celestron20

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Messages posté(e)s par celestron20


  1. Il faut arrêter de dire des sottises sur les SC.

    Ces tubes sont à F/D=2, donc la collimation n'est pas facile.

    De plus l'amplification x5 (on passe à F/D=10) accentue encore plus les effets d'une collimation "moyenne".

    On tombe dans le schéma très classique : çà ne marche pas donc c'est de la faute de l'autre et donc du télescope. Les tubes sont homogènes et demandent à être bien collimatés !

    Maintenant, si on veut un lambda/12 sur l'onde, il faut s'adresser à un artisan et pour une autre formule optique. Le prix sera aussi différent ...


  2. Je possède un Nexstar. Il existe différentes possibilités pour aligner le télescope. L'une d'elle (SkyAlign) permet de le faire sans connaitre le nom des étoiles. Il suffit d'en pointer 3. C'est la méthode que j'applique et le résultat est excellent: l'objet est toujours dans le centre lors d'une recherche.

  3. Pour essayer de comprendre la règle de composition des vitesses voici une explication relativement simple. Si on part d'un référentiel R, dans lequel les coordonnées de temps et d'espace sont notées t, x, y, z. Un corps s'y déplace avec une vitesse dont les trois composantes sont notées (vx, vy, vz).

    Dans un second référentiel, en mouvement de translation uniforme par rapport au premier (à la vitesse V) dans une direction parallèle à l'axe des x de l'un et de l'autre, la vitesse du corps en mouvement se note (v'x, v'y v'z).

    Chez Galilée, l'équation de transformation d'un système de coordonnées dans un autre s'écrit pour la composante vx : vx = v'x + V (par exemple, si R' se déplace exactement avec la même vitesse que le corps, soit V = vx, le corps apparaît bien immobile dans le référentiel R', soit v'x = 0).

    Maintenant, que se passe t-il dans le cas particulier suivant v'x = c. D'après Galilée, on devrait avoir vx = c + V. Or, il n'en est rien. Dans quelque référentiel inertiel que ce soit, un observateur "voit" toujours la lumière se propager avec une même vitesse c.

    L'expérience impose de "croire" cette étonnante réalité (relativité).

    En mécanique relativiste, l'équation qui permet de "passer" du référentiel R au référentiel R' s'écrit :

    ¨¨¨¨¨v'x¨+¨V
    vx=---------------
    ¨¨¨¨¨1+v'xV/c^2

    Si v'x = c, l'équation se simplifie:

    ¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨c+V¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨c+V¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨c+V¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨c+V¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨1
    Vx¨¨¨=¨---------------¨¨¨=¨¨---------------¨¨¨=¨¨¨---------------¨¨¨¨=¨¨¨---------------¨.¨---------------¨¨=¨¨¨c
    ¨¨¨¨¨¨¨¨¨1+cV/c^2¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨1+V/c¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨(c+V)/c¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨¨c+v¨¨¨¨¨¨¨¨¨1/c

    Voici comment les mathématiques "illustrent" le fait que la vitesse de la lumière, "additionnée" à quelque autre vitesse, donne toujours la même vitesse de la lumière !

    Désolé pour les ¨¨¨¨¨¨¨¨¨ mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour espacer les équations

    [Ce message a été modifié par celestron20 (Édité le 14-07-2010).]


  4. Oui, Dobsonidé je pense que tu as raison. L'exemple qui me revient concerne l'indice de réfraction d'un milieu réfringent R vers un autre milieu réfringent R' selon la loi de Descartes: n1*SIN(angle1)=n2*SIN(angle2).

    La réfringence d'un milieu correspond au nombre de fois que la vitesse de la lumière est plus lente dans ce milieu que dans le vide. Mathématiquement: n = c/v

    où:
    c = vitesse de la lumière dans le vide
    v = vitesse de la lumière dans le milieu
    n = indice de réfraction du milieu

    Par contre, dans ce cas précis on ne parle pas de mouvement et donc de référentiel au sens relativiste.


  5. Bonjour à  tous,

    J'ai terminé dernièrement la lecture du "Paysage cosmique" de Léonard Susskind. J'ai bien aimé ce livre même si par moment la lecture est assez ardue et demande des connaissances pour apprécier les propos. Le "Paysage cosmique" qui fait une grande place à  la physique quantique et à  la théorie des cordes commence par une description du monde selon Feynman, continue par l'apport de la mécanique quantique et termine par un exposé sur les trous noirs.

    Je lis actuellement "la magie du cosmos" de Brian Greene. Je n'ai pas terminé, donc pas de commentaires pour l'instant.

    Et vous ? Votre dernière lecture ? C'était quoi ? Vous avez aimé ?


  6. Bonjour à tous,

    Je m'intéresse actuellement à la théorie des cordes.

    Le sujet est intéressant mais demande un bon niveau d'abstraction pour bien comprendre cette théorie dans sa globalité.

    Il est fait mention d'univers à 10 dimensions (même plus).

    Je voudrais connaître la signification de ces dimensions.

    Merci à vous


  7. Pierre Bourge est un monument pour l'astronomie amateur. Il mérite une grande reconnaissance. Ses apports ont toujours été couronnés de succès.
    Je pense au livre "A l'affut des étoiles", au magazine "Ciel et espace", aux plans du télescope T200, ... A l'époque, Internet n'existait pas. Ses publications ont permis de mieux appréhender notre ciel avec une approche très pragmatique.

    Bref, une personne passionnée et qui a su transmettre cette passion.

    Merci Monsieur Pierre Bourge !