patry

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Messages posté(e)s par patry


  1. il y a 20 minutes, Adamckiewicz a dit :

    Et faut rajouter le renvoi coudé sur ces deux tubes.

    Oui mais il s'applique sur les deux, donc cela ne compte pas.

     

    il y a 20 minutes, Adamckiewicz a dit :

    Faudrait considérer un newton avec 20% d’obstruction et 2 miroirs seulement en Hi lux 96%

    Facile ...

    (200² - 40²) * 0.96² ~ 188² pour un instrument parfait.

    Pour un triplet avec 97% de transmission par lentille (cette fois je compte un cas réel) il faudra ... 188² / (0.97^3) = 199,8²

    Donc un T200 vaut ... une L200 !

     

    Marc

     


  2. J'ai vérifié avec les chiffres du constructeur et on a :

    • L'obstruction diminue le flux entrant de (45~50)²
    • Transmission système (hors obstruction) : 83,5% en moyenne sur tout le spectre visible (pic à 89%)
    • On arrive bien à un ratio de transmission total de 0,74~0,73 (tronqué au centième) et donc une équivalence de luminosité d'une lunette de 130mm.

    Donc tes chiffres étaient corrects, bravo.

     

    Par contre ceci

    Il y a 4 heures, jm-fluo a dit :

    Je corrige : un C6 est aussi lumineux qu'une lunette APO 120 mm

    ... est faux.


    Marc

     


  3. Il y a 2 heures, jm-fluo a dit :

    Tu peux développer ton calcul ? merci d'avance

     

    Facile j'ai pris tes chiffres (ensuite il n'y a rien de bien sorcier, et tous les calculs sont du niveau collège, ma fille a vu cela en 5e je crois)

     

    La surface d'un 150mm est proportionnelle au carré du diamètre (à un facteur près mais on s'en fout). Cette surface est corrigée d'un facteur 74% pour prendre en compte l'obstruction et la transmission (là encore ce sont les chiffres que tu as donné, Celestron je crois arrondi à 73% cela ne change pas grand-chose).

     

    Le 13/11/2022 à 19:55, jm-fluo a dit :

    L= la fraction de lumière perdue par l’obstruction

    R= la réflectivité des miroirs

    X = le nombre de miroirs

    T= le taux de transmission lumineuse.

     

    T=(1-L)R exposant x

     

    T=(1-0,139)0,932 au carré = 0,744

     

    Le taux de transmission total de l’instrument est égal à 74 %

     

    Donc on a 150²  x 0,74 = 16650 en considérant un instrument parfait (transmission de 100%). Mais la transmission d'une lunette apochromatique de grande marque tourne autour de 97% (cela doit dépendre vachement des traitements qui donnent entre 95% et 97% sur l'ensemble du spectre par verre, à mettre au cube pour un triplet ... passons, on va laisser cet avantage à la lunette) donc cela donne une surface équivalente à 

    16650 / 0.97 = 17165 = 131² arrondi à 130mm pour te faire plaisir.

     

    CQFD

     

     


  4. Il y a 12 heures, Thierry Legault a dit :

    voir les images de Jupiter et Saturne faites par Christian Viladrich avec le 500 RC de st Véran, fortement obstrué

     

    C'est la preuve aussi que la "course" à une faible obstruction n'est pas forcément un frein à faire de l'imagerie haute résolution. Par contre en visuel, j'ai pu utiliser un Epsilon 130, c'est vraiment très moche sur des planètes !

     

    Marc

     

    • J'aime 1

  5. Merci pour ton retour, Alexandre j'avoue que ce genre d'équipement est tentant !

     

    Il y a 16 heures, A Gerbert Gaillard a dit :

    Bon au final j'ai quand même terminé la collim sur un startest... 

     

    Bonjour, je connais un Claude qui va récupérer son DK sous peu alors ! :)

     

    Marc

     

     


  6.  

    Il y a 12 heures, jm-fluo a dit :

    Tu es HS en ramenant le prix.

    Ok, alors on va parler d'autre chose ;

    • encombrement (c'est factuel) ; une lunette qui en montre autant (130mm donc) est plus longue que le C6 (700mm en moyenne vs 400mm, pas cool pour le voyage)
    • poids (c'est factuel aussi) ; une lunette qui en montre autant (130mm donc) est plus lourde que le C6 (8kg en moyenne vs 4,5kg, moins facile pour la monture).
    • Plus cher ... zut déjà dit (2,5~8k€ vs 1k€, c'est mieux pour t'accorder un prêt à la banque c'est certain)
    • on peut en chercher d'autres si tu veux !

    Maintenant on adresse pas le même public entre les deux instruments voilà tout. La lunette excellera pour avoir beaucoup de champ, faire de la photo CP, le second sera à l'aise en observation ou en photo planétaire !

    Mais tout cela pour ramener le chiffre "effroyable" de 73% qui, une fois bien remis de notre choc, revient à passer de 150 à 130mm ! C'est finalement pas si énorme que ça et on reste dans des gammes de lunettes qui restent "haut de gamme" comparé au C6.

     

    Il y a 13 heures, jm-fluo a dit :

    image.png.429502e2527c3b024f5dbdb7143088d8.png

    Et c'est bien çà pour un instrument de 180mm ?O.o

     

    En fait tu peux avoir ça avec un C8 (trouvé sur https://www.cloudynights.com/topic/492009-jupiter-with-c8-edge-hd-very-good-seeing/ vite fait, j'ai eu la flemme de chercher dans les images d'Astrosurf)

    image.png.793117266e456644312756038aeeb577.png

    Donc effectivement tu peux avoir moins bien qu'un C8, pour beaucoup plus cher avec une TEC 180 ! :):) 

    (Je mets des smiley dès fois que ma phrase soit interprétée au premier degré).

     

    Si tu veux comparer des trucs similaires, j'ai un mak 127 et une lunette apo de 80mm. On peut considérer que les deux sont des instruments d'entrée de gamme.

    La lunette montre plus de champ (>4,5° sur le ciel) mais cela reste très pauvre en CP, en résolution (étoiles doubles, lunaire, planétaire). Le mak est même redoutable sur ce dernier point (tu résous en visuel sans problème des amas globulaires alors qu'à la lunette c'est difficile, voire impossible) et sa compacité est une invitation au voyage de même que l'absence de chromatisme longitudinal (alors que les lunettes dites APO sont finalement loin du compte quand on compte des plusieurs centaines de µm entre les extrémités du spectre). Son inconvénient ce que le grossissement minimal est de x45, et en 1"1/4 ! Pour moi (mais je ne fais pas de photo CP), le mak l'emporte ... presque en tout !

     

    Marc

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  7. Cela donne un hystérésis terrible au changement d'appui. Le mouvement de rappel devient très pénible, et comme "cela ne vient pas" tu as tendance à augmenter la vitesse et puis "quand ça mord" tu as déjà dépassé la correction que tu souhaitais !

    Cela m'a vite saoulé à vrai dire !

     

    Marc


  8. Il y a 17 heures, jm-fluo a dit :

    Il se peut très bien qu'un réfracteur de plus petit diamètre ayant une transmission de 97%,  en montre plus,  en mode visuel CP par exemple :-)

     

    Oui, bravo tu viens de découvrir les lois de la transmission ! Je te rassure, pour visualiser des objets faibles la lunette aura l'avantage sur un réflecteur de taille un peu plus importante.

    C'est super. Mais effectivement tu oublies de mentionner que ton "réfracteur de plus petit diamètre ayant une transmission de 97%", (très) souvent est aussi (beaucoup) plus cher que le plébéien C6 ! Pour information (peut être que tu ne connais pas les tarifs), une FS60, coute peu ou prou le même prix (un poil plus mais on va pas chipoter) qu'un C6 : 1k€.

    Hors, et je reprends ton calcul, le C6 (transmission instrumentale de 73%) revient à utiliser une lunette de 130mm (transmission 97%) ou 128mm (transmission 100%). CENT TRENTE mm, pas SOIXANTE !

    A 2 fois le diamètre, donc 4 fois la luminosité, 1.5 point de magnitude de gagné, ...  ne ferait tu pas une erreur avec une FS60 plutôt qu'un C6 pour du CP (avec bien sur la résolution d'un instrument de 150mm) ?

     

    Il n'en reste pas moins vrai que je suis admiratif de ceux qui investissent (beaucoup) dans un gros réfracteur ... et qui l'assument !

     

    Marc

     


  9. Il y a 2 heures, Simon Fabre a dit :

    et comme cité plus haut:

     

    En fait ce n'est pas si simple. Sur mon C8 Ultima (année 1990) qui a remplacé mon C8 Orange, les vis btr (ou philips pour le premier) sont au pas US.

    Par contre sur le C11 XLT, il semble que cela soit du pas métrique M3 x 0,5 (Jean Marc M et dixit celestron qui parle de current production, sans dire quand cela a commencé).

     

    Marc

     

     

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    • Merci 1

  10. Diamètre du secondaire = 120mm, support du secondaire = 150mm. Cela fait une obstruction de 57% quand même !

    C'est même un peu beaucoup pour un astrographe à "seulement" F/5 non ? Leur version 150mm F2.8 n'est obstrué qu'à 50% (mais pour F2.8 tout de même).

    Du coup le F/D passe de 5 à 5,65 vu que la surface collectrice devient celle d'un 230mm ... attention !

     

    Marc

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  11. Le 12/11/2022 à 01:01, olivdeso a dit :

    Sur un Newton tu ne pourras pas tirer autant sur la Barlow si tu veux un champ corrigé assez large, pour la lune par exemple.

     

    Oui mais un newton, surtout ce que l'on produit aujourd'hui avec des instruments très ouverts, n'ont pas un champ corrigé très important. Et cela ne s'améliore pas avec le diamètre. Le calcul donne que l'instrument du mont palomar (5m de diamètre), présente une coma de 0,3" (soit résolution d'un 400mm), à 20" d'arc de l'axe optique (peu ou prou le diamètre de Jupiter est couvert quoi).

    Sans correcteur, c'est pas fait pour faire de la HR lunaire et de très loin !

    http://serge.bertorello.free.fr/math/formulaire/formoptique.html#coma

     

    Du coup, indépendamment de la barlow elle même, on ne fait qu'agrandir un défaut présent. Maintenant, bien sur, la manière d'agrandir l'image (barlow avec ou sans tirage, projection oculaire, ...) va elle aussi intervenir sur le défaut initial (malheureusement on corrige rarement un défaut par un autre défaut sauf pour le chromatisme avec un ADC parce que c'est un instrument spécifiquement fait pour cela). Et ce que je voulais dire c'est qu'un barlow x2 peut être poussée à x3 sans trop de dégats, et une x3 autour de x5.

     

    Marc

     

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  12. Tu sais, même sur la terrasse autour de ma piscine (dalles de 50x50 posées sur une dalle béton), quand je marche lourdement autour du télescope, cela se voit à la caméra. J'ai mis ces patins anti vibration et c'est mieux, mais c'est du coup plus "élastique" et un mouvement brusque de la monture provoque un yoyo de l'instrument sur une dizaine de seconde d'arc (1/4 de Jupiter) pendant 2 à 4 secondes.

    Je les ai viré récemment, plus de yoyo mais il ne faut plus marcher autour (c'est plus fréquent, je fait rarement du sport autour du C11) alors que des rattrapages cela m'arrive tout le temps !

     

    Marc

     


  13. Je ne connaissait pas la Neximage 10, la vache photosites de 1,67µm c'est petit. Probablement un capteur issu du monde de la téléphonie. Du coup, effectivement, pas besoin de barlow et à F/12 (cas du mak 127), tu est déjà bien échantillonné. L'avantage c'est de disposer d'une image énorme 3800x2700 mais dans une diagonale finalement réduite (9mm).

     

    Une ASI178 ne sera pas plus grande (diagonale de 8,93mm) mais les photosites seront plus gros (2,4µm) et du coup il y en a moins (6Mpix vs 10Mpix). Mais comme la diagonale est identique, au même F/D le champ sera identique.

    Une ASI 585 sera plus large (diagonale de 12,85mm), avec des photosites plus gros (2,9µm) mais l'image aura presque autant de pixels (8,5Mpix). Mais je ne connais pas cette caméra, ce ne sont que les données techniques.

     

    Après, méfiance à chercher beaucoup de champ. C'est une intention louable mais il faut aussi réfléchir "plus globalement". Est-ce que l'instrument saura exploiter tout ce champ. Et là la réponse devra être nuancée car cela dépend ;

    • de l'instrument (intrinsèquement certains instruments sont mieux corrigés que d'autres)
    • de la présence éventuelle d'un correcteur (pour améliorer le point du dessus)
    • de ce que tu veux faire (en CP, tu sera déjà très satisfaite d'arriver à 2 à 3" d'arc de résolution -et je ne parle pas de la qualité du suivi de la monture-, en planétaire c'est la porte d'entrée)

    Le mak est un instrument dédié planétaire et même s'il dispose d'un champ assez correct, il n'est pas certain qu'il exploite une diagonale de quelques mm. Il faudrait demander à lyl si elle passe par là. Ce qui est certain c'est qu'au C11 (ou au C8) je n'arrive pas bien à utiliser toute la surface de l'ASI178. Cela se "voit" que les bords ne sont pas aussi nets que le centre (courbure de champ + autres aberrations). Avec la neximage, c'est la sensibilité (taille des photosites) qui va certainement jouer en bordure de champ !

     

    Marc

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  14. il y a une heure, MCJC a dit :

    La question était s'il pourrait grossir de 1,6X ou si ce serait trop et qu'il suréchantillonnerait auquel cas il serait mieux avec le 1,3X (modulable) ou seulement avec un tube allonge. J'étais bien dans des grandissements anecdotiques.

     

    Une barlow (pas télécentrique) peut en général être poussée au double de son grandissement initial sans trop de difficultés. Donc une x2 arrivera sans trop de peine à x4 (du temps de l'argentique c'était assez courant et au dela de x5 on préférais faire de la projection par oculaire et atteindre des F/D complètement fou de 50 à 80 !!! Mais les pellicules s'y prêtaient aussi ... avec des résultats bien inférieurs à ce que l'on a fait ensuite avec des webcams). En planétaire, avec nos capteurs actuels (moins de 3µm), l'idéal serait d'arriver à un F/D entre 15 à 25 en fonction de la cible. Le mak y arrivera sans peine (déjà au foyer avec une caméra à petit photosites ce sera idéal). Attention, l'application de la formule qu'à donné JLD montre aussi que plus la barlow est "courte", plus l'influence du tirage se fait sentir "vite" (et réciproquement). Attention au moment du choix !

     

    Marc

     


  15. Question subsidiaire sur le titre : barlow OU tirage cela n'a pas de sens (ou alors je n'ai pas compris la question).

    Le tirage seul n'apporte aucun grandissement (ou anecdotique avec un mak). Barlow ou Barlow+tirage là oui tu peux comparer.

     

    Mais quoi qu'il en soit, un mak 180 nativement ce sera un peu court pour faire du planétaire, surtout à l'APN avec de gros pixels, donc il te faudra certainement une barlow (x2 suffira mais il faudra voir par rapport à la caméra utilisée).

    Comme l'a dit MCJC, en planétaire, ce qui compte c'est le nombre d'images donc il faut activer le mode vidéo qui, avec 30 à 60 images secondes (voire beaucoup plus en mode fenêtré) offre le débit (d'image) suffisant. Sauf qu'il y a un "hic" ; l'APN n'est pas fait pour ingurgiter un tel débit sur sa carte mémoire sans un gros compromis sur le débit (de données) => les APN compressent la vidéo. Et la compression ne se fait pas sans perte.  Une caméra même à 200€ fera mieux en débit d'image ET ne compressera pas les données. Du coup tu récupèrera un fichier bien plus exploitable pour être traité par la suite.

    Pour te donner une idée de la compression, mon ASI 178 (6Mpix) utilisée sur la lune, débite 60 images/seconde de 6Mpix (donc 6Mo), ce qui fait  360Mo par seconde de capture ou encore 21Go par minute. C'est très très loin de ce que fait n'importe quel APN.

     

    Marc

     


  16. Important ? En planétaire ? Il faut relativiser, le tilt vient de l'ADC (ou alors de l'instrument mais dans ce cas il faut résoudre le problème par une recollimation).

    ADC donc, qui ne va pas introduire de défocus VISIBLEMENT différent entre le "haut" et le "bas" d'une planète comme Jupiter (même vu par un 400mm ou un 500mm) ! Un tilt de 1 ou 2° projeté sur quelques centaines de pixels t'en convaincra (trigo, niveau collège) !

    Par contre si tu considères non pas la planète mais tout son cortège de satellites et qu'en plus (vraiment tu as du bol ... ou pas) tu image à l'équateur ET que tu veux absolument faire des images très près de l'horizon (histoire que la différence de hauteur soit maximale), là peut être. Mais à mon avis si tu fais des captures à l'horizon le tilt sera le cadet de tes soucis ! Encore pire, il faudra identifier l'instrument dédié planétaire qui offre une qualité "HR" sur un champ aussi large sur le ciel !

     

    Par contre, l'ADC (celui économique à 2 prismes en tout cas) en plus de tilter le champ va surtout provoquer un offset que tu peux compenser par un ROI si ton capteur est assez grand (ou alors un correcteur d'offset comme je me suis fait) et bien sur un défocus en intra focal. 

     

    Avec 2° de tilt (c'est déjà beaucoup, l'ADC PA permet 3,8° au maximum) j'obtiens ceci :

     

    image.png.2464c4eb21e82ae19bd9f6946110c715.png

     

    Explication : Je règle l'ADC à mi course (beaucoup), il y a 50mm de tirage entre l'ADC et la caméra (histoire de mettre une RaF par exemple).

    Tu es ouvert à 12 (minimum recommandé pour l'ADC c'est 20 mais bon ...), précision requise l/8, pour 500nm.

    L'offset engendré est de 1,7mm (gérable) et le défocus supérieur est de -160µm (+99µm pour l'inférieur), la caméra (ASI 178 étant utilisée en vertical, cas le pire).

    C'est pas bon car la marge maximale est de 72µm

    En recalant l'offset et en corrigeant le focus, tu n'a plus que +/- 129µm de defocus ET DONC, ton capteur de 3000 pixels n'est utilisé qu'à 56%, soit 1680 pixels où tu dois pouvoir faire rentrer la planète.

     

    A F/20, l'ADC travaille correctement (je ne prends pas en compte les aberration en dessous de F/20 dans le calcul du dessous) je peux pousser le tilt à 2,5° => j'augmente la tolérance de défocus à +/-200µm => le capteur passe à 100% après correction de l'offset !

     

    image.png.dda8b74f3cd39004fee810d125287f05.pngAngle déviation2,50°Angle exprimé en radians :

     

    D'ici là range (ou mieux, n'achète pas) la bague de tilt !

     

    Marc