Cela aurait aussi pu s'intituler "les drôles de méthodes de Domainoo".

Depuis deux ans, notre site était aisément trouvable sur la Toile grâce au domaine poisaya.com qui simplifiait l'adresse et nous permettait parfois de rediriger nos visiteurs lorsque nos hébergeurs rencontraient des difficultés techniques ou menaient des campagnes de mise à jour de leurs serveurs (le site Poisaya est hébergé sur plusieurs machines).

Fini tout ceci.

Ce domaine initialement souscrit auprès de la société française Domainoo, n'a pas pu être renouvelé en ligne sur leur système automatique. Dans l'urgence de la disparition éventuelle du domaine nous avons opté pour un autre acteur anglophone qui nous offrait plus de services (des vrais) et nous permettait d'envisager une amélioration de nos pages. Le domaine qui aurait selon toute logique dû être disponible à la date d'expiration s'est révélé bloqué quelques jours après par Domainoo. Nous nous sommes donc adressés à cette société pour comprendre quel problème technique empêchait cette opération de se réaliser. Après un accueil plutôt discourtois, nous avons appris que Domainoo exerçait une période de "grâce" de 30 jours pendant laquelle le client précédent était "protégé" pour le renouvellement de son domaine (contre lui-même si nécessaire). En fait de protection, le dit-client n'a, au final, pas le droit d'opter, pour quelque raison que ce soit, pour la (vile) concurrence. Etant engagés financièrement avec un nouveau prestataire (courtois), nous avons entrepris de chercher une issue à cette "incompréhension". L'accueil demeura discourtois.

Au-delà des 30 jours, après quelques contacts (courtois cette-fois) avec le réel registrar (Domainoo n'est en réalité pas registrar, et agit comme simple intermédiaire de la société register.com, mais aspire à le devenir) qui nous a confirmé cette période de grâce, nous avons eu la surprise délicate de constater que Domainoo s'était permis de placer poisaya.com en statut "registrar-hold" jusqu'en... 2004 ! Le domaine est donc bloqué pour un an... sûrement pour protéger les intérêts du client...

Face à cette attitude qui nous semble pour le moins déplacée et incorrecte, nous avons notifié à register.com (nous ne souhaitons plus converser avec des gens discourtois et des intermédiaires) notre choix d'abandonner le domaine poisaya.com qui demeure de toute façon bloqué par une action de la société Domainoo qui espérait peut être faire quelques gains ridicules.

L'adresse poisaya.com ainsi que les adresses @poisaya.com ne sont plus actives et seront progressivement supprimées de toutes les pages du présent site et des sites miroirs.

Nous sommes au regret de ne pouvoir vous recommander chaleureusement Domainoo (aussi connu, entre autres, sous http://www.lenom.com/) pour votre prochaine acquisition de domaine.

The title could also have been "the Domainoo's strange methods".

For two years, our website was easily foundable on the World Wide Web thanks to the poisaya.com domain name.

It's now ended.

This domain name has been subscribed with the french firm Domainoo. Thanks to its online system, it was impossible to renew this domain in january 2003. We chose another firm that offers more services. The domain name that would have got free, was not a few days after expiration date. The firm Domainoo blocked this domain name to protect... its subscriber ! We sent an e-mail to its support team. The reply could have been courteous, but it was not. Domainoo explained us that during a 30 days grace period the domain name would be unavailable.

30 days later, the domain was still unavailable but until... 2004 ! A new grace period ! Thanks a lot to protect your subscribers, dear Domainoo !

Finally, we sent an e-mail to register.com (the real registrar, Domainoo is only the french cashier for this american firm) to explain we chose to renounce.

The poisaya.com url and @poisaya.com e-mail adresses are no more active and will be modified in our webpages as soon as possible.

According to our experience, try another registrar for your next domain name...

tristement vôtres...
sadly yours...