patry

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Messages posté(e)s par patry


  1. J'ai fait ce 15 janvier une grosse mosaïque lunaire (en fait plusieurs mais les autres sont trouées comme un fromage). Et comme mon copain Claude, j'ai fait la même région que lui tout en "osant" un peu plus avec de la focale et un plus gros capteur (PL1M).
    Verdict pas loin de 6Mp sur la lune que j'ose vous présenter à la taille 1:1. Bon c'est du Jpeg 8bits, ca passe encore ... mais il faut user les ascenseurs.

    Voila, j'ai une Jupiter pour l'honneur qui n'est pas trop montrable (à 30° de hauteur cela devient vachement dur), le reste suivra.
    Par contre GROSSSE déception pour Saturne où la turbulence monumentale m'a renvoyé au lit.


    Marc


  2. Il faut se souvenir qu'à résolution égale, un capteur noir et blanc à moins besoin de focale qu'un capteur couleur (à cause de l'absence de la matrice de bayer). Du coup, moins de focale => plus de lumière.
    Si tu veux faire de la couleur quand même, alors tu ajoute des filtres qui seront (probablement) mieux conçus que les micro filtres de la matrice de bayer. Là un petit plus probable à la trichromie encore.

    Ensuite il faut faire plusieurs plans ... 3 au moins, parfois 4 si tu ajoute un plan de luminance.
    C'est long bien sur et quand tu travaille avec des diamètres conséquents (250mm et plus), la rotation devient sensible (mais pas gênante) au bout de 30" de pose seulement. Mais il faut avoir des conditions de prise de vue "exceptionnelles" (c'est à dire une à deux fois sur plusieurs années pour mon cas perso). En général, tu peux aller jusqu'à 2' sans problème.

    Moi il m'est arrivé de faire des plans couleur "pour la forme" c'est à dire avec le minimum syndical d'images ... 300 en l’occurrence, ce qui fait peut être 100 à 150 une fois la sélection faite. Mais c'est pour donner de la couleur, un peu de sel à l'image en quelque sorte.

    Toutefois, le seeing, comme l'a dit deftronide est en effet, et de très loin devant tout le reste, LE paramètre influant sur la qualité de l'image avec juste après les réglages possibles de l'instrument.

    Marc


  3. Merci à vous tous.

    Guy> Le logiciel d'acquisition c'est PLXcapture qui continue à évoluer (correction cosmétiques, évolutions pratiques, ...). Il permet de sauvegarder en BMP, FIT, voire en AVI (8bits seulement beurk), SER (8 ou 16 bits ... LE format à utiliser) ou RAW directement.
    Le format 16 bits (12 bits utile) est directement lu par Registax tout comme avistack.

    Claude> Tsss, je suis plus bas (3e étage) donc j'ai plus de couche à traverser peut on dire ... mais il fallait perseverer car tu le perdait finalement qu'en transparence, pour cela tu expose plus voila tout.

    Marcus> Je t'ai exposé "ma" vision des choses, d'autres ont peut être des pratiques un peu différentes. Chacun voit midi à sa porte en fait.

    polo> les images à la PL1M sortent petit à petit mais la comparaison est difficile avec un CMOS 8 bits. Le rendement quantique perd 10 ou 15% et du coup avec une exposition plus faible(*) j'ai moins de dynamique.
    (*) expo plus faible pour ne pas brouiller toute une image en 1280x1024. La taille de l'image commence à devenir très importante et le différentiel spatial de la turbulence est très sensible.

    Je referais à l'occasion une même capture (même objet, même montage) en 8 et 12 bits pour voir ce que cela donne "pied à pied".


    Marc


  4. Bon cela fait quelque temps que j'ai une PLA-MX mais le temps (météo) n'a pas été à la hauteur, pas plus que le temps (le mien) consacré à la chose. Bref tout cela pour dire que j'était curieux de voir ce que donnait cette caméra censée capable de faire du 16 bits (en fait 12) en planétaire.

    Donc hier soir, turbulence faible, mais brouillard dense (j'habite à proximité de la Garonne) donc transparence médiocre (Lune, Jupiter, et moins de 10 étoiles composaient mon ciel).

    Du coup, après plus de 14Go d'acquisition à la PL1M, direction la PLA-MX et son capteur magique. En effet il en fallait de la magie pour traverser la brume de plus en plus dense ... a vrai dire pas loin de 100ms d'exposition était nécessaire.
    Du coup, à 10i/s il faut un peu de temps pour acquérir quelques centaines de trames, mais 10i/s en 12 bits (du coup c'est l'exposition qui limite la capture).

    Au final j'ai fait trois images, Moretus, Tycho et Aristoteles, toutes les trois résultat de 900 images, à 10 fps (exposition 100ms), gain ... je ne sais plus mais pas beaucoup, filtre V astronomik et PLA-MX, enregistrement en SER/16 bits.
    Bien sur le C11 est toujours de la partie (en cours de recollimation) et une nouvelle barlow est venu prendre place, une Ultima x2 Celestron bien sur (what else ...).
    Le traitement est fait avec Registax (pour vérifier la capture, vite fait en monopoint) puis Avistack 2.0 (en multipoint) directement (sans devoir reprendre le fichier SER). Le format d'enregistrement est immédiatement reconnu, un bon point !

    Moretus


    Tycho

    et enfin aristoteles (pas dans de très bonnes conditions de phase il faut l'avouer).


    Bon ensuite j'ai abandonné, en espérant une éclaircie pour ce matin ... qui n'est jamais venue ... se lever pour rien, ca fait toujours aussi peu plaisir !

    Voila voila, bonne journée à vous.


    Marc


  5. Pour le choix du filtre, chacun voit midi à sa porte, mais le but est de réduire l'étalement du spectre polychromatique dans le système optique. Si tu a un étalement de 200µm (cas typique d'une apo), les images en bande large (sans filtre) ou disons réduite au visible (filtre L) ne seront pas optimales.
    Il n'y a guère de toute façon qu'avec un Newton ou un Cassegrain que tu n'aura pas de chromatisme ... et encore faut-il être au foyer.
    Dès que tu va agrandir l'image, la barlow où l'oculaire utilisé va introduire son défaut (+/- selon le cas) et donc le filtre permet de réduire l'impact au foyer de l'étalement.

    D'autre part, le spectre rouge (et plus encore l'IR) traverse mieux les couches turbulentes (le ciel sans turbulence on en rêve tous).
    Donc tu filtre pour gagner en chromatisme (finesse) ET en stabilité => l'un dans l'autre tu améliore grandement le coté "haute résolution" des images.
    Maintenant, rouge, jaune, vert, IR, chacun choisira en fonction de ses besoins, moi j'ai une certaine préférence pour un simple filtre Wratten 23A (rouge + IR) que j'ai en lumicon, en seconde position le 'R' astronomik (rouge sans IR), voire le 'V' astronomik (vert sans IR également). Le premier ayant l'avantage de fournir (merci l'IR) deux fois plus de flux à la caméra !!!

    Pour les rebonds, je suis sceptique, a mon avis c'est un problème de collimation + turbulence. Je suspecte (sans pouvoir le démontrer) qu'une (très) légère décollimation va induire une direction privilégiée à la turbulence qui elle est statistiquement sans orientation. Je ne peux pas le prouver mais il m'est arrivé, de ne jamais avoir d'artefacts de bordure malgré la turbulence présente. Surtout que l'artefact est en général orienté et constant (angle et distance) sur toute l'image.
    Il est aussi possible que cela soit lié à l'alignement d'un filtre dans le chemin optique ... a vérifier également.

    Marc


  6. Le plus "dur" c'est d'avoir une bonne perpendicularité. Moi j'ai utilisé une colle néoprène visqueuse qui me permettait de retoucher au montage au fur et a mesure.
    Du coup en mettant le PO en rotation, tu vois immédiatement si la bague M-AF oscille ou non ... preuve (ou non) d'un problème d'alignement.
    Ensuite, un coup de lime pour atteindre exactement le point quand l'objectif est sur l'infini, c'est tout !

    C'est par contre certainement mieux de disposer de bagues toute faites, mais comme tu dis, la caméra est légère, et le bouchon en plastique est "suffisant", pas "joli".


    Marc


  7. Si tu ne veux pas de "blanc" au traitement, il FAUT que tu t'éloigne plus encore de la saturation. Moi en gros j'évite de dépasser 75 à 80% de la dynamique max que cela soit sur Jupiter ou sur la Lune. Cela permet d'en garder sous le pied au traitement même avec quelques centaines d'images compositées.
    Sachant que tout ce qui est cramé est définitivement perdu bien sur il vaut mieux sous exposer un peu en fait quitte à corriger au post-traitement en retouchant un peu l'histogramme (points extrèmes, gamma, ...).

    Là tu a un dosage assez bon, tu conserve de la matière dans les zones un peu moins claires (quitte à laisser filer le haut de la courbe c'est vrai). Par contre tu devrais utiliser un filtre pour lutter contre le chromatisme atmosphérique, tu y gagnerais en finesse. Un rouge ou un vert donne de bons résultats sur une caméra noir et blanc.

    Marc


  8. Essaie de mettre la main sur une bague allonge (pour de la macro) en Minolta MD. Ensuite fait toi un coulant 31,75mm dans ladite bague.
    Plus simple encore (ce que j'ai fait pour un M-AF) c'est de sacrifier un bouchon arrière d'objectif et une bague de PO.
    Fait pour mon télé APO de 200/2.8, j'ai la mise au point à l'infini sur la DMK. Par contre c'est pas compatible avec le doubleur apo (lentilles affleurantes). http://perso.magic.fr/marc.patry/Instruments/Dsc03584.jpg

    Par contre c'est le réglage du diaphragme qui est scabreux (piloté par le boitier je n'ai pas de bague comme toi). Mais bon, en désserrant un peu le bouchon le diaph se referme (d'où le scabreux plus haut).


    Marc


  9. J'ai passé quelques nuits il y a 2 ans en chambre d'hotes à Espedaillac (20km de Gramat, "les jardins de pierre"), endroit cher mais haut de gamme, et il n'y avait pas que l'astro, avec madame et la petite famille il faut concéder quelques trucs, d'un autre coté le C11 était du voyage.
    Proprios sympas, astrams non pratiquants si notre passion était une religion donc ouvert à tout aménagement nocturne. Penser à venir avec de longues rallonges electrique, le jardin est grand jusqu'aux prises électriques.

    Sinon, encore plus au sud, il y avait le site (camping) du dernier RAAGSO à Ambeyrac. Bon ciel (moins bien qu'espedaillac tout de même) mais bien dégagé.


    Marc


  10. Pas mieux, et si je reste persuadé que la bague taka n'est pas en cochonium vaguement anodisé (ce qui doit être un synonyme de 'peint' en mandarin) comme chez SW, il n'en est pas moins vrai que le system chart de taka est particulièrement complexe.
    Quand je lis ceci (http://www.astronomics.com/main/documents/takahashi%20documents/fs-102-128n%20photo-visual%20system.pdf) je me rend compte qu'il me faut les éléments 10, 12, 14 et 46, pour pouvoir placer le RC (49). Ha oui mais pour la photo ce sont les éléments 6, 18, 30 et 33 à placer avant de mettre l'APN.
    Dites moi pour me rassurer que tous ces éléments intermédiaires sont fournis avec l'instrument ... vu son tarif ! Un raccord passe encore, ... mais 3 !!!

    Mais bon tu a raison fred, je me fait peut être des idées, c'est con j'ai bêtement un SC, avec un filetage 2" standardisé alors tout cela me dépasse sans doute un peu. D'un autre coté, la 80ED dispose d'un raccord photo sur la sortie 1"1/4 et si tu veux exploiter la sortie 2", un truc générique suffit à ton bonheur (et en plus réutilisable sur un autre instrument).

    Quand au prix d'une bague en métal, je crois que chacun voit midi à sa porte mais on a certainement pas tous les mêmes "possibilités" au jour de l'achat !


    Marc


  11. Innover cela coûte cher et je ne sais pas si c'est dans l'esprit du marketing chinois. Cela peut tout aussi sembler incongru que de demander à Celestron de produire un C8 à L/10 ... ou à taka de créer 20000 réfracteurs apo de 80mm par an. Chacun son marché et finalement il n'y a pas "tant" de concurrence que cela. Par contre répondre aux besoins de ses clients c'est tout autre chose et ça ils le font bien.

    Pour moi la vraie force qu'à Synta c'est qu'ils ont parfaitement défini le contour de leur marché mais JAMAIS (en tout cas en 2011) il ne vont s'aventurer sur les marchés qui ne sont pas à forte valeur ajoutée.
    Ils ont un outil de production pour fournir plusieurs (dizaines ?) de milliers de pièces à l'année ... ÉVIDEMENT que cela concurrence pas takahashi ou d'autres marques prestigieuse.

    En tout cas s'il n'y a pas d'innovation (au sens d'intelligence de créer un produit dont l'idée n'avait germé nulle part) force est de constater que Skywatcher (qui est l'enseigne commerciale de Synta) dispose d'une gamme de produit très conséquente et permet aux astrams de s'équiper très sérieusement (i.e sans devoir se saigner à mort pour acheter une bague à la con ou l'accessoire manquant). Tout l'inverse des japonais qui ont l'intelligence (et le savoir faire) pour réaliser des perfections mais qui n'ont pas le sens pratique chinois.

    Marc


  12. Je confirme que la PLA-MX est tout en métal, elle me semble d'ailleurs plus lourde que la DMK21 (que j'ai aussi) car plus compacte. La construction n'a d'ailleurs pas grand chose à envier à la DMK et on est (assez) loin de la finition de la PL1M (qui est correcte mais sans plus).

    Dans le même ordre d'idée (et en provenance de QHY cette fois) il y aura la IMG0H (640x480) et la IMG2S (1360x1024) mais qui est "assez en retard" sur sa date de disponibilité.

    Enfin il va y avoir une sortie (toujours avec une base d'ICX618) du coté de TIS avec une nouvelle DMK.

    Ca bouge en cette année 2011 ... c'est bien.


    Marc


  13. Tout à fait RedBaron.
    L'alignement du GOTO permet de compenser (un peu) un défaut de mise en station qui serait trop approximative mais c'est plus pour "trouver" des objets que la monture saura alors se débrouiller, pas forcément pour les suivre.
    Idéalement (comprendre mathématiquement) il ne me semble pas aberrant qu'avec 3 ou 4 étoiles (parfois plus) tu puisse poser ta monture comme tu le souhaite et que le calculateur sache comment agir sur les deux axes pour trouver (ok ca c'est fait déjà) et suivre les objets. A la limite, un même calculateur pourrait être utilisé pour une monture Equatoriale (donc // à l'axe polaire) et alt-azimutale (axe vertical au lieu). Pas certain que la raquette Celestron sache le faire en tout cas !

    Marc


  14. Une des solution (peut être) est qu'au pays de l'oncle sam, le meilleur métier est celui d'avocat et que si par malheur, un gusse venait à vérifier ce que tu écris, et ne trouve pas le même PtV à la virgule près, cela peut coûter cher. Cela s'est déjà vu dans d'autres domaines (la bouteille "trop" ou "pas assez" remplie est un exemple typique).

    Pour ce qui est des "specs" on trouve aujourd'hui du "diffraction limited" (donc en gros on peut supposer -et non affirmer- que c'est un vrai L/4).
    Il fut un temps où d'autres séries (les Ultima) parlaient de L/10 (à priori sur le verre, donc L/5 sur l'onde) et c'était dans les docs commerciales. Cette série était peut être bichonnée mais je doute qu'il s'agisse d'une ligne de production "à part". Cela ne se fait plus bien sur. Comme cela plus de risques à prendre.

    Quand à savoir pourquoi on ne retrouve pas le même discours commercial que d'autres enseignes, peut être que le volume de production n'est pas le même non plus et donc le "risque" de se retrouver nez à nez avec un pinailleur (dans le sens de celui qui vérifie ce qu'on lui dit). On a vu de ce coté de l'atlantique que parfois entre le discours et la méthode il y a une grosse différence.

    Et puis fondamentalement, il y a aussi des marques pour faire du haut de gamme (comme disait ebondoux) et c'est à priori pas le segment de marché de Celestron. Tout le monde n'a pas besoin de rouler en Merco quand une twingo suffit largement comme déplaçoir !

    Marc


  15. Le "problème" d'un SC vient assez rarement du primaire qui est sphérique et réalisé automatiquement avec une assez grande précision (eu égard à ce qui est produit pour des formes plus complexes ... comme des paraboles pour commencer) tant pour la forme que pour la qualité de la surface.
    La lame elle même est un peu plus délicate mais le processus de fabrication (par dépression) semble aujourd'hui assez bien maîtrisé. Il reste le secondaire (asphérique) qui est plus délicat ... mais aussi plus petit.

    Ensuite c'est une question de montage, et aussi donc de collimation, sachant que la marque fait un réglage qui "rentre" dans leur specs minimales. Cela signifie qu'il "peut exister" une configuration qui soit meilleure (par orientation des éléments entre eux) mais, tout aussi probablement, beaucoup d'autres configurations qui soient moins bonnes.

    Pour ma part je n'ai jamais été déçu par l'instrument ... par contre par l'opérateur (moi même) c'est une autre histoire !


    Marc


  16. Tsss c'est méchant ça !

    A mon avis, il faut mettre en regard quatre options :

    * Le devis de réparation de Celestron (qui remet une lame neuve et s'occupe de l'appairage primaire/secondaire, la lame intervient peu en général).

    * Le prix d'un C11 neuf en Allemagne à ~1600€ !!!

    * Le prix d'un C11 d'occasion à 1000€ (c'est dingue ca).

    * le prix d'une lame faite par un artisan (ou soi même).

    Et savoir ce que donne l'assurance sur le tragique évènement.


    Marc


  17. J'ai un sac Geoptik pour le C11 (il convient aussi pour un 10", voire un 9" à fourche je crois), c'est excellent, le C11 pèse "moins" quand on l'a ainsi sur le dos. Dans la poche du dessus j'ai fait un emplacement pour les gros oculaires 2" (40mm, 17mm, le renvoi coudé 2" et le crayford).
    Il me reste de la place dans l'emplacement du bas (celui du tube) pour une mousse d'amortissement et une autre mousse au dessus du tube pour ne pas "marquer" le bouton de map. Autour du tube se trouve le parebuée de chez Déca..on en mousse (et donc un peu plus de protection dans le sac encore).

    Je ne voulais pas de "valise" (je suis en étage sans ascenseur) tout en permettant de transporter le C11 sereinement. Ainsi "habillé" le C11 voyage sur un siège de la voiture attaché par une ceinture.


    Marc


  18. J'allais le dire ...

    En effet, registax V5 est assez proche (conceptuellement parlant, je ne doute pas un instant que des choses changent "dans" la boite) de la V4.
    Je n'avais pas jugé bon de refaire un tuto pour la V5 du coup.

    Avistack travaille très différemment de Registax par contre, et la V2 apporte son lot de nouveautés même si, fondamentalement, on cherche toujours à coaligner (registration) des images et à les empiler (compositage) pour les traiter (filtrage).

    Marc


  19. C'est là la crainte n°1 des propriétaires de SC.
    J'ai un copain qui a fendu la lame de son C8 et pour ma part, j'ai toujours le sentiment d'être "seul dans l'univers" quand je place le C11 sur sa monture.

    Aucune chance du coté de Celestron concernant la lame, ils ne fournissent pas l'article seul (hors du télescope je veux dire).
    C'est le cas d'autres pièces apparemment simples comme le réducteur sur la sortie (de 3.3" vers 2"), pour laquelle j'ai obtenu une fin de non recevoir de la part de Celestron US !
    Vraisemblablement, je pense que c'est une pratique uniquement commerciale, alors qu'on trouve parfois des éléments optiques chez Meade. Pas de bol par contre, Meade n'a pas de 11" à son catalogue !

    Si tu ne trouve pas de solution "économiquement viable" pour le changement de lame, il te reste peut être justement la solution de la vente par pièce, sachant que l'article "miroir primaire" sera probablement le plus difficile à vendre.
    Tu n'arrivera pas ainsi aux prix d'un C11 neuf (1700€ chez TS http://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/info/p1006_C11---Schmidt-Cassegrain---279mm-2800mm---opt--Tubus---AKTION.html) mais cela compensera un peu la perte ... un peu seulement !

    Marc


  20. Pour le moment, je n'ai pas vu de différence entre un convertisseur photo (x2 apo) et une barlow pour ma part (lune, 80ED, convertisseur x2 d'un coté, barlow x2 de l'autre). Mais j'avoue que mes test sont "rares", et restreints à la lune en général.

    L'avantage qu'à le convertisseur c'est qu'il travaille à tirage constant et qu'il conserve alors la mise au point (i.e. la mise au point "sans" ne change pas "avec"). Du coup, peut être que ce degré de liberté supprimé permet aux ingénieurs de concevoir quelque chose de meilleur qu'une simple "barlow".

    Autre point, je n'ai pas essayé (pas pu serait plus exact à cause d'une lentille de sortie un peut proéminente) faire varier ce tirage pour modifier le rapport de grandissement non plus.


    Marc


  21. Le point important lors du démontage de la lame c'est de noter la position (orientation) de celle ci. Normalement vu de face (i.e. de la lame), le bouton de map est à 9h (de l'autre coté du tube), et le numéro de série de la lame est sérigraphié à 3h.
    DE PLUS, les cales sont référencées en position par des marques indélébiles sur le bord de la lame ... a vérifier IMPERATIVEMENT.

    Pour le reste, sortir le primaire, floquer/nettoyer ne présente pas de grande difficultés je pense.


    Marc


  22. Je dois avoir ça en stock.
    Au pire je peux en faire exprès pour toi et te les envoyer.
    Je suis limité à 8bits (PL1M) mais je peux jouer sur la taille X/Y de l'image et le nombre d'images (on va se limiter sur ce point pour le mail).

    J'essaie de te préparer ça et te trouver un endroit pour le D/L.


    Marc