ndesprez
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Messages posté(e)s par ndesprez
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Si le Philips (220V AC - 50 Hz - 4 W) fonctionne sur le variateur, Le Crouzet (220V AC - 50 Hz - 4 W) devrait en faire autant ... Le premier tournera à 250 tr.mn, le second à 4 tr.mn.
Norma
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Je comprend : le copier/coller ne donnait pas le même scripte alors j'ai recopié. Essaie de poser la question directement le forum concerné.
Au delà, mais toujours concernant le traitement de surface, je cherche des données sur le chromage dur de l'alliage léger ...
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Cela me rappelle un moment de mes débuts en solaire : j'étais déçu de mon Daystar par rapport à un Coronado de 60 mm (perso, c'était 102 aux RAP). L'homme, celui qui connaissait, pris le temps de m'expliquer. Deux années durant, je n'observais que les spicules : je les comptais une à une (là n'était pas leur principal intérêt ). Je partage mille fois l'avis de Christian. Je propose toutefois, en visuel et lumière visible, un diamètre plus réduit mais surtout un hélioscope ...
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Il ne s'agit pas d'une aluminure. Je vous propose de contacter MCM mais je doute que cela soit rentable (nonobstant le fait qu'à de rares exceptions près, une feuille d'Astrosolar est meilleure).
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Mes recherches m'ont menées ici : www.usinages.com/threads/polissage-electrolytique/dalliage/ daluminium.116433/
Le commentaire de DidierV est édifient.
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Peur n'est pas vraiment le mot en revanche, je ne vois pas l'intérêt de faire la remarque pour un sujet qui n'est pas clos sous prétexte qu'il fut ouvert il y a longtemps. Le polissage électrolytique retient mon attention ; je n'ai jamais pratiqué. Concernant le traitement à la soude, le résultat est mat : je pratique à chaque fois lorsque je lance une oxydation anodique.
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Les taraudages fins sont toujours d'exécution délicate. Pour les filetages extérieurs, un élément n'est pas cité : le copeau minimum. Plus généralement, je préfère toujours le bronze à l'alliage léger (qu'il faut choisir avec soin ; exit la série 1000, glop la série 7000). En dernier recours, j'utilise de la laine de fer. L'outil est très important : attention, tous ne conviennent pas à tous les pas. Reste un élément que seul un tourneur appréhende aisément : l'ablocage. Perso je confectionne des semelles afin d'envelopper généreusement la pièce (bien au-delà du contact offert par un jeu de mors classique).
J'aimerai bien que ce sujet vive mais j'ai trop peur du déterrage alors nous parlerons peut-être du traitement de l'aluminium et des ses alliages un autres jour ...
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Le principe de la réduction : un train épicycloïdal à billes (cet élément se trouve aisément en pièce de remplacement). Concernant l'usure de la piste, il existe des bandes d'acier rectifié : fô trouver la bonne et envisager un remplacement par collage. Je l'ai fait une fois.
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Tout se trouve ou se fabrique mais un simple profil ne suffit pas ...
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Merci . Je précise également que j'anime des stages de mécanique générale (tournage, fraisage ...). Un focuseur sauvé comme ce fut le cas, c'est une petite moitié du coût d'un petit tour si on avait du en acquérir un neuf (de cette même qualité).
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D'abord estimer l'ampleur des dégâts à l'aide d'un comparateur ; on dépasse le demi millimètre. Le verdict tombe : pas question de redresser correctement (en fait je ne crois pas à cette solution). Va falloir usiner. Pour usiner, il faut tenir la pièce centrée au mieux sur le tour. Pour ce faire on fabrique des mors (les pinces qui bloquent la pièce) que l'on usine sur le tour. Ce sont les fameuses semelles. Le fond rond natif du tour (5/100) est encore réduit : ne subsiste que des pouillèmes d'erreur. On raccourcit les axes, le but étant de les remplacer mais on conserve un "moignon" pour le collage à venir. On "pince" alors directement sur le pignon qui devient alors "la référence". On réduit le diamètre des axes restant : ceux-ci sont maintenant parfaitement alignés dans l'axe du pignon (c'est le but). Reste à fabriquer deux pièces en laiton aux cotes de la pièce d'origine. Ces pièces sont percées au diamètre des axes fraîchement usinés. Le collage achève le travail. La colle est hors de prix mais on en utilise très peu.
Précision sur les colles :
j'ai pratiqué hier un essai de collage pour des bagues que m'a demandées un copain. La surface de collage est une couronne de 1,5 mm de large, diamètre 33 mm. Ca fait très peu pourtant une charge de 5 kg fut sans effet. Au prix où sont les colles actuelles, cela ne m'étonne pas. On dépasse allègrement les 1600€ le kg. Heureusement, un collage nécessite souvent moins d'un gramme.
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La procédure :
- quantifier les dégâts soit 63/100 de faux rond.
- fabrication de trois semelles pour les mors.
- alésage des semelles à l'aide d'une fraise deux tailles.
- surpression des 2/3 de la longueur des axes.
- ablocage sur le pignon (mors doux +semelles).
- chariotage des axes restant; réduction significative du diamètre.
- fabrication de deux axes aux cotes d'origine.
- collage des trois pièces (attention à la colle type la goutte à mille balles ).
- reprise manuelle de la contre plaque qui elle non plus n'est plus dans l'axe (lime diamant).
C'est tout !
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Une prise, une seule : bravo. La prochaine fois, je te propose d'intercaler un hélioscope (sans les filtres) ...
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Bonjour tous,
Nous sommes peu nombreux à "observer" notre satellite, bien moins nombreux que ceux qui le regarde A la demande d'observateurs, les auteurs de l'Atlas Virtuel de la Lune (l'AVL) ont eu la gentillesse d'accéder à notre souhait. De quoi s'agit-t-il ? Au hasard de nos périples, il nous arrive de dénicher quelques pépites ; oui, nous, de forts modeste amateurs : étrangeté, cratères concentriques, accidents géologiques ... La Lune a ceci d'extraoridinaire que de se mettre à notre porté à la condition que nous souhaitions en profiter. Bref, maintenant, nous pouvons enregistrer nos propres compléments à l'immense base de données.
Un exemple :
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Ah voilà la discussion bien engagée. On ne voit (dans l'extrème détail) que ce que l'on connait (sur la Lune, en sus, que ce que l'on comprend). Maintenant, j'observerai Saturne différemment.
Merci.
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Coucou "c'est moi, pas de badge". Je suis jaloux, pas sûr que je revienne (quel dommage parce que ce fût un plaisir). Il y a certainement une explication ...
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Il y a 3 heures, MatEX a dit :Je ne rentrerai pas dans le débat parce que ça ne le mérite absolument pas
Pas quelque peu excessif ? Je n'ai jamais vu mais je veux bien en discuter (cela changera de " Ah, elle est belle, splendissimo, de la mort qui tue ...).
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Bonjour,
Une première pour moi. Disposant déjà d'un ciel fort convenable, je suis venu "version lisse", entendez par là sans instrument. L'important ce sont les gens et là je fus servi ! Les copains à l'arrivée et plus tard et de nouveaux (merci pour le café chaud après une demi-nuit de route). Une expérience, également une première, l'Evscope 2. Comme seule la Lune m'attire je reconnais que ce n'est pas ma tasse de thé cependant c'est bien la première fois que je vois M57 en couleur ; je ne détaille pas le reste pourtant à l'avenant
(z'avez ka essayer, n'écoutez pas : faites).
Merci aux organisateurs. Reste à vous rencontrer à nouveau aux ROS ou aux RPL !
Amicalement.
Norma
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Il y a 3 heures, jctfrance a dit :Est-ce que tu dilues l'alcool avec de l'eau distillée?
Non : alcool pour les lunettes et accessoires, eau pour les grosses pièces que sont les miroirs.
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il y a 39 minutes, stefastro a dit :et rien d'autre
Ben non. Et comment pratiquait-on avant ? Alcool isoprop. et très vieux mouchoir lavé mille et une fois. Je pratique toujours ainsi. Je disposais d'environs 2 litres, cadeau d'une imprimerie, il m'en reste près de la moitié après plusieurs décennies.
Le Purosol meilleur ? Certainement mais pas le seul. Pour mes miroirs, c'est de l'eau pure et du Paic.
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Pour répondre à la question posée : une enseigne astro ayant pignon sur rue doit savoir faire ça (par exemple Médas qui importe Celestron). Maintenant, je partage l'avis des copains : mieux vaut le faire soi même. Ca ne devient aisé qu'avec l'expérience.
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Il y a 10 heures, Laurent a dit :la méthode de parabolisation du 200 vixen par le revêtement est un peu spéciale
Certes oui mais aluminure garantie quelques dizaines d'années ! Je ne serai pas surpris qu'un Newton chinois réclame à terme une réaluminure comme MCM sait faire (notamment son traitement le plus performant). Bon, je ne suis pas un spécialiste mais un simple utilisateur.
Coté PO, effectivement, il nécessitait quelques progrès même si l'ancien fonctionnait sans jeu et sans dérapage. Maintenant, nous sommes habitués à la commande démultipliée et c'est une bonne chose.
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Il est encore fabriqué ! Le mien dispose d'une optique qui n'est plus garantie Comment dire, je ne l'abandonnerai jamais (même si je lui fait beaucoup d'infidélités).
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Le club d'abord, un bon (pas toujours facile à trouver. S'assurer de ses capacités formatrices) : ce sera un énorme gain de temps (et d'argent). L'instrument ensuite.
Et en attendant pour les gens pressés : une modeste lunette d'occaz et la Lune Attention c'est très risqué, addiction définitive avérée ... Là, un livre suffit : http://heully.eklablog.com/
Mathématiques
dans Astronomie pratique
Posté(e)
Bonsoir,
Poussé par @lyl, je m'interroge sur la roue hélicoïdale. Quand cela ne passe pas par la porte, je cherche la fenêtre J'en appelle aux mathématiciens (ou tout au moins aux amoureux de cette branche) ; ma question :
-quel est la pas d'une hélice inclinée de 20° ?
Votre réponse (qui je l'espère confirmera mes modestes calculs) influera grandement sur la machine que j'envisage de construire. A la clé : des pignons hélicoïdaux.
Merci par avance.
Norma