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Tout ce qui a été posté par Jean-Noel
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Un tampon JEX ou à défaut un bon papier de verre en insistant bien sur les parties sales.Plus sérieusement, je procède par une méthode classique qui me donne de bons résultats : Jutilise une cuvette plastique qui ne sert quau nettoyage de mes miroirs (réflecteurs Newtoniens). Je la préserve de toute poussière qui pourrait provoquer des incidents de type défauts dabrasions (micros rayures, rayure rectilignes ) dont les effets pourraient provoquer de façon définitive une perte de contraste voir lapparition de une ou plusieurs aigrettes de diffraction orthogonales lors de lobservation dune étoile brillante. Je prends une cuvette assez grande pour pouvoir saisir le miroir plus ou moins glissant en fin de nettoyage sans risquer de le lâcher. Un tapis en cahoutchou garnit le fond de la cuvette. Je commence par massurer de la propreté de ces élément en les passant sous leau.Je pose délicatement le miroir dans la cuvette puis fait couler leau du robinet, à température ambiante afin d éviter un choc thermique, entre le bord de la cuvette et le bord du miroir jusquà ce que loptique soit submergée sous 5 bons millimètres deau. Le «must» serait dutiliser de leau distillée mais je ne pense pas que cela soit obligatoire pour cette phase de nettoyage.Je dépose une goutte de liquide vaisselle tous les 5 cm2 sur la surface du miroir (pas plus) puis procède à un mouvement dondulation de leau (vagues) en déplacement ou en soulevant légèrement un coté de la cuvette. Jévite tout mouvement brusque et effectue cette opération jusquà ce que le liquide vaisselle soit correctement dissout dans leau. Je laisse ensuite tremper un bon quart d'heure ou vingt minutes afin que les poussières, boues et toiles daraignées éventuelles aient le temps de se ramollir puis se décoller.Je regarde létat de leau puis recommence à créer des vagues à la surface de leau pendant environ 10, ceci avant une nouvelle phase de repos de 15. Je répète ces opérations autant de fois que nécessaire selon de degrés de salissure de mes optiques soit de 1 à 2 heures.Je procède au remplacement de leau (retrait du miroir/retrait de leau/nettoyage de la cuvette/pose du miroir/ajout de leau/ajout du liquide vaisselle) dès que jobserve la moindre trace de poussière, de boues ou de poussières à proximité de laluminure , cest très souvent le cas après la première phase de repos.Quand le miroir est propre, je le soulève très délicatement de la cuvette en faisant surtout très attention de ne pas le laisser tomber car loptique peut-être lourde et très glissante. Je soulève le miroir de la cuvette en le prenant par le coté puis par le dessous avec les deux mains. Je lincline ensuite fortement contre le mur, le long de mon lévier dans la cuisine, le rince abondamment avec de leau distillée pour fer à repasser (afin déviter toute trace de calcaire ou autre dépôt) puis le laisse sécher dans cette position.Au bout de quelques minutes, loptique est prête à être remontée dans son barillet avant collimation.Ceci dit, je procède aux nettoyages des optiques le moins souvent possible. Une fois par an me paraît suffisant.
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quel oculaire courte focale pour SC de 10" ?
Jean-Noel a répondu à un sujet de Matthieusibon dans Astronomie pratique
J'aime bien le Nagler 9mm et le Tak LE7,5 sur ce genre de matériel. -
Bonjour à tous,L'astronomie, la radio et la musique me semblent rendre hommage à la curiosité humaine et au sens de l'esthétisme en générale, cest peut-être là un point commun qui rapproche ces trois disciplines. Astronomie ? Etant peut-être un peu philosophe ou poètes, sûrement amateur de découverte et de sciences, nous ne pouvons rester insensibles à lémerveillement que procure, lors dune belle nuit dété sans Lune, la vision de notre voie lactée. Ces images nous font rêver telle une mélodie et nous transporte vers des dimensions toujours plus lointaines, plus belles et plus fortes au fur et à mesure de la découverte de lunivers et des surfaces planétaires.Lintérêt que suscite la vision de nouveaux paysages lunaires à loculaire nous pousse à repousser les limites de nos instruments dastronomie, à collectionner les galaxies de plus en plus lointaines et à toujours partir à la découverte dautres images de plus en plus tenues et détaillées. La turbulence atmosphérique ne permet bien souvent dobtenir de bonnes conditions dobservation que quelques fois par an, en fonction des conditions locales, de la puissance et de la qualité optique de linstrument utilisé. Une bonne dose de patience est donc nécessaire pour observer correctement un détail planétaire difficile. Je retrouve bien souvent ces éléments dans les activités liées au radio amateurisme. Je retrouve également la part du rêve auprès de mon piano.La radio Lécoute dun contact radio entre deux stations situées au cur de locéan Pacifique procure un intérêt certain pour le contact et le voyage. La difficulté de certains contacts dus à la faiblesse des signaux et aux parasites obligent parfois lopérateur radio à attendre de trente ou quarante ans avant de réaliser le contact de ses rêves avec une contrée réputée rare et très difficile.La patience requise et la difficultés des contacts intercontinentaux en certaines périodes, parfois très longues, conduisent à sinterroger sur laspect technique et scientifique de la question. Il convient alors détudier les facteurs de hasard et létude de la propagation des ondes en milieu ionosphérique, la propagation des ondes radio est directement liée au cycle de lactivité solaire de 11 ans. La turbulence devient alors «QRM », le pouvoir séparateur devient «rapport S/B » et «directivité », la magnitude limite instrumentale devient «gain en D.B. » et «angle dattaque des couches ionosphériques » Ces éléments suscitent des questions du type «comment contacter tel archipel perdu lAlaska et la Russie ou dans locéan pacifique Nord». Les sujets connexes comme «YAGI VS QUAD ? » sapparentent alors un peu avec celles du type «LUNETTE VS TELESCOPE ? ». Les aspects techniques, performances et découvertes des deux disciples les rapprochent. Elles incitent lune comme lautre à la découverte de nouveaux horizons et à repousser les limites du matériel utilisé par des moyens techniques de longueur dondes différentes (0.56 pour lastronomie visuelle en lumière jaune et 0.3 à 30Mhz pour la décamétrie HF, 10m pour le SETI ). La musique et lémoi Bien des musiciens furent également astronomes et vis et versa. Les images dastronomie montrées au public sont bien souvent accompagnées dune mélodie soulignant la profondeur des images (lespace inter galactique, voie lactée, régions HII ). De même la musique met en avant limpression du ballet majestueux qui accompagne la contemplation de Saturne et de son système de satellites. Elle enrichit latmosphère particulière et enchanteresse de nos belles nuits étoilées. Je retrouve cet aspect philosophique et poétique au touché du piano et à la lecture dune partition. Toutes deux me laisse imaginer la part du rêve dans lobservation astronomique. Les crescendo et decrescendo apportent à lexécution dune partition musicale le relief que les subtiles nuances des détails planétaires apportent à limage télescopique. Quel plaisir de revivre les beaux moments dune «nuit des étoiles » sur une partition de VANGELIS ! Lété, les envolés musicales décuplent le plaisir de lobservation la plus grandiose qui soit : Celle de notre Galaxie vue par la tranche. Il suffit découter le final de «Pavane pour une infante défunte » en regardant le splendide poudroiement détoiles que constitue la voie lactée à lil nu ou dans un Nagler pour sen convaincre. Trois belles passions. Je collectionne personnellement les contrées radio comme les objets MESSIER, NGC, O. STRUVE et ne résiste pas au plaisir de compléter lobservation astronomique en jouant quelques partitions musicales. Ces trois belles passions me sont complémentaires et me font voyager telles les plus belles des rimae et la vision extraordinaire de la région centrale de M42 au télescope 73 et bons cieux à tous.Jean-Noël
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Plein de question en Vrac concernant le LX200
Jean-Noel a répondu à un sujet de Matthieusibon dans Astronomie pratique
Bonsoir à tous,Propriétaire dun SCT MEADE LX200 de 305mm, je peux peut-être apporter ma contribution à ce post.- sont-ils livrés avec valise de transport ? Si oui, quelles dimensions. Lensemble tube optique + fourche + table AZ du LX200 de 305mm nest pas livré dans une valise de transport mais dans un carton, de dimension 1080mm x 730mm x 530mm garni dun épais tapis de mousse dans lequel il convient de ranger le LX200 pour le transport.- Quel point de vente serait le mieux adapté ? (prix, SAV,...etc)Les SCT MEADE sont vendus avec des optiques de quatre qualités différentes : A, B, C, D dont la première est suffisante à une utilisation en astronomie planétaire. La qualité D peut être suffisante à une utilisation en salle de bain pour Madame (si loptique nest pas trop astigmate). Il est donc préférable de faire sélectionner le télescope par un revendeur sérieux ou directement par limportateur.- on annonce le UHTC comme faisant gagner 20% de luminosité. Donc si je fais correctement mon calcul, le 254 a la luminosité d'un C11 ! me trompe-je ?La luminosité d'un instrument est directement liée à son diamètre et à la perte de lumière engendrée par les réflexions ou réfractions des différents composants optiques. Cela implique de prendre en considération : - le type et à létat du traitement de chaques surfaces optiques, - le nombre de surface optique, - le % dobstruction du secondaire (en surface)La transmission lumineuse de mon 305mm pourrait être évaluée comme suit : - obstruction centrale de 33% soit environ 89% - lame de fermeture traitée MgF2 (2 surfaces) soit environ 97% - miroir primaire (1 surface, aluminure haut pouvoir de réflexion) soit environ 92% - miroir secondaire aluminé (1 surface soit environ 92% - renvoi coudé (1 surface aluminure standard)soit environ 88% Ce qui donne une transmission lumineuse globale d'environ 64%.Cest bien mieux quun MAKSUTOV dont le ménisque est suffisamment dévastateur en terme de transmission lumineuse pour handicaper sérieusement la pratique de lobservation des nébuleuses et galaxies. Cest par contre bien en dessous de la luminosité globale dun bon newtonien dont la perte de lumière se limite à 2 surfaces :- Obstruction centrale de 20% soit environ 96% - miroir primaire (Aluminure standard)soit environ 88% - miroir secondaire (Aluminure standard)soit environ 88% la transmission lumineuse totale peut être évaluée à 74%Le SCT devrait obtenir une transmission lumineuse à peu prés égale à 86% de celle dun newtonien obstrué à 20% et donc laluminure est neuve. Jai effectivement pu vérifier ce point entre mon Newtonien de 250mm et le LX200 de 305mm et également entre le T250 et un Celestron CG9. L'observation comparative entre le CG9 et mon LX200 de 305mm ma montré approximativement la même clarté à pupille égale. Il me semble donc que les traitements MEADE et CELESTRON sont à priori du même ordre defficacité. Ceci dit, quel que soit le pouvoir de transmission lumineuse et sous réserve dune optique correcte, le diamètre (même fortement obstrué) garde lavantage de son pouvoir séparateur sur les couples stellaires de composantes de magnitudes égales (Struve 1338, Otto Struve 235, Zeta bouvier, Eta CRB actuellement). - Si j'opte pour un pare buée avec résistance chauffante pour les éternels problèmes de givrage de la lame de fermeture, combien cela coute-t-il ? je ne trouve pas cette piece sur le webJai opté pour un magnifique pare buée en carton à 0 euro, un copain utilise un pare buée de marque Decatlon, cela à lair de bien fonctionner.- Peut-on connecter directement la bete sur la prise allume cigare ? est-il livré avec un cable d'alimentation ?Ma version était vendue avec le transformateur 220/18V, je suis à la recherche dun adaptateur 12/18V, je ne sais pas si les nouvelles versions "LX200 GPS" fonctionnent directement sur 12V. Lun des éléments à prendre en considération avec la possibilité dobserver souvent est le poids. 60 kg dans le cas dun LX200 de 305mm. Si lensemble (tube optique + la fourche + la base dans sa version ALTA) pèse 35 kg et se porte encore facilement sur quelques mètres. Un SCT de 305mm ne constitue aucunement un instrument apte aux déplacements fréquents sur des sites de hautes montagnes ou simplement en raz campagne. AmicalementJean-Noël [Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 27-03-2003).] -
Essai filtre Booster Contrast sur L150/1200
Jean-Noel a répondu à un sujet de Claude PEGUET dans Astronomie pratique
J'ai essayé ce filtre sur un SCT 9". Je n'ai pas été emballé, ni par le contraste final, ni par la qualité globale des images planétaires en terme de propreté. Peut-être un léger plus sur Jupiter de l'avis de l'ami en propriétaire du SCT. Je nachèterai personnellement pas ce filtre. -
Ils étaient plus difficiles hier car déjà très loin du terminateur. J'ai surtout exploré les rimae dans la région de Gassendi. Le cratère central de Platon était facile, les trois autres étaient visibles mais difficile dans les trous de turbulence au T250/1630 oculaire OR Zeiss de 6mm, Turbulence = II à III dans les Ardennes (optique légèrement décollimatée). Amicalement[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 15-03-2003).][Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 15-03-2003).]
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Bonjours à tous,Quelques musiciens furent parfois astronomes et vice versa (Eratosthènes, Herschel, Fracastor et même quelques-uns d'entre nous). Le compositeur peut trouver dans lobservation du ciel une source dinspiration musicale et ces deux belles activités ont certainement en commun un impact important sur la sensibilité et le rêve. Elles sont à mon sens une ode à la découverte et se complète merveilleusement. Avez-vous déjà écouté le final de "Pavane pour une infante défunte" version TOMITA lors d'une observation de la voie lactée ? Essayez en utilisant un bon NAGLER ou encore lors d'une séance de planétarium simulant une vision spatiale. Vous verrez, c'est étourdissant, grandiose, gigantesque et le grand vertige est garanti ! Il faut toutefois un rendu correct des graves pour ressentir l'ampleur de la composition faire vibrer nos triples au rythme de la voie lactée.J'aime parfois accompagner un lever de Lune au télescope par "Dark side of the moon" des Floyds (cela transcende la turbulence). Sinon, j'écoute parfois Vangelis dans lattente de pouvoir un jour jouer correctement quelques thèmes de ce sympathique compositeur au piano numérique...Bons cieux et bons rêves musicaux à tous .Jean-Noël[Ce message a été modifié par Jean-Noel (Édité le 08-07-2002).]
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Félicitation pour l'acquisition, un 250mm commence à être très sympa pour l'observation du ciel profond. J'utilise un T260mm Fd5 équipé d'un filtre OIII, ça décoiffe déjà. Avec ce filtre, un bon large champ (type U.O MK70 40mm, panoptic, pentax...) les dentelles seront superbes. Dans ces conditions n'oubliez pas une bonne paire de "Ray-ban" pour l'observation de M57 Bonne première lumière au T250 Jean-Noël
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J'observe de temps en temps avec le Mewlon 180 d'un amis qui fournit de belles images. Je garde en souvenir le fuseau argenté de M82 plongé dans un champs bien contrasté et rempli d'étoiles ponctuelles (90x). Quatre cratères dans Platon, la dépression dans Davy Y et Rima Hadley sont visibles dans leurs intégralités à 270x et 370x. Zéta Bouvier est parfaitement résolue. L'image est du même ordre de qualité que celle du Mewlon 210mm que j'ai également utilisé. Je trouve donc ces deux modèles excellents (le 210mm est effectivement particulièrement sensible à la turbulence).L'ami en question était propriétaire d'un intes MK66 dont il garde des souvenirs grandioses : Images lunaires fines et très contrastées malgrès l'obstruction centrale importante. Il était étonné par la capacité de ce petit télescope à pouvoir pousser l'amplification mais le trouvait trop peu lumineux sur le ciel profond (la présence du ménisque introduit ne perte de lumière suplémentaire significative).Dans le cadre d'une observation purement planétaire et si la monture supporte une charge de 10 ou 12 kg j'opterais personnellement pour le Maksutov. voir notation et aprèciation du MK91 sur : http://www.excelsis.com/1.0/entry.php?sectionid=12&entryid=171&PHPSESSID=21380d4e6e31becff572d18ddaec1dc6) Pour une utilisation moins spécifique et davantage tournée vers une revue générale des constellations, le choix du Mewlon me semble judicieux. Un troisième choix possible pourrait être celui du Takahashi CN212, utilisable dans sa version Cassegrain F/D=12,4 (Focale de 2630 mm) et également en montage Newton à F/D=3,9 (820 mm de focale) voir test sur : http://www.eurospacecenter.be/astrotestcn2121.htm J'ai personnellement un faible pour le Newtonien Planétaire, faiblement obstrué, dont le rapport diamètre/qualité/prix permet de passer à des optiques fines de plus grand diamètre. Ce type de télescope notament utilisé par Maurizio Di Sciullo (Excelsior optics E-258 Fd=8) n'est pas malheureusement pas transportable, sauf en version Dobson Fd<5 (peu propice à l'observation de Gamma 2 Andromède à 900x).Bon ciel et bon choix.
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Bonjour à tous,Le choix d'un dobson de type obsession de fabrication perso et articulé autour d'un bon miroir de 300mm me paraît être un choix judicieux. Je possède un 260mm Astam et 320mm Arcane tout deux excellents mais attention au seeing.Bon ciel. ------------------ Jean-Noël
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Distribution géographiques des membres
Jean-Noel a répondu à un sujet de Eniat dans Astronomie pratique
Bonjour à tous,Je réside sur les Ardennes, pointe de Givet Bon ciel à tousJean-Noël -
[ADMINISTRATION] Important, à lire.
Jean-Noel a répondu à un sujet de Jean-Philippe Cazard dans Astronomie pratique
Bonjour à tous, L'un de mes amis a acheté plusieurs oculaires chez Astronomix : - Astronomix 16mm, - University Optic 16mm, - Speer-walers 10mm. Il m'a dit être réellement satisfait des conseils de M. VINEL et du rapport qualité/prix de ces oculaires. Il compte bientôt s'offrir un University Optic de 12mmJ'ai téléphoné puis discuté technique avec M. VINEL à plusieurs reprises. Je pense sincèrement qu'il est honnête, sérieux, passionné et compétent. Je ne comprends donc aucunement la raison des attaques perpétrées contre la société Astronomix et le CLAVIUS dont personne n'a encore pu apprécier les qualités intrinsèques et donc les défauts ! Je pense que les produits astronomix actuels constituent une alternative de bon rapport qualité/prix en regard des autres productions orientées vers l'observation planétaire :- APOs ht de gamme, superbes mais chères, - lunettes Synta bon marché, - SCTs traditionnels, - Newtoniens planétaires, - Mak...En fait, nous savons tous que l'acquisition d'un matériel destiné à l'observation est un acte, voire une discipline, où l'improvisation doit céder la place à des techniques de choix mûrement réfléchies : en fait, chacun des produits précités correspond au meilleur choix possible en fonction de : - notre centre d'intérêt premier (CCD, observation du ciel profond ou planétaire, résolution des étoiles multiples serrées...), - nos critères relatifs à la satisfaction de notre besoin (transportabilité, contraste, finesse, luminosité, puissance, achromatisme...) - nos contraintes (budget, pollution lumineuse, seeing, site d'observation...). Je souhaite bonne chance à la sortie du Clavius. Ne l'attaquons pas avant même sa naissance. Nous ne pourrons nous faire une opinion qu'après observations comparatives avec d'autres instruments de même ordre de prix et si le clavius tient ses promesses, la fête pourra être des plus passionnante, que ce soit par l'observation des anneaux de Saturne, l'étude des WOS, l'observation des Rimae... rien ne manquera alors et pas même la science. Bon ciel à tous. Jean-Noël (Dept. 08) -
Bonsoir à tous,Un copain (NE france) désire acquérir un instrument pour une utilisation spécifiquement planétaire. Il habite au 2ème étage dans un appartement et doit descendre son télescope pour observer depuis un jardin commun aux locataires de son immeuble. Il est donc soumis aux délais de mise à température de l'instrument avant d'observer.Il dispose d'une monture CG4 renforcée (reste d'une Synta)et d'un budget de 8000 à 14000FF pour le tube optique.Il hésite entre : - la Linear de 127mm Astronomix - un Intes de 150mm Fd12Etant pris un peu de court, je n'ai encore pu lire ou relire les différents thèmes abordés sur ce forum ni consulter les sites : http://www.scopereviews.com/ http://www.cloudynights.com/reviews.htm http://www.excelsis.com/ Compte tenu de la taille angulaire des WOS sur Jupiter et autres rimae observables sur la surface Sélène, je lui ai conseillé de pousser un peu et d'opter pour un MAK Intes de 180 mm malgré l'obstruction centrale du secondaire.Quand pensez-vous ? Pour quel instrument planétaire opteriez vous dans son cas pour une observation haute résolution ?Merci à tous de vos appréciations respectives. Je les espérent nombreuses et argumentées de tests d'observations sur étoiles doubles serrée, fines rimae, détails Joviens ou sur les anneaux de Saturne.Bien astronomicalement.