Joël Cambre

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Tout ce qui a été posté par Joël Cambre

  1. climatoogue vs climatoseptique

    Ben oui JLD, PDO et ENSO s'influencent réciproquement, (selon des mécanismes mal connus d'ailleurs) et c'est bien normal puisqu'ils cohabitent dans le même océan Pacifique. Quand y a une PDO froide bizarrement on constate plein de La Ninas et inversement... Sur le fond du problème les la Ninas qui se suivent en ce moment en une séquence froide de l'ENSO on les appelle au secours côté Giec pour justifier la pause actuelle dans le réchauffement. Mais les El Ninos qui se succédaient en une séquence chaude juste avant, on les taisait car ils servaient la cause. On pourrait se rattraper et en parler à présent mais non... C'est beau, la science! Et ne dis pas qu'on s'en fout car l'ENSO c'est un tout, et si l'on s'en fout pour les El Ninos ça vaut pour les deux et du coup l'excuse La Nina actuelle pour la pause tombe à l'eau, si je puis dire... Bref, certains experts du Giec qui sont francs en paroles nous disent qu'aujourd'hui cette pause c'est très embêtant, d'où la cascade de justifications laninesques parue dans les médias récemment. Ils ajoutent que si ça durait encore 5 ans comme ça il faudrait revoir "fondamentalement" (dixit Storch) les modèles. Ebouriffant, mais pour certains ici il n'y a aucun problème, tout beigne. Ceci dit je doute que gouvernements médias et public attendent 5 ans en se contentant d'excuses océaniques bien longtemps. On voit déjà paraître dans la presse des articles ironiques sur les prévisions catastrophes du Giec.
  2. climatoogue vs climatoseptique

    Tout ça est lié chef, arrête de peser le moucheron... On parle bien de séries de La Ninas (c'est froid) qui seraient responsables de la pause dans le réchauffement.
  3. climatoogue vs climatoseptique

    Je vois + 0,7 W/m2 d'augmentation de l'irradiance solaire au XX° siècle sur les courbes les plus récentes. Mais rassure-toi, il y a plein d'autres facteurs à l'oeuvre... [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 11-09-2013).]
  4. climatoogue vs climatoseptique

    Je prends les courbes que je trouve, et je n'ai pas que ça à faire, je bosse aussi moi, même si c'est à mi-temps... Sur la courbe de JLD je vois une augmentation de 1900 jusqu'à la fin des années 1990 qui est d'environ + 0,7 W/m2. Cela semble être la valeur du moment. OK. On est dans des valeurs faibles mais il y a bien eu une augmentation de l'irradiance solaire au XX° siècle par rapport au précédent, c'est indiscutable. A rapporter à l'estimation totale du RCA cumulé de 1750 à 2005 qui est estimée par le Giec à la très faible valeur de +1,6 Wm2. Je ne cherche pas à prouver que l'irradiance solaire explique tout, bien sûr, ce serait stupide, je veux juste montrer que les paramètres à l'oeuvre sont multiples et pas toujours négligeables. Soleil avec rôle direct et indirect, rayonnement UV, océans, vapeur d'eau et nuages, humidité variable de la haute troposphère qui varie et module l'effet de serre, flux IR sortant vers l'espace interplanétaire, etc. Il y a de quoi parler... quote:Ils ne l'invoquent pas la PDO dans l'abstract. Si tu as l'article complet je suis curieux je le lire, à moins que tu ne l'ais pas toi non plus Sinon je peux le chercher. Évidemment qu'il s'agit de la PDO! Quoi d'autre? L'article parle de la "variabilité naturelle du climat et en particulier aux conditions La Niña". Cela ne peut pas être l'ENSO (la bascule EL Nino/La Nina) car ce sont des alternances de 2 ans de chaque phénomène. Un La Nina isolé ne pourrait pas expliquer la pause de 16 ans dans le réchauffement. La PDO ce sont des cycles de 20 à 30 ans où la fréquence d'un des deux phénomènes prédomine, une PDO+ c'est plus de El Nino et plus forts, et une PDO- c'est plus de La Nina et plus forts. Et comme nous sommes entrés dans une PDO+ depuis 2005... Cqfd. Petite info: les représentants de plusieurs gouvernements sont intervenus lors des travaux actuels du Giec, qui prépare la publication du rapport N°5, pour demander des explications claires au sujet de la pause dans le réchauffement. La date de publication du rapport en a été reportée. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 11-09-2013).]
  5. climatoogue vs climatoseptique

    Pour la mesure de l'irradiance solaire voici la source "NASA SORCE": http://lasp.colorado.edu/home/sorce/data/tsi-data/ This historical reconstruction of TSI is based on that of Wang, Lean, and Sheeley (The Astrophysical Journal, 625:522-538, 2005 May 20) using a flux transport model to simulate the Sun’s magnetic flux, with those annual values provided courtesy of J. Lean. The values from their model have been offset -4.8741 W/m^2 to match the SORCE/TIM measurements during years of overlap and then extended or replaced using SORCE/TIM annual averages from 2003 onward. This more recently accepted TSI absolute value is described by Kopp & Lean (Geophysical Research Letters, 38, L01706, doi:10.1029/2010GL045777, 2011) based on new calibration and diagnostic measurements. The historical reconstruction provided here was computed by G. Kopp using TIM V.13 data in February 2013, and is updated annually as new TIM data are available. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 11-09-2013).]
  6. climatoogue vs climatoseptique

    Je ne parle pas températures mais forçage radiatif global là... Faut lire! Je ne dis pas que l'irradiance solaire influence directement la courbe des températures, puisqu'il y a d'autres facteurs naturels à l'oeuvre, dont la PDO, l'AMO, etc. Ce serait idiot. Je dis simplement que la quantité de chaleur supplémentaire qui a était constatée au XX° siècle pouvait fort bien venir du Soleil et de son irradiance qui a été vraiment forte au XX° siècle, tout le monde est d'accord là dessus. Que les pro-Giec minimisent l'EFFET de ce facteur radiatif c'est clair, on le voit bien sur leur bilan radiatif où ils n'attribuent au soleil que + 0,12°C... et avouent que leur compréhension du phénomène est "faible"! MDR! Donc pas besoin de me citer leurs études. Pour le reste tu te prend les pieds dans le tapis. La PDO figurait dans le rapport de 2007 mais pas dans les modèles. Un expert danois des océans que j'ai cité en 2009 le regrettait et puis on ne présenterait pas leur intégration actuelle comme un fait nouveau. Je cite Le Monde: "Dans la revue Nature, des chercheurs de l'université de San Diego, en Californie (Etats-Unis), s'intéressent particulièrement au rôle du Pacifique tropical est. Yu Kosaka et Shang-Ping Xie estiment que la prise en compte, dans les modèles climatiques, d'un récent refroidissement de la température de surface dans cette zone permet de "réconcilier les simulations climatiques et les observations". Donc c'est nouveau! Cqfd.Et si la PDO n'a pas de relation claire avec les températures pourquoi nos scientifiques du Giec Yu Kosaka et Shang-Ping Xie l'invoquent-ils pour excuser la pause dans les températures actuelles, qui fait la une des journaux en ce moment dis-moi? ChiCyg et mesurer le forçage radiatif à + 1,6 W/m² comme le fait le Giec dans un domaine où l'on maîtrise mal 7 paramètres sur 9 c'est simple peut-être? Encore une fois ce qui m'intéressait c'était l'irradiance des 4 derniers siècles et surtout la hausse du XX° siècle par rapport au XIX° siècle, que personne ne conteste. Ceci pour expliquer d'où venait le surcroît de chaleur global, en mettant de côté les variations de courbes de températures. Toi tu me parles température, alors que je parlais chaleur. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 10-09-2013).]
  7. climatoogue vs climatoseptique

    Je repasse par hasard sur ce post et je constate que côté réchauffistes on est passé de l'ironie distante d'il y a quelques années, à une agressivité déclarée, signe que les faits dérangeants dérangent, bien que l'on s'en défende... C'est vrai qu'à l'époque on parlait de 9 à 10 ans de pause et aujourd'hui c'est 16 années, et selon Pachauri le Président du Giec c'est même 17! http://www.theaustralian.com.au/news/nothing-off-limits-in-climate-debate/story-e6frg6n6-1226583112134 On cherche des excuses à la pause dans le réchauffement en invoquant une oscillation océanique multidécennale (la PDO) quand elle passe en phase froide, sans évoquer son influence sur les températures lors de sa phase chaude précédente, ce qui n'est pas honnête. Et qui donne un bon coup au passage à la réputation des modèles. Non seulement ils ne prédisent pas la pause actuelle des températures, mais en plus ils n'avaient pas intégré ce paramètre climatique puissant qu'est la PDO. Ceci dit cette chaleur globale, qui a fait monter les températures, qu'elle soit dans l'air ou dans l'eau, venait bien de quelque part. Etait-ce le CO2 par son effet de serre? Etait-ce le Soleil par ses variations d'irradiation? Ou via ses effets indirects sur les rayons cosmiques? Parlons de l'effet direct, la variation d'irradiation. On sait que le Soleil a été très actif au XX° siècle, et on le voit pour les derniers 400 ans sur le graphique ci-dessous. L'irradiance solaire en Watts par mètre carré a varié de 1890 à 2000 de 1364,7 à 1366,1. Soit + 1,4 W/m². Ah c'est peu, 1,4 Watts par mètre carré, certes, c'est bien pourquoi l'on parle de "constante solaire" d'ailleurs! Mais pas tant que ça, au fond, quand on se souvient que la totalité du forçage radiatif d'origine humaine depuis l'année 1750 (début de l'ère industrielle) jusqu'à 2005, a été estimée à + 1,6 W/m², cf. le rapport AR4 du GIEC de 2007, version française, page 39. Alors réchauffement passé via un forçage par GES ou grâce à un Soleil un peu plus chaud? Je rappelle au passage les énormes marges d'incertitude du graphique ci-dessus et le niveau de compréhension "faible" et "moyen-faible" qui affecte 7 des composantes sur 9, excusez du peu... D'ailleurs justement, l'éclairement énergétique solaire est estimé à + 0,12 W/m² tout en étant noté "faible" au niveau compréhension... C'est un des nombreux points qui font douter, sans qu'il soit besoin de s'en prendre à la probité des gens! [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 10-09-2013).]
  8. climatoogue vs climatoseptique

    Superfulgur (que je remercie au passage de son honnêteté intellectuelle), a dit: quote:Je te trouve injuste, Tournesol... Ce n'est pas "rien". La pause dans le RCA intrigue tous les chercheurs, même s'ils pensent tous que ça ne remet pas en cause le phénomène général. Je reviens de l'observatoire du Mauna Loa (Loa, pas Kea...) qui mesure, comme tu sais, le C02 depuis cinquante ans. Le patron de l'institut m'a dit un truc du style, en souriant, "Ca serait bien que ça se remette à chauffer dans les cinq ans qui viennent, sinon, il faudra revoir les modèles". Pas plus, mais pas moins. Sinon, pour les effets du RCA, au Svalbard, ils sont bouleversés par le changement spectaculaire de leur environnement, pour eux, la question n'est pas académique, ni politique... Pour le fait que "ça ne remette pas en cause le phénomène général", ils ne le pensent pas tous Superfulgur, mais en public ils sont prudents... Le patron de l'institut dont tu parles dit la même chose que le professeur Storch que j'ai cité... D'ici 5 ans au plus tard selon lui, si la pause continue les modèles seront à jeter. Et il ajoute que déjà aujourd'hui c'est problématique.Je rappelle les propos de Storch: Question du SPIEGEL: Pendant combien de temps encore sera-t-il possible de concilier une telle pause du réchauffement climatique avec les prédictions climatiques en vigueur ?Réponse de Storch: Si les choses continuent comme elles l'ont fait, dans cinq ans, au plus tard, nous devrons reconnaître qu'il y a quelque chose de fondamentalement faux dans nos modèles climatiques. Une pause de 20 ans du réchauffement n'existe dans aucun modèle climatique. Mais même aujourd'hui, nous trouvons très difficile de réconcilier la tendance actuelle de la température avec nos prévisions.Tournesol, tu parles des conséquences du réchauffement comme si ce réchauffement venait forcément du RCA. Tu n'as toujours pas compris que ce qui m'intéresse ce sont les CAUSES du réchauffement? A+ quand il y aura de vraies nouvelles. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 10-09-2013).]
  9. ic1396 en Ha à la FS60 et Alta U8300

    C'est superbe!
  10. Une Mosaique de 4 images sur IC1396

    OPLV...
  11. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF SAMEDI 07/09/2013

    quote:Et ici en Lorraine c'est maintenant le n'orage, crotte de bic Euh... Y a des jours sans orages ni nuages, en Lorraine??? Je suis loiiiiiiiin...
  12. Bonjour à tous et à toutes, La prochaine nuit de l'astronomie au Champ du Feu aura lieu le samedi 07 septembre 2013, sous un ciel d'encre et avec la petite centaine d'astrams habituelle, voire plus. On compte sur vous, d'où que vous veniez, du Nord, du Sud, de l'Est, de l'Ouest, d'Alsace ou de Lorraine, d'Allemagne ou de Suisse, de Belgique ou du Luxembourg. Nota: Le coq de maître Rastaman est accepté s'il reste sage et laisse notre cigogne tranquille. Les horaires sont les mêmes, venez dans l'après-midi, vers 16h00 ou avant si vous le voulez, mais soyez si possible là pour 18h30-19h00 au plus tard car c'est à ce moment là que l'on fera la photo de groupe de tous les astronomes amateurs présents.Pour l'installation, comme d'habitude, les voitures seront rangées côté route et les instruments côté herbe. Cela permet au public de mieux vous voir et c'est préférable pour optimiser la place disponible sur le parking.L'ouverture au public aura lieu à 20h00, en gros au moment où le Soleil se couche.Soyez disponibles pour expliquer ce que vous faites aux visiteurs, souriants, sachant qu'à partir de minuit environ le public rentre chez lui et que les observations que vous avez planifiées pour vous peuvent commencer.L'usage des stylos laser est interdit à partir de 23h30 en raison des prises de vue des astrophotographes qui tous ne travaillent pas en Halpha.SVP, laissez les lieux parfaitement propres avant de partir! Ce lieu naturel doit être respecté.Les organisateurs sont comme d'habitude en gilets jaunes, et l'accueil des journalistes éventuels se fait en haut du parking.En haut du parking une grande tente sera montée et un groupe électrogène (le seul autorisé sur le site), sera là pour alimenter un ordinateur et un vidéoprojecteur. Madame Agnès Acker, astrophysicienne à Strasbourg y proposera des conférences sur différents sujets d'astronomie, ouvertes au public et aux astronomes amateurs. C'est gratuit, comme toute la soirée d'ailleurs.En cas de mauvaise météo, la soirée sera annulée et ce sera annoncé la veille pour midi précises (le vendredi 06 septembre donc), sur le site web du Collectif (voir ci-dessous).Au programme : De 16h00 à 18h00 : présentation en ateliers : Observation du Soleil avec filtres spéciaux, spectroscopie, pollution lumineuse et présentation des instruments d’astronomie (lunettes, télescopes, oculaires, caméra ccd…)A partir de 20h00 : Soirée d’observation et d’initiation à l’oeil nu, aux jumelles et dans de nombreux télescopes. Conférence sous chapiteau par Agnès Acker, Professeur émérite et Astrophysicienne à l’Observatoire et Université de Strasbourg.Site Web : http://www.astrosurf.com/astrocdf67/
  13. M33 alsacienne

    Une M33 alsacienne ça ne se refuse pas... Bravo Pierre, c'est un objet faible, 7 x 10 mn c'est fort peu, et pourtant il est bien réussi!
  14. climatoogue vs climatoseptique

    Passer d'une langue à une autre ne se fait pas par du mot à mot. Que ce soit fascinant, curieux, étonnant même, le résultat est le même que pour problématique. Problématique est conforme au sens général de la phrase, mais ne rend pas la nuance d'étonnement que renferme le terme "intriging". Ceci dit le sens de cette phrase et de celle qui la suit sont parfaitement clairs: pour lui le hotspot n'est pas observé et c'est contraire aux modèles, il l'exprime sans détours. Bel aveu d'un des scientifiques de premier plan membre fondateur du Giec... Mais bon, une observation qui infirme une théorie ce n'est pas grave, puisque le RCA est un objet étrange, mi-scientifique, mi-politique. [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 06-09-2013).]
  15. climatoogue vs climatoseptique

    JLD, ta remarque tombe à plat! Le professeur Lennart Bengtsson du Giec reconnaît que le hotspot est introuvable et c'est ça qui est important... Ne détourne pas le sujet svp... Crois-tu qu'il le dirait si ce hotspot était décelable de façon claire et nette? Ses propos que tu cites, où il ne remet pas en question le fondement du RCA prouvent qu'il n'est pas passé du côté des climatosceptiques. On a un scientifique du Giec hyper capé : Directeur entre autres jusqu'en 1990 de l'Institut Max Planck pour la Météorologie à Hambourg, qui a joué un rôle moteur, aux côtés de Bert Bollin (premier président du GIEC, également suédois), lors de la création en 2008 du GIEC et aussi pour la rédaction des différents rapports qui ont suivi. Il est à présent Chercheur Sénior invité à l'Environmental Systems Science Centre de l'Université de Reading (UK). En 2005 il a été récompensé par le prix René Descartes pour la Recherche Collaborative avec le Professeur Ola M. Johaanessen et le Dr. Leonid Bobylev du Nansen Environmental and Remote Sensing Centre en Norvège et en Russie pour le Projet sur le Climat et le Changement Environnemental de l'Arctique. En 2006 il a été récompensé par le 51ème prix IMO par l'Organisation Météorologique Mondiale (World Meteorological Organization) pour ses travaux de recherche séminale en matière de prédiction numérique en météorologie. Et ce monsieur dit -comme tous les sceptiques- que le hotspot est introuvable! Ben il faut le croire, car il n'a aucun intérêt à le proclamer, puisqu'il adhère encore au RCA. Seulement c'est probablement un type honnête, ça existe les gens comme ça, qui ne se comportent pas en militants, voilà... Voici le passage entier, où par ailleurs il ne mâche pas ses mots sur la science climatique actuelle et ses méthodes...: "The global temperature has not increased steadily but in irregular intervals. Typical features are a distinct warming trend 1910-1940, a slight cooling trend 1945-1970 followed by the sharp warming trend until the end of the 20th century and finally the last 15 years without any clear warming trend. The lack of any significant warming in the tropical troposphere since the beginning of space observations in 1979 is particularly intriguing in particular as present models show a warming trend over the same time of 0.3-0.4°C in the average, figure 2. Such results, scientifically very puzzling as they are, have hardly received any media attention but instead the public has been overwhelmed in recent years by excessive reports of a rapid and threatening global warming very soon running out of control, unless the most drastic steps are taken to stop it. If there are no obvious global signals available, suitable arguments are created from an endless number of extreme weather events. The fact that similar extreme weather has been found to be a property of the present or undisturbed climate is not recognized. The global warming has been taken out of the hands of the meteorologists and traditional climatologists and is now run by professional media experts and different well-recognized members (political or otherwise) of the general public that have found the present climate hype to be a suitable way to remain or be obtain a place in the media limelight."Traduction: "La température du globe n'a pas augmenté de manière constante mais plutôt à des intervalles de temps irréguliers. Typiquement on a observé une tendance au réchauffement de 1910 à 1940, une tendance à un léger refroidissement de 1945 à 1970 suivi par une tendance rapide au réchauffement jusqu'à la fin du XXè siècle et, enfin, aucune tendance au réchauffement perceptible durant les 15 dernières années." "En particulier, l'absence d'un quelconque réchauffement significatif dans la troposphère tropicale depuis le début des observations de l'ère satellitaire, en 1979, est particulièrement "intriging" (problématique, fascinante, intrigante) parce que les modèles actuels prévoient un réchauffement moyen de 0,3°C-0,4°C durant la même période." "De telles observations, scientifiquement aussi curieuses pour la science soient-elles, n'ont pratiquement jamais retenu l'attention des médias tandis que, bien au contraire, le public a été saturé de rapports excessifs au sujet d'un réchauffement rapide et menaçant qui serait en train de devenir incontrôlable à moins que des mesures radicales soient prises pour y mettre un terme. Même s'il n'y a aucun signal global évident, on avance des arguments adhoc à partir d'une liste sans fin d'événements météorologiques extrêmes.""Le fait que des événements météorologiques extrêmes aient été observés pour le présent comme pour un climat normal, est passé sous silence. Le réchauffement climatique a été confisqué des mains des météorologistes et de celles des climatologues traditionnels et il est, à présent, dans les mains des professionnels des médias et dans celles de membres bien connus (politiciens ou autres) du public au sens large qui ont trouvé dans l'exagération actuelle du climat, un moyen commode pour conserver ou acquérir une place en vue sous les feux de la rampe des médias." Voilà, tout est dit! [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 06-09-2013).]
  16. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF SAMEDI 07/09/2013

    LA NUIT DE L'ASTRONOMIE DE SAMEDI AU CDF (07/09/2013) EST ANNULÉE EN RAISON DE LA METEO !
  17. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF SAMEDI 07/09/2013

    La météo pourrie pour demain se confirme et ce sans aucun doute. La décision d'annulation est en cours de discussion.
  18. climatoogue vs climatoseptique

    quote:Si tu préfères faire une démonstration asymétrique partisane sans même évoquer la controverse et le débat sur ce sujet là. J'ai cité les études des climatosceptiques sur le hotspot ET la contre-étude du Giec et c'est partisan? Je n'y peux rien si les types du Giec peinent énormément à prouver que le hotspot existe et ont recours pour cela à des méthodes indirectes très peu précises et fort discutables. Même le professeur suédois Lennart Bengtsson du Giec, reconnaît que le hotspot est une épine dans la théorie du RCA. Il le dit d'ailleurs sans détours et sans périphrases, lui: « L'absence d'un quelconque réchauffement significatif dans la troposphère tropicale depuis le début des observations de l'ère satellitaire, en 1979, est particulièrement problématique parce que les modèles actuels prévoient un réchauffement moyen de 0,3°C-0,4°C durant la même période. » Quand une observation infirme un modèle on le revoit habituellement, mais pas là, car la climatologie version Giec est polluée par la politique. On est allé tellement loin dans l'alarmisme climatique qu'à présent on ne peut plus reculer. Il faut tenir les positions acquises coûte que coûte, sous peine de dégringolade totale et rapide, car la presse ne fait pas de cadeaux. Et l'on invoque ironiquement à présent pour expliquer la pause dans le réchauffement ces mêmes facteurs naturels que l'on méprisait autrefois, en disant que le RCA avait pris le dessus sur eux et qu'ils comptaient désormais pour peu de chose. Chassez le Naturel... Il y a d'ailleurs d'autres points de doctrine du RCA que les observations ne confirment pas. J'éteins à présent le PC et je retourne à une vie normale durant quelques temps!
  19. climatoogue vs climatoseptique

    Pas de réponse sur le hotspot? Ok... Pour le reste si on trace une ligne droite sur une petite portion d'une courbe en logarithme et qu'on oublie tout le reste c'est droit c'est clair! Je ne vais même pas répondre à ça, le reste n'étant que des attaques personnelles dont tu es coutumier. Faut garder son calme, ce n'est que de la science, enfin ça devrait... quote:La part naturelle est forcément minoritaire c'est ce que l'on voit sur les courbes à long terme au plus ça varie de 0,2° par siècle pendant 2000 ans. "La part naturelle est forcément minoritaire"... C'est vrai que sur la courbe plate de Mann, qui a fait scandale, les températures ne grimpent comme par hasard que vers la fin du XIX° siècle... Là on tient du solide! quote:Par contre observer par différents moyens comme les satellites l'accumulation de chaleur ça on sait bien faire. " "On sait bien faire". Alors là tu deviens rigolo! On ignore à peu près tout du rôle dans le système climatique de l'eau et des nuages, sans parler de celui indirect du Soleil. Celui des océans via la PDO n'est intégré que maintenant (et sous la pression de la pause) dans les modèles. Et malgré tout, on saurait faire le bilan radiatif de la Terre sans aucun problème? On sait tellement bien le faire que les diverses études sur le bilan radiatif de la Terre donnent des valeurs de forçage qui varient selon les secteurs jusqu'à 11W/m² entre les deux études de Trenberth alors que la valeur de forçage que le Giec attribue au RCA depuis ses débuts en 1750 est je le rappelle de 1,6W/m². Voici 3 études différentes : celle du Giec de 2007 (de Kiehl et Trenberth), celle de K. E.Trenberth, J. T. Fasullo, et J. Kiehl de 2009, et celle de l'ENS de Lyon : Sources: http://mc-computing.com/qs/Global_Warming/EPA_Comments/Trenberth.doc http://www.cgd.ucar.edu/cas/Trenberth/trenberth.papers/TFK_bams09.pdf http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/bilan-radiatif-terre3.xml Le tableau des résultats: Je rappelle que nous sommes dans de grandes inconnues quand aux composantes mêmes du forçage radiatif, avec 4 valeurs sur 9 notées "faible" par le Giec pour leur niveau de compréhension. La moyenne sur l'effet lié à l'albedo des nuages est d'ailleurs bizarrement placée à -0,7 W/m² alors que la marge d'erreur du Giec va de -0,3 à -1,8W/m². Moi j'auris pris la valeur de -1 W/m². Mais bon... [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 05-09-2013).]
  20. climatoogue vs climatoseptique

    La question fondamentale qui demeure encore et toujours est la suivante: la chaleur qui a causé la montée de température de + 0,74°C du dernier siècle était-elle le fruit du RCA, du RCA + des facteurs naturels, ou des facteurs naturels sans le RCA? Il faut le prouver, et la concomitance à éclipses qui s'est produite entre les courbes des rejets de GES et des températures est un indice mais pas une preuve. Le réchauffement de l'Optimum climatique du Moyen Age, pas plus que le refroidissement du Petit âge glaciaire n'ont été causés par le RCA. Le climat change, il l'a toujours fait. Rappelons tout de même que contrairement à une idée reçue, l'effet du CO2 sur les températures n'est pas constant, mais soumis à une loi en logarithme qui dit que ça agit de moins en moins quand les rejets se répètent, et comme la rétroaction par la vapeur d'eau est proportionnelle à l'effet initial du CO2, nos rejets futurs vont être de moins en moins efficaces pour faire monter les températures: Il existe plusieurs points théoriques où les modèles du Giec sont en contradiction avec les observations. Voici l'un d'entre eux. Je vais aborder à présent l'affaire du hotspot tropical, qui devrait constituer une signature de l'effet de serre version Giec et qui reste introuvable à ce jour: Le professeur Suédois Lennart Bengtsson du Giec, le reconnaît en ces termes : « l'absence d'un quelconque réchauffement significatif dans la troposphère tropicale depuis le début des observations de l'ère satellitaire, en 1979, est particulièrement problématique parce que les modèles actuels prévoient un réchauffement moyen de 0,3°C-0,4°C durant la même période. »Tous les modèles climatiques actuels sans exception prédisent que si les gaz à effet de serre sont bien le moteur du changement climatique, l'on doit en avoir la preuve sous la forme d’un réchauffement de la troposphère tropicale qui s’étend en surface de 30° degré Nord à 30° degré Sud et qui affecte la portion de l’atmosphère située aux alentours de 12 km d’altitude (de 10 à 15 km). Les changements climatiques tels que la variabilité du soleil ou d’autres facteurs naturels inconnus, ne vont pas donner cette signature caractéristique. Seul un réchauffement provoqué par l’effet de serre le peut. Ce réchauffement ciblé sur cette zone des tropiques porte un nom international : le « hotspot », le point chaud… Sur les schémas ci-dessus, tirés d’une étude de Richard Lindzen, les latitudes en degrés sont reportées en abscisse. Par exemple, 30S signifie 30° Sud. EQ signifie l’équateur. L’échelle verticale à gauche représente l’altitude en hectopascals. On sait que 200 hPa correspondent à peu près à une altitude de 12 km au dessus du sol, 300 hPa à 10 km. En dessous de ces deux diagrammes, on trouve l’échelle des couleurs classique qui mesure les températures. Ces quatre schémas ont été élaborés en faisant tourner quatre modèles informatiques du GIEC (NASA/NSIPP, GFDL, SNU, NASA/Geos5) avec l’hypothèse d’un doublement du CO2. Ils prévoient tous l’existence d’un point chaud centré sur l’équateur et situé vers 12 km d’altitude. Or, que constate Lindzen quand il compare les prévisions des modèles informatiques aux observations ? Au-dessus des tropiques, de 10 à 15 km d’altitude, l’atmosphère ne se réchauffe pas comme prévu par les modèles. Précisons ici que la présence d’un hotspot est une condition nécessaire mais non suffisante pour prouver l’existence de l’effet de serre. En effet d’autres causes que les GES peuvent former un hotspot. Mais s’il n’y a pas de hotspot cela signifie qu’il n’y a pas d’effet de serre.Petite explication sur le « hotspot » de la troposphère tropicale, signature de l’effet de serre : quand il fait chaud au ras du sol, il se produit une convection, un mouvement d’air ascendant, qui transporte la chaleur de la surface vers la haute troposphère. Cette convection est particulièrement active sous les tropiques car il y fait bien plus chaud qu’ailleurs, nous le savons tous… Plus la surface est chaude, plus la convection est forte et plus ça monte haut. Selon la théorie de l’effet de serre, sans les GES cette forte chaleur apportée en altitude serait diffusée vers l’espace extra-atmosphérique. Avec les gaz à effet de serre qui « bloquent » (absorbent et réémettent en fait) les rayonnements infrarouges de longue longueur d'onde montants, il y a donc création d’un hotspot (d’un point chaud) en altitude, vers 10 à 15 km. Une autre étude qui confirme les résultats de Lindzen a été publiée par Douglass D.H., J.R. Christy, B.D. Pearson, et S.F. Singer. Elle est parue dans l'International Journal of Climatology ( D. H. Douglass, J. R. Christy, B. D. Pearson et S. F. Singer, 2007, DOI : 10.1002/joc.1651) et aussi dans Geophysical Research Letters. Sur le graphe ci-dessus, les résultats que prévoient 22 modèles différents du GIEC sont représentés par la courbe reliant les gros ronds blancs, avec au-dessus et au-dessous deux courbes reliant des triangles blancs et de petits ronds blancs. Les résultats des mesures satellitaires ou par ballons sondes sont représentés par tous les autres signes foncés, avec quatre courbes regroupées en bas du graphique. La différence entre ce que prévoient les modèles et les mesures est claire : pour les modèles, les températures devraient grimper de + 0,18 °C à + 0,32°C par décennie (cercle blancs). Alors que les mesures montrent en moyenne une absence de progression entre la valeur de départ de 0,18°C en surface et celle mesurée à 10 km d’altitude (soit 300 hPa de pression barométrique) qui est de 0,10°C. On peut même parler de très légère baisse… La riposte des « réchauffistes » en 2008 se fonde sur une étude publiée par Steven Sherwood et son collègue Robert Allen. http://www.astrosurf.com/astrocdf67/dossier_divers/hotspot_giec_sherwood_allen_ngeo_2008_2.pdf Cette étude part de l’idée ingénieuse d’utiliser non pas les mesures directes de températures en altitude (comme l’a fait l’étude des sceptiques) mais les variations des vitesses de vents mesurées en altitude pour en déduire les températures. Une méthode indirecte donc. Le calcul des vitesses des variations de température se fait alors en utilisant les équations de vent thermal. Bien qu’ils concluent dans le sens du GIEC, les deux auteurs Allen et Sherwood rapportent dans leur article que l’incertitude est de ±0,29°C, ce qui est considérable en regard des quantités mesurées. Une incertitude de 0,29°C sur une valeur de 0,45 (période des mesures par satellites de 1979 à nos jours) ou une incertitude de 0,47°C sur une valeur de 0,65 (période globale depuis 1970) me paraissent introduire un doute certain quand aux conclusions que l’on peut tirer de l’étude d’Allen et Sherwood. Voici, pour illustrer ce point de vue, un extrait de la conclusion, dont la formulation semble un tantinet tortueuse... : « We conclude that the peak warming in the upper troposphere is highly significant for both time periods, and that our data do not seem to be consistent with a lack of upper-tropospheric warming in the tropics. The degree of warming remains fairly uncertain, but is within the range simulated by climate models, albeit with some discrepancies near the tropopause. » (« Nous concluons que le réchauffement maximum dans la haute troposphère est hautement significatif pour les deux périodes et que nos données ne semblent pas être cohérentes avec l’absence d’un réchauffement de la haute troposphère dans les tropiques. Le degré de réchauffement reste passablement incertain mais se trouve dans le domaine des simulations des modèles climatiques, cependant avec quelques divergences près de la tropopause »). Mouhais... D’ailleurs, cette affaire du hotspot tropical a rebondi en septembre 2010 avec les résultats d’une nouvelle étude qui confirme le travail précédent de Lindzen et des sceptiques. C’est une étude affinée, fondée sur les résultats satellitaires et des ballons sondes depuis 1979. Elle réfute les mesures indirectes obtenues au moyen « des vents thermiques » par les partisans du GIEC. Le titre de cette étude est le suivant : « Que nous disent les données, tirées des observations, au sujet des modèles de tendances de températures de la troposphère depuis 1979 ? » (« What Do Observational Datasets Say about Modeled Tropospheric Temperature Trends since 1979 ? », par John R. Christy, Benjamin Herman, Roger Pielke, Philip Klotzbach, Richard T. McNider, Justin J. Hnilo, Roy W. Spencer, Thomas Chase et David Douglass.) http://www.mdpi.com/2072-4292/2/9/2148/pdf En conclusion, les auteurs de cette étude trouvent que la zone du « hotspot » ne se réchauffe pas plus vite que la surface de la planète, ce qui est en contradiction flagrante avec les prévisions des modèles du GIEC. Christy et ses collègues écrivent : « Ceci suggère que l’amplification prévue par les modèles de la température de surface est exagérée et que l’atmosphère, telle qu’elle est observée, s’organise pour s’adapter au processus de réchauffement sans permettre (sur des décennies) une variation de température plus rapide que les variations qui se produisent en surface. »A chacune de se faire son opinion… [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 05-09-2013).]
  21. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF SAMEDI 07/09/2013

    Moi je sors ce soir au CDF et je ne serai pas le seul. Ce sera toujours ça de pris! Ayons une pensée pour notre barde lorrain, Rastaman, qui doit être en plein cirage après avoir été opéré ce matin à 10h 00.
  22. climatoogue vs climatoseptique

    quote:Moi aussi parce que globalement dans le fond on s'en fout. C'est agréable pour le plaisir de l'esprit de comprendre ce genre de mécanisme fin, mais ça n'apporte finalement pas grand chose au problème global, qui est une augmentation global du stockage de chaleur, de façon continue même quand ce stockage se cache sous le tapis. Ah parce que c'est forcément le RCA qui aurait produit la chaleur qui va et vient entre atmosphère et océan c'est ça? L'affaire serait entendue et les preuves apportées? Pourtant les modèles n'avaient pas prévu la pause dans les températures de surface, et de son côté la NOAA nous dit que depuis 2004 le stockage de chaleur entre 0 et 700m sous la surface des mers stagne. Cette fois c'est passé où? Il y a d'autres pistes que les océans, on y reviendra. quote: A la différence de toi, le GIEC ne fait pas de raisonnent sur 10 ans mais regarde les hausses à long terme. C'est à dire à des échelles de temps où c'est significatif. Et aussi à la différence de toi il ne se focalise pas de façon étriquée sur la courbe de température qui n'est qu'un indicateur parmi une multitude d'autres pour apprécier le stockage de chaleur à la hausse. C'est vrai que faire des projections à 50 ou 100 ans c'est très malin, car si l'on vous croit ça assure votre carrière et vos crédits, et quand les démentis arrivent vous êtes mort. Mais trêve de plaisanterie, pourquoi dire "10 ans"? Ai-je parlé de 10 ans? Contredire les autres en citant ce qu'ils n'ont pas dit et qu'on dit à leur place, c'est de la petite manip à deux sous... La pause actuelle du réchauffement dure depuis 16 ans, bientôt 17, et la pause de 1945-1977 a duré elle 32 ans! Pour la courbe des températures mesurées, on la mettait en avant auparavant, mais c'est vrai que depuis qu'elle est devenue politiquement incorrecte certains dont toi, très minoritaires, lui préfèreraient celle des courbes trafiquées en labo par Trenberth et Cie... Je doute fort que ça convainque grand monde. C'est embêtant mais tu vois les grands instituts continuent à publier les courbes des températures mesurées partout dans le monde, et c'est ça que regardent les politiques les médias et le public. Les mesures directes ça a un côté plus convaincant et on nous a tellement habitué à cela... quote:Il y a déjà eu des poses dans le réchauffement, tout le monde le sait, du coup ça n'émeut personne. La hausse moyenne sur 50 ou 100 ans, elle reste significative et elle est peu affectée par les oscillations qui ne font que bouger autour d'une moyenne et n'ont strictement aucun impact à long terme. La préoccupation du GIEC c'est de savoir dans quelle panade on sera dans 50 ans, 100 ans et après. C'est vrai que ça n'émeut personne, suffit de voir la profusion d'études pour justifier la pause actuelle des températures, la sortie en cascade d'articles de presse sur la pause dans le réchauffement, les scientifiques pro-Giec qui se répandent en rétropédalages dans les médias (j'en ai cité deux) etc. La sérénité totale, quoi...
  23. NUIT DE L'ASTRONOMIE AU CDF SAMEDI 07/09/2013

    AstroTop c'est un peu tôt quand même. Attendons vendredi matin pour décider du maintien ou de l'annulation. Ce sera annoncé ici et aussi sur le site web: http://www.astrosurf.com/astrocdf67/
  24. climatoogue vs climatoseptique

    Graphique source NOAA qui lui va jusqu'en 2013: On voit bien sur les graphiques ci-dessus les La Nina plus fréquents de 1950 à 1977, qui correspondent à la stagnation-baisse des températures de 1945 à 1977 (avec en 1977 un début d'alarmisme pour un grand refroidissement).Puis l'on voit des El Nino hyper fréquents et très puissants de 1978 à 1998, qui correspondent tout à fait à la hausse des températures de la même période qui a vu naître l'alarmisme climatique et le Giec (1988). Ensuite, à la louche à compter de 2005, les La Ninas reprennent le dessus, d'où les études actuelles pour leur attribuer la pause dans le réchauffement.Une question de fond que l'on pourrait se poser pour la période 1978-1998 serait la suivante: Quel renfort cette PDO positive de 1978-1998, avec ses puissants et fréquents El Nino, a-t-elle offert à la hausse des températures de la même période de temps qui a vu naître l'alarmisme climatique? Bref quelles furent la part respective du RCA et de la PDO dans la hausse du thermomètre à l'époque? Car après tout si on reconnaît enfin aujourd'hui que la PDO joue un rôle à la baisse, non pas seulement académiquement dans des rapports, mais en l'intégrant enfin dans les modèles, et que l'on brandit la PDO négative pour justifier la pause du réchauffement, pourquoi ne pas rendre à César ce qui lui revient et rendre à la PDO positive précédente ce qu'elle a apporté à la hausse des températures? Et pas se limiter à son rôle baissier? Voulez-vous mon impression? Je doute fort que le Giec aille jusque là... [Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 03-09-2013).]
  25. climatoogue vs climatoseptique

    JLD je ne parle pas de l'El Nino de 1998, arrête avec tes manips à deux balles. Je parle de la période où les El Nino étaient plus nombreux que les La Nina, donc de la phase PDO positive qui a précédé la phase PDO négative que nous vivons actuellement depuis environ 2005. Pour rappel, une phase PDO c'est 20 à 30 ans... Je repose ma question aux esprits honnêtes, et pas aux militants comme toi qui sont là pour faire barrage systématiquement agressivement et avec arrogance à toute info qui n'est pas pro-Giec:Quand la variabilité naturelle jouait pour le réchauffement (phase PDO +) c'était normal, on n'en parlait pas, elle n'était même pas incluse dans les modèles*, mais à présent qu'elle joue contre (phase PDO -), on l'invoque en guise d'excuse et on l'inclut dans des modèles de test pour expliquer la pause dans le réchauffement et retrouver la chaleur perdue des modèles. Trouvez-vous ça honnête intellectuellement? Oui ou non?* Cf. les déclarations de 2009 du professeur Hendrik Tennekes, ancien directeur de recherche de l’Institut de Recherche Météorologique Royal des Pays-Bas que j'ai cité plus haut sur la non prise en compte de la PDO par les modèles du Giec dans les études précédant son rapport de 2007. Et puis le fait que les deux chercheurs Shang-Ping Xie et Yu Kosaka cités dans l'article de Futura-sciences aient inclus la PDO dans les modèles CMIP5 utilisés pour le prochain rapport (le 5°) du Giec que l'on présente comme une nouveauté, ce qui est assez effarant, car la PDO on en parle depuis longtemps. Ces prises en compte tardives des variations naturelles du climat constituent des aveux de faiblesse implicites des modèles utilisés jusqu'à présent. Et la PDO ce n'est pas juste un détail... Ceci dit, la piste des océans pour expliquer la pause du réchauffement est-elle pour autant la bonne, ou la seule? On verra bien.[Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 03-09-2013).]