Une vis sans fin ok, mais la roue ?? Souvent le constructeur d’instrument est confronté à la transmission du mouvement. Notamment le couple roue et vis sans fin. Pièce assez chère, qui est assez facile à réaliser à l’aide d’un tour à métaux. Pour ce premier essai, je décide d’investir le moins possible. La matière première sera de la fonte qui se vend bon marché, de l’ordre de 1 € le kilo, ça tombe bien il ne m’en faut qu’un. Tout le monde reconnaitra une haltère. Pour des projets plus sérieux, le bronze sera évidemment choisi de préférence. |
Dressage, pour des faces parallèles et alésage du trou pour que 2 roulements puissent y être insérés en force . Leur diamètre intérieur est le même que celui de l’axe de la tourelle porte-outil du tour (15 mm dans mon cas). Notez qu’une gorge en demi lune est réalisée afin que le taraud puisse laisser sa trace sur la surface utile.
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En lieu et place de la tourelle porte-outil, on installe la roue, libre en mouvement. Entre les mors du mandrin, un taraud de 14 X 20 avec contre-pointe pour éviter toute flexion, voire casse du taraud Le taraud imprimera sa marque au fil des tours en entrainant la roue dans son hélice .
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Visionnez les premiers tours... |
…. Puis, la fin de l’usinage. |