée est de pouvoir permuter ces deux algorithmes SANS devoir refaire une "Analyze" de la vidéo. Il suffit de cliquer sur le bouton Swap ! --------------------------------------------------------------------------------- NB: l'utilisation des graphes est toujours optionnelle. On peut simplement indiquer le nombre ou le pourcentage d'images à empiler, SANS passer par les graphes. -------------------------------------------------------------------------------- Néanmoins ça permet de vérifier le bon classement des images en Qualité et aussi de vérifier si la cible est bien reconnue : non perdue ! Dans ce dernier cas les images correspondantes devraient être classées vers les dernières en qualité. NB : dans Analyze-Register si l'on souhaite faire apparaître toutes les options, il faut cliquer sur "Advanced mode" en haut à gauche de cette méthode. Il y aurait beaucoup à dire sur les derniers points cités ici. AstroSurface ne devrait pas être en difficulté de suivre des cibles même si elles disparaissent momentanément. Cependant je ne peux tout détailler ici pour le moment. EXPORT D'IMAGES ou VIDÉO Un dernier point concerne la méthode Export dans Analyze-Register. Qui permet après "Analyze" ET SANS NÉCESSITÉ D'EMPILER LES IMAGES, d'exporter des images et des vidéos extraites de la vidéo en cours. Plusieurs options dont la possibilité d'exporter sans classer et qualité mais avec alignement. Ou l'inverse...avec Crop ou pas...je vous laisse expérimenter. NB : A propos d'export, il y a toujours les deux méthodes dans le menu : Convert / Export, tout en haut de la fenêtre principale. Avec pas mal d’options. Exportations de fichiers ou de vidéos... Il n'y a toujours pas de mode d'emploi. Avec des méthodes qui sont parfois ou souvent modifiées, il ne serait pas longtemps à jour. Dans les méthodes les plus complexes, si vous laissez le curseur sur un champ ou sur un bouton, une petite aide contextuelle s'affiche. Et puis dans la fenêtre texte, mais en anglais, des indications apparaissent aussi. On est encore en phase expérimentale. Bon week-end, Lucien
  2. 10 points
    Bonjour la lunaison avance, c'est top bonne chance
  3. 8 points
    Effectivement, on peut mesurer des déplacements ~invisibles à l'oeil nu. Voici une animation que j'ai faite à Nice de 2004 à 2007, avec un GP200 (800mm de focale) et une Audine. On voit parfaitement le déplacement d'une année à l'autre, alors avec une focale plus grande, un ciel pas trop mauvais, en 2 mois grand maximum, tu devrais facilement mesurer un mouvement... Bon, c'est vrai qu'elle va commencer à être un peu basse... Matthieu
  4. 6 points
    C'est presque une histoire que je vous conte. Ça ne rajeunit pas, cet objet fait partie de mes tous premiers dessins, la présentation est presque la même. Sa réponse était plaisante à l'oculaire, c'était en 2000 au T279x245 & 292 + OIII + UHC. J'ai redressé mon dessin dessiné tel quel au C11 pour une meilleure comparaison avec d'autres instruments (en vignette). J'avais tellement aimé cet objet que je m'étais promis quelques années plus tard de le croquer avec le puissant C14. Nada, les années s'enchaînent, cette NP restait un peu dans mon coeur si bien que j'avais carrément pensé à elle pour une "first light" au T600. Pris dans les réglages de l'instrument et autres déboires, cela ne s'est pas fait non plus et je ne sais même pas d'ailleurs quel premier dessin j'ai réalisé avec le 600 ! La voici enfin dans mon classeur. Ne vous fiez pas à sa nomenclature singulière ou à sa magnitude visuelle assez profonde, cette NP atypique supporte les Gmoy sans baisse de contraste (ici à 605x). Elle est passée même de 1 à 2* dans le NSOG vol.4 (cotation justifiée) mais l'élongation erronée de l'objet n'a toujours pas été corrigée. Au premier coup d'oeil, on note une forme en goutte d'eau avec les 2 anses un peu plus marquées ; de plus l'intérieur est moucheté. Le filtre OIII renforce l'ovale, le filtre UHC presque aussi intéressant tandis que les HBêta et HeII l'éteignent complètement. De nombreux détails apparaissent par la suite : les anses en forme de pince peinent à se refermer vers l'ouest. La région centrale est fort pittoresque : elle présente 2 nodosités dont celle N particulièrement dense, renforce l'arc et semble même stellaire par moment. Nous sommes ici dans la zone équatoriale de cette bipolaire, un lieu intense où les secrets d'émission se passent... Une barre transversale un peu moins brillante que l'ensemble relie obliquement ces 2 nodosités selon un axe en PA14° selon les professionnels (mesuré à 10° sur mon dessin). La centrale doit certainement s'y dissimuler quelque part. De l'autre côté, l'anse E-W se prolonge en s'incurvant vers une série de 3 étoiles équidistantes et d'éclat croissant. Une 4ème étoile encore plus faible (magv 16,9) se joint difficilement au groupe. A ce stade, M1-79 me fait penser au "6 cosmique" soit Abell 79 (la magie des chiffres !) en plus contrasté. Même aux yeux des professionnels, c'est une NP bizarre avec sa forme elliptique interne (en PA85°) couplée à une bipolarité fort discrète dans les régions externes. Un boursoufflement gazeux très faible nimbant une grande partie de l'ellipse semble être le halo d'émission interne (surtout visible sur les images Halpha mais il doit avoir des contreparties dans le bleu-vert) avec comme nouvel axe de symétrie NW-SE. Alexandre en parle dans sa chronique Astrosurf mag et j'aurais pu mettre également le dessin de Xavier à la place de celui de Uwe car il comporte quelques uns des détails cités ci-dessus. Promis, le prochain objet sera encore plus intéressant et brillant. Fabrice M.
  5. 6 points
    Bonjour, Pour changer un peu de mes autres captures, voici une nébuleuse obscure située dans la constellation de Céphée.
  6. 6 points
    Et voici ma version du mouvement entre 2017 et 2018. Ca me rappelle qu'il faut que je fasse mon image de 2019 ce week-end, avant qu'elle ne soit noyée dans les lueurs du couchant. Images prises au C8 F/10 et Canon 5D Mark II jf
  7. 5 points
    Hello, une éclaircie miraculeuse ce matin entre 5H et 6H. J'en ai bien entendu profité Traitement Astrosurface_E bien entendu Thank you @Lucien Matos: ED80 / C8, Asi290mm, filtre rouge 23A Une lune entière avec la 80ED pour se mettre en appétit: et en plat principal: du roti de C8 sauce Asi290 : Et en dessert, de Tycho à Moretus: Bon ciel les amis
  8. 5 points
    Hello les amis, Aujourd'hui la 58ème sortie extra-véhiculaire est 100% féminine . Rappelons-nous qu'en mars une autre sortie avait dû être annulée car il manquait une combinaison taille M ! Ici en direct sur la chaine YouTube de la Nasa : Et le premier qui dit "on attend la boulette", je le scalpe ! Ici un calendrier bien sympa qui permet d'être toujours au courant : https://teamup.com/ksvcco3p8s99garshu
  9. 5 points
    Bonjour, Justement petit lien sur Astrosurfarce, sur mon site. https://vseverin77.wixsite.com/le-loup-lunaire/liens-du-loup Refonte de mon site internet: C'est plus clair..et rouge Bon ciel lunaire
  10. 5 points
    hello, j'étais encore jeune à l'époque, enfin je crois faire il y a 4 ans avec ma batterie de filtres touts neufs, LRVBHaO3. Ceci est un montage (LHaO3)-(RHa)-(VO3)-(BO3) avec 9,5 heures de pose en tout avec le T250 f/4 et l'Atik One sur AZEQ6. Retraitement il y a 5 minutes. Full : https://www.astrobin.com/full/271962/0/?real=&mod=
  11. 5 points
    Déjà, quand on passe la tête par la fenêtre d'une banyol qui roule à 150 ou 200 à l'heure, c'est hyper impressionnant, alors à 28 000 à l'heure…
  12. 5 points
    Je n'ai pas encore eu le temps d'écouter - dois-je me sentir visé? (Mais je ne savais pas si et quand france inter en parlerait) - mais si vous avez des commentaires n'hésitez pas.. Sinon une nouvelle circulaire CBET 4679 rapporte de nouvelles mesures de CN et C2, avec un taux dégazage 2-3x plus faible pour CN et moins d'1/4 pour C2 par rapport au papier ArXiv de Kareta et al. (https://arxiv.org/abs/1910.02547) Pour ces mesures (en absolu) il y a toutefois facilement des différences d'une équipe à l'autre si elles n'utilisent pas les mêmes paramètres... En relatif cela donne C2/CN < 0.3 -- pour comparaison ce rapport varie entre 0.1 et 2 dans les comètes du système solaire avec une moyenne en général autour de 1 et la distinction entre comètes "pauvre en carbone" et "typiques" à la valeur C2/CN ~ 0.7 Pour comparaison: C/1995 O1 (Hale-Bopp): C2/CN~1.0 46P/Wirtanen: C2/CN~1.0 2P/Encke: C2/CN~0.9 67P/C.G.: C2/CN~0.5 C/2001 Q4 (NEAT): C2/CN~0.23 21P/Giacobini-Zinner: C2/CN~0.2 73P-C et 73P-B/Schwassmann-Wachmann 3: C2/CN~0.17 (Note: ce rapport ne dépend pas particulièrement de l'origine de la comète) Donc pour 2I/Borisov on est encore dans les valeurs observées dans le système solaire, mais plutôt vers la fourchette basse... Pas facile la spectro sur une comète de magnitude > 16 même avec un 4m! L'aventure continue... Nicolas
  13. 5 points
    Ce genre de truc me laisse perplexe… Perso, j'ai arrêté au bout de 20 secondes… Je préfère mille fois me balader dans les images de Mars, avec leurs légendes, qui les rendent réelles et compréhensibles, que de "planer" avec ces vidéos sans le moindre sens, où, entre parenthèses, les images sont trafiquées… Mais bon, chu sûrement trop vieux pour ces trucs, comme les Youtubeurs, qui font un million de likes en parlant de Mars ou Jupiter et en montrant leur gueule pendant dix minutes sur les douze que dure leur daube... Donc, pour moi, c'est nan, mais vous avez droit d'adorer ces trucs cuculapraline, bien sûr.
  14. 4 points
    Une nouvelle image(en cours) avec la FLI Kepler 4040 Cmos RC Astrosib 500 F/8 HOO H=3h30 et OIII 5h09 en MRG Pas de guidage , poses de 3mn Pas d'aigrettes La full http://www.georges-chassaigne.fr/440957299 Georges
  15. 4 points
    La beauté de la nature ne procède d'aucun concept, d'aucun artifice humain et ne s'adresse donc pas à la sensibilité particulière de chaque individu. Selon Kant, "le beau est ce qui plait universellement et sans concept", il procure une satisfaction désintéressée, exempte de tout concept déterminé et donc accessible à tous ceux qui en ressentent l'harmonie par une sensibilité éveillée, disponible. Ce n'est que trop rarement que nous mettons entre parenthèses la cavalcade continuelle de nos pensées pour nous laisser prendre au charme d'un paysage, pour nous laisser toucher la vie des couleurs, la danse des formes. Mais comme dit Bergson, nous croyons "voir" et en fait nous nous bornons à "reconnaître", dans une sorte d'atonie de la sensibilité, avec une sorte de voile gris jeté sur les choses (parfois déchiré par un joli sourire, ou par le regard profond et délicieux d'une astronaute dont on tombe amoureux ).. L'énorme panoplie des artifices utilisés dans pas mal de vidéos sensées nous faire découvrir Mars ont sans doute pour but de "réveiller" notre sensibilité, notre perception, mais elles ne nous parlent plus vraiment de la nature, du monde des Hommes. On peut plutôt considérer la chose comme "une expérience esthétique", plus ou moins réussie. Pourtant le spectacle toujours renouvelé de la nature, sur Terre, sur Mars ou ailleurs, est le plus souvent magnifique, d'une harmonie et d'une puissance prodigieuse, inégalées, se suffisant à lui même. Ce spectacle permanent demeure d'une esthétique intemporelle, hors de nos préférences subjectives, des modes, des revirements de l'art, et de l'histoire.
  16. 4 points
    Merci iblack La voici en meilleure résolution possible, et libérée de l'appropriation d'un Monde qui n'est pas le sien : Malheureusement, ces vidéos présentent toutes les mêmes défauts récurrents, qui les prive irrémédiablement d'un rendu réaliste : un manque cruel de définition, qui toutes proportions gardées nous feraient sur Terre apparaître depuis l'orbite un luxe de détails inconnu ici. Nous nous sommes habitués à cette formidable résolution, à force de contempler les images Google Earth... Du coup celles-là paraissent beaucoup trop lisses pour être honnêtes, ne faisant aucune différence de rendu entre un éboulis de blocs cyclopéens et une dune de sable... Cette impression se trouve renforcée par les images du sol à haute résolution envoyées par les rovers, qui nous fournissent, eux, une vue précise de la réalité en surface, très ressemblante à la morphologie terrestre au niveau paysages. La comparaison inconsciente devient alors inévitable - du moins chez les passionnés d'exploration planétaire que nous sommes. Mars, bien sûr, pour une question de moyens, ne peut être scrutée globalement à la même résolution que la Terre ; mais l'absence de textures réalistes correspondant au niveau de détails qu'on observerait depuis l'altitude de tous ces survols virtuels, ne permet pas de nous convaincre : ça fait irrémédiablement décor de série Z, il n'y a pas de pièce à y coudre... Et puis il y a toujours cette exagération verticale du relief, qui transforme de modestes pentes en abîmes soudain vertigineux ! Mais là, soyons honnêtes : sans cette accentuation délibérée, cette "triche" souvent outrancière, la planète entière vue du ciel ressemblerait à une morne plaine, quasi dépourvue du moindre relief notable, à de rares exceptions près. Pour un rendu beaucoup plus réaliste en résolution supérieure - que pour ma part je trouve somptueux - il faut plutôt se balader dans la galerie des images MRO, d'authentiques photos prises depuis l'orbite : https://www.nasa.gov/mission_pages/MRO/images/index.html Là, on ne joue plus dans la même cour, et comme par hasard le moindre rocher de taille honnête apparaît en surface, ça crédibilise d'un coup le paysage découvert ! Ah, bien sûr : il n'y a ni les sons planants, ni les effets 3D nausée-abondants, mais on peut y errer pendant des heures à la découverte de paysages martiens tous plus fascinants les uns que les autres - bien réels ceux-là - même s'ils ont été traités "à l'américaine". Exemple - pas besoin d'aller chercher bien loin - la toute première de la galerie (les images MRO sont cliquables pour afficher la pleine résolution) : Légende pour les francophones (je cite après traduction, merci aux anglophones de me corriger si nécessaire en allant visiter la galerie originale sur le site NASA/JPL) : "Cette image prise par la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter montre des roches sédimentaires et du sable dans le Danielson Crater, un cratère d'impact d'environ 67 kilomètres de diamètre, situé au sud-ouest d'Arabia Terra. La roche s'est formée il y a des millions, voire des milliards d'années, lorsque des sédiments meubles se sont déposés dans le cratère, couche par couche, puis ont été cimentés sur place. Les variations cycliques des propriétés des sédiments ont rendu certaines couches plus résistantes à l'érosion que d'autres. Après des éons, ces couches plus dures font saillie vers l'extérieur comme des marches d'escalier. Sur ces marches, les vents ont déposé du sable (apparaissant généralement plus foncé et moins rouge, c'est-à-dire «plus bleu» par le jeu du rendu colorimétrique aux contraste et saturation renforcés), ce qui donne naissance aux zébrures visibles ici. Cette image complète une paire stéréo sur cet emplacement, ce qui permettra de mesurer l'épaisseur de ces couches sédimentaires. L'épaisseur des couches et leur variation dans le temps peuvent fournir des informations sur les processus, éventuellement liés au climat ancien, qui ont déposé les couches il y a si longtemps. La carte est projetée ici à une échelle de 50 centimètres par pixel. (L'échelle de l'image d'origine est de 57,2 centimètres par pixel [avec binning 2 x 2] ; les objets de l'ordre de 172 centimètres sont résolus.) Le nord est orienté vers le haut." Crédit d'image : NASA/JPL - Caltech/Université de l'Arizona Dernière mise à jour : le 20 septembre 2019 Éditeur : Yvette Smith Tags : Image du jour, Mars Reconnaissance Orbiter (MRO), Système solaire, Mars La seconde de la galerie : Je cite, toujours après traduction, la légende de cette image stupéfiante : "Chaque printemps, le soleil brille sur le côté de l'empilement de couches au pôle Nord de Mars, connues sous le terme de dépôts stratifiés polaires nord. La chaleur déstabilise la glace et les blocs se détachent. Lorsqu'ils atteignent le bas de la falaise de plus de 500 mètres de haut, les blocs soulèvent un nuage de poussière. Les couches inférieures sont de couleurs et de textures différentes selon la quantité de poussière mélangée à la glace. Cette image a été capturée le 29 mai 2019 par la caméra HiRISE sur la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter à 13h14, heure locale de Mars." Crédit d'image : NASA/JPL/Université de l'Arizona Légende : Candy Hansen Dernière mise à jour : le 11 septembre 2019 Éditeur : Sarah Loff Tags : Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) Et ainsi de suite !... Aussi, pendant qu'on nous fait passer pour réalistes des simulations style Disneyland réalisées à grand coup d'images de synthèse sur fonds de vraies captures archi-trafiquées, un gisement extraordinaire - de photos bien réelles celles-ci - passe totalement inaperçu du grand public... Pas assez vendeur ? Pas assez spectaculaire ? Alors je vous le demande sans ambages, entre quat'z'yeux et en toute franchise : quelles sont pour vous les plus fantastiques ? Les survols virtuels bidons qu'on nous présente avec force superlatifs (pardon, Super, à ta famille, aux amis qu'il te reste, à ton chat facétieux et ta fille adorée) ou les vraies images de MRO ? Mmmmhhhhhhh ?
  17. 3 points
    Bonjour à tous, Voici une nébuleuse bien connue dont j'ai pu tirer le portrait sur 5h15 en sho avec le T250 à F/D3.7 (asa x0.73) et l'asi183 de mon copain Jean-Marc_M. 3h20 de Ha en bin1, 1h10 de SII en bin2 et 1h20 de OIII en bin2, le tout en fractionnées de 5mn. 4.5e- de bruit de photon pour 2e- de bruit de lecture (mesurés), j'aurais pu allonger les poses unitaires. Préréglage gain unitaire (1e-/adu en 12 bits). Fwhm 2.3" sur l'empilement des 3h15 pour 0.5"/p. Pleine lune, filtres astronomik 12nm. J'ai un problème de tilt, car une diagonale est bonne, et l'autre montre les défauts opposés de backfocus sur le réducteur. Nathanaël Clic clic pour la full:
  18. 3 points
    Bonjour. Le cœur et la tête de poisson. A défaut de pouvoir imager (vue la météo) on s'amuse sur les dernières prises. Une interpretation à base de : 0,5*SII+0,5*Ha/0,2*Ha+0,8*OIII/OIII... FSQ85/QSI583wsg/EM200/Lodestar/AstroArt, PHD2, PixInsight, Photoshop Tout ça fait parti d'une mosaïque (pas finie). 6h de Ha, 3h de OIII et SII. Le tout depuis Romainville. La couche OIII est horrible avec la polution lumineuse parisienne... Bonne soirée
  19. 3 points
    Bonsoir, J'ai eu des grosses bino en 45°, c'est bien pour du terrestre, mais pas très confortable pour regarder le ciel. Depuis, j'ai eu assez souvent l'occasion d'utiliser des 90°, pour moi c'est clair, si je devais un jour revenir à ce type de bino, je ne prendrais plus des 45° mais des 90° quelque soit le tabouret utilisé.
  20. 3 points
    En regardant la chose un peu légèrement, sur la base des avances opérationnelles actuelles, on peut évaluer le temps nécessaire pour atteindre les 5 m de profondeur de l'objectif initial selon 2 modes de calcul. a) 2 cm en 10 jours (progrès depuis le début de la nouvelle procédure - "Pinning".) b) 35 cm en 8 mois (profondeur atteinte depuis la dépose d'HP3) - Pour a) cela donnerait grosso modo 7 ans 1/2 ! - Pour b) plus de 11 ans !! Dans les deux cas on dépasse très largement la durée de vie d'Insight, y compris en envisageant plusieurs prolongations de mission. Tout ça pour en sourire, naturellement. Pour en revenir à une analyse plus sérieuse, les chercheurs considèrent que nous aurions déjà de bonnes données à 3 m de profondeur, pour estimer le flux thermique généré par Mars. Evaluation de la T° du manteau, quantité d'éléments radioactifs planétaires, précision la profondeur à laquelle la glace du permafrost peut potentiellement passer à l'état liquide, et encore d'autres nombreuses questions fondamentales pourraient obtenir des réponses, même sans atteindre forcément les 5 m envisagés. Le fait d'avoir débloquée la situation qui perdurait depuis 8 mois donne malgré tout quelques espoirs, mais une dangereuse étapes devra à nouveau être franchie lorsque le scoop ne sera plus en mesure d'agir sur la taupe...
  21. 3 points
  22. 3 points
    Très belle vidéo Pierre ! Mais je suis d'accord avec Super, je ne sais pas si c'est parce que je suis maintenant le fil "actualités de Curiosity", mais cette vue de Mars : ou même cette image : … me touchent davantage, elles me donnent une sensation de proximité qui file la chair de poule. La vidéo est très esthétique, mais je la trouve un peu réfrigérante … Je préfère aussi la vidéo de l'esa.
  23. 2 points
    Salut les amis, j'ai pu utiliser le Cassegrain de 250mm très tôt ce matin ( 0H00-2H00 ) pour faire quelques rase mottes lunaires. Pas de bol, lune encore une fois très turbulente. Je me suis limité au foyer du scope. Bien que j'ai jeté pas mal de films à la corbeille, je peux quand même vous présenter 2 "horizons" sur 3 à la taille de 100%. T250 + ASI120MC au foyer. Sers de 4000 à 4500 images environ. 300 à 400 images retenues dans AS3. Traitement VV sous Iris de la couche rouge. - Région de Grimaldi ( 3 images, taille 100% ) : - Région de Struve ( 3 images, taille 100%) : - Limbe montagneux ( 4 images, taille 70%), conditions plus difficiles en fin de séance : Je m'en suis assez bien sorti au final malgré le fait que le Cassegrain soit assez pointilleux en temps normal !
  24. 2 points
    Bonsoir, Comme beaucoup je suis dans l’attente, l'automne est là et le temps maussade également. Donc histoire de patienter, quelques images sur mon site de prédilection (Hautacam Hautes-Pyrénées) Très bon week-end à vous tous, amicalement Joel
  25. 2 points
    Yoooooo !!!! chers amis, j'adore vos pétouillettes, ciblounettes infinies dont le recensement donne le vertige ! salutations tropicales
  26. 2 points
    Yo ! désormais, nos vidéos sur notre site sont lisibles directement en streaming, profitez-en ! http://www.astrosurf.com/magnitude78/voyages/voyages.htm
  27. 2 points
    C'est vrai que la G...astronomie c'est de la fine...aigrette !! .......
  28. 2 points
    C'est curieux que tu obtiennes ce résultat avec un message positif. A tout hasard, essaie de remplacer le "64" par "128" ou auttre Et surtout, vois qd m^ le site de l'auteur : https://www.astrobin.com/397290/ En CP, les étoiles brillantes atteignent les niveaux de luminance les plus élevés de l'image. Je pense que pour améliorer la détection des étoiles, il faut descendre le curseur haut pour approcher à 5 ou 10% les 255 (ou 65536) sans rien crâmer et monter le curseur bas pour que le fond de ciel soit aussi noir que possible, sans rien enterrer. Jouer sur le gamma avec le curseur central pourrait aussi aider ??? Ben oui, justement, et améliorer la forme des étoiles , et les coloriser "scientifiquement", ce que je vais essayer de faire si le site de l'ex-calibrator remarche Ca reste à voir... Sûr qu'arranger ça : n'est pas évident ! Il le sera pour toi quand tu te seras mis au CP !
  29. 2 points
    Bonjour et bonne chance, va falloir faire vite, elle est basse
  30. 2 points
  31. 2 points
    https://www.dlr.de/blogs/en/all-blog-posts/The-InSight-mission-logbook.aspx Traduction : Entrée du carnet de bord du 18 octobre 2019 Bonnes nouvelles de Mars, la "Taupe" du DLR a progressé ! La sonde de flux thermique HP3 a pénétré un total de deux centimètres vers le bas (calculé à partir des données des images par Troy Hudson et Bob Deen, JPL/Caltechen) en trois séances de martelage précisément calibrées, de 20 et puis deux fois 100 coups. Il est difficile d’estimer avec précision la progression sans images stéréo. L’animation montre le mouvement reconstitué à partir d’images de la caméra de déploiement d’instrument IDC de l’atterrisseur Insight. Le mouvement clairement visible est une très bonne nouvelle et confirme notre théorie selon laquelle la taupe n’allait pas de l’avant parce qu’elle manquait de frottements dans le sable martien. Pour analogie avec votre voiture, vous pourriez dire qu’elle manque de grip sur un sol peu adhérant. Il y a eu aussi une rotation de la taupe autour de son axe, plus encore que dans les deux premières séances de martelage. Nous surveillons attentivement cela. D’ après les tests sur le banc d’essai en laboratoire, nous savons que la sonde a tendance à tourner à mesure qu’elle pénètre le sol. Une fois que la longe du pénétrateur rentrera dans le sol, nous nous attendons à ce qu’elle agisse comme un aileron qui réduira la rotation comme nous avons pu l'observer sur le banc d’essai. Nous allons continuer d'oeuver en utilisant la pelle... Et pour quelques précisions supplémentaires, https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7519 Traduction remaniée (pour une meilleure compréhension) : InSight a utilisé son bras robotique pour aider sa sonde thermique, surnommée " la taupe", à creuser près de 2 centimètres au cours de la semaine écoulée. Bien que modeste, le mouvement est significatif. Conçu pour creuser jusqu'à 5 mètres sous terre afin de mesurer la chaleur qui provient de l'intérieur de la planète, la taupe n'a réussi à s'enfouir que partiellement depuis ses premiers coups de marteau en février 2019. Le mouvement récent est le résultat d'une nouvelle stratégie, mise au point après de nombreux essais sur Terre, qui a révélé qu'un sol aux caractéristiques inattendues empêchait les progrès de la taupe. Le pénétrateur a besoin de la friction du sol environnant pour pouvoir progresser, sinon le recul dû à son action de martelage automatique la fait simplement rebondir sur place. En appuyant le godet du bras robotique contre la taupe, nouvelle technique appelée "épinglage", cela semble fournir à la sonde le frottement nécessaire pour continuer à creuser. Depuis le 8 octobre 2019, la taupe a été martelée 220 fois en trois séquences différentes. Les images provenant des caméras de la sonde ont montré que la taupe progressait lentement dans le sol. Il faudra plus de temps, et de martèlements, à l'équipe pour voir jusqu'où le pénétrateur peut aller. La taupe fait partie d'un instrument appelé "ensemble de flux de chaleur et propriétés physiques", ou HP3 , fourni par le centre aérospatial allemand (DLR). "Voir les progrès semble indiquer qu'il n'y a pas de pierre qui bloque le chemin", a déclaré Tilman Spohn, investigateur principal pour HP3. "C'est une bonne nouvelle! Nous poursuivons nos efforts." Le JPL, à Pasadena, dirige la mission InSight. On y a testé le mouvement du bras robotique en utilisant des répliques complètes du lander et de la taupe. Les ingénieurs continuent de voir ce qui se passerait si la taupe s'enfonçait sous le niveau du sol et si cela cesserait de progresser. On pourrait accumuler du régolithe sur la taupe, en ajoutant de la masse pour résister au recul de la taupe. Si aucune autre option n’existait, on envisageraient d’appuyer le godet directement sur le dessus de la taupe, tout en essayant d’éviter un contact avec la longe qui s’y trouve. Cette attache alimente et transmet les données de l'instrument.
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    Bon, alors le premier prix revient à . . . . . . . . Alain Moreau Bonne journée, AG
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    Encore 1 semaine à patienter Bonne journée, AG
  34. 2 points
    la ST8 plus sensible que le A7S ? j'ai comme un doute... taille des pixels : A7S plus gros 8,3u contre 9u : 1,17 fois plus de surface de pixels pour la ST8. Rendement quantique : assez similaire. Couleur contre mono : facteur x2 à x3 en faveur du mono. Bruit de lecture : 15 fois moins pour le A7S ! Bref au final le A7S est largement devant d'un facteur x4 en gros sur rapport signal à bruit par pixel, grace au bruit de lecture très faible et c'est ce qui domine en pose courte tant que le fond du ciel ne prend pas le dessus. remarque importante : x4 en RSB veut dire des poses unitaires 16x plus longues pour atteindre le même RSB. Donc n'espère pas gagner en temps de pose en passant à une CCD mono, c'est le contraire. edit : 2eme remarque importante : pour les comètes un capteur couleur va être moins à la traîne qu'en ciel profond par rapport à une mono. En effet, les émissions sont majoritairement dans le vert, or la matrice de bayer a 2 pixels vert sur 4. Donc en gros par rapport à un capteur mono on sera plutôt sur un coéficient de 2x moins plutôt que 3x moins i.e. la perte est moins grande que sur un.objet à spectre continu. Maintenant décides en connaissance de cause, si tu es joueur ça fera une expérience...A7S v.s. ST8 en 30s de pose...
  35. 2 points
    Ah passe qu'en plus y a des pubs ?!!! Dégueulasse ! Je passe ! Non, sérieusement : comme Kirth, l'exagération vraiment trop exagérée des reliefs verticaux donne sur les travellings un effet 3D pas du tout réaliste, avec des distorsions qui font croire par moment à des déplacements de fluides, à des montagnes mouvantes, à des mesas qui ressemblent soudain à des cheminées de fées... Bref : j'accroche pas non plus à ce genre de truc, surtout que la nature à l'état naturel peut se montrer somptueuse sans tous ces artifices. Là on dirait que cette pauvre planète est plus maquillée qu'une voiture (en)volée (cette tesla en orbite pour ne pas la nommer ) Ça participe de la même exagération, pour moi ; du même besoin d'en faire des tonnes pour se faire mousser ! Entre le facteur x5 ou x10 en Z, le quadrillage superposé aux images façon Apollo, les tartines d'effets visuels et sonores rajoutés car censés simuler un authentique survol en temps réel, mais dont aucun ne "fait vrai", on se demande finalement ce qu'il faut admirer le plus : les paysages méconnaissables de Mars ou l'incompétence astro/nautique/physique de l'auteur-tripatouilleur ? De plus, la fausse mise à feu est totalement fantaisiste, car depuis l'orbite (basse ou haute, on s'en fout) pour s'éloigner on ne pousse pas verticalement mais horizontalement : que vient foutre le faux panache de gaz dans le champ de la caméra, et comment peut-elle s'éloigner aussi vite du sol sans translater tout aussi vite ? On verrait ça dans un film payant, on crierait au scandale ! au voleur ! au remboursement ! Heureusement, là c'est qu'une vidéo gratuite, alors c'est pas grave, on rigole ! Déjà, d'emblée, on nous montre Phobos au premier plan, avec une Mars toute lointaine qui se dévoile derrière : c'est parfaitement irréaliste, car vue de Phobos, à la louche, Mars doit flirter avec les 45° de diamètre angulaire apparent (j'ai pas fait le calcul, c'est purement pifométrique, mais en ordre de grandeur on doit pas être si loin, moins loin en tout cas que dans ce qui nous est donné à voir ici) Pis si on croise Phobos, on doit la contourner selon une trajectoire plausible : il manque une rotation/zoom avec fuite latérale du premier plan dans le champ, si on veut faire un peu moins faux. Pour moi le verdict est sans appel : je trouve qu'il y a outrage à magie astrale (ou à magiques strates, comme vous voulez, selon que vous levez les yeux au ciel ou les baissez vers vos godasses quand on vous gronde...) Et puis côté son, bah désolé, mais on est dans le sempiternel super ringard électro-planant assaisonné de bruitages superfétatoires, qui veulent faire genre : "on-est-dans-l'espace-infini-sans-son-où-qu'y-a-pourtant-plein-de-sons-bizarres-qui-émanent-de-cette-sonde-non-pressurisée", des "clic-clac-souriez-vous-êtes-pris-en-photo", des "bip-allo-Houston-c'est-un-p'tit-tour-de-Mars-mais-une-grande-révolution-pour-l'humanité", des "pschittt-pschittt-merde-un-contrôle-d'attitude-a-encore-dû-pschitter", des "pschlahhhh-j'ai-rallumé-mon-propulseur-pour-vous-en-mettre-plein-la-vue-en-reculant-tout-droit-à-tout-berzingue", etc. En résumé : trop d'effets spéciaux, trop d'effets spécieux, trop d'effets spatiaux qui marchent pas dans l'espace, avec un fond musical assaisonné de bruitages de bas étage, qui ne brille ni par la sobriété, ni par l'originalité... À ce train-là, je préfère et de loin rêver devant les paysages oniriques imaginés de toutes pièces par un illustrateur de talent, qui au moins, lui, est un véritable artiste et nous propose sa vision personnelle d'un autre monde. Ou une simulation qui tienne la route côté proportions, genre Celestia ci-dessous, qui nous montre Mars sous un angle plus réaliste quand on croise Phobos, et un relief certes accentué, mais qui ne donne pas envie de vomir quand on la survole ! :
  36. 2 points
    SuperNikon Je me disais mais bonsoir de non didiou!! seulement 1/11 n'aime pas ? Et piii!!! non, nous en sommes grâce à toi cher Serge , à 2/12 et donc merci pour ton intervention . Et puis Serge!! heureusement que l'autre tanche de David, n'intervient pas, parce que je n'ose même pas imaginer sa réaction, je préfère même pas y penser.
  37. 2 points
    Moi je vois autre chose qu'un poisson, mais bon .....je dois avoir l'esprit mal placé..... En tout cas ce champ est absolument magnifique. Nicolas
  38. 2 points
    Et un petit dessin datant d'autour de 1990 avec un 115/900 à 36x, dont le V stellaire indiqué par Matthieu est pas trop loin du centre et l'étoile de Barnard un peu au dessus à gauche. Je m'étais dit qu'il faudrait que je la redessine après quelques années mais il semblerait que je ne l'ai pas encore fait...
  39. 2 points
    bonjour et merci à Achaim et Séverin bon ciel aussi édit: mais c'est quoi qui passe dans le ciel et sur la lune?, merci et hier soir pour le lever de la lune. le gif :
  40. 2 points
    https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?release=2019-205 Une nouvelle vue spectaculaire prise par la sonde MRO le 23 septembre dernier à une altitude de 272 km :
  41. 2 points
    tres beau ...........et envoutant .... dac avec fljb ....la sw esprit sa arrache .....
  42. 2 points
    Arrêtez toutes vos salades : le mieux, c'est la fine aigrette...!
  43. 1 point
    Super, toutes ces petites fenêtres visuelles et musicales! Ça fait du bien tout ça! Pour en revenir à tes photos, bien sûr, la "corneille, la Lune et l'avion" (un vrai titre de fable) mais aussi le 2e, avec cette petite branche qui a l'air bien vivante... Et aussi "les corneilles satellites". Bonne soirée
  44. 1 point
    aïe aïe aïe, nos deux femmes astronautes ont un peu foiré l'opération...
  45. 1 point
    il y sont bien sur l'image brut, c'est gimp qui les a corriger. j'ai suivie bêtement se tuto sur youtube.
  46. 1 point
    A mon avis, c'est plutôt comme sur un SC ; c'est le baffle qui joue le rôle de goutte "froide" à l'intérieur du tube et cela a pour effet de perturber l'équilibre thermique dans le tube. C'est sans doute pour cela que tu ne vois la perturbation que sur un rayon (et pas un diamètre). Je me suis toujours étonné que les fabricants n'aient jamais pensé à rompre ce pont thermique, car finalement l'instrument se refroidit par son tube (en alu préférablement, car en carbone c'est pas terrible), par la lame et par son barillet. Le pire étant la lame bien sur, pour le reste cela reste assez discret. Par contre cet épanchement au milieu du tube c'est la plaie. Marc
  47. 1 point
  48. 1 point
    le max vers 2025 au mieux ,pitain c'est loin pour un vieux comme moi , 2036 pour l'autre maxi.
  49. 1 point
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