Strock Pierre

Je me suis fait un 250 cette année et je ne pense pas que cela eu été plus difficile de faire un 300. Mais bon, ce n'est qu'un 250.Nous étions 4 dans mon club à nous lancer dans l'aventure, quasiement sans personne pour nous conseiller.Nous avons bien étudié le Texereau, le Lecleire et aussi le bouquin des canadiens dont le nom m'échappe. Mais le livre canadien est terriblement pratique et efficace.Avec cela un petit conseil (du genre:"mais si! Il faut appuyer dessus") du gars qui nous a fournis les kits (car il y a quand même eu un blocage ou deux pendant la parabolisation) et ça c'est fait en 3 mois.Notre sentiment à tous les quatres: "il faut dédramatiser la taille et la parabolisation: ça se fait!"Et puis la communauté des amateurs est puissamment liée, tu trouveras toujours un conseil.Courage

Pour ma part, je supporte un 250 mm (F/D=5) sur 8 tiges creuses de carbone (cerf volant ou Weber) et c'est un peu juste. Il est préférable de prendre du 6 (tjs creux). Avec un contrôle au Laser, il n'y a pas un dizième de flexion. La transcription à un plus gros télescope est sans doute faisable.Voir les exemples sur le site de MAGNIUDE 78Pour les bouts de tige, un remplissage sur 3 cm avec de la colle époxy et on peut serrer les tiges à fond dans un étaux. Donc pas de pièce tournée ...Avec du tube plus gros, le remplissage avec un tube plus petit et la colle épo...Pierre [Ce message a été modifié par Strock Pierre (Édité le 07-12-2004).]

Il y a encore de l'actualité chez Astam, on peut en parler. C'est un sujet toujours chaud. Et personne ne souhaite le voir refroidir.J'ai expédié deux miroirs de 250 à l'aluminure le 27 juillet 2004 chez ASTAM. L'un est revenu il y a un mois. C'est long, mais c'est arrivé. Pour info les deux autres que nous avions envoyé fin février 2004 sont arrivés un mois plus tard. Il y a donc des choses qui marches.Au passage nous avons cru détecter un changement de sous traitant d'aluminure, rien n'est toutefois certain.Et l'autre miroir, envoyé le 27 juillet me dites vous: sic ASTAM, il a eu un problème de perte de colis par le transporteur. On sentait bien le malaise au bout du fil, ce qui est déjà remarquable pour le sujet... Mais depuis une semaine, la voix de Mr ASTAM a changé! Il semble que le transporteur a retrouvé le colis et Mr C. alias "ASTAM" semble plus confiant. J'attend toujours le colis ainsi que les 7 miroirs de 250 et de 200 que nous (les autres copains du club) lui avons commandé en novembre 2003 et qui "sure de chez sure" devaient nous être livré "Ho la la vous pensez bien" avant les vancances de juillet 2004.Donc je pense que ce monsieur n'étant pas très cher a beaucoup de commandes: rien que 4 kit et 7 miroirs pour notre club. Ce qui peut expliquer des choses ...Mais comme il ne lui faut pas plus d'une semaine (et je pense être large) pour tailler un 250 et que l'aluminure n'est qu'une affaire de colis postale, il reste des mécanismes à découvrir pour que la science explique la chose sur le sujet...Pierre

Il semble que chez les marchands peu scrupuleux ce soit sur le verre, et pour les gents sérieux sur l'onde. Pierre

Il m'a l'air très bien le miroir. C'était donc de la poussière en forme de tache ... Dans 50 nuits d'observation repose toi la question de savoir s'il n'y a pas trop de poussière. Sans doute pas avant sauf forte humidité et forte poussière. Et la poussière on peut faire attention (peinture du tube, couvercle de fermuture avant, arrière, oculaire, ...)Bonne observation

Salut, Il y a un argument majeur qui n'a pas été avancé me semble-t-il.Si en début de soirée la turbulence ne permet pas d'aligner convenablement les optiques ou si le télescope est de très gros diamètre, que se passera-t-il lors d'un trou de turbulence: 1 les optiques sont mal alignées et les images en planétaire restent médiocres. Ça ne donne pas des images plaisantes. Vous abandonnez l'astronomie!2 les optiques sont mal alignées et vous vous précipitez pour collimater. Vous passer la minute du trou de turbulence à collimater et vous observez ensuite avec de la turbulence mais des optiques alignées si vous avez eu le temps. Vous percévérez, vous vous faites plaisir en alignant les optiques, pas en observant. Vous finirez par ne plus faire d'astro-observation!3 les optiques ont été alignées au laser (sans barlow puis avec barlow) et vous profitez pleinement d'une belle image. La soirée est réussie, vous êtes contents de faire de l'astro et vous recommencerez.Donc il faut collimater au laser. On trouve des lasers à 2 Euros et du tube de plomberie pour faire un truc ad-hoc. On peut même collimater au chaud!

Bonjour, en effet il n'a pas l'air propre.Mais la photographie donne aussi l'impression qu'il est piqué (c'est-à-dire que l'aluminure est dégradé).Face à cela ce constat, je propose ceci: 1 démonter le miroir (ou à défaut le miroir dans le barillet car on peut très bien laver le miroir dans son barillet) 2 laver le miroir 3 refaire une analyse du résultat pour vérifier si c'est l'aluminure qui est attaquée. 4 si l'aluminure est attaquée, et selon l'importance des défauts, refaire l'aluminure.Pour le démontage du barrillet et du miroir, il faut se creuser la tête avec un tournevis. Ça dépend de chaque instrument. Il faut voir sur pièce.Pour le lavage du miroir, consulter les site qui parle de cela. Il y en a plein. Ça donne tous les conseils.En gros, il faut éviter tous les abrasifs y compris les traces d'abrasifs (CIF, poussière, lessive ...). Une bassine très propre et rincée-lavée plusieurs fois au produit vaisselle, un bidon de 5 litres d'eau déminéralisée, des mouchoirs en papier (pure ouate de cellulose impérativement) (attention les papiers essuis-tout type Sopalin sont plein d'abrasif) et un peu de liquide vaisselle (le mieux étant le TEEPOL des années 50 mais tout les produits vaisselles sont fait pour ne rien laisser à la surface des verres (sinon cela fait des traces) et donc ça marche). Se laver les mains avec de la lessive (oui ça attaque mais ça fait la peau douce) puis se les laver avec le produit vaisselle (car il y a des poudres abrasives (coquilles d'oeuf et d'huitre) dans les lessives de super marché).Plonger le miroir dans deux litres d'eau additionnée de cinq gouttes de savon liquide. Laisser tremper pour ramolir tout les dépots. Ensuite il y a deux écoles: ceux qui frottent du bout des doigts sous l'eau et ceux qui passent le mouchoir sous l'eau. Tout cela sans appuyer du tout du tout et une seule fois. En fait le mieux est de faire circuler l'eau pour enlever les pourssières abrasives. Et si ce n'est pas assez propre refaire le lavage avec une nouvelle eau. Puis sortir le miroir de l'eau et faire glisser l'eau dessus avec un mouchoir humide sans presser. Mettre le miroir sur la tranche et faire couler un peu d'eau dessus. Pousser les gouttes avec la pointe d'un mouchoir hunide.Si il y a des traces d'eau qui sèche, ça ne gène pas. Il suffit de voir la taille des crochets qui tiennent ton miroir pour comprendre qu'il peut y avoir rester des traces d'une certaine surface.Enfin: attendre d'autres avis que le miens et procéder avec la plus grande prudence.Cordialement

Bonjour, Déjà pour libérer le coffre et la banquette arrière, il y a la solution de se faire un télescope vraiement compacte une fois rangé.Les plans du Strock-250 sont sur le site du club MAGNITUDE 78 : www.astroclub.net/mars/magnitude78/TelStrock/... Ce ne sont pas encore les plans définitifs. Nous devons encore mettre les cotes et corriger les fautes diverses. Mais c'est un début et une idée pour trouver de la place.Après, il reste à touver le reste ...Pierre STROCK

Bonjour,Si vous êtes bricoleur, il y a la solution de se construire un télescope de 250 mm qui se loge dans un sac à dos. On est certain de trouver de la place dans le coffre de sa voiture et de pouvoir le transporter partout.Voir les plans du Strock-250 sont sur le site du club MAGNITUDE 78 : www.astroclub.net/mars/magnitude78/TelStrock/... Ce ne sont pas encore les plans définitifs. Nous devons encore mettre les cotes et corriger les fautes diverses. Mais c'est un début et c'est une idée à creuser.Pierre STROCK

Bonjour,J'ai eu l'occasion d'aller voir le ciel de l'hémisphère sud. Je n'avais qu'une paire de jumelle et un ETX 90. J'ai regretté de ne pas avoir mieux. Je me suis donc lancé dans la conception d'un télescope en bagage cabine.J'ai pu en faire un de 250 mm de diamètre. Ça marche bien mieux qu'un ETX ...Les plans pas tout à fait définitif (les corrections et finitions sont en cours) sont sur le site de MAGNITUDE 78: www.astroclub.net/mars/magnitude78/TelStrock/... Pierre STROCK

Bonjour, les plans du Strock-250 sont sur le site du club MAGNITUDE 78 : www.astroclub.net/mars/magnitude78/TelStrock/... Ce ne sont pas encore les plans définitifs. Nous devons encore mettre les cotes et corriger les fautes diverses. Mais c'est un début.Pierre STROCK

Bonne question, que nous nous sommes déjà posée au club. Nous avons fait le test au Laser.Réponse: Avec les tubes carbone de 4 mm, il faut la jupe! Sans elle, il y a une légère flexion; avec, ça ne bouge pas! N.B. La jupe est serrée pour éviter les vibrations de la toile lorsqu'il y a un peu de vent. c'est sans doute ce léger serrage qui empêche le poil de flexion constaté) Et comme les copains ont retenu des tiges de 6, il n'ont aucune flexion avec ou sans jupe.Cordialement, Pierre STROCK

Le barillet et une des pièces maîtresses des Strock250.Sauf à fignoler la collimation au Laser (avec Barlow bien sûre), on ne peut raisonnablement bien collimater qu’en restant à l’oculaire. Mais si les vis de collimation sont sous le miroir, c’est impossible seul. Il faut donc reporter les réglages à portée de mains lorsque l’on est assis à l’oculaire. Et plus les images sont belles, plus le télescope est confortable d’utilisation et plus on pratique sa passion.Avec les miroirs minces de type Strock 250 (27 à 30 mm d’épaisseur) on est à la limite des supports à trois points (à 40% du rayon bien sûre). Il est préférable de mettre neufs points. On peut faire à 31,8% et 77,1% du rayon sur des angles de 30° pour avoir neuf points au barycentre de 9 surfaces égales. On peut faire un peu mieux mais c’est un autre débat.Les trois triangles sont en aluminium de 1,5 à 2 mm d’épaisseur. Chaque triangle est posé sur une bille de roulement de 4 à 6 mm de diamètre. En pressant les billes sur les bords d’un trou de 2 à 3 mm de diamètre au centre des triangles, cela fait un merveilleux pallier sphérique très doux pour les mouvements du miroir.Premier truc : Il n’y a pas besoin de 3 points réglables. Il y a une bille fixe car deux billes réglables suffisent amplement. La position de ces deux billes sous le miroir permet d’avoir deux basculements du miroir quasi orthogonaux.Deuxième truc : Les billes réglables sont posées sur des leviers constitués d’un carré d’aluminium de 8x8 en 2 mm d’épaisseur. Ça ne fléchit pas du tout ! Une des extrémités du levier pivote sur un axe (approximativement aligné à la hauteur de la troisième bille). L’autre extrémité est montée sur une vis pour permettre le mouvement de billes sur plus ou moins 2 mm environ.Troisième truc : La tête de vis est hexagonale creuse. Elle est tournée vers le haut. Deux tiges de 30 cm, terminées par un bout de clef hexagonale permettent de manœuvrer la vis du bout de la main. Il n’y a plus qu’a ménager un petit guide pour que les tiges restent en place dans les têtes de vis.Quatrième truc : Les butées latérales du miroir sont à 90°. Car il n’y a aucune raison que ce soit le bon angle pour supporter le miroir au Foucaultage et qu’il faille se mettre à 120° dans les télescopes. Na !Cordialement, Pierre STROCK

J’avais fait le chercheur sur la barrette de filtre de la façon suivante :À la place d’un filtre, j’ai fixé un prisme récupéré sur une paire de jumelle. C’est comme cela qu’étaient faits les renvois coudés des lunettes Galaxies en 1975. Il faut juste du carton noir sur la face diagonale pour que cela marche très bien.Au-dessus j’ai placé le doublet d’un chercheur minable bien connu des possesseurs d’ETX. Il est clair qu’un meilleur doublet eu été bienvenu. Celui-là était même diaphragmé d’origine !Le tout donne une image nette au même foyer que le télescope. C’est assez important. Il faut choisir la focale du doublet et sa distance au prisme en fonction du porte oculaire et du plan foyer. Curieusement il faut toujours refaire un poil la mise au point, mais pas dans le même sens avec tous les oculaires. Je n’ai pas compris ce petit désagrément, mais je n’ai pas beaucoup cherché. À l’usage, il faut noter les points suivants :- L’image n’est pas dans le même sens que dans l’oculaire. C’est un peu déroutant.- Il faut un doublet sérieux. Que l’on cherche un objet faible à faible grossissement ou que l’on perde un objet à fort grossissement, l’image n’est pas très lumineuse, un bon doublet s’impose. Et dans ce cas il prend de la place.- Que le chercheur fasse de l’ombre dans l’image n’est pas important, mais lorsqu’il est poussé sur un coté il ne doit plus en faire, il faut donc qu’il y ait assez de place ! Par exemple dans mon modèle 250, c’est trop ajusté.- Il n’y a pas de réticule dans les oculaires. On ne peut que se fier à la faculté de l’œil d’apprécier la symétrie de l’image. Il faut donc un moyen de réglage du chercheur pour parfaitement centrer l’image (une fois la collimation faite) et il faut s’habituer à chercher sans réticule. Ça se fait, mais je ne suis pas certains qu’il ne faille pas quelques aptitudes visuelles.Enfin on peut rêver un peu.- Par exemple le doublet peut être placé sur une charnière dans la cage secondaire. Il n’y a que le prisme (qui est assez petit pour toutes les barrettes) qui peut faire de l’ombre. C’est un moyen de gagner de la place et d’augmenter la distance du doublet au foyer du télescope.- J’ai aussi essayé de mettre un deuxième prisme derrière le premier sans mettre de papier noir. On se retrouve alors avec deux images superposées : Celle du chercheur et celle du télescope. C’est très curieux et déroutant surtout parce que les images ne bougent pas dans le même sens, mais le cerveau (le mien a peut-être des facultés visuelles …) arrive à travailler avec l’image du chercheur seul. Et lorsque l’objet passe dans le champ, top ! C’est trouvé. Ça aide à ne pas avoir de réticule, mais il ne faut pas être fatigué, c’est un effort.Cordialement, Pierre STROCK

Le chercheur: Une question et quatre réponses.Au club, un collègue apprécie les "points rouges" et autres Telrad. Il en a mis un. Ça lui va. C'est donc une bonne réponse.Un autre a acheté un laser vert par Internet au Canada je pense. Ça marche super et en plus c'est un outil de pédagogie étonnant. C'est une deuxième réponse.Personnellement je n'ai pas une super vue et les "points rouges" ne me vont pas. Je vais donc installer un chercheur type 8x40 ou 6x30 et sans doute essayer le laser. (pour l'instant je parabolise, alors les finitions attendent ...). Troisième réponse.Sur le proto de 200, j'avais mis un prisme et un petit doublet directement sur la barette de filtre. Quand on perd Jupiter à fort grossissement, on tire la barette et cela donne une image à plus faible grossissement. On centre Jupiter et ça repart. Il n'y a pas à bouger la tête d'un poil et pas à changer d'oculaire. C'est très confortable. C'est super au premier abord. Mais j'avais de la place dans le tube pour que le chercheur ne fasse pas d'ombre, ce n'est pas faisable dans le 250. Et il n'y a pas de réticule, c'est donc tout de même un peu délicat. C'est une quatrième solution.Cordialement, Pierre STROCK

Tout d’abord le nom du télescope est tiré de mon nom de famille. C’est surtout le nom que mes amis du club ont souhaité donner à ce télescope : Ils considèrent qu’il est plein d’idées astucieuses et ils craignent que la paternité ne m’échappe. C’est très flatteur et je les remercie de m’avoir ainsi honoré. Le temps et l’usage diront si ce nom est pérenne.Pour ce qui est de la difficulté de construction du télescope Strock250, il faut indiquer plusieurs points :1 – Il y a plus de 600 pièces en comptant la moindre rondelle et chaque bout de tissus, et bien sûre en incluant tous les accessoires : chaque carte du ciel, lampe et piles, crayons et carnet, siège et sac, etc. Cela fait beaucoup car il y a bien des pièces à acheter, fabriquer, modifier, ajuster, peindre : Il faut donc de la patience. Mais les plus bricoleurs du club ont réussi à tout finir en deux mois, les autres n’ont pas tout à fait terminé. Je pronostique qu’il leurs faudra environ une année.2 – Toutes les pièces se trouvent dans les grandes surfaces de bricolage, c’est essentiellement du contre plaqué de 5 et de 8, des clous, de la colle et de la peinture. Sauf les tiges carbones (facile à travailler car elle se compose essentiellement d’époxy avec un peu de fibre) et la toile trouvable chez les marchands de cerf-volants ou Weber à Paris, les vis un peu exotiques achetées par correspondances chez Radiospares et Conrad ou chez certains marchands de modélisme, le porte oculaire qui est à faire réaliser par un mécanicien. Je n’ai d’ailleurs pas de budget à indiquer car je me suis tout procuré au fur et à mesure de l’avancement sans tenir de compte précis.3 - Il n’y a pas besoin d’outils introuvables : la scie sauteuse, la ponceuse à bande, la perceuse (sur colonne de préférence) sont très couramment présents dans toutes les boîtes à outils.4 – Au sein du club, nous avançons en commun dans les travaux. Il est certain que cela aide les moins confiants et les moins habitués au travail manuel. Il y en a beaucoup ! Tout ne sera pas expliqué dans les plans. Il faut parfois se creuser la tête et décider de la manière de fabriquer selon ses propres outils et ses propres aptitudes.5 – Enfin la recherche de la compacité oblige bien des pièces ont remplir deux usages parfois difficiles à concilier. L’optimisation du rangement et l’intégration des accessoires, tout en restant stricte sur les performances, pousse à finasser de nombreux détails. Bref une modification oblige à tout repenser de A à Z. Ceux du club qui se sont limités à un miroir de 200 mm ont d’ailleurs gardé les plans du 250. Et je ne réfléchirai pas une deuxième fois sur cette optimisation un peu difficile pour réussir à tout équilibrer sans le moindre contrepoids superflu.J’espère avoir répondu aux premières questions. Il y a encore bien des choses à dire mais ce qui est certain et affirmable haut et fort : Ça ce fait, nous sommes déjà 14 à le faire !Pierre

Bonjour, Merci d'être tolérant: c'est ma première utilisation d'un forum! Je suis le concepteur du Strock250. Au club Magntude 78 nous sommes en train d'en faire 14 dont 3 terminés. Les plans sont sur papier et nous les passons sur informatique. Ils seront, je l'espère, disponible dans l'été sur notre site avec des photos de diverses réalisations. (voir adresse dans les précédents messages). Amicalement