Classement


Contenu populaire

Affichage du contenu le plus aimé le 08/03/2021 dans toutes les zones

  1. 17 points
    Voici le résultat de deux nuits sur cet objet, plus que connu, mais ma première visite a cet objet mythique NGC 3628, aussi appelé la galaxie du hamburger en raison de sa ressemblance avec le célèbre sandwich, est une vaste galaxie spirale vue par la tranche . Magnitude : 10,42 Constellation : Lion Type d'objet : Galaxie spirale Setup : SC8 edge 203/1486mm Atik 414 Monture Atlas EQ6 Acquisition/traitements Prism 10 Poses unitaires de 180 secondes 3h27 en luminance sur deux nuits. Rouge 36 minutes Vert 36 minutes Bleue 33 minutes Soit un total de plus de 5 heures de poses . Condition d'observation : Nuit calme 1°C Ciel de Normandie . Bonne nuit a tous et toutes
  2. 16 points
    Bonjour à toutes et tous , Et comme disait ma Grand-Mère...........ils se bousculent pas au portillon Newton maison de 400 , miroir SkyVision de 400 F/D 4 en Zérodur , captures avec Genika-Astro , traitement AS!3 , R6 , PS , AstroSurface et PIPP , Mars en RGB le 07/03/2021 , animation de 7 img de 18h00 à 18h32 TU , caméra ASI 224 MC + oculaire Baader Génuine ortho de 12,5 + tirage de +/- 130 mm comme à la bonne époque , " que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre..........." , traitement avec AS!3 . les images sont avec un Résize de x 1.50 avec R6 , session sans ADC la 5 , taille de capture traitement complet avec AstroSurface la 5 , résize de x1,5 , Mars en IR 685 le 07/03/2021 à 18h40 TU , caméra ASI 290MM + oculaire Baader Génuine ortho de 12,5 + avec tirage environ +/- 80 mm.. , traitement complet AstroSurface avec Résize de x1.50 petite mise en bouche de la turbu hier soir , p'tit gif de la 3 de l'anim bon.....c'est pareil pour les 6 autres Mars à la taille de capture , sauf la fenêtre . simulation avec Winjupos le 07/03/2021 à 18h40 TU , est-ce encore possible de capter Olympus Mons ? Michel
  3. 13 points
    Yo !!!! en ces temps de couvre-feux et de disette obserationnatoires, je m’aperçois que certains dessins n'avaient jamais été numérisés. Aussi, je ressors des cartons, ou plutôt des classeurs, ce M42 d'une autre époque. C'est un voyage en Mauritanie en 2005, à Chinguetti, l'une des 7 villes saintes, endroit improbable se faisant inexorablement engloutir par les sables du Sahara, destination aujourd'hui des plus compromises. De superbes souvenirs en tout cas et l'une des premières grandes virées aventureuse de mon T250, attestant la fiabilité et la pertinence du concept. Dans ce coin perdu, c’est l'un des plus beaux ciels que je n'ai jamais vu. Je consacre la première nuit à ce dessin, qui en fin de compte ne restera qu'à l'état d'esquisse perdu dans mes classeurs, estimant que le cadrage et la mise en place des formes étaient perfectibles. Le voici (enfin) numérisé : cette première approche me permettra de mieux appréhender le dessin définitif, déjà publié jadis ici. Pour éviter les redites, je vous invite à voir la suite mon site, c'est vers le bas de page au millésime 2005 : http://www.astrosurf.com/magnitude78/serge/nebuleuses.html
  4. 11 points
    Bonjour à tous, météo exécrable dans le Sud et depuis un sacré paquet de temps... Nouveau traitement d'un cliché obtenu en Février 2020 au Newton "maison" optique et méca de 360 mm F/3.7 (ancien miroir sphérique d'un C.14 retaillé en parabolique) 1h de pose avec 120x30 sec à 3200 iso / Sony A7S + Paracorr 2 / traitement Siril Astra image et Cs6. Bon ciel à toutes et à tous Phil
  5. 10 points
    On ne présent plus la planète Mars, d'après le Dieu de la guerre, dont les seuls habitants sont des robots venus de Terre dont un qui a récemment fait parler de lui lors de son arrivée spéctaculaire! Ces temps-ci elle croisait devant l'amas ouvert des Pléïades, aussi nommées les sept soeurs - un groupe de jeunes étoiles nées ensemble et qui naviguent les unes à côté des autres à 450 années lumières de nous, au grès des courant gravitationnels autour de la Galaxie. Elles traversent en ce moment (c'est à dire depuis quelques centaines de milliers d'années!) un nuage de gaz et de poussières qu'elles éclairent de milles feux! EDIT 17/04/2021 : nouvelle version avec un peu moins de 2h de pose supplémentaire (je l'avais re-shooté quelques jours après le premier traitement, pour chopper plus d'IFN) et un traitement différent. Version précédente pour comparer: C'est une image composite, assemblage sous photoshop de plusieurs images prises avec le même imageur Canon 650D non défiltré mais des optiques et conditions différentes: - 314x60s à l'objectif Samyang 135mm sur ma toute nouvelle Star Adventurer pour l'image d'ensemble, prise sur deux nuits donc il a fallu effacer une copie de Mars sur la brute d'empilement (j'ai choisi de conserver celle en position du 05/03) - J'ai essayé de décramer Mars avec des séries de poses très courtes, 1s et 1 centième. Bon le résultat est moyen mais c'est déjà mieux que les deux grosses patates bizarres pleines d'artéfact produit par Siril sur la brute d'empilement de la première photo! - Enfin j'ai ajouté 2h d'intégration de M45 seule prise à la lunette APO triplet 102 f/5 sur AZEQ6 pour la décramer également et lui donner plus de piqué et de couleurs Ciel Bortle 4, prises de vues avec Ekos/Kstar sur Stellarmate, traitement Siril et Photoshop.
  6. 10 points
    j'ai retravaillé l'image en incluant les phases partielles jusqu'au coucher du Soleil, avec des cadrages de plus en plus serrés :
  7. 9 points
    Dans ce domaine l’imagerie numérique fut une véritable révolution en particulier depuis les logiciels de recentrage et d’addition d’images (stacking) qui maintenant travaillent en plus par découpage des images en zones. Ces techniques permettent de filtrer en partie la turbulence et d’augmenter considérablement le rapport signal/bruit. En fait sur un grand nombre d’images il reste toujours une petite nombre qui sont un peu moins perturbées par la turbulence. Ces Freeware de traitement on également bien évolués jusqu'à la dérotation . Mais au final, pour des télescopes amateurs de grands diamètres même si ces techniques ont améliorés considérablement les résultats, atteindre la résolution théorique est quasiment impossible. Existe-t-il une technique pour réduire les effets perturbateurs de la turbulence, ou au moins les réduire de manière conséquente ? La réponse est OUI c’est l’optique adaptative (OA). Chaque image de la vidéo serait alors corrigée. Et même si la correction n’est pas parfaite, sur l’ensemble des images traitées le pourcentage de bonnes images serait accru et améliorées, le résultat final en serait grandement bonifié. Coté professionnel l’OA est dynamique par correction optique en temps réel à l’aide d’un miroir déformable piloté selon les informations fournies par un analyseur front-d’onde type Shack-Hartmann et de lourds calculateurs. Cette OA dynamique a aussi besoin d’une source ponctuelle, une étoile dans le champ ou un laser puissant qui se réfléchi sur la haute atmosphère. Elle est donc peu ou pas compatible avec les images étendus type planétaire. De plus son prix et sa complexité n’est pas à la portée des astro-amateurs que nous sommes. Mais on a le droit de rêver … Alors depuis des années j’ai cherché des solutions pratiques jusqu’au jour où par hasard j’ai utilisé la déconvolution avec ImageJ un soft gratuit orienté traitement d’images médicales qui a une grande quantité de plugins. La déconvolution sur PSF (image d’une étoile) m’a laissé entrevoir des possibilités. Cela m’a conduit à un premier protocole. Ce protocole consiste à prendre une vidéo de la planète, puis dans la foulée capturer une seconde vidéo d’une étoile proche. Comme je ne dispose que d’une caméra de premier prix, elle est très bruyante, donc il me faut beaucoup d’images d’acquisition. Dans l’exemple ci-après, le gif animé Lune.gif la comparaison entre l’image brute sortie du stacking et le résultat par déconvolution est flagrante. Comme le gif compressé est pixelisé j’ai mis aussi les 2 images pour les examiner avec un zoom. Lune 10000 images 80 % retenues et pour la PSF étoile, 10000 images et 60 % retenues. PS: @Lucien le développeur du freeware AstroSurface, sur ma demande et dans ses filtres a amélioré Wiener déconvolution qui devient alors plus efficace et plus confortable que le plugin d’ImageJ. (Encore merci à toi). On constate que la PSF est bien déformée, premièrement parce que je n’ai pas d’ADC (correcteur de dispersion atmosphérique) et secundo parce que le télescope est loin d’avoir une optique parfaite. La déconvolution corrige les deux. En résumé si l’on dispose de la bonne PSF « réelle » la déconvolution fonctionne bien pour retrouver la résolution théorique. J’ai fait aussi des simulations sur PSF tavelure (image déformée d’étoile) ressemblant à celle que l’on observe dans un T600 ou un T1m, la déconvolution fonctionne toujours, mais encore une fois il faut disposer de la bonne PSF. La solution est une OA en post-traitement, qui retrouve la PSF par calcul sur directement l’image de la planète cet objet étendu. Et si possible ne nécessitant pas du matériel onéreux dans la chaîne optique du télescope. La déconvolution image par image fera le reste. Une solution existe, découverte par Gonsalves en 1982, mais qui dans son contexte ne fonctionne que sur des front-d’ondes faiblement déformés (< 2 λ). Après moult recherche sur le Net la chance m’a conduit sur une publication ressente qui reprend l’idée, une version modifiée bien plus efficace, la correction fonctionne jusqu’à 11 λ et accepte du bruit jusqu’à 20dB. Concernant le bruit on peut aussi le réduire directement lors de l’acquisition avec le soft de capture et de manière complémentaire à l’aide d’un soft de prétraitement. Et 11 λ de déformée c’est une large plage pour des images de télescopes d’amateurs. La solution de principe est donc trouvée (). Sur le plan matériel au niveau du télescope, est-ce abordable ? Là aussi j’ai trouvé une solution simple, un kit optique à placer devant la caméra et pas onéreux. En tous les cas on est très très loin du coût d’une OA dynamique. Reste à trouver le soft pour cette OA par post-traitement qui calcul la PSF ou les PSFs pour chaque image. De ce coté je n’ai rien trouvé sur le Net. Il semble que ce type de soft soit classé « sensible » réservé à certaines images aériennes ou satellitaires … , mais le principe scientifique lui ne peut-être que libre. C’est ici que je fais appel à vous pour la recherche d’un développeur du logiciel ad-hoc dédié à nos images planétaires. On m’a confirmé que la publication évoquée contient les informations suffisantes pour élaborer le logiciel. Le développeur doit avoir des compétences dans le domaine de l'imagerie scientifique, les transformées de Fourier ... et maîtriser la résolution d’une équation de coût par itération avec l’algorithme L-BFGS. Alors connaissez-vous une telle personne ? si possible aussi astro-amateur de par sa pratique et sa connaissance des difficultés en imagerie planétaire. Pour moi il serait regrettable pour notre communauté d’astro-amateurs qu’une entreprise privée se réserve cette avancée technique dans un but commercial. CPI-Z
  8. 9 points
    Salut, Très bon ciel la nuit dernière, le couple newton 200/1000 + Canon 1000D a capté de belles galaxies Les pleins formats laissent apparaitre de minuscules galaxies, M96-M105, ( 20 poses de 3mn ), avec la trace de l’astéroïde ( 534 ) Nassovia Puis ( 4 ) Vesta, de magnitude 6, ( 10 poses de 3mn ) Enfin le trio du Lion, ( M65 & 66 +NGC 3628 ) ( 29 poses de 3mn ) Daniel
  9. 8 points
    Bonjour, La journée était bien ensoleillée. J'ai bidouillé un peu le spectrohéliographe et pris quelques images monochromatique dont celle-ci en CaII K3. Puis la nuit est arrivée et j'ai remplacé le SHG par le petit Newton. La transparence était plutot bonne mais la turbu sensible. Au programme, le Hibou et M108 qui sont habituellement noyées dans les lumières footesques. Ayant affaire à une nebuleuse a émission (principalement Ha, Hb et OIII) le filtre CLS me semblait approprié pour limiter la pollution lumineuse de la ville. Advienne que pourra pour M108... TN192 F/D:5, Filtre CLS et EOS 1100D - image reduite à 50% et enfin, une petite vue rapprochée de M44, cette fois sans filtre c'est tout pour le 07/03 ! Glob
  10. 8 points
    toujours dans le Sancerrois la semaine passée, un ciel très pur pour satisfaire un contemplateur du ciel 1ere image: un assemblage de 3 clichés pris avec l'un des premiers bridges commercialisés en 2003-2004 le Nikon 5700 (achetés en double, les deux miens fonctionnent encore bien avec leurs 4 batteries dédiées d'origine) réglage : zoom de 200 mm à F/4 400 iso poses de 60 s évidemment suivi équatorial (super polaris) Mars est alors au plus près des Pléiades le 1er mars 2021 à 2,5 degré sud 2eme image: sur pied fixe ce coup-ci , avec un Lumix LX3 2 poses de 15 s à 200 iso F/2,5 zoom réglé sur 50 mm le déplacement de Mars à 3 jours d'intervalle 28-2-2021 et 3-3-2021
  11. 8 points
    à 20 km à l'ouest de Paris, ciel très pur ce 6 mars 2021 c'est le moment de tester mon horizon sud ouest sur Sirius l'horizon descend jusqu'à la déclinaison de -30° sur pied fixe, pose de 4 secondes à 800 iso au pentax de 85 mm F 2,8 avec mon vieux compagnon de 2005 un APN Pentax la comparaison est faite avec la carte 318 de l'Urano, les étoiles visibles sur le cliché sont reliées en orange sur la carte
  12. 7 points
    bonjour à tous et toutes ! le vent du nord souffle et pas un nuage dans le ciel , j'avais bien les mains gelées hier soir , bon , je ne mets pas de gants non plus ! conditions : à 18h24tu : à noter un nuage entre le pole Nord et mare cimmerium ! bon dimanche et merci ! polo
  13. 7 points
    bonjour, petite session afin d'essayer ma petite lunette reçu vendredi, première soirée complètement loupé en effet plusieurs bague allonge sont fourni avec la petite lunette, mais parlant l'anglais comme une vache espagnole (c'est déjà pas terrible en Français) je n'ai pas très bien compris la doc. du coup première lumière vendredi j'ai cru devenir fou impossible d'avoir une image correcte un coma a faire pleurer le plus gros des novices lol après moultes essais je fais une petite recherche sur le net et tombe sur une image ou aucune bague n'est utiliser entre l'objectif et le correcteur, seul une petite bague après le correcteur d'où a priori commence la back focus de 55mm. il semblerait que j'avais au moins 100mm de trop du coup mais avant le correcteur et environ 25mm de moins derrière le correcteur. donc hier soir rebelotte après avoir bien régler a 55mm, c'est déjà vachement mieux mais reste un peu de coma cela doit se jouer a un poil de C!!!!!!. donc config ngc1499 reste un peu de coma askar 40/180 sur cem120 risingcam imx571c guidage 60/240 + risingcam imx178c 36x300s + filtre optolong L-extreme la rosette juste pour la coma 1 brute 300s histogramme etiré auto
  14. 7 points
    Bonjour à tous, Oui, Oui je sais, l'image est bruitée, je n'ai pas encore résolu le problème de dithering, mais j'y travaille dur Je souhaitais quand même essayer d'imager avant qu'il ne soit trop tard en saison cet objet qui finalement est double (source Wikipédia) : La nature des objets NGC 2174 et NGC 2175 fait l'objet d'un débat. Plusieurs références consultées, presque toutes même, attribuent NGC 2174 à la nébuleuse et NGC 2175 à l’amas ouvert, mais historiquement ce serait une erreur selon le professeur Seligman. Selon ses recherches, il est certain que la description de NGC 2174 donnée par Stephan et rapportée dans le catalogue NGC par Dreyer ainsi que la position enregistrée par Stephan de cet objet correspond à un groupe d’étoiles situé dans la partie nord-ouest d’une nébulosité environnante. NGC 2174 serait donc l’amas ouvert de la nébuleuse NGC 2175. Canon100D défiltré ES 480/80 90 x 60 s @ 800 iso 15D/50O/15F Pas d'autoguidage ni de dithering APT Siril PS Bon ciel Patrick
  15. 7 points
    Ces trucs hightech forgent le monde de demain un monde qui se veut ultra connecté et cela sur la totalité du globe parce que ce serait absolument merveilleux merveilleux pour le navigateur océanique, le randonneur perdu, l'explorateur de l’Antarctique, le montagnard habitant une vallée perdue, merveilleux en cas d'urgence, d'accident, de cataclysme permettant de communiquer lorsque tout le reste est couché à terre - quoiqu'il faille un peu d'électricité.... très certainement merveilleux pour les affaires, à fortiori de celles qui sculptent l'économie mondiale dont chacun peut avoir un jugement aux antipodes des autres, mais hélas très très très majoritairement pour des platitudes des plus navrantes - j'ai entendu dire que les très flux majoritaires sont de la vidéo, et que la fête du cul se place largement en tête, à confirmer..... Des constellations de satellites pour voir à toute heure un replay de Roco Sifredy ? Yeaaahhhh !!!! merveilleux aussi pour le traçage de n'importe quel quidam, ou groupe de quidams, ses habitudes, ses déplacements, ses goûts et envies, ses idées et ses convictions - on va dire pour NOTRE sécurité, mais on peut avoir un avis différent sur la question.... Mais comme dit ma voisine : "tant qu'on à rien à se reprocher, ya pas de problème" et j'serais pas étonné que si bientôt on nous proposait de greffer directement ces bidules directement dans l'cul - un supo connecté quoi - beaucoup trouveraient ça très pratique, et peut être même que ça deviendrait obligatoire, notre passeport numérique des temps modernes en quelque sorte. Et tout cela bouffe une énergie de tout les diables, au point de devenir le principal poste énergivore, devant l'industrie, les transports et l'habitat. mais pour sûr ça plaira. Je suis toujours étonné comme dans bien des pays de misère, le minimum vital semble désormais être - pour ceux qui ont du réseau et tout juste un chouya de moyen- de posséder un smartphone..... choix de vie, choix de société, fuite en avant semblant inéluctable, jusqu'à quand, jusqu'où ????? ce qui pose la réciproque, et si ça se construisait autrement ????? Ha oui, j'ai toujours pas de téléphone portable....
  16. 6 points
    M42 la nébuleuse d'Orion, ce 6 mars 2021 avec le Flextube Goto 254/1200 et sony A7S 139 poses de 5 secondes à 640 iso + 25 dof Siril et Photoshop Express Pas mécontent du traitement, malgré un cadrage foireux, pour ma première tentative pour M42
  17. 5 points
    Salut , voici M106 et son environnement . On voit notamment à gauche NGC 4217 , une galaxie spirale vue par la tranche et juste au dessus de M106 , NGC 4248 , une galaxie irrégulière. En haut de l'image apparaissent ngc 4231 et 4232 , deux galaxies spirales situées à 350 millions d'années lumiere environ. Une autre galaxie spirale est visible sous ngc 4217 : ngc 4226 ,.elle aussi située à environ 350 millions d'années lumiere . Matériel : newton 250/1000 , asi 294mm. Poses unitaires de 30 secondes, 2h30 de luminance et 25 minutes par couche couleur Lien astrobin : https://www.astrobin.com/full/kxn7fl/0/?real=&mod=
  18. 5 points
    La galaxie du Point d’interrogation Lors de la nouvelle Lune du mois de mai 2020, alors que nous aurions dû être aux Nuits astronomiques de Touraine, la météo était superbe. Ne pouvant pas aller au Mémorial comme à notre habitude, nous avons fait de l’astrojardin à défaut de mieux. Le village est bardé de lampadaires mais on peut limiter la pollution lumineuse en se mettant derrière la maison. Et le filtre CLS permet de réaliser quelques images. Ce soir-là je pointais une galaxie vue de face et assez connue dans la constellation des Chiens de Chasse, bien que très proche des étoiles de la queue de la Grande Ourse, la bien nommée « galaxie du Tourbillon », autrement connue comme la « galaxie du Point d’interrogation », cataloguée comme M51, NGC 5194 et Arp 85. La galaxie principale NGC 5194 a été découverte par Charles Messier en 1773, mais sa compagne NGC 5195 n'a été observée qu'un peu plus tard par Pierre Méchain en 1781. D’un diamètre estimé à 60.000 années-lumière, elle se situe à environ 27,5 millions d’années-lumière de nous. M51 est la galaxie la plus brillante du groupe de galaxies qui porte son nom. L'amas contiendrait au moins 6 autres galaxies, parmi laquelle M63 (la galaxie du Tournesol). Photos prises le 19 mai 2020 à Ayguemorte-les-Graves (33) – Canon 7D défiltré partiel (+ filtre CLS) au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto ni autoguidage). 76 poses de 2 minutes – ISO 6400 – 25 DOF – Iris, Toshop et Fitswork.
  19. 5 points
    Je continue mon périple du ciel sud / sud-ouest. Je pensais faire une nouvelle fois le crabe, mais j'ai navigué un peu dans Stellarium à la recherche d'objets de magnitude 8-9 qui semble être un peu ma limite. Je suis tombé sur NGC1579 ou la Trifide du Nord et je me suis dit pourquoi pas . Comme toujours, mak 102/1300, alt-az goto, réducteur 0.5x, IR-cut, Sharpcap livestack, environ 54min total par poses de 14s. Je pensais laisser autant de temps que possible mais des nuages ninjas sont arrivés ... Aucun DOF C'est bruité comme tout, mais il y a un peu de détail. Je vais peut-être payer les quelques euros nécessaires à la version de pro de Sharpcap pour avoir entre autre l'intégration en direct des darks. Version soft cropée Astrosurface : Version hard avec GIMP très jaune mais on en voit un peu plus
  20. 5 points
    Bonjour suite du premier post ou je présentais la toute première image réalisée avec le nouveau Set-up ces dernières ont été réalisées le 23 et le 24 Février dans des conditions assez difficiles mais exploitables le 23 la Lune était noyée dans une brume épaisse ou l'on ne distinguait à peine les étoiles de premier ordre , le 24 un ciel bien dégagé , mais malheureusement je n'ai pas fais attention à l'arrivée de l'Humidité et à la fin de la session quand je commençais à tour ranger je me suis aperçu que mon secondaire était tout embué !!!! je me suis fais avoir comme un bleu , ce genre de chose arrive que très rarement par chez moi en temps normal . au niveau seeing correct le 23 ( 6/10 ) un peu moins bon le 24 , çà" bougeotait " pas mal même avec l'IR642 , je pense que je n'aurai rien pu faire avec le filtre rouge Astronomik je pense que même avec ces conditions , je suis déjà un cran au dessus de mon CFF350 , mais il y a encore de la marge !!!! Bon par contre j'ai pas mal galéré encore une fois pour le suivi mais c'est bon Astro Device va " enfin" implanter la vitesse Lunaire dans le Nexus au mois d'Avril çà serra moins sportif !!! données des prises de vues Télescope Dobson Go-To " Doc Télescope" Optique 450 mm F/D 4 Zerodur( Ostahowski) caméra Basler ACA 1920 -155 ( 100 fps) Filtre Proplanet 642 Nm Comacorr 6.25x Genika Astro AS3, IMPPG , RGTX6 , PSP CC on commence par la Vallée de Schroter ou on arrive a distinguer la faille d'effondrement située à l'intérieur de la vallée ( Double Click ) Gassendi Région de Clavius Moretus la Région de Platon , mais sous un éclairage trop grand , j'aurai du l'imager 2 jours plus tôt , mais bon la météo n'était pas d'accord , on perd bien sur les plus petits "craterlets" à l'intérieur de l'enceinte de Platon et de la Vallée des Alpes la région de Schiller et Hainzel mais avec un seeing moins bon
  21. 5 points
    Bonjour tout le monde. j’ai enfin fini cette mosaïque de 6 tuiles. entre 800 et 1009 images chacune. prises avec un C8 et une asi 224mc. traitement as3, R6 et Ps. qu’en dites vous ? en 2 versions.
  22. 5 points
    Je vous remercie Daniel de ces superbes images J'ai vu récemment que le vouvoiement était de mise sur ce post Bonne soirée, AG
  23. 5 points
    Merci Banjo et AlainG. Pour ne pas rajouter de post, je rajoute la protubérance Est. C'est bien AS3 ! qui me créait des artefacts car je n'avais rien sur mes brutes ! J'ai voulu tester en mode coronographe donc en saturant bien le globe mais pas de bol, les nuages sont arrivés en même temps.... donc si je ne poussais pas ce gain et cette expo, l'écran était noir ! 450 images retenues sur 1137. Capture à 15 fps pour 50 ms. J'ai pensé à AlainG et exceptionnellement, j'ai colorisé
  24. 4 points
    Bonjour, Voici une image grand champ réalisée la nuit dernière à la limite des constellations des Gémeaux, du Taureau et d'Orion. Dans cette région très riche on peut voir à gauche IC443 "Nébuleuse de la Méduse" rémanents d'une supernova, en bas à droite NGC 2174 "Nébuleuse de la tête de Singe" une nébuleuse en émission et au dessus la petite Sh-2-247 encore une nébuleuse en émission. Lunette TS 70/420 mm ED, correcteur-réducteur TS 0,80, APN Fuji X-T1 (non défiltré) et un filtre CLS, sur monture Heq5 sans autoguidage. 66 poses de 125 secondes à 1600 ISO, DOF, traitées avec SIRIL et Photoshop (avec une pincée de Topaz Denoise). Stéphane
  25. 4 points
    Bonjour à tous, Pour le titre, cela fait quelques semaines que je galère pour ma mosaique avec la Basler entre le flat, le raccord qui manque etc. Le ciel est voilé mais une éclaircie que je pense longue durée s'installe. Ma femme me dit que j'ai 20 minutes avant de passer à table, tant pis pour la mise en température Je décide de faire un essai de mosaique encore et toujours avec la Basler 1920-155 Monochrome couplé avec la Magnimax 1.6 fois. Bien m'en a pris car une fois fini, les nuages sont là à nouveau ! Il faut que je vois aussi, j'ai pris la protubérance en gros plan mais Autostakkert m'a généré des artefacts. On va voir après ce post. Je mets les réglages de la cam Exposure in µS : 6000 Auto-exposure : False Gain : 22061 Black (as read from camera) : 0 Gamma : 1 Gamma enabled : False Pixel depth : Mono8 Film de 30 secondes pour 156 images par seconde donc 4689 par capture. Le gain reste important pour moi, je retiens 800 images. Je commence par faire mon flat par ma méthode non orthodoxe mais qui fonctionne pour ma part à savoir en plein milieu du Soleil (d'où justement l'utilisation de la MagniMAx 1.6 qui me le permet) en défocalisant à mort. Puis c'est parti, je fais quatre captures le long du limbe , quatre de l'autre côté en laissant du champ noir pour les protubérances (déjà eu le cas de leur couper le kiki), et une pleine centre. Moulinette AS3! pour les 9 images, puis ensuite sous Photoshop, recadrage des images pour virer les zones cramées sur les bords du au flat puis moulinette Photomerge sous Photoshop. Un coup de tons foncés, tons clairs, une double accentuation légère poue éviter que le bruit explose et colorisation (pour faire plaisir à AlainG Là, avec le diamètre du Soleil, je rajoute une Terre à l'échelle. Désolé pour l'image mais même compressé, elle fait 9.6 Mo. Bon, ce ne fut pas sans mal mais là, je pense que je tiens le bon bout. Petit conseil, à regarder à sa taille d'origine Merci pour vos aides et vos conseils, cette image vous doit beaucoup.
  26. 4 points
    Je confirme. Dans le cadre de recherches spéléologiques (seulement terrestres hélas ) j’ai jadis eu l’honneur et l’audace d’assister durant quelques années deux géologues amis, karstologues, qui s’étaient mis en tête de reconstituer une partie de l’évolution climatique, ainsi que floristique et faunistique quaternaire régionales, grâce à l’étude des archives sédimentaires miraculeusement conservées intactes dans les étages supérieurs fossiles de cavités souterraines profondes des Pyrénées... Un peu comme ce qu’on cherche actuellement sur Mars... en plus aléatoire Ainsi chaque fois qu’un coup de projecteur heureux (pour eux) et malheureux (pour moi) révélait une pile d’assiettes de ce genre, suspendue à plus de 100m de haut sur une margelle improbable, déversante, dans les voûtes les plus inaccessibles des salles souterraines de la Pierre Saint Martin, j’étais bon pour une séance de sueurs froides afin de donner accès à ces deux fous-furieux au trésor convoité... Le pire, alors, c’est que le travail ne faisait que commencer : le malheureux sherpa bénévole que j’étais se voyait ensuite confier la charge écrasante - littéralement - de ramener en surface des dizaines de kilos de prélèvements dûment conditionnés, étiquetés, à travers des parcours d’obstacles où aucun humain sensé n’aurait accepté de se risquer aussi chargé, qui plus est d’un si précieux fardeau, même pour un salaire hollywoodien ! Mais pour la science, que ne serait-on prêt à oser, n’est-ce pas, et pour pas un kopeck... Toutefois je ne le regrette pas : la terreur est humaine, après tout ! Et puis ils en ont fait bon usage. Je subodore donc que Curiosity va peut-être séjourner face à cette bute plus longtemps que prévu : tomber sur une telle coupe naturelle permettant d’étudier la série stratigraphique sans avoir besoin de fouiller - ce qui serait impossible sur Mars avec les moyens actuels - ni d’imposer au rover des acrobaties dont seul un humain est capable, constitue effectivement une aubaine absolument irrésistible pour les géologues de la mission, j’en suis convaincu !
  27. 4 points
    Visualisation 3D des traces de Percy (Roman Tkachenko)
  28. 4 points
    Ah bah tu vois : même Curiosity il a une brosse pour retirer la poussière C’est quand même pas compliqué !
  29. 4 points
  30. 3 points
    Bonsoir à tous, Je marche sur les pas de mon ami Patrick pour vous dévoiler ma nouvelle vidéo de notre planète préférée. Bon visionnage et bonne soirée. Des éventuelles modifications seront apportées si besoin à la vidéo finale. jupiter.mp4
  31. 3 points
    Dobson 508/1920 Champ des tentes canadiennes au domaine de Pradines, camping de Lanuejols dans le Gard. 8 dessins : 9342 à 9349 Des nuages épars et la Lune en croissant m'accompagnent en début de nuit à 22h. C'est d'ailleurs la dernière nuit du séjour. Elle commence avec un échec sur une nébuleuse planétaire de Céphée. Je trouve par contre une autre nébuleuse planétaire, dans Cassiopée cette fois-ci. Observation 9342 : PK111-2.1. J'ai galéré pour la trouver à 85x, par blinking Oxygène 3, vu qu'elle répond bien à ce filtre. Elle est assez brillante à ce grossissement. A 631x, elle me montre des extensions en vision indirecte notamment au sud. J'observe ensuite une nébuleuse diffuse de Céphée tandis que la Lune se couche à 23h20 lors du dessin. Observation 9343 : IC1470. Elle ne réagit à aucun filtre (Oxygène 3 ou HBêta) ce qui la classerait dans la catégorie des nébuleuses à réflexion. Petite à 85x, elle est évidente à 201x, sans filtre, assez faible, ronde. Je poursuis sur des amas ouverts de Céphée. Observation 9344 : NGC7510. Je le repère dans le champ du chercheur 9x50 comme une petite tache. Au télescope, à 201x, il est fourni, concentré, brillant, avec ses étoiles brillantes à perceptibles. Observation 9345 : K19. A 201x, cet amas ouvert est concentré et fourni. Fatigué à 0h50, je m'abandonne à une sieste dans la voiture jusqu'à 3h. Les affaires sont trempées au réveil, l'humidité épargnant fort heureusement les optiques. Je finis le séjour avec un baroud d'honneur aux galaxies Arp des Poissons jusqu'à la fin de la nuit à 5h. Observation 9346 : PGC4789 = Arp48. Très faible, cette représentante du catalogue Arp est visible à 85x et 201x dans le même champ que la suivante Arp à observer, Arp119. Elle est difficile à détailler à 276x. J'y note des nodosités limites, VI4 à 5. Observation 9347 : PGC4748/50 = UGC849 = Arp119. A 276x, cet objet est double comme en attestent les 2 références PGC, comportant PGC4748 faible et condensée, et PGC4750 diffuse et très faible. Observation 9348 : UGC827 = Arp128. A 276x, cet objet se dédouble en 2 galaxies faible et VI2, tandis que je n'y voyais qu'une tache unique à 85x. La séparation à 276x n'est effective qu'en vision indirecte. Observation 9349 : UGC717 = Arp11. Vue dès 85x, elle montre 3 galaxies à 276x : UGC717 faible, UGC719 très faible, PGC4123 vue VI2, et une tache VI4 que j'identifierai comme un groupe serré irrésolu d'étoiles sur les photos, prise pour une autre galaxie lors du dessin. Je remballe le haut et le miroir primaire du télescope avant d'aller dormir à 6h. Depuis, avec les restrictions de la crise sanitaire Covid 19, ce télescope n'est plus ressorti jusqu'à ce jour.
  32. 3 points
  33. 3 points
    Une petite info sur le lien qui suit, les députés veulent contecarrer Starlink en France, je trouve cela une bonne idée. On aura peut être les effets néfastes dans notre ciel, mais pas le réseau en France, à suivre.... https://www.numerama.com/tech/693784-des-deputes-veulent-contrecarrer-elon-musk-et-starlink-en-france.html Alain.L
  34. 3 points
    Curiosity à pied d'œuvre pour un 30ème forage ! Comme prévu, le 8 mars (sol 3502) le rover s'est déplacé d'environ 2 m vers le "Mont Mercou" afin d'atteindre la zone de forage. HAZCAM AVANT DU 7 MARS (SOL 3501) : HAZCAM AVANT DU 8 MARS (SOL 3502) : ON Y EST ! Il reste à dérouler les activités préparatoires au forage, en particulier à tester la stabilité de la roche cible en y plaçant le foret en appui. À suivre.. Le "Mont Mercou" lui même devrait être ciblé et étudié avec les instruments au contact (APXS et laser Chemcam) ainsi que par les capacités multi-spectrales de Mastcam pour étudier toutes les variations de composition possibles observées dans le matériau. L'ensemble permettant d'étudier la transition entre deux unités géologiques différentes, l'Unité d'argile à Glen Torridon que le rover vient de parcourir, et l'Unité de sulfate. NAVCAM - 8 MARS 2021 (SOL 3502) :
  35. 3 points
    Manifestement, il manque une icône dans le choix proposé. Tel Buffalo46, qui, en d'autres temps, avait suggéré qu'un fil de discussion soit déplacé vers le bistrot, je propose que l'on ajoute "consternant"...
  36. 3 points
    Comme vous vois ture à bras Nan c'est pas possible, ça le fait pas
  37. 3 points
    Voilà voilà voilà... nous y sommes : ce type est vraiment un (mauvais) génie !
  38. 3 points
    Et ce qui est le plus navrant, c'est que plus ce monde de moutons de panurge sera connecté, plus il vivra virtuellement sur des écran et se détournera de la réalité l'entourant et ne verra plus la poubelle qui le survole 24h/24. Le but de ces consternations de satellites c'est aussi de fournir le moyen de détourner l'attention de la pollution du ciel... ? Vive les platistes... le monde est plat à 2D... il n'y a rien à voir au-dessus...
  39. 3 points
    Il faut faire des passes avec des faibles valeurs d'accentuatuin et avec un peu d'anti-bruit. Parfois je fais avec des tailles de PSF différentes ; deux passes avec taille 8 pixels et une passe avec 14 pixels PSF. Mais ces valeurs ne veulent rien dire ; tout dépend de l’échantillonnage et de l'agrandissement des images. Il faut pratiquer et se faire ses repères. Histoire d'oublier la soirée d'hier, j'ai fait un assemblage RGB avec les couches à disposition. C'est le genre de manip que je conseillerais à mon pire ennemi ! Avec la petite taille des images, leur faible qualité... Lucien
  40. 2 points
    Bonsoir à tous, Une petite image de fin de session de la nuit dernière avec ce beau temps sans trop d'humidité dans le Ch'nord.Ce week end j'ai testé le filtre que j'ai acquis pour ma 294mc Pro mais comme il est adapté également aux apn défiltrés je voulais voir la différence avec le CLS astronomik que j'utilisais avec mon apn jusqu'ici.Bon le test c'est pas cette image une nébuleuse aurait été mieux mais orion chez moi se barre dans des arbres. Comme tous les amas je n'y ai passé que peu de temps,c'est un peu un tort les amas sont souvent un peu le parent pauvre de l'astrophoto.Peu de photos pour ce "petit" amas un peu boudé et dans l'ombre de M13 situé dans la constellation d'Hercules à environ 100000 années lumière de nous. Je l'ai volontairement décadré car je trouvais le champ sympa vu comme ça,ras le bol des amas centrés. -Setup : Skywatcher 200/1000+correcteur,heq5,Canon 1200d Astrodon+filtre Idas lps P3 2", guidage au chercheur 224mc. Traitement Pixinsight. Seulement 45x120" à 800 isos pour ce petit amas bien sympa: La full sur Ab: https://astrob.in/full/gpsq2m/0/?real= Bon ciel!
  41. 2 points
    J'ai choisi ci-dessous quelques images de stratifications "paradisiaques" ou autres formations géologiques qui ont pu déclencher quelques orgasmes parmi l'armada de géologues qui accompagnent le rover depuis plus de 8 années : La literie croisée observée dans les couches de cette roche martienne est la preuve du mouvement de l’eau enregistré par les vagues ou les ondulations de sédiments que l’eau a déposé. Cette image a été acquise par la caméra Mastcam sur une cible appelée "Whale Rock" dans l’unité géologique basale du mont Sharp. La Mastcam gauche l’a prise lors du sol 796 le 2 novembre 2014. Cette roche uniformément superposée photographiée par la caméra Mastcam montre un motif typique d’un dépôt sédimentaire au fond du lac non loin de l’endroit où l’eau est entrée dans un lac. La scène combine plusieurs images prises avec la caméra de l’œil droit de Mastcam le 7 août 2014, lors du sol 712. Il montre un affleurement au bord de "Hidden vallée" (vallée sableuse où Curiosity s'était engagé mais avait rapidement fait marche arrière après avoir frôlé l'ensablement), vu du fond de la vallée. Cette vue s’étend sur environ 1,5 mètres de large au premier plan. Il s’agit d’un exemple d’un type de roche épaisse et uniformément stratifiée qui se forme sous des grès croisés considérés comme d’anciens dépôts fluviaux. Ces roches sont interprétées pour enregistrer la sédimentation dans un lac, dans le cadre ou en face d’un delta, où des panaches de sédiments fluviaux se sont installés hors de la colonne d’eau et sur le fond du lac. Cette vue de la caméra Mastcam montre un site avec un réseau de veines minérales proéminentes sous une crête rocheuse. Les chercheurs ont utilisé le rover en mars 2015 pour examiner la structure et la composition des veines sillonnant le site de "Garden City" au centre de cette scène. Pour les géologues, le complexe veineux offre une exposition tridimensionnelle des fractures minéralisées dans un cadre géologique appelé la section "Pahrump" de la "Formation Murray". Curiosity a passé plusieurs mois à examiner des sites dans la section "Pahrump" en dessous de ce site, avant d’arriver à "Garden City". Des veines minérales comme celles-ci se forment là où les fluides se déplacent à travers les roches fracturées, déposant des minéraux dans les fractures et affectant la chimie de la roche environnante. Dans ce cas, les veines ont été plus résistantes à l’érosion que la roche hôte environnante. Les images composants cette vue mosaïque ont été prises par la caméra Mastcam le 27 mars 2015 au sol 938. Les veines minérales proéminentes sur le site de "Garden City" varient en épaisseur et luminosité, comme on peut le voir sur cette image Mastcam. L’image couvre environ 60 centimètres de large. Les chercheurs ont utilisé Mastcam et d’autres instruments sur Curiosity en mars et avril 2015 pour étudier la structure et la composition des veines minérales à "Garden City" afin d'obtenir des informations sur les fluides qui y ont déposé des minéraux dans la roche fracturée. J'ai une tendresse particulière pour cette dalle de roche martienne appelée "Old Soaker " formée à partir du séchage d’une couche de boue il y a plus de 3 milliards d’années. La vue s’étend sur environ 1,2 mètre et combine trois images prises par la caméra Mahli (Mars Hand Lens Imager) sur le bras du rover. Les fissures de boue seraient la preuve d’une époque où les intervalles secs interrompaient les périodes plus humides qui soutenaient les lacs de la région. Curiosity a trouvé des traces de lacs anciens dans des couches rocheuses plus anciennes et inférieures et aussi dans des mudstone plus jeunes qui se trouvent au-dessus de "Old Soaker". MAHLI a été positionnée à environ 90 centimètres au-dessus de la surface quand elle a pris les images le 31 décembre 2016 au sol1566. La dalle porte un réseau de polygones à quatre et cinq côtés d’environ 1 à 2 centimètres de large, ce qui correspond au modèle communément formé lorsqu’une mince couche de boue sèche. Certains bords des polygones sont des crêtes de matériau de la même couleur que la roche environnante. Cela pourrait résulter d’un processus en trois étapes après la forme de fissures dues au séchage : les sédiments soufflés par le vent s’accumulent dans les fissures ouvertes. Plus tard, ces sédiments et la boue séchée deviennent de la roche sous la pression de plusieurs couches plus jeunes qui s’accumulent au-dessus d’eux. Plus récemment, après que les couches supérieures aient été érodées par le vent, le matériau de remplissage des veines résiste mieux à l’érosion que le matériau autrefois boueux, de sorte que le motif qui a commencé sous forme de fissures apparaît comme des crêtes. Notez que certaines fissures contiennent des matériaux beaucoup plus lumineux que la roche environnante. Ce sont des veines minérales. Curiosity a trouvé de telles veines brillantes de sulfate de calcium dans de nombreuses couches rocheuses étudiées par le rover. Ces veines se forment à partir de la circulation des eaux souterraines chargées de minéraux dans les fissures. Cette vue de la caméra Mastcam montre des roches finement superposées dans la région de "Murray Buttes". Les buttes et les mesas qui s’élèvent au-dessus de la surface dans cette région sont des restes érodés de grès ancien qui a pris naissance lorsque les vents ont déposé du sable après la formation du mont Sharp inférieur. Curiosity a examiné de près cette couche -- appelée "formation Stimson" -- au cours du premier semestre 2016, tout en croisant une caractéristique appelée "Plateau Naukluft" entre deux expositions de la "formation murray". La superposition à l’intérieur du grès est appelée " literie croisée" et indique que le grès a été déposé par le vent sous forme de dunes de sable en migration. L’image a été prise le 8 septembre 2016 au sol 1454. Cette vue de "Vera Rubin Ridge" de l’instrument Chemistry and Camera (ChemCam) du rover montre de multiples couches sédimentaires et des dépôts de minéraux qui remplissent les fractures. Les couches enfouies de ce qui est maintenant une crête se sont fracturées, et les fractures ont été remplies de dépôts minéraux précipités par les fluides souterrains qui se déplaçaient à travers les fractures. Le micro-imageur à distance de ChemCam a pris les 10 images composant cette mosaïque le 3 juillet 2017 au sol 1745. La caméra se trouvait à environ 115 mètres de la partie illustrée de la crête. L’emplacement du rover à l’époque était à l’ouest de l’endroit où il a commencé son ascension vers le haut de la crête environ deux mois plus tard.
  42. 2 points
    Tu as raison. j'ai eu la même config optique il y a quelques années sur une monture Losmandy Titan même tout serré / boulonné j'avais ces meme problèmes Puis un jour je suis passé a la CCD "double capteur" avec un capteur d'autoguidage intégré.......... Depuis, 10 ans de bonheur avec des étoiles rondes a 2600 mm de focale Merci SBIG....
  43. 2 points
    Bonne idée en ce jour de la femme de rappeler la contribution de Damia Bouic aux belles images astronomiques qui agrémentent ce forum. La parole des femmes semble rare sur ce site consacré à l'astronomie, c'est dommage. A moins qu'elles ne se cachent sous des pseudos tels que "Bill", "Superfulgur" ou le nom d'un dieu serpent aztèque...
  44. 2 points
    A faire confirmer par d'autres, mais à priori ces VDB sont à réflexion donc ne réagissent pas aux OIII ou UHC. Enfin, c'est ce que j'ai constaté sur d'autres VDB plus faciles. La clé est du diamètre, un site très propre et la comparaison avec l'absence de halo autour d'étoiles proches de même éclat
  45. 2 points
  46. 2 points
    Yo! je fais pareil mais sans ADC et avec un suivi... mon oculaire de plus courte focale c'est mon XW 5 mm. Pour aller plus loin en grossissement j'utilise le Nikon SW 7 mm avec une Barlow X2 courte montée à l'avance de façon permanente avec l'oculaire, ce qui donne sur la TS 102 f/11 dédiée planétaire/lunaire : XW 10 mm : X112 1D SW 7 mm : X160 1.5 D si utilisé seul en fonction de la turbulence. XW 5 mm : X224 2D SW 7 mm + Barlow X2 : X320 3D uniquement en lunaire.
  47. 2 points
    Oui Lyl tu a raison, outre la correction du chromatisme, l'ADC induit un tilt du champ qui peut être néfaste. Sur mon ADC Pierro Astro mk3, au maximum, j'ai mesuré un peu plus de 3,5° (double mesure, au pied à coulisse suite au prêt d'une platine XY) ce qui, en planétaire, passe évidemment complètement inaperçu vu le différentiel N/S de la cible (Jupiter par exemple). En lunaire c'est une autre histoire et en plus du décalage du champ, qui dépend vachement du tirage après l'ADC, entre le haut et le bas du capteur tu peux te retrouver avec quelque chose d'irrattrapable. Les calculs faits, à F20, c'est rarement un problème, même sur une ASI178 ou ASI174, à F10, il faut se contenter de petites caméras (ASI290 p.ex), et à F/6, la tolérance est tellement faible, que même sur une ASI290, le haut et le bas du capteur ne sont plus dans le même plan ... et cela se voit ! Même e, refocalisant le centre du champ cela ne passe plus. C'est une seconde raison pour laquelle l'ADC ne fonctionne pas bien sur des instruments très ouverts ET avec de grands capteurs. Donc en gros en imagerie CP quoi ou bien en visuel CP car là aussi on a tendance à glisser de gros oculaires. Pour information, même à F20, un capteur FF est hors de la tolérance de map avec une élongation maximale. Mais la cible reste dans le champ, c'est déjà ça ! Le bon coté des choses c'est aussi qu'il est illusoire de vouloir atteindre la résolution maximale (donc en corrigeant le chromatisme atmosphérique) en même temps que de viser une cible très basse (ADC au maximum). Pour contrecarrer cela, il faudrait disposer d'un accessoire qui tilterait la caméra centré sur le pivot (optique) de l'ADC. Mais les courbures sont alors très (trop) prononcées si la caméra est vissée sur l'ADC (ce que me dit mon modèle 3D en tout cas). Dans le cas général, il faudra se contenter d'un simple offset (j'y travaille, un prototype devrait sortir bientôt). Marc
  48. 2 points
    Eh bien sachez, môôôssieur, que moi z'aussi et que je sais que vous le savez, or un astronome se baladant à un jet de pierre (ou de comète ?) d’un aussi formidable gisement de verre libyque*, disposant à même le sol d’une quantité d’abrasifs dont l’opticien le plus fou ne saurait rêver, doit être capable de se tailler ses propres lunettes si nécessaire, par Rê et par Toutatis ! À la guerre comme à la guerre ! Ceci dit j’ai toujours moi aussi été très précautionneux avec mes lunettes, particulièrement dans ces conditions abrasives : la langue reste le meilleur outil de fortune, tant qu’on a de quoi se rincer le gosier ensuite , mais inadaptée bien sûr aux grandes surfaces . (La taille de la bavette : un truc que Neuralink devrait prévoir d’améliorer chez les futurs colons martiens, tiens ! ) Bon, alors il faut en conclure que le remède serait pire que le mal ; l’efficacité de ces panneaux-là ne tolère pas la moindre atteinte - même légère - à leur état de surface... C’est quand même étonnant, car sur Terre je n’ai pu observer aucune difficulté de ce genre : on met un coup de balayette sans autre forme de procès sur les panneaux quand ils sont trop poussiéreux et ça ne semble altérer en rien leurs performances. *Pour ceux qui ignoreraient : https://www.researchgate.net/publication/263621601_Le_verre_libyque_une_impactite_egyptienne
  49. 2 points
    Bonjour, Marvin sur UMSF nous a trouvé un lien montrant et expliquant les essai de divers modèles de roues pour tenter d'améliorer celles de Curiosity : https://www.sciencefriday.com/segments/to-build-a-wheel-that-lasts-test-on-mars/ Extraits traduits et corrigés pour favoriser la francisation des masses populaires : Le son d'un rover franchissant un rocher martien acéré est similaire à un bruit de canettes de soda qui craquent lentement. Comment le savons nous? Les ingénieurs de la NASA ont testé des roues sur des terrains similaires à ceux trouvés sur Mars. Au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA à Pasadena, en Californie, les ingénieurs ont construit une arène appelée Mars Yard , un terrain de sable de 21 mètres sur 22 rempli d'obstacles qui simulent le terrain de la planète rouge. Les ingénieurs du JPL, Patrick DeGrosse et Chris Salvo, travaillent à la création de roues de rover capables de supporter la diversité des terrains martiens. SciFri a visité le JPL et a été témoin des images et des sons résultant de la destruction de roues du rover. (Les images dans le lien sont de Xochitl Garcia, vous saisirez peut-être pourquoi je tiens spécialement à mentionner son nom). Avant que le prochain rover Mars ne soit lancé en 2020 pour rechercher des preuves d'une vie microbienne passée, chaque petit détail doit être minutieusement testé, de la caméra qui prend des photos du paysage martien aux roues métalliques permettent les déplacements du rover. Le véhicule semi-autonome doit avoir un ensemble de jantes non seulement légères pour le lancement, mais suffisamment durables et efficaces pour affronter le terrain désertique et le froid de Mars. «Nous voulons pouvoir dire [aux opérateurs] de conduire sur tout ce qu'ils veulent», déclare Patrick DeGrosse, ingénieur travaillant sur le sous-système de mobilité Mars2020. DeGrosse fait partie d'une équipe spécialisée chargée de concevoir une meilleure roue pour le rover Mars2020. Les ingénieurs doivent essayer de penser à tous les scénarios possibles que ces roues pourraient rencontrer sur Mars, de l'itinérance sur des rochers pointus au glissement dans des dunes de sable ondulées. Pour ce faire, ils ont simulé un environnement de type martien, ici sur Terre. Alors que le Mars Yard ne peut pas parfaitement imiter le sable de basalte riche en fer ou correspondre aux pierres beaucoup plus denses trouvées sur la planète rouge, les chercheurs ont façonné une série de parcours d'obstacles de roches, de sable, de pentes et de tranchées pour évaluer les performances. Pour tester la durabilité, les roues tournent sur un carrousel de torture - plus techniquement connu sous le nom de piste d'essai à une roue - illustré ci-dessus. La plate-forme manœuvre un ensemble de trois roues à 0,28 miles par heure (trois fois la vitesse du rover réel) sur une série de sections enrochées. Au Mars Yard, il y a un rack de roues qui ont été maltraitées, bosselées, déchiquetées en morceaux et «mises à mort». Les plaies par perforation sont méticuleusement étiquetées pour aider à détecter les défauts de conception. Le motif Chevron en zig-zag des crampons (les crêtes sur la roue qui aident à la traction) sur les anciens modèles propulsant actuellement Curiosity dans ses missions a entraîné certains problèmes. En 2013, les opérateurs du rover ont remarqué un trou béant, qu'ils ont nommé «Brutus», dans la roue avant gauche. Après une enquête, ils ont réalisé que «ce n'était pas juste un petit accident qui avait causé une crevaison ou un rocher particulièrement horrible», dit DeGrosse. «Ce n'était que le premier symptôme.» Les roues du rover Mars2020 bénéficieront des "blessures de guerre" de Curiosity. Jusqu'à présent, les ingénieurs ont créé un design un peu plus grand en diamètre, mais plus étroit en largeur, et avec une peau environ deux fois plus épaisse que celle de Curiosity. Mais le changement le plus visible est peut-être dans les crampons. Ils sont dix pour cent plus hauts et parcourent la largeur de la roue en ligne presque droite. «Ils ont une légère courbure pour aider à leur donner de la force», dit DeGrosse. Comme on le voit sur les photos, la roue est presque indemne à ce stade des tests. De nombreux prototypes de roues ont peut-être été sacrifiés, mais ce n'est pas pour rien. DeGrosse espère que le jeu de roues retenus à la fin des tests permettra au rover Mars2020 de triompher des roches pointues, du sable mou et d'autres embûches inconnues que Percy rencontrera là-bas. (Merci encore pour tes belles images, ma douce et gentille Xochitl)
  50. 2 points
    Bonjour Je pense que pendant ta réunion avec les élus de Villenave il ne faut même pas discuter du monde de l'astronomie pro et amateur, il faut surtout insister de la dangerosité des ondes terrestres plus fortes que la 5G même si on sait pas pour l'instant, et surtout le prix de l'abonnement de ce bazar ! De plus l' abonnement risque d'augmenter au fil du temps, car au début il y a toujours des promos. Enfin cette commune qui habite à côté de Bordeaux, je pense pas qu'il y est trop de zone d'ombre dans ce coin. Bon dimanche Alain.L