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Affichage du contenu le plus aimé le 16/02/2020 dans toutes les zones

  1. 14 points
    Bonjour à tous, Désolé pour le délais d'attente, j'ai personnellement eu un probleme de la vie qui m'a retardé. Rien de grave. Mais ca n'a pas empêché de faire tourner les télescopes, et actuellement nous avons pris beaucoup de retard sur le traitement. Voici donc une nouvelle image avec une grande et tres belle galaxie NGC1512. C'est une galaxie spirale barrée située dans la constellation de l'Horloge à environ 41 millions d'années-lumière. Il y a tres peut d'images montrant les grands bras de la galaxie. Autant le centre est brillant et facile, autant les bras sont étendu et faible!! C'est une version LRVB ou le traitement fait la part belle aux bras de la galaxie, avec un fond de ciel surement plus bruité qu'habituellement. NGC1510 accompagne NGC1512. Le coté technique: Télescope JANUS Sud situé à l'Hacienda des Étoiles au Chili. Temps de pose: Couche L en10h35mn. Couche R, V et B en 1h30mn par couche. Poses élémentaires de 5min. Les meilleures images élémentaires présentent un seing de 1.3 sec d'arc, et la moins bonne retenue de 2.4 sec d'arc. l'image finale a un seing d'environ 2.0 sec d'arc. Télescope de type Newton de 520mm de diamètre FD 3.5. Echantillonnage de 0.4 sec d'arc par pixel. Camera ZWO 1600MM Cool. Filtres LRVB ZWO avec la roue à filtres de la même marque. Motorisation Directdrive Alcor System. Conception mécanique de l'ensemble du télescope (tube et monture) de Michel Meunier. Fabrication de la monture TELESCOPECAST. Piloté en automatique sous PRISM V10, prétraitement sous PRISM V10 et traitement final sous CS6. Voici la full comme toujour via clic sur l'image elle meme puis les fenêtres Astrosurf: Et comme toujour, bonne astro à tous!!!! La JANUS Team Michel Meunier et Laurent Bernasconi http://team-janus.astrosurf.com/ https://www.facebook.com/JanusTeamNordSud/
  2. 14 points
    Bonjour les noctambules, Hier soir, un ciel prometteur et une Lune qui se lève tard. Je suis donc reparti à la pêche à l'Huitre dans la Girafe. J'avais déjà fait un repérage le 6 mais avec la Lune ça n'a rien donné Puis une fenêtre le 12 m'a permis de faire quelques prises rouges et bleues. Enfin, hier soir, j'ai pu refaire quelques prises couleur et 18 poses de luminances. Toujours au foyer du M809 ( 200mm à F10 ) caméra Starlight SXV-H9 et filtres LRGB Baader. J'ai donc pu traiter 18 images L, 2 x 15 R et B et j'ai fait un vert synthétique. Le traitement a été plus simple que d'habitude, sans doute du fait d'un ciel plus correct Donc rien de spécial, traitement de tout ça sous AstroArt et finitions sous PSP. La version croppée : Que j'ai même osé agrandir à 125% : Toujours quelques soucis avec mes étoiles à cause de mon guidage erratique Mais plus pour longtemps normalement C'est un premier jet que je propose à votre sagacité Bonne journée à vous, AG Une version 2 un peu mieux résolue :
  3. 12 points
    Bonjour, Une galaxie , ça faisant longtemps. J'ai vu 2 belles versions sur ce fofo il n'y a pas longtemps alors je m'y suis essayé. Petite histoire de la prise de vue: Belle météo , une poil brumeuse mais en ces temps de disette je ne me plains pas. Acquisition sous SGP depuis la terrasse , je surveille les opérations automatisées en somnolent sur le canap. Retournement au méridien prévu vers 01h15 ... Je me réveille mollement vers 2h30, la flemme de sortir dans le froid pour vérifier que tout est en ordre il n'y a pratiquement jamais de problème. Finalement je me dis que ce serait trop moche et je sors vérifier bouche pâteuse , les yeux encore embrumés , je découvre le scop parké, M.... Évidemment je relance le bazar, mais j'ai loupé +/- 2 heures alors que la cible était au zénith... le lendemain je vois que j'ai toujours des reflets autour des grosses étoiles surtout dans le bleu. je les avais " pompeusement" attribués au filtre anti PL , mais ce coup ci je ne l'avais pas mis . Je démonte la roue a filtre , elle s'était un poil desserrée mais je vois aussi que les filtres s'étaient " démontés" surtout le bleu... Ils n'étaient pas mal vissés sur la roue , mais le verre gambadait joyeusement a l'intérieur du montage ( filtres 31 montés ). Si cela peux servir a quelqu'un... J'ai toujours une entrée de lumière (en bas a droite sur la photo ) cela ferra l'objet de nouvelles enquêtes Bref : NGC 2841 , une galaxie de 6 min d'arc dans la grande ours , avec pas mal de copines si on prend le temps de les chercher. Newton 200/1000 moravian 8300 , AZEQ 6 , DO SGP , Ps Pix L 38x300sec , RGB 8x300sec par couche , bin 1x1 plus d'info : Astrobin Bon ciel, alain
  4. 12 points
    Bonjour, Le C8 était prêt, mon étoile guide bien à sa place, j’avais décidé avec optimisme 2h de poses à 300 sec car l’éclaircie était bien là! J’ avais même fait un alignement polaire aux petits oignons... Mais voilà, après 2 poses le vent s’est levé et les nuages ont envahi tout le ciel. J’ai traité quand même car sur les 2 brutes, je la trouvais très présente. En fait j’étais à 3600 isos au lieu de 800! Nikon d7000, C8, 2 poses de 300sec, 3600 isos.
  5. 12 points
    Bonjour a tous Voila un premier jus en NB de cet ensembles de Galaxies pratiquement jamais shooté ... Cela a demandé plusieurs sorties 3h par ci 6h par là ...météo pourrie , nuages d'altitude , brume , bref... Total de 27 poses en L de 600 sec . La suite viendra avec de la couleur . InstrumentTélescope Astrographe UNC 254 mm f/4.7 automatisé par Prism V10 Focale 1175 mm Monture Astro-Physics AP 1200GTO ImageurCaméra CCD QSI 540WSG à -25°, guidage Atik GP Echantillonage 1.60 "d'arc RMS sur brute MDL 62 ( et oui j'ai galéré pour sortir une image finale ) ExpositionL 27x600 sec en bin 1x1 Traitements Maximdl , Photoshop CS3 https://zupimages.net/viewer.php?id=20/07/ybga.jpg[/IMG] a+ @lex.
  6. 12 points
    Vous avez aimé Bételgeuse ? Vous allez adorer HR 5171, une supergéante du Centaure, encore plus massive et plus grande... L'image a été prise avec le VLTI, l'étoile est tellement lointaine que Sphere ne l'aurait pas résolue.
  7. 10 points
    L'image est réalisée avec un objectif photo Hasselblad monté sur une QSI583. C'est une composite en LRGB rehaussée par une couche Ha. Les poses individuelles ont été faites avec une exposition de 240s pour les images grand champ. Elles ont été complétées par des images de 30s afin de capturer la grande nébuleuse d'Orion sans (trop) la saturer. Plus de 17 heures de poses sont assemblées ici. L'image est capturée dans l'Atlas Marocain, afin de profiter d'un bon ciel, sous une latitude plus basse / une altitude plus élevée de l'objet. Alexandre 2018-11-06 et nuits suivantes Hasselblad 50mm f2.8 @f4.0 QSI583WSG StarAdventurer
  8. 10 points
    Vite fait, un montage montrant les deux images réelles de Bételgeuse et HR 5171 Centauri à l'échelle du Soleil…
  9. 9 points
    Bonjour à tous, Après "quelques" mois sans astro, j'ai enfin pu refaire une image vendredi soir, ce qui m'a également permis de tester pour la première fois mon correcteur de coma acheté en septembre... Voici donc la rosette, 40x5min de pose + DOF, 150/750 sur heq5 1000d défiltré partiel autorisé au chercheur, 40km de Toulouse. Traitement Siril + photoshop Toujours des difficultés avec le traitement, avec surtout 2 points faibles : - fond de ciel toujours "multicolore" : obligé de désaturer - je ne sais pas comment mettre l'objet en relief sous photoshop Si vous avez des conseils n'hésitez pas, et si certains veulent s'essayer au traitement je peux vous mettre l'image pretraitée avec plaisir. Bon ciel, Ilias
  10. 8 points
    Bonjour les vénusiens et vénusiennes , Voilà une Venus qui revient de loin. Une soirée, très calme, ce qui est rarissime ici, 3 ser de 10mn, qui me remplissaient d'espoir. Au pré traitement du premier ser avec AS3, un geste malheureux et tout mon dossier fut effacé. Pas dans la poubelle, non, les fichiers ser sont trop gros. Putain de merde de Windoxs 10 qui ne prévient pas lors d'une suppression. C'est peut-être paramétrable, mais mon portable ne servant qu'à l'acquisition, je n'ai rien chercher à régler, tout le reste se faisant avec un ordi avec écran de 27 pouces mieux adaptés à mes yeux. Bref, j'ai trouvé des logiciels de récupération, mais je n'ai pu retrouver que l'unique image du premier AS3. Donc le voilà, en IR742, je n'avais pas encore le 850 ce soir là. On aperçoit tout de même quelques ombres Pour le fun, une autre petite Mercure, un peu mieux que la précédente je trouve. Mais bon, y'a pas grand chose à voir.
  11. 8 points
    Bonsoir, Un peu d'histoire ce soir.... Site d'alunissage des missions: Apollo 12, le 14 Novembre 1969 Apollo 13, le 15 Avril 1970 Apollo 14, le 31 Janvier 1971 Bon voyage
  12. 7 points
    hiers soir , , en tout 80 min de poses par tranches de 60 secondes , à 6400 isos ,fuji xt2 avec la lulu doublet ts de 80 , 30 dofs sirilisé , dark tablelisé et fitsworkisé bon c est pas le top ...j ai fait mieux l année dernière avec le 1000d defiltré , mais bon ....suis pas trop déçu quand même image cliquable et de fait, on observe les étoiles qui se barrent ds les coins , malgré un correcteur réducteur je ne comprend pas .......... si vous avez des idées ..?
  13. 7 points
    Bonjour à tous Voilà la Lune de ce matin. Il était 9h15, locale soit 3h15 après le lever du soleil.! Voici la suite de la série "Lune bleue" à Mayotte :-) Conditions climatiques pas facile ce matin, les 30 degrés sont déjà là !! Bon ciel à tous NB : prises de vues en one-shot :-) Perl-Vixen 102/920 FL Barlow AP 2X + le tube allonge de 35 mm Canon EOS 5D II Photo 1 : temps de poses 1/25s à 100 ISO
  14. 5 points
    Bonjour, Encore une nuit correcte! J'ai voulu mettre la ST10 au bout des 2900mm de focale : erreur, j'ai mal fixé le coulant 2" sur la powermate, du coup j'ai eu un tilt d'enfer, avec son lot de problèmes au traitement. Il en reste des traces, j'ai été obligé de faire un fdc synthétique, de "raccourcir" mes étoiles (mais avec le tilt, elles s'allongent de l'autre côté ), de réduire la taille de l'image finale, entre autres choses... Bref, rien à voir avec la précédente, mais ça fait une jolie spirale quand même que je soumets à vos yeux aguerris! 2h de luminance, 35mn par couleur (/5mn), newton 250/2900mm, st10xme, traitement iris et pscs2 Nathanaël
  15. 5 points
  16. 5 points
    Bonjour à tous Voilà la Lune de ce matin. Une petite photo vite fait, il était 8h, locale soit 2h après le lever du soleil. :-) Je suis condamné à faire que des Lunes "bleues" en ce moment à cause de l'orientation Nord-Ouest de mon balcon. Apparemment vous aimez bien le bleu, donc ça tombe bien. Après je partais pour une journée plage ! Et oui il n'y a pas que l'astro dans la vie. Bon ciel à tous NB : prises de vues en one-shot :-) Perl-Vixen 102/920 FL Barlow AP 2X + le tube allonge de 35 mm Canon EOS 5D II Photo 1 : temps de poses 1/25s à 100 ISO
  17. 5 points
    Il s'agit de 2 étoiles très proches l'une de l'autre :
  18. 4 points
    cela peut servir et éviter à certains d'acheter un chercheur ou de passer un temps fou à régler ce satané chercheur
  19. 4 points
    Bonjour, Je vous présente M1 prise le 18 janvier 2020 en utilisant la technique de poses courtes. 1 H de poses (720 poses de 5 secondes). C14+ réducteur 0.63 + filtre L+ Zwo 174 (non refroidie). Olivier
  20. 4 points
    bonjour à toutes et tous ! suite aux remarques de jean-pierre ( CPI-Z) qui avait trouvé mon traitement un peu mou ! nous l'avons travaillé chacun de notre coté ! original ! version retouchée par moi-même : version de jean_pierre + le gif avec le fichier d'origine : gif : bon ciel ! et merci encore jean-pierre ! polo
  21. 4 points
    Idem, j'arrête tout investissement ds du nouveau matos ciel profond. Je vais surement revenir par défaut au planétaire, Lunaire et découvrir le solaire avec l'approche de la retraite... Snif mais cela permettra de garder quand même un peu les yeux vers le ciel, ca fait plus de 40 ans que ca dure ! Mais ils vont bien nous pourrir notre life ces co... Dire que le Ciel est inscrit au patrimoine mondial de l'humanité... MDR.... Bien triste tout ça, juste pour de l'internet commercial. Triste monde. Marc
  22. 4 points
    La grue dont il n'existe seulement quelques exemplaires est au Botswana je crois, et sera envoyée cet été par container sur site. L'assemblage de la grue risque de prendre un certain temps, et après validation les premiers éléments du dôme pourront être montés (avec cette grue qui est absolument indispensable). La grue dans sa plus grande extension mesure environ 120m de haut....
  23. 3 points
    M42 se trouve juste au dessus de l'orbite géosationnaire et de part et d'autre de cette orbite on retrouve pas mal d'anciens satellites geo en orbite "poubelle". Ces satellites sont aussi parfois (souvent ?) en rotation et envoient des flashs et flares irréguliers et entre 19h et 20h il passait par là un intelsat 3-f7 qui semble être le coupable sur les 4 premières photos et peut-être sur pas mal d'autres si elle ne sont pas classées par ordre chronologique. Il faudrait les horaires exacts de chaque photo pour en dire plus. Ah, Nicolas vient de me griller
  24. 3 points
    Bonjour, Problème lors du survol du site de prélèvement secondaire Osprey par la sonde OSIRIS-REx : https://www.asteroidmission.org/?latest-news=status-update-osiris-rex-osprey-flyover Publié le 13 février 2020 Le 11 février, le vaisseau spatial OSIRIS-REx a réalisé un survol à seulement 620 m d'altitude et dans le cadre d' activités de reconnaissance au; dessus du site de secours Osprey pour une future collecte d'échantillons. La télémétrie préliminaire indique cependant que son altimètre laser (OLA) n'a pas fonctionné comme prévu pendant l'opération qui avait duré 11 heures. L'instrument OLA devait fournir des données à l'imageur PolyCam, ce qui aurait permis à la caméra de focaliser l'imagerie de la zone de collecte d' échantillons. Par conséquent, les images PolyCam du survol seront probablement floues. Les autres instruments scientifiques, y compris l'imageur MapCam, le spectromètre d'émission thermique OTES et le spectromètre visuel et infrarouge OVIRS, ont tous parfaitement fonctionné pendant le survol. Le vaisseau poursuit sa mission et des investigations sont en cours pour comprendre le dysfonctionnement de l'altimètre.
  25. 3 points
    étant un peu has been, je cherche via google la description de la GS1000 et j'ouvre au hasard le site astroshop. Et bien les traductions sont toujours aussi étranges sur le web puisque ça commence ainsi : "Le GM 1000 HPS (H aute P recision et S uriné) ..." un peu plus loin ça parle de "tête chercheuse" j'ai arreté là. je descends au rez-de chaussée et je me fiche par la fenetre Glob
  26. 3 points
    Évidemment 😊, comme dit yapo même avec un petit instrument le but est de ce faire plaisir ! J'en connais qui dessinent et observe avec une 70mm... Et il y a beaucoup à faire !! Fred 😊
  27. 3 points
    @chonum Je suis assez déçu de ton parti prit pour ce projet. Je n'ai pas tes connaissances dans pleins de domaines, mais il me parait évident que l'Astronomie (de par l'observation du ciel) a été la première des sciences qui a élevé l'humanité. Nos descendants quelques soient leurs stades d'évolution ont forcement eu les yeux rivés au ciel avec pleins d'interrogations et de questionnements qui les ont poussé à réflechir. Ce n'est pas le but du projet qui est critiqué, ni a qui va bénéficier bien sûr ! mais son impact sur l'environnement pour l'humanité ! Polluer le ciel comme il semble que cela risque de s'annoncer dans plusieurs années est je pense la perte d'un des plus grands patrimoine perdu pour l'humanité. Pas pour nous, car nous avons la chance de l'observer avec beaucoup d'appareils, mais pour nos et tous les enfants à venir. Ne pas laisser ce patrimoine aux futures générations est ignoble je trouve pour ma part. On pourra aussi penser qu'il en va de même pour la pollution ou l'on émet toujours plus en regardant quoi faire pour demain sans toujours agir dans le présent ou si peu... Quand à l'évolution du continent Africain il est tout légitime et encore plus en terme de santé, d'éducation, l'eau.
  28. 2 points
    Bonsoir à tous, C'est pas terrible car pose unique de 30" à 6400 ISO au Canon 600D derrière C11 mais au moins elle est dans la boite Aucun traitement ( brute de chez brute ...) Ph
  29. 2 points
    Bonjour à tous, J'ai profité d'une belle trouée hier pour imager cette galaxie, en 2h20 de luminance, 25 à 30mn par couleur. L'essentiel de la luminance avant la lune, le reste après. Le début de soirée était très bon, puis ça s'est vite dégradé tant du point de vue de voiles élevés que de la lune. Mais enfin, j'ai quand même pu empiler à 2" les images pré-traitées. Newton 253/2944 (paracorr + powermate x2), QSI690 en bin2 (bin3 pour la couleur), traitement Iris et PS cs2 Nathanaël Clic-clic pour la full
  30. 2 points
    Bonsoir Je n'étais pas à la maison ce jour , alors je viens de voir cette belle lune bleue, bravo
  31. 2 points
    Tout dépend de l'utilisation que tu veux en faire, et "meilleur" peut également être très subjectif. Avec le 135 de Sony (mais aussi celui de Sigma, voire Samyang), en paysage, l'A7RIII aura un bien meilleur rendu que l'A7S (résolution, dynamique...) En portrait également. En astrophoto, c'est différent. L'A7S sera plus tolérant aux petites imperfections de l'objectif (légère coma dans les coins à f1.8, aberrations chromatiques...) Par contre, du fait de sa résolution, les étoiles apparaitront plus fines avec l'A7R. Ce qui est certain, c'est que l'A7S n'exploitera pas cet objectif à fond, mais il délivrera de belles image avec, que ce soit en photo diurne ou astro.
  32. 2 points
    Salut J'ai imagé dans la nuit de vendredi à samedi trois petites comètes avant le lever de lune.... C/2019 Y4 qui commence à bien se développer. Cette comète promet un passage au périhelie en mai prochain étincelant. 155P/Shoemaker qui est passée au plus près de la terre il y a quelques jours et 246P/Neat dont le périhélie aura lieu dans pile un an.
  33. 2 points
    Bravo Marie, c'est bien et c'est beau Il faut toujours tirer le max de ce que l'on a Tiens, un petit coup de moulinette à arrondir les étoiles, ça arrange bien les choses aussi : Bonne soirée, AG
  34. 2 points
    Un article du New-York Times nous raconte la genèse de la mission Traduction automatique : https://www.nytimes.com/2020/02/15/science/mars-united-arab-emirates.html?referringSource=articleShare De Dubaï à Mars, avec arrêts au Colorado et au Japon Les Émirats arabes unis ont utilisé une nouvelle approche pour construire le vaisseau spatial Hope, qui sera lancé pour la planète rouge cet été. Par Kenneth Chang 15 février 2020 BOULDER, Colorado - En décembre, un vaisseau spatial nommé Hope était immobile au milieu d'une grande salle blanche sur le campus de l'Université du Colorado, monté solidement sur un support. Mais les ingénieurs ont dupé Hope - une boîte recouverte de papier d'aluminium de la taille et du poids d'une Mini Cooper - en pensant qu'elle accélérait à plus de 10000 miles par heure alors qu'elle entrait en orbite sur Mars. C'était une simulation pour s'assurer que les systèmes de guidage, de navigation et de contrôle répondraient correctement à une variété de circonstances moins que parfaites lorsqu'il arriverait sur Mars pour de vrai l'année prochaine. Bien que ce vaisseau spatial ait été assemblé sur le sol américain, il n'explorera pas la planète rouge pour la NASA. HOPE est plutôt un effort des Émirats arabes unis, un pays riche en pétrole plus petit que l'État du Maine et qui n'a jamais rien envoyé dans le système solaire. Les ingénieurs émiratis ont travaillé ici, près des pistes de ski des montagnes Rocheuses et loin des sables du Moyen-Orient, apprenant de leurs homologues américains. Cela faisait partie de la planification des Emirats pour l'avenir, lorsque le pétrole ne coule plus aussi abondamment, pour investir sa richesse actuelle dans de nouvelles industries «fondées sur le savoir». "Comment formez-vous des personnes hautement qualifiées capables de prendre des risques plus élevés?" a déclaré Sarah al-Amiri, ministre d'État aux Sciences avancées des Émirats arabes unis, qui dirige également la partie scientifique de la mission Mars. «C'est la raison pour laquelle nous nous sommes tournés vers l'exploration spatiale En tant que nouveau venu, les EAU ont adopté une nouvelle approche. Il aurait pu essayer de tout faire lui-même, en développant une technologie locale similaire à ce que l'Inde a fait. Cela aurait pris des années de plus. Alternativement, il aurait pu acheter la conception d'un vaisseau spatial de quelqu'un d'autre, ce qui aurait été le chemin le plus rapide. Au lieu de cela, le pays a recherché des partenaires ayant une longue expérience dans l'envoi de machines dans l'espace. Son équipe spatiale pensait que cela aiderait à éviter de nombreux écueils d'essayer de réussir de telles missions pour la première fois, tout en formant les futurs ingénieurs qui devraient jouer des rôles plus importants dans la prochaine mission. Ce faisant, les dirigeants du pays espèrent semer des graines pour de futures entreprises. "Le gouvernement voulait vraiment créer cet écosystème ou du moins aider à créer cet écosystème", a déclaré Omran Sharaf, chef de projet pour la mission Mars des Émirats. "Bientôt. Ils veulent accélérer le processus. Ne partez pas de zéro. Travaillez avec les autres. Passez au niveau supérieur maintenant. "«Nous allons en apprendre énormément» L'année dernière, pour un programme naissant d'astronautes, les Émirats ont acheté un siège sur une fusée russe Soyouz. Ils ont envoyé Hazzaa al-Mansoori pour un séjour de huit jours à la Station spatiale internationale . HOPE ne sera que l'un d'une flottille de vaisseaux spatiaux robotisés dont le lancement est prévu cet été lors d'un alignement une fois tous les 26 mois de la Terre et de Mars qui permet un voyage relativement court de quelque 300 millions de milles et sept mois sur la planète rouge. Les trois autres seront les produits de puissances spatiales établies: la NASA, la Chine et une collaboration entre la Russie et l'Agence spatiale européenne. Par rapport à ceux-ci, Hope est de taille et de portée modestes, les coûts s'inscrivant dans ce que les gestionnaires décrivent comme un «budget serré». Alors que les autres missions visent chacune à mettre un rover à la surface, le vaisseau spatial émirati fera des observations depuis l'orbite. Mais ce sera plus qu'un simple triomphe technique. "On nous a demandé d'envoyer un vaisseau spatial sur Mars, mais pas d'envoyer des ordures spatiales, essentiellement", a déclaré Mme al-Amiri. "Envoyez un vaisseau spatial qui capture non seulement une image de la planète pour déclarer que vous êtes là, mais qui vous fournit en fait de précieuses données scientifiques." En septembre 2014, l' Inde a célébré la mise en orbite d'un vaisseau spatial autour de Mars et s'est vanté à quel point son prix était une fraction de celui de MAVEN, une sonde de la NASA arrivée deux jours plus tôt . Les deux sont toujours là. Mais le vaisseau spatial indien ne disposait pas d'instruments scientifiques suffisamment sensibles pour faire des découvertes importantes. En revanche, MAVEN a déterminé la vitesse à laquelle l'atmosphère martienne est éliminée par le vent solaire: environ quatre livres par seconde. Cette information est un indice important dans le casse-tête de comprendre pourquoi le début de Mars, qui était plus chaud et plus humide, est devenu l'endroit froid, stérile et presque sans air qu'il est aujourd'hui. Le but de Hope est de combler une lacune dans les résultats de MAVEN en examinant la dynamique plus près du sol qui influence le taux de fuite."Vous devez comprendre le rôle que Mars joue dans la perte de son atmosphère", a déclaré Mme al-Amiri. Lorsqu'une tempête de poussière à l'échelle de la planète a fait rage sur Mars à l'été 2018, MAVEN a observé que la quantité d'hydrogène dans la haute atmosphère augmentait. Les trois instruments sur Hope - un spectromètre infrarouge, un spectromètre ultraviolet et une caméra - pourraient aider à expliquer comment la poussière a poussé l'hydrogène vers le haut. De plus, de son perchoir à haute altitude - une orbite elliptique qui varie de 12400 milles à 27000 milles au-dessus de la surface - Hope donnera aux scientifiques une vue globale du temps martien, notant les changements de température et d'autres conditions au cours d'une journée. «C'est l'une des nouvelles mesures fondamentales que nous n'avons jamais vues auparavant», a déclaré Bruce M. Jakosky, professeur de sciences géologiques à l'Université du Colorado, chercheur principal de MAVEN et membre de l'équipe scientifique de la mission émiratie. Les orbiteurs précédents ont généralement plongé beaucoup plus près de la surface martienne, généralement sur des orbites conçues pour passer sur un emplacement donné à la même heure de la journée à chaque fois. Cela était plus utile pour détecter des changements lents à la surface plutôt que dans l'air. "Je pense que l'atmosphère a été sous-étudiée", a déclaré Philip R. Christensen, professeur de sciences planétaires à l'Arizona State University, qui a construit le spectromètre infrarouge pour Hope. Cet instrument capturera des données sur les particules de poussière et les nuages de glace et suivra le mouvement de la vapeur d'eau et de la chaleur dans l'atmosphère. Le vaisseau spatial doit passer au moins deux ans en orbite, surveillant un cycle complet des saisons martiennes. «Je pense que nous allons en apprendre énormément», a déclaré le Dr Christensen. HOPE aura bien voyagé avant même qu'il ne se dirige vers l'espace en juillet. Jusqu'à lundi, il n'avait jamais approché les Émirats arabes unis. Ce jour-là, le vaisseau spatial fini a atterri à Dubaï, après un voyage de 7 800 milles depuis Denver à l'intérieur d'un avion cargo Antonov de construction russe. Après une autre série d'essais à Dubaï, l'une des sept cités-États qui composent la fédération des Émirats arabes unis, le vaisseau spatial effectuera un autre long voyage en avion, au Japon, pour le lancement de la fusée qui quittera la Terre. La stratégie d'Emirati Mars reproduit ce que le pays a fait dans les années 2000 lorsque le gouvernement de Dubaï a voulu construire ses propres satellites d'observation de la Terre. Pour ce projet, Dubaï s'est tourné vers un fabricant de satellites sud-coréen. Le premier produit de la collaboration, DubaiSat-1, a été construit en Corée du Sud, où les ingénieurs émiriens y ont passé des mois, essentiellement en apprentissage. Il a été lancé en 2009 sur une fusée russe. La caméra du satellite de 400 livres a été utilisée pour la planification urbaine, les secours en cas de catastrophe et la surveillance de l'environnement. Son deuxième satellite, DubaiSat-2, comprenait une caméra plus nette et un système de communication plus rapide. Il a également été construit en Corée du Sud, mais le travail a été divisé davantage comme un partenariat égal entre les ingénieurs émiratis et sud-coréens. Un troisième satellite, KhalifaSat, a été le premier à être développé et construit aux EAU Au moment du lancement de DubaiSat-2 en novembre 2013, les dirigeants émiratis réfléchissaient à des projets spatiaux plus ambitieux. Mme al-Amiri a déclaré que le cheikh Mohammed bin Rashid al-Maktoum, chef de Dubaï et Premier ministre des Emirats arabes unis, avait demandé s'il était possible d'envoyer un vaisseau spatial sur Mars. À ce jour, seules la NASA, l'Agence spatiale européenne, l'Inde et l'Union soviétique dans les années 1970 et 1980 ont réussi à envoyer des sondes sur Mars. M. Sharaf, qui était alors directeur adjoint du programme pour DubaiSat-2, a déclaré après quelques semaines d'étude qu'une mission sur Mars semblait plausible. "Nous pensons que c'est quelque chose que nous devrions approfondir", a-t-il rappelé aux hauts responsables. Quelques semaines plus tard, Cheikh Mohammed a visité le centre spatial qui porte désormais son nom. "Fondamentalement, il nous a dit que" je veux que nous atteignions Mars avant le 2 décembre 2021 ", qui est le 50e anniversaire de la création des Émirats arabes unis", a déclaré M. Sharaf. «Il voulait vraiment inspirer les jeunes émiratis et les accélérer vers les sciences.» M. Sharaf a déclaré que le cheikh Mohammed voulait également offrir de l'inspiration aux jeunes du monde arabe au sens large. "C'est pourquoi il a appelé le vaisseau spatial Hope", a déclaré M. Sharaf. Des responsables émiratis, dont M. Sharaf et Mme al-Amiri, ont commencé à contacter des organisations spatiales du monde entier, notamment le Laboratory for Atmospheric and Space Physics, un institut de recherche de l'Université du Colorado qui travaille sur des missions spatiales depuis plus de plus d'un demi-siècle. Ils ont visité le Colorado au printemps 2014, interrogeant les responsables du laboratoire sur le type d'enquête scientifique qui pourrait être utile de poursuivre sur Mars. Le laboratoire a soumis une proposition gagnante. L'Arizona State University et l'Université de Californie à Berkeley ont reçu des rôles dans le développement et la construction des instruments du vaisseau spatial. L'agence spatiale fédérale des EAU, qui finance la mission, a été créée en 2014. Le centre spatial de Dubaï est en charge de sa construction et de l'exploitation du vaisseau spatial. (C'est comme si la Californie avait d'abord établi un programme spatial et que les États-Unis avaient créé la NASA plus tard.) Pour l'Université du Colorado, une collaboration avec les Emirats n'est pas exempte de controverse. Alors que les Émirats arabes unis sont souvent considérés comme plus progressistes et ouverts que nombre de leurs voisins, ils ont soutenu l'intervention de l'Arabie saoudite au Yémen, une guerre civile qui a tué des milliers de personnes , avant de se retirer principalement l'année dernière . Le pays a également emprisonné des dissidents politiques . Daniel N. Baker, le directeur du laboratoire, a déclaré que des responsables de l'université, du Colorado et même de la NASA, soutenaient le projet. «De mon point de vue, les critères que nous appliquons sont que nous aimons avoir des personnes partageant les mêmes idées, des personnes motivées par l'excellence», a déclaré le Dr Baker. Scientifiques planétaires fraîchement désignés Des ingénieurs des Emirats Arabes Unis, certains qui travaillaient en Corée du Sud sur les satellites et d'autres qui sortaient de l'université, ont commencé à arriver au Colorado. Deux équipes - un groupe émirati dirigé par M. Sharaf et une du Colorado dirigée par Peter Withnell - ont trLa mission est également un tronçon pour le laboratoire du Colorado; c'est le plus grand vaisseau spatial qu'il ait jamais construit. Dans le passé, il avait principalement construit des instruments scientifiques pour les missions plutôt que le vaisseau spatial lui-même. L'envoi d'un vaisseau spatial vers Mars pose de plus grands défis que de mettre un satellite en orbite terrestre. Les communications radio doivent désormais parcourir des millions de kilomètres, pas quelques centaines, et sont périodiquement bloquées par le soleil ou Mars. Le vaisseau spatial devra prendre soin de lui-même pendant des périodes de temps. L'équipe émiratie est beaucoup plus jeune - 90% d'entre eux ont moins de 35 ans - que ses homologues américaines. "Quand j'ai commencé, j'avais 30 ans", a déclaré M. Sharaf. Un tiers d'entre eux sont des femmes, un pourcentage élevé dans un domaine de l'ingénierie souvent dominé par les hommes. Pour l'équipe scientifique émiratie qui étudiera les données de Mars, le pourcentage de femmes est encore plus élevé: 80%. Jusqu'à l'effort de recrutement d'hommes, l'équipe scientifique était entièrement féminine. M. Withnell, avec une tête de cheveux blancs et 25 ans d'expérience au laboratoire, a dit qu'il a été impressionné par ses jeunes coéquipiers. « L'enthousiasme, le lecteur, est palpable », at-il dit. «J'embaucherais n'importe laquelle de ces personnes en un instant.» Cela inclut Mohsen al-Awadhi qui, il y a six ans, travaillait comme ingénieur de maintenance pour Emirates, la compagnie aérienne basée à Dubaï. «Je ne savais presque rien de l'espace», se souvient-il. Mais quand il a vu une offre d'emploi au centre spatial, "je leur ai envoyé au hasard mon CV sur ce poste", a-t-il déclaré. «J'ai reçu une offre d'emploi et je n'avais même pas l'intention de quitter la compagnie aérienne.» Il a été invité à déménager au Colorado en 2015 pour travailler sur Hope en tant qu'ingénieur système. Lui et sa femme ont déménagé. "Pour une mission dans l'espace lointain, c'est la première pour la région, pas seulement pour le pays", a déclaré M. al-Awadhi. "C'était comme un honneur." Tout en travaillant à temps plein sur la mission Mars, il a également obtenu une maîtrise en génie aérospatial. Un autre défi pour un pays comme les Emirats Arabes Unis entreprenant une mission de science planétaire: le manque de scientifiques planétaires. Les chefs de projet ont décidé de convertir certains ingénieurs comme Hoor al-Maazmi en apprentis scientifiques. Quand elle était à l'université, Mme al-Maazmi s'intéressait au génie nucléaire et mécanique, pas à la recherche spatiale. "Ce n'était pas vraiment un rêve pour moi, car ce n'était pas vraiment possible", a-t-elle déclaré. Maintenant, elle utilise des modèles informatiques pour prédire ce que Hope pourrait voir lorsque les données commenceront à arriver l'année prochaine, et elle a l'intention de poursuivre un doctorat en sciences planétaires. HOPE ne sera pas la dernière mission planétaire émiratie. "Ce n'est pas un événement unique", a déclaré Mme al-Amiri. «Ce n'a jamais été un projet ponctuel. C'est celui qui est destiné à développer un secteur spatial, celui qui est censé s'étendre également, une fois la mission réussie, à d'autres secteurs. »
  35. 2 points
    belle prise tout de même ! bravo ! polo
  36. 2 points
    A STF8.... Merci pour ton témoignage très intéressant. L'idée du reset des settings semble décidément pertinente
  37. 2 points
    Bonjour. Je me suis permis de traiter l'image postée : Comme qui : il y a du potentiel. ^^
  38. 2 points
    Mais oui l'astrodessin est une saine activité... qui n'est pas concurrente à l'astrophoto...juste différente. Elle nous permet d'aller plus loin dans la recherche de détails.. donc de progresser par rapport à la simple contemplation. Nos premiers dessins sont évidement pas terribles, mais s'améliorent avec le temps..Il faut pratiquer. L'équipement nécessaire à sa mise en œuvre est limité en matériel et en dépense...Rien que du bon.. En plus il est plaisant d'avoir une trace de nos vieilles observations vieilles de plusieurs années voir de décennies.. dernière chose : Il faut vraiment lire ce Magnifique bouquin qu'est "Astrodessin" en deux tomes . C'est très motivant et on peut y revenir sur les sujets qu'on affectionne. C'est le seul livre (je crois) qui traite en profondeur du sujet.. Chacun y trouve ce qu'il veux. HP
  39. 2 points
    Tres joilie cette huitre presque ronde Maintenant on va t'appeler "Alain Belon" bon dimanche Glob
  40. 2 points
    Joli Laurent Franchement je préfère ce type de traitement où le fond de ciel est d'une richesse fantastique! J'en ai déjà fait la remarque sur d'autres images de vos production, je trouvais dommage d'assombrir trop vos images au détriment des faibles signaux. Le bruit n'est à mon sens pas très gênant si il permet d'apporter un information sur les faibles lumières, ce qui serait dommage c'est d'apporter du bruit sans plus de détection, mais là ce n'est pas le cas. Prenez soins de vous en tous cas …. et vivement la prochaine. jc
  41. 2 points
    Bah, concernant les coûts d'étude et de construction de ce magnifique projet, 1 milliard ça ne fait seulement qu'un centième de la fortune du plus riche contribuable français… Tout est relatif, comme dans l'Espace que nous chérissons tous ici ...
  42. 2 points
    Merci Jean-Yves c'est vrai que notre ciel regorge de richesses insoupçonnées C'est à mes yeux la plu belle galerie d'art du monde @exaxe17 Stéphane, j'ai repris ma LRGB et j'ai fait mon flou gaussien sur les étoiles mais sans toucher à la nébuleuse. Bonne soirée à vous, AG Et merci aussi aux derniers visiteurs
  43. 2 points
    Excellent Seb Putain t'as mis la croix sur le lem
  44. 2 points
    J'ai commencé avec un 115mm, Jean-Raphaël avec une lunette de 60mm, il n'y a pas de diamètre minimum pour débuter : juste se faire plaisir et se dire que la maîtrise technique s'affine, quel que soit l'instrument. C'est d'ailleurs une bonne introduction que de ne pas avoir une profusion de détail à retranscrire.
  45. 2 points
    source : cieletespace.fr Le constat est sans appel. Une vaste tache sombre recouvre la moitié de la surface de l’étoile. Localisé sur son hémisphère Sud (en bas à droite de l’image), l’artefact est visible en décembre 2019, alors qu’il ne l’était pas en janvier de la même année. Tel phénomène serait donc le principal responsable des 64 % de lumière totale manquant entre ces deux dates. Outre les variations lumineuses, la forme globale de Bételgeuse a perdu de sa rondeur. Elle apparaît plus anguleuse, particulièrement aux abords du point chaud, une zone plus lumineuse autour du pôle Nord, par lequel passe l’axe de rotation de l’étoile. 430 jours ?
  46. 2 points
    Voila des photos très récentes (quelques jours). La partie intérieure sur laquelle repose le télescope vient d’être complètement excavée. Pour avoir une idée rien que les petites tranchée latérales peuvent prendre plusieurs jours à être réalisées en fonction de la dureté locale de la roche. Dans la zone intérieure (première photo), 3 dalles de béton de 1m d’épaisseur vont être coulées. Soit 3m d'épaisseur au total, le béton montera jusqu'à l'épaulement que l'on distingue dans la partie intérieure. Dans la zone extérieure qui supporte le dôme de 6700 tonnes, les premiers piliers on été coulés. Mais cela n'est que la partie basse, le dôme lui se situe a plus de 12m au dessus de la plate-forme! Plusieurs essais ont été réalisés pour avoir une qualité de béton optimale. A cette altitude et dans ces conditions de basse humidité les mélanges doivent être modifiés. Pour les travailleurs, les conditions sont plutôt extrêmes et les règles de sécurité strictes. On distingue aussi un trépied. Des géomètres mesurent en permanence la moindre nouvelle structure.
  47. 2 points
    Bonsoir, une nouvelle image. TOA150, ASI6200MM pro, 70x120s en L soient 2h20 :
  48. 2 points
    Je propose une cagnote pour faire envoyer la haut un satellite qui exploserait en un milliard de shrapnells et ainsi tous les faire jouer à "gravity"...
  49. 2 points
    Entièrement d'accord ! Qu'il y ait plus d'hommes que de femmes dans certaines filières, ou plus de femmes que d'hommes dans d'autres, ce n'est pas un problème du moment que l'accès aux études soit, lui, le même pour les hommes et les femmes. C'est s'il y avait plus ou moins d'étudiantes que d'étudiants que l'on devrait s'inquiéter.
  50. 2 points