yapo

Un bijou de JR Gilis (Ciel Extrême n°12 page 22), la thématique n'a pas vieilli… Pour l'arrière fond musical, avec ceci vous êtes parés.

Un Foma (puisque tant Fomalhaut qu'à la fin elle se casse). J'suis nul en devinette moi...

Inverse la tendance, ne le fait pas à la fin mais au début -d'après maître Yoda- (ou juste après avoir choisi comment cadrer, et placé 2-3 étoiles-repère). Je trouve que ce préambule au dessin, ne fait que retarder (et augmenter) le plaisir (non, aucune métaphore sexuelle bande de coquin-e-s). Après, l'orientation, c'est pas pour faire plaisir à l'extrémiste pointilleux au fond de moi, mais plutôt pour permettre aux copains de comparer leur dessin facilement avec le mien (et surtout vice versa; mais si les autres ne le font pas, c'est en vain).

Juste noter le sens de défilement des étoiles et de l'objet (même grossier) et tu as direct une idée de l'Ouest. Après tu peux affiner au calme avec ton logiciel de planétarium.

Xavier ne craint plus personne avec ses petits Hicksons… (ça me rappelle la chanson de Jean-Raphaël !)

Je mets mon "cahier" en pièce jointe si ça peut te donner des idées (même si c'est éminemment personnel au niveau du paramétrage), avec quelques exemples (j'ai viré le gros des observations). Il y a un onglet pour les dates des observations et un onglet pour chaque famille d'objet (j'ai laissé des exemples perso pour illustrer). Parfois quelques colonnes avec menu déroulant pour éviter de retaper des choses un peu standardisées "à la Ciel Extrême". Il y a aussi des onglets aides-mémoires avec quelques formules pour les oculaires et instruments, parfois utiles sur le terrain. Soit je note directement dans le fichier quand je suis dans mon spot habituel avec un ordinateur de terrain, soit je note sur la fiche de dessin quand je suis en vadrouille (et j'informatise plus tard) . cahier_obs_partage.xlsx

J'ai pas dit que c'était nécessaire, mais en quelque sorte inévitable : on se construit une image mentale assez rapidement quand on débute l'astronomie, parce que ce sont des cibles assez populaires dont on rencontre souvent des images dans les revues et bouquins et avec des détails typiques et marquants. Mais quand on les cherche (consciemment ou non) lors d'observation, ce n'est pas forcément facilitant d'où le coup de chapeau au dessinateur des écrins (rien que d'écrire le nom, ça m'y transporte, c'est fou la montagne...).

Ahh, on me souffle dans l'oreillette que la Saint-Glinglin c'est demain !

Allez, bienvenu chez les astro-dessinateurs réguliers, qu'ils viennent des écrins ou d'ailleurs ! Deux objets pas facile à décrypter, même (y compris) quand on est influencé par l'imaginaire collectif des images (l'imagier?) de ces deux cibles bien connues.

ouais, les mecs à gros Dobsons, ils ont un manque à compenser, c'est sûr...

Belle moisson tout de même malgré cette transmission passable . Il faut se consoler en se disant que cela paraît souvent bien plus dégradé à l’œil nu que derrière l'oculaire, surtout pour un 400mm (enfin, c'est ce que je constate souvent).

J'aurais du ajouter "même si son effet ressenti sur le ciel n'est pas le même (ce qui est un comble pour l'estimation d'une constante)." Et j'admets volontiers le paradoxe d'une variable quasi-invariable (hormis entre site ou de manière cyclique pour un même site) dont l'estimation se fait grâce à d'autres variables... Et je ne parle pas SQM, qui mélange allègrement tous les facteurs ni de l'expérience de l'observateur (autant face aux conditions finement variable d'un site unique que sur un grand écart de conditions diverses, de la Seine et Marne jusqu'à l'Atacama...) Au final, je crois qu'une estimation de chaque paramètre (MVLON, T, P, SQM) permet de se faire une idée -même grossière- des conditions, mais qu'on n'a pas encore déterminé le moyen ultime (amateur) de les séparer finement (et objectivement). [lyl, sort de ce corps!]

à mon sens, les deux ne se jugent pas que sur l'aspect du ciel et en outre, il faut avoir une certaine habitude du site d'observation pour pouvoir tirer partie de leur évaluation. Je m'explique : -la pollution lumineuse se trahit plus ou moins visiblement en fonction de la transparence (i.e. elle se reflète davantage sur une atmosphère "épaissie" et peu transparente), de même que la transparence trahit mieux son absence en milieu lumineusement pollué… -la pollution lumineuse est rarement variable (hors extinctions locales à certaines heures de l'éclairage public), donc une fois déterminée pour un site donné (y compris dans sa variabilité temporelle locale), on peut logiquement l'extrapoler pour les nuits suivantes. -je ne corrèle pas -ou du moins je tente de ne pas corréler- transparence et MVLON. Pour moi, la transparence c'est vraiment la perméabilité de l'atmosphère aux rayonnements célestes et pour l'estimer j'utilise plutôt la vision de la Voie Lactée (ou M31 ou M33, etc.) ou bien, s'il s'agit d'un site en milieu pollué, j'évalue la netteté des contrastes sur des objets brillants. Je pourrais fort bien avoir T=1 à Paris en intra-muros avec MVLON=3.0 et T=5 au Pic du midi avec MVLON=7.0, même si il n'est pas facile de s'extraire de l'inter-dépendance des deux indicateurs. -P (pollution lumineuse) est plutôt utilisé pour comparer des sites d'observation plus ou moins soumis à l'éclairage urbain. Mais entre Vincent LeGuern, Bertrand Laville, Fabrice Morat ou moi-même lors des élaborations successives de cette échelle, pas sûr qu'on ait tous eu exactement les mêmes appréciations des termes ou bien de leurs limites respectives. PS: concernant l'échelle de Bortle, mon site d'observation présente des critères qui vont de la classe 3 jusqu'à la 5, justement parce que P et T sont intrinsèquement lié dans cette échelle, ce qui ne me semble pas toujours le cas.

Un Dobson sur table qui roule hors de sa coupole : un concept révolutionnaire enrobé d'une communication affutée comme jamais! Vivent les start-up françaises C'est du second degré hein, JLD, pas taper stp (d'ailleurs longue vie à cet intéressant projet au demeurant).

Comme toi de prime abord, j'ai pas bien compris. Mais du coup, c'est normal, puisque comme la plupart des amateurs plus ou moins expérimentés qui fréquentent ce forum, nous ne sommes pas le cœur de cible du projet à ce que j'en comprend. D'autre part, on note quand même une large part d'intéressés non-équipés qui évoquent la possibilité d'un matériel évolutif, dans le genre "si j'accroche, je pourrais investir plus pour avoir mieux". Et là, ce sevun up permet de se placer d'emblée dans cette perspective en commençant avec un instrument modeste qui pourra être boosté sans être obligé de se débarrasser de tout (perso, je suis plutôt dans la logique de conserver mes vieux instruments même si je m'en sers moins, mais je conçois la saine sobriété de moyens, le kanso japonais). Espérons le zéro-faute en calcul.

Je postule en auditeur libre à ton grand oral du bac ! Dommage je ne les retiens pas (parce que ça ne participe jamais à la légende d'un homme), mais des situations comme ça, j'en ai aussi collectionné une pelletée…

Hubert a rejoint l'autre Reeves Un monument de la vulgarisation, incontournable.

C'est un astérisme peut-être partiellement ou totalement assimilé à Alessi 231 (23 49 42 -18 24 00), présent dans le BDCC version 10.11 du groupe DeepSkyHunters. Encore que les dimensions indiquées pour Alessi 231 sont de 40' seulement et ta couronne australe un peu écrasée fait au moins 2 à 3°… Jolie trouvaille en tout cas !

Pour Laurent (et ceux que les proximités galaxie-quasar titillent) : NGC 6434 + RXSJ17366+7205 (m=14.3, à 54" ouest) NGC 7477 + NPM1G +02.0555 (m=15.2, à 26' ouest-nord-ouest) NGC 3067 + 3C232 (m=15.8, à 1.9' au nord) NGC 6212 + 3C345 (m=16.6, à 4.7' ouest) PGC 68549 + [HB89] 2216-038 (m16.4, à 6' sud) pas réussi à l'observer celui là NGC 7305 + CTA 102 (m=17.3, à 6' ouest) observable à chaque fois que le blazar se réveille (en 2012 et 2016 par exemple) NGC 3407 + 4C61.20 (m=16.5, à 3' nord-ouest) NGC 1300 + [HB89] 0318-196 (m=14.9, à 10' est) NGC 2611 + PG0832+251 (m=16.0, à 2.5' sud-est) UGC 6312 + PG1115+080 (m=16.4, 6' sud-est) PGC 69945 + MR 2251-178 ( m=14.4, à 3.5' sud-est) NGC 3079 + QSO-B0957+561a/b (m=16.1, à 12' nord-nord-ouest) double quasar NGC 3204 + Ton 34 (m=15.7, à 6' sud-ouest) UGC 6140 + Mrk 421 (m=13.0, à 3.5' ouest-sud-ouest) groupe de galaxies de NGC 7820 + UM18 (m=16.1, à 11' nord) sinon il y a aussi H0507+164 (m=15.6) dans l'amas ouvert NGC 1807 KUV18217+6419 (m=14.2) à côté de la NP PK 94+27.1 et d'autres que je n'ai pas encore observé. La quasi-totalité du dessus l'a été avec le Coulter T445.

Et ça fonctionne de jour. Essayez de fermer un œil en regardant votre écran, sa diagonale va (semble-t-il) augmenter en l'ouvrant à nouveau !

y en a plein ! De tête 3C232+NGC machin, NGC 1232+cso qqchose, NGC3079+double quasar, la liste est longue... et pas près d'être observée en totalité de mon côté.

Et c'est pas facile à faire à la mano, bravo Laurent !

une très bonne ref pour les amas de galaxies (même si vieillotte et pas graphiquement top) : https://www.amazon.com/Webb-Society-Deep-Sky-Observers-Handbook/dp/0894900668

rhaa les goûts et les couleurs… vaste problème. Je me rappelle de sempiternelles discussions sur les couleurs des flammes dans les feux de cheminée avec mon ex-femme, pas moyen d'être d'accord (ou en tout cas sur les appellations). On est vraiment physiologiquement hétérogènes, particulièrement de ce point de vue là. Avec le test de daltonisme de Lyl sur un autre fil, je suis à la limite de la pathologie (66%). C'est sans doute là que réside mon "insensibilité" aux couleurs nocturnes. Sinon, magnifiques dessins. Bien plus agréables à regarder que mes vils croquis.