astrocomets

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Tout ce qui a été posté par astrocomets

  1. Champs de pleine lumière Obsession 20"

    Bonsoir Jean Noel,I = [acos A–x racine²(1-A²)+r²acos B]/p soit 0,636 d'où une perte de Magnitude de 0,494. (M = 2.5 log(1/I)) Ayant rédigé sur Excel le formulaire de Jeff Beish et en ayant vérifié le bon fonctionnement sur son exemple numérique (télescope de 6" ouvert à F/D = 4) et sur le même avec les pouces convertis en mm, je l'ai testé sur ton exemple et trouve les mêmes résultats jusque B radians.Mais à la valeur de I je trouve (sauf erreur) 0,462, ce qui donne une perte de magnitude bien plus gênante (et bien plus proche de la réalité) de 0,84 mag.79 mm, c'est bien trop petit car cela te donne, dans ta configuration, un champ de pleine lumière de 10',108mm, c'est beaucoup mieux : 55'.
  2. Salut Sylvain05,Si t exerces dans le 05, il te suffira d'aller à cette adresse : http://www.astrosurf.com/saf/news/RAC2008/renseignements_valdrome.html pour te rendre compte de ce qui se prépare dans le département n°26 tout près de la frontière avec le 05.Pour al : 1) T'y reverras t-on cette année ? 2) Le principal verrou du projet de village astro venant de sauter (le Conseil Municipal du petit village gaulois de Valdrôme) les choses devraient maintenant aller très vite pour l'obtention des dernières autorisations laissant supposer une réalisation probable des travaux sur 2009-2010.
  3. Marre de voir dénigrer le ciel profond...

    Salut Sky Runner,Quel que soit le type d'observation visuelle, l'"à peu près" en optique astro est toujours préjudiciable mais il faut quand même reconnaître que l'observation des objets du ciel profond est plus tolérante que le planétaire dès qu'on observe des objets faibles et ce pour des raisons uniquement "oculaires".En planétaire, on observe en vision diurne, donc sur la rétine fovéale où chaque cône (rouge et vert) et connecté individuellement et contribue à la formation d'un "point image", d'où perception d'un maximum de détails à condition de grossir de sorte à amener la pupille de sortie à 0,6mm environ (condition d'Arnulf).En ciel profond, on observe en vision nocturne et bien souvent en vision latérale. c'est alors la rétine périphérique qui est concernée ; une rétine composée de bâtonnets et de cônes bleus, très sensible aux faibles lumières mais beaucoup moins du point de vue de la résolution spatiale car le "cablage" se fait par grappes d'environ 50 cellules pour une terminaison nerveuse en mesure de restituer un "point image".Inutile dans ces conditions de chercher la haute résolution sauf sur les objets assez lumineux à l'oculaire pour exciter un tant soit peu le système de vision diurne, ce qui est précisément le cas quand on observe le Trapèze d'Orion. Dans cette situation, effectivement, la qualité de l'optique fait la différence aussi en ciel profond.Une chose est certaine en ciel profond, ce n'est jamais le grossissement équipupillaire qui en montre le plus, y compris sur des objets étendus et, même si cela n'a rien d'absolu, plus un objet est petit et brillant par élément de surface sur le ciel et plus il révelera sa richesse au grossissement.Bien sûr, plus le diamètre optique augmente et plus, à grossissement égal, un objet sera brillant à travers l'oculaire et plus il sera à même de supporter l'augmentation du grossissement ... à condition que le ciel et l'instrument le permettent.
  4. Marre de voir dénigrer le ciel profond...

    Salut Sky Runner,Quel que soit le type d'observation visuelle, l'"à peu près" en optique astro est toujours préjudiciable mais il faut quand même reconnaître que l'observation des objets du ciel profond est plus tolérante que le planétaire dès qu'on observe des objets faibles et ce pour des raisons uniquement "oculaires".En planétaire, on observe en vision diurne, donc sur la rétine fovéale où chaque cône (rouge et vert) et connecté individuellement et contribue à la formation d'un "point image", d'où perception d'un maximum de détails à condition de grossir de sorte à amener la pupille de sortie à 0,6mm environ (condition d'Arnulf).En ciel profond, on observe en vision nocturne et bien souvent en vision latérale. c'est alors la rétine périphérique qui est concernée ; une rétine composée de bâtonnets et de cônes bleus, très sensible aux faibles lumières mais beaucoup moins du point de vue de la résolution spatiale car le "cablage" se fait par grappes d'environ 50 cellules pour une terminaison nerveuse en mesure de restituer un "point image".Inutile dans ces conditions de chercher la haute résolution sauf sur les objets assez lumineux à l'oculaire pour exciter un tant soit peu le système de vision diurne, ce qui est précisément le cas quand on observe le Trapèze d'Orion. Dans cette situation, effectivement, la qualité de l'optique fait la différence aussi en ciel profond.Une chose est certaine en ciel profond, ce n'est jamais le grossissement équipupillaire qui en montre le plus, y compris sur des objets étendus et, même si cela n'a rien d'absolu, plus un objet est petit et brillant par élément de surface sur le ciel et plus il révelera sa richesse au grossissement.Bien sûr, plus le diamètre optique augmente et plus, à grossissement égal, un objet sera brillant à travers l'oculaire et plus il sera à même de supporter l'augmentation du grossissement ... à condition que le ciel et l'instrument le permettent.
  5. Marre de voir dénigrer le ciel profond...

    Salut Sky Runner,Quel que soit le type d'observation visuelle, l'"à peu près" en optique astro est toujours préjudiciable mais il faut quand même reconnaître que l'observation des objets du ciel profond est plus tolérante que le planétaire dès qu'on observe des objets faibles et ce pour des raisons uniquement "oculaires".En planétaire, on observe en vision diurne, donc sur la rétine fovéale où chaque cône (rouge et vert) et connecté individuellement et contribue à la formation d'un "point image", d'où perception d'un maximum de détails à condition de grossir de sorte à amener la pupille de sortie à 0,6mm environ (condition d'Arnulf).En ciel profond, on observe en vision nocturne et bien souvent en vision latérale. c'est alors la rétine périphérique qui est concernée ; une rétine composée de bâtonnets et de cônes bleus, très sensible aux faibles lumières mais beaucoup moins du point de vue de la résolution spatiale car le "cablage" se fait par grappes d'environ 50 cellules pour une terminaison nerveuse en mesure de restituer un "point image".Inutile dans ces conditions de chercher la haute résolution sauf sur les objets assez lumineux à l'oculaire pour exciter un tant soit peu le système de vision diurne, ce qui est précisément le cas quand on observe le Trapèze d'Orion. Dans cette situation, effectivement, la qualité de l'optique fait la différence aussi en ciel profond.Une chose est certaine en ciel profond, ce n'est jamais le grossissement équipupillaire qui en montre le plus, y compris sur des objets étendus et, même si cela n'a rien d'absolu, plus un objet est petit et brillant par élément de surface sur le ciel et plus il révelera sa richesse au grossissement.Bien sûr, plus le diamètre optique augmente et plus, à grossissement égal, un objet sera brillant à travers l'oculaire et plus il sera à même de supporter l'augmentation du grossissement ... à condition que le ciel et l'instrument le permettent.
  6. revue "l'astronomie"

    Salut Elian 30,De la part du comité de rédaction de "l'Astronomie" j'adresse des remerciements à ton épouse pour avoir monopolisé votre télévision, te permettant cette soirée lecture et des remerciements à toi aussi pour une nouvelle fois nous faire part de ton impression sur cette parution. Si, en plus de la lire, tu souhaites y apporter une contribution, tout comme les autres intervenants de ce post tu es (vous êtes) le(s) bienvenu(s).Philippe Morel.
  7. revue "l'astronomie"

    Salut Frédo,On ne peut fondre ces listes pour deux raisons :1) il y a des sociétaires non abonnés, 2) si nous proposions un abonnement-cotisation, personne ne pourrait bénéficier de la déduction d'impôt sur la cotisation (66,6% de son montant déductible du montant de l'imposition).Actuellement la liste des abonnés est jointe, à l'expédition aux 5000 ex pour les NMPP et ces derniers arrivent beaucoup plus vite à destination que les premiers, de sorte que notre but désormais est de gagner une semaine sur la date de fin de fabrication pourenvoyer de suite aux abonnés et une semaine plus tard aux NMPP. Ainsi, tout le monde pourra la lire à peu près en^même temps.Philippe Morel.[Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 27-03-2008).]
  8. revue "l'astronomie"

    Bonjour Whiston,Ce décalage dans le temps nous dérange aussi car, accessoirement, nous sommes aussi abonnés à la revue. Pour le résoudre, il nous faut avancer de 7 jours la date du bouclage et s'engager à le faire pour chaque parution. notre Comité de rédaction y travaille et mettra cette solution en oeuvre dès que possible mais pas au détriment de la qualité de la revue.Ce décalage est en fait la conséquence des hautes performances de la poste (qui distribue chez les abonnés) vis à vis de ce que permettent les NMPP car, de l'Imprimerie de Champagne à Langres où est imprimée la revue, tout part en même temps par ces deux réseaux et visiblement l'un d'eux est bien plus performant que l'autre sur le délai de livraison.Philippe Morel.[Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 26-03-2008).]
  9. revue "l'astronomie"

    Salut Keter,Ton marchand de journaux peut le demander aux Nouvelles Messageries de la Presse Parisienne (il connaît forcément) et si cela coince, le mieux est que tu contactes directement la Société Astronomique de France au 01 42 24 13 74 saf.secretariat at wanadoo point fr, coordonnées où tu trouveras tous les renseignements utiles pour commander un exemplaire ou t'abonner si tu le souhaites.Il n'y a pour l'instant que 2300 exemplaires pour les abonnés + le stock pour achat d'anciennes parutions et 5000 dans les kiosques, ce qui explique qu'on ne la trouve pas encore partout.Philippe Morel.[Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 25-03-2008).]
  10. Ciel & espace nouvelle formule !

    Re salut Stéphane, salut Frédo,Pas tout à fait d'accord avec vos analyses car l'actuel public de "l'Astronomie" c'est, en astro, le lecteur de "Pour la Science" alors que le lecteur de C&E serait plus celui de "Sciences et Vie". Notre spécificité actuelle c'est les articles de fond rédigés le plus souvent par les acteurs de la recherche eux même, même si bien souvent ils sont réécris totalement ou en partie pour permettre à la pilule de passer auprès du plus grand lectorat possible, les articles historiques, et la préparation des phénomènes à venir avec autre chose que ce qu'offrent les logiciels. ce n'est aucun des créneaux des trois autres revues. Les autres rubriques sont en cours de développement - les astro tests en particulier où notre règle est de ne dépendre d'aucun revendeur ; les matériels testés étant propriété de nos membres. Ils seront sous peu complétés d'une appréciation sur banc.Comme le soulignait Jean Luc, c'est le marasme dans le monde de l'édition des périodiques et nous le savons bien mais en même temps l'activité d'édition de livres au format papier ne s'est jamais aussi bien portée alors qu'on augurait de sa fin il y a peu encore à l'heure du pdf. Il y a donc là un public à viser avec des arguments accessoirement liés au contenu mais plus à une certaine forme de présentation et il serait de plus fort étonnant que l'Année Mondiale de l'Astronomie 2009 voit la faillite du lectorat de nos revues respectives. Philippe Morel.
  11. Ciel & espace nouvelle formule !

    Salut Stéphane,Curieux...cela me rappelle quelques années en arrière...Mauroy...Bordat...changement de ligne éditoriale, c'était quand déjà, ah oui! 1981.Je me suis fait exactement la même réflexion que toi et leur réaction a été exactement la même que celle de nos célèbres que tu cites en 1981-1984. Hélas, n'étant pas plus à vendre maintenant que je ne l'étais à cette époque, je les ai envoyés sur les roses.Cela ne retire rien à toute l'amitié que j'ai depuis de longues années (voire décennies) avec plusieurs des rédacteurs de S&T même si tous sont salariés ou pigistes, preuve, pour Serge et Jean Luc que ce critère est pour moi tout à fait insignifiant dès lors qu'il y a originalité dans le travail présenté, ce que je ne retrouve pas chez tous les rédacteurs de C&E. Ces rédacteurs de S&T reconnaissent être les premières victimes de cette enfermement de leur direction. J'espère pour eux que cette politique sera payante mais j'ai de gros doutes.Quant à nous, nous poursuivons avec nos moyens de débutants dans le monde de l'édition à plus large diffusion sans renier nos valeurs et nos origines associatives. Comme le signalait Serge, cela amène parfois à quelques maladresses que nous sommes les premiers à reconnaître mais l'essentiel n'est pas là dès lors qu'il y a un public de plus en plus nombreux pour adhérer à ce concept ... en espérant que ce public ne se déplace pas trop d'une revue vers une autre car le but recherché n'est pas de faire du tort à qui que ce soit mais d'attirer encore plus de monde vers ce qui nous passionne tous en faisant abstraction de toute querelle de clocher plus de 25 ans après les tristes évennements que tu cites et qui nous ont marqués tous les deux.Amicalement.Philippe Morel.[Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 25-03-2008).]
  12. Ciel & espace nouvelle formule !

    Bonjour serge, bonjour Jean Luc,Effectivement comme Serge, je ne comprends pas cette stigmatisation des journalistes.Nous ne l'avons pas comprise non plus mais ne vient elle pas d'un certain éditorial de C&E ?Peu importe qu'un rédacteur soit ou non rémunéré pour ses écrits s'il est aussi acteur dans son domaine, ce que vous êtes tous les deux et si les lecteurs y trouvent leur compte. Personne ne vous assimile à des journalistes compilateurs mettant en forme des infos avec peu de discernement car vous produisez un travail original comme le font tous les passionnés dont vous faites partie. Tous les journalistes n'ont pas ce souci et c'est après ceux là que nous en avons.Quand une pointure de l'astronomie rédige pour "l'Astronomie" elle le fait bénévolement même si ce temps de rédaction est "rémunéré" sur la part de temps répondant à la mission de service public des chercheurs vis à vis de la diffusion des connaissances.Toutes les revues d'astronomie en France ont un créneau spécifique et le lectorat est en pleine expansion, de sorte qu'elles ont toutes le moyen de progresser sans s'agresser.Quand de récents éditoriaux mettent directement en cause un travail largement rendu possible par la générosité d'un groupe de personnes, vous comprendrez dès lors que quelques réactions se fassent jour, même si ces derniers nous ont amené bon nombre de lecteurs.Philippe Morel
  13. revue "l'astronomie"

    Bonsoir Jackbauer2,Merci pour ces appréciations sur notre revue qui, cette fois ci encore a su, comme elle le fait depuis des décennies, se passer des services d'une certaine revue américaine sans que son contenu n'ait à en souffrir.Et oui, Jean Pierre Bibring et les autres sont aussi de fidèles rédacteurs bénévoles que l'ensemble de la communauté des passionnés se doit de remercier.Philippe Morel.
  14. Ciel & espace nouvelle formule !

    Salut Serge,Puisque les "coulisses de l'exploit" t'intéressent, voilà la suite :Ayant été aux premières loges pour avoir moi même été contacté par Tim Clarke, le VRP de la société démarchant pour S&T, à propos d'une éventuelle association S&T-l'Astronomie, je peux te dire qu'en faisant l'intéressé, ce dernier m'a tout laché des tenants et aboutissants d'une telle proposition dont j'ai eu tous les détails. Voici la suite. Le simple achat d'articles les fournit dans leur version américaine à l'acheteur qui, en plus, doit les faire traduire à ses frais, donc, coût supplémentaire. Bien sur, l'acheteur n'a pas accès à la parution en cours pour proposer du traduit en simultané de parution avec la version américaine. Ce qui est proposé, c'est du réchauffé ou des articles sans intérêt comme celui dont Jackbauer2 fait état et qui m'avait bien fait rire lors de son passage dans S&T il y a quelques mois. On choisit alors les aricles "achetables" dans une sélection opérée pas S&T.La licence (utilisation du quasi ensemble et de l'image) était proposée hors négociation à 7,5% du chiffre d'affaire de chaque parution avec un minimum de 3000USD par parution. Une seule revue par zone géographique peut l'obtenir, donnant au plumé n°1, s'ils le trouvent, au cas où ce ne serait pas C&E, le privilège d'offrir s'il le souhaite une version copiée quasi intégralement dans sa langue de cette célèbre revue qui n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était il y a encore 10 ans.Heureusement que face à ces professionnels de la plume existent des revues où écrivent eux mêmes les plus grandes pointures de chacune des multiples facettes de l'astronomie et qu'en France deux d'entre elles résistent à la tentation consistant à rémunérer leurs auteurs, ce qui leur garantit d'avoir affaire à des auteurs dont le but principal est le partage des connaissances et des expériences.Quant à la définition de "journaliste" elle n'exige formellement aucune formation comme c'est le cas de bon nombre de professions tels les médecins ou avocats. ce titre est uniquement lié au caractère rémunéré de l'activité même si de plus en plus de rédactions sérieuses exigent un minimum. Une revue rédigée par des bénévoles ne peut donc avoir de "journalistes" et encore moins voir délivrer des cartes de presse à ses contributeurs.Philippe Morel.
  15. Ciel & espace nouvelle formule !

    Salut Fredo,Bien sur qu'il ne parleront jamais d'autre chose que de partenariat, pas plus que nous ne l'aurions fait dans leur situation car annoncer qu'on achète des articles peut êttre interprété par le lecteur par "ils doivent aller chercher ailleurs ce que leur équipe de rédaction ne peut leur fournir" alors que la notion de partenariat sera le plus souvent regardée par le même lecteur par "en plus de leur contenu habituel, ils nous offrent une diversité supplémentaire.".S&T est devenue une revue presque dédiés aux journalistes chers à Alain Cirou et la place des amateurs, surtout extra américains y est plus que réduite. Résultat : pour les habitués des contributions occasionnelles pour cette revue que nous étions, nous allons voir ailleurs et cette revue connaîtra tôt ou tard le problème d'un allègement de son contenu éditorial, comme d'ailleurs toutes les revues qui à un moment ou un autre ont tourné le dos aux non professionnels de la rédaction. Elle ne pourra alors plus vendre à ses "partenaires" un contenu éditorial qui lui fera défaut, entrainant dans sa chute toutes les revues clientes utilisant largement les services payants S&T.Philippe Morel. [Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 23-03-2008).]
  16. Ciel & espace nouvelle formule !

    Bonjour à tousIl s'agit d'un "partenariat" sous forme d'un simple achat d'articles et de fond iconographique. Toutes les revues astro françaises ont ete demarchees y compris la notre ("l'Astronomie" qui est en kiosque depuis janvier 2008) par une societe prestataire de S&T.S&T connait de gros problemes du fait d'une fuite progressive de ses annonceurs et a ete oblige de revoir ses prestations a la baisse. En compensation, elle vend son contenu editorial et iconographique suivant deux modalites : achat pur et simple d'articles ou licence autorisant le client a utiliser l'image et le nom de S&T. Tout cela est tres onereux et c'est la raison pour laquelle nous n'avons pas donne suite, considerant que ce n'est pas au lecteur europeen d'une revue française de payer pour une revue americaine de moins en moins ouverte aux travaux venus d'ailleurs.C&E n'est pas la seule revue en Europe a etre devenue "partenaire" de S&T. "Astronomie Heute" en Allemagne en est un autre exemple qui est devenu une copie presque conforme de la maquette du S&T americain mais en allemand.L'accord est bien sur unilateral : ce "partenariat" payant n'instaure aucune passerelle privilegiee pour permettre a des amateurs français de rediger dans S&T meme benevolement comme nous le faisions par le passe.Malgre toute l'estime que nous pouvons avoir pour nos amis amateurs et professionnels americains, il nous a semble qu'il y avait assez de ressource editoriale en Europe pour ne pas avoir besoin d'une bequille venue d'Outre Atlantique cherement payee. Visiblement, tout le monde n'a pas cet avis.Philippe Morel. [Ce message a été modifié par astrocomets (Édité le 23-03-2008).]
  17. revue "l'astronomie"

    Bonjour Roger,>Il faut qu'il reste toujours des numéros que la Société Astronomique de France peut récupérer. C'est même essentiel pour ceux qui, comme moi, s'intéressent à l'histoire de l'astronomie. Il en reste une centaine par parution mais compléter l'ensemble de la parution depuis 1887 est aujourd'hui impossible en commandant à la SAF pour la simple raison que l'année 1887 (éditée en 1888) n'a été tirée qu'en 200 exemplaires. Il y en a 3 collections complètes consultables à la SAF et dans les bibliothèques d'amateurs d'astro en France il ne doit guère y en avoir plus ; le reste se trouvant dans les observatoires du monde entier (moins celle qui a brûlé au Mont Stromlo il y a quelques années).>La revue l'Astronomie fondée par Camille Flammarion possède un atout incroyable sur toutes les autres revues astronomiques françaises vendues en kiosque : sa très grande antériorité !… Elle reste incontournable pour qui désire comment le monde astronomie a connu tel ou tel événement à la fin du 19ème siècle ou au 20ème siècle.>Heureusement que tous les membres de la Société Astronomique de France ne s'assoient pas, eux, sur l'histoire de l'astronomie !…Rares sont nos membres à être indifférents à l'histoire de l'astronomie et notre Commission couvrant ce thème est l'une des plus active, aidée par des astronomes français de réputation mondiale et par l'inestimable richesse du Fonds Flammarion complété des archives de 122 ans de parution (1887-2008 + 1882-1894 ... 1867-1880 avec les Etudes et lectures sur l'astronomie ; ancètre des deux revues suivantes).> Et puis, miracle, à partir de janvier 1911 le Bulletin de la Société Astronomique de France a à son tour disparu, remplacé par l'Astronomie avec son ancien logo (en fait à l'époque on disait "vignette"), mais en conservant bizarrement la numérotation du nombre de volumes annuels du Bulletin de la Société Astronomique de France. Le Bulletin de la Société Astronomique de France ne disparait pas en 1911 et sous la vignette de Blanadet reprenant le titre de l'ancienne revue "l'Astronomie" figure le sous titre "Bulletin de la Société Astronomique de France". L'actuelle revue ne mentionne plus ce sous titre depuis janvier 1950 tout en restant le Bulletin de la SAF pour les adhérents.> Pour en revenir à l'origine de la revue l'Astronomie, elle est très peu connue, je pense même qu'au Conseil d'Administration de la SAF, quasiment personne ne la connaît… Voici donc son histoire.Cette histoire n'est fort heureusement un secret pour personne à notre actuel Conseil d'Administration tant les occasions ont été nombreuses de la livrer lors des longues discussions qui ont précédé la décision du passage en kiosque de la revue. Nous la livrons aussi au public lors des portes ouvertes à Juvisy. La 122ème année de "l'Astronomie" correspond en fait à la 122ème année du Bulletin de la SAF. En réalité, le titre "l'Astronomie" a 110 ans (1882 à 1894 + 1911 jusqu'à ce jour).En plus des textes, les deux revues "l'Astronomie" étaient riches en publicités de toute sorte jusqu'en 1939, du "Verascope Richard" au "Vin Mariani" tout était bon pour apporter de l'eau au moulin de ce bulletin de société savante, ce qui n'enlevait rien au sérieux et à la qualité de la publication.Cet ensemble constitue une mine inépuisable d'articles dont bon nombre pourrait être réédité avec le même intérêt, à commencer par le "Catalogue de Messier" décrit par Camille Flammarion et Ferdinand Quénisset en 44 articles parus de 1917 à 1924, en continuant par le supplément de Robert Esnault Pelterie de mars 1928 sur la possibilité des voyages interplanétaires entre autres choses.Philippe Morel.
  18. revue "l'astronomie"

    La diffusion en kiosque est un gachis des mieux organisés qui soit et les meilleures ventes excèdent rarement 25 à 30% de l'ensemble du tirage. Le reste va au pilon et on ne peut même pas récupérer des exemplaire pour les donner à titre promotionnel. Tout le jeu est de faire le meilleur pourcentage avec le plus fort tirage possible avec, bien sûr, un pilonnage encore plus fort.Vive la forêt !
  19. revue "l'astronomie"

    Bonjour Roger, Astrovicking et à tous,La raison en est effectivement le faible tirage (5000 dans les kiosques à chaque parution) mais les résultats des deux premiers mois dépassant nos espérances les plus optimistes, il y a fort à parier que ce tirage ne va pas tarder à augmenter si les prochaines parutions confirment la tendance actuelle.Ce sont les NMPP qui gèrent la répartition et ces dernières ne peuvent encore nous donner des infos précises sur chacun des points de vente. Quand nous aurons ces résultats, nous procéderons probablement à des modifications de répârtition et de dotation en faveur des kiosques les plus zélés.Il n'y a pas qu'au fin fond du Massif central qu'on ne la trouve pas encore et dans des villes de moyenne importance, moins de 10 exemplaires couvrent une population de 30000 habitants.Rien n'empèche cependant ceux d'entre cvous qui n'arrivent pas à la trouver de le signaler au siège de la SAF (saf point secretariat at wanadoo), ce qui nous permettra de le signaler aux NMPP.Pour Roger : 42 ans de fidélité méritent déjà les remerciements de notre CA. Plus que 18 ans à attendre pour le Prix Manley Bendall 2026.Philippe Morel.
  20. revue "l'astronomie"

    Bonjour à tous,Vos encouragements vont droit au coeur de l'ensemble des membres de l'équipe de rédaction de "l'Astronomie" et je tiens à vous en remercier. Tous agissent bénévolement, tant pour la rédaction que pour l'organisation qui doit tenir des délais très stricts et un régularité sans faille. Seuls nos deux infographistes sont salariés de la Société Astronomique de France qui édite cette revue.Sachez que cette belle revue est aussi et surtout la votre et que toute contribution sera considérée avec égard et pensez aussi à aider Astrosurf Magazine ; une revue qui porte aussi très haut les valeurs de notre passion . Bonne lecture.Philippe Morel, Président de la Société Astronomique de France.
  21. Avez-vous déjà eu cette impression...

    Bonsoir NUNKY,En langage scientifique on appelle cela une anisocorie et même si cela n'est probablement pas très grave il faut cependant rapidement en trouver la cause et réaliser quelques examens dans de brefs délais. Etant de la profession, peux tu me contacter rapidement à l'adresse Morel.Philippe at wanadoo. etc.
  22. Charles Fehrenbach

    Bonjour à tous,Ce n'est cette fois hélas pas un canular (information reçue de son fils Michel), mais nous avons appris hier soir la disparition de Charles Fehrenbach qui, malgré ses 94 ans, avait gardé intact le souvenir d'une très longue carrière d'astronome débutée en 1931 avec les encouragements de Madame Gabrielle Camille Flammarion. Inventeur du prisme-objectif, directeur adjoint puis directeur de l'observatoire de Haute Provence de 1943 à 1984, la communauté astronomique lui doit le plein essor de ce site. Il était aussi l'un des fondateurs de l'ESO dont il a présidé la commission des instruments à l'époque des premières grandes réalisations. Membre de l'Académie des Sciences, Charles Fehrenbach était aussi l'auteur d'un ouvrage, "Des hommes, des étoiles, des télescopes" paru en 1990 et réédité en octobre dernier relatant les débuts et développements de l'astrophysique en France en témoin privilégié qu'il était.Malgré son grand âge et les 400 km plus retour à parcourir, Charles Fehrenbach est venu aux Rencontres Astro Ciel 2006 et 2007 pour le plus grand bonheur de ceux qui l'ont croisé et adorait le contact avec les amateurs et les plus jeunes qui garderont de lui le souvenir d'un personnage hors du commun.Philippe Morel, Président de la Société Astronomique de France.
  23. L'Astronomie sort en kiosque demain...

    Bonsoir Pluton42,Tu peux aussi avoir accès à ce bulletin via Astrosurf à l'adresse : http://www.astrosurf.com/saf/ADHESION_SAF_2006.pdf Si problème, tu peux joindre notre siège au 01 42 24 13 74 du lundi au vendredi, saf.secretariat@wanadoo.frPhilippe Morel.
  24. L'Astronomie sort en kiosque demain...

    Bonsoir pour faire éco au dire A Cirou sur le fait que Ciel & Espace est un journal sérieux écrit par une équipe de journalistes allez voir ce lien : http://www.aim.ufr-physique.univ-paris7.fr/CHARNOZ/homepage/ Georges.[Ce message a été modifié par c'estmoi (Édité le 27-12-2007).][Ce message a été modifié par c'estmoi (Édité le 27-12-2007).]
  25. L'Astronomie sort en kiosque demain...

    Salut PLUTON42,Il y a deux tarifs d'abonnements qui, en 2008, couvriront non pas 10 mais 11 numéros.55 euros, c'est l'abonnement seul.47 euros, c'est l'abonnement pour les membres de la SAF à laquelle tu peux faire partie, ce qui coûte :1) 50 euros/an pour Paris + IdF, 2) 20 euros/an pour la province.Cette cotisation est déductible à hauteur de 66,6% du montant de l'imposition, de sorte que si tu as le privilège de faire partie de la population contribuable aux financement de l'Etat, cette cotisation te reviendra au final à :1) 16,5 euros/an pour Paris + IdF, 2) 6,6 euros pour la province,Si tu résides en Province, tu as donc intérêt à souscrire un abonnement avec cotisation, ce qui fera une dépense finale de 47 + 6,6 = 53,6 euros/ans (contre 55 euros pour l'abonnement seul).Si tu résides à Paris ou en IdF, l'abonnement avec cotisation te reviendra à 47 + 16,5 = 63,5 euros/ans (toujours contre 55 euros pour l'abonnement seul).Ce surcoût de + 8,5 euros/ans si tu habites en région Paris IdF, ou cette économie si tu résides en Province, te permettront, en tant que membre de la SAF, d'accéder aux réunions de Commissions, de bénéficier gratuitement de l'accès aux conférences mensuelles publiques de la SAF, d'accéder à la Journée des Commissions en juin à l'observatoire de Meudon, d'économiser les frais de dossier lors de l'inscription aux Rencontres Astro Ciel, de bénéficier des exposés d'initiation et de notre bibliothèque astro (de plus de 7000 ouvrages), enfin, de participer à partir de la seconde année, à la vie élective de notre association.Philippe Morel.