Rocketman

Module wifi Sky Watcher acheté en août 2022 chez Pierrot- Astro et très peu utilisé. Vendu complet dans son emballage et encore sous garantie (facture). Remise en main propre de préférence.

Bonjour, Il y a eu déjà plusieurs discutions à ce sujet et c'est d'ailleurs ce qui m'a donné l'envie d'essayer compte- tenu du faible investissement (moins de trente Euros chez Zozonn pour mon cas). J'ai utilisé les quatre trous filetés arrières de mon Asi224mc pour y fixer un petite plaque d'acier de 2 mm avec des vis fraisées. Le ventilo/peltier vient s'y magnétiser fermement. Je n'ai pas ajouté de pâte thermique, mais je confirme que le refroidissement est déjà assez conséquent, à peu près stable et ne donne pas de vibrations. J'arrive à gagner 10 à 15°C par rapport à la température ambiante. On y gagne un peu en qualité d'image brute. Le seul petit souci est l'alimentation de cet engin. J'utilise un chargeur de 5V/5A et un câble USB de 3A de 2 m et cela chauffe pas mal au niveau de la prise au bout d'un certain temps. Cela m'a permis de m'initier au ciel profond à faible coup avant de m'acheter ma Player- One Uranus Pro refroidie qui, au passage, est géniale en C.P. pour quelqu'un qui n'a pas un gros budget et qui débute dans le domaine. Bon bricolages !

Sûr que ça peut faire un peu peur quand on a pas l'habitude ! Par contre, ce n'était pas une galéjade et la technique fonctionne réellement en s'y prenant bien. Après, comme le dit dob250 et si vraiment ça gêne l'observation, le mieux sera de confier votre C9 à l'importateur ou à un revendeur compétent qui vérifiera aussi l'alignement sur banc après l'opération. Démonter un SC demande toujours un minimum de pratique et de précautions.

Bonjour, Je confirme Il ne faut surtout pas agir directement sur le verre et ne démonter que si la lame est vraiment sale ou provoque des dégradations de l'image du fait des tensions optiques. Sur les anciens Celestron (et sans doute les plus récents), il y avait une solution un peu brutale mais très efficace en S.A.V. : le manche d'outil en bois ! Je l'ai fais pas mal de fois pour démonter des lames collées par l'humidité sur leur barillet à la manière d'une ventouse. - Il faut un manche en bois du genre ciseau de menuisier ou marteau mais surtout pas du métal ou un plastique très dur ! - On place le tube la lame vers le haut pour éviter un accident. - On dévisse et retire la couronne de maintien. - on repère bien la position en rotation de la lame avec son barillet et des éventuelles petites cales en carton ou en liège en mettant des repères côté barillet (feutre ou autre) en face du numéro de série gravé sur le verre (s'il n' y en a pas , hé ben un repère sur chaque élément) ainsi que des cales. - en tenant fermement d'une main le support de secondaire et en le tirant légèrement vers l'extérieur, on tapote des petits coups secs tout autour et sur l'extérieur de la couronne avant du Celestron avec le manche en bois. Les coups doivent être assez appuyés mais il ne faut pas non plus y aller comme un bourrin ! Du doigté, du doigté ! - cela demande souvent de la patience pour doser la force des coups et la traction sur la lame. Le but est de faire rentrer des bulles d'air entre le barillet et le verre pour décoller la lame. - Attention car quand cela fonctionne, la lame se détache d'un coup et il ne faut pas la lâcher ! Du doigté, du doigté ! Après nettoyage et replacement de la lame et de ses cales, il ne faut surtout pas trop serrer les vis de maintien. Elle doivent être juste bloquées en fin de course sans excès car sinon cela contribue au problème du collage et peut créer des tensions optiques. Voilà la méthode que je connais et bien sûr, c'est à vos risques et périls mais je n'ai jamais rien cassé en 40 ans d'astro. (... peu être la chance ? ).

Bonjour, Depuis quelques temps, j'utilise une manette de jeu Bluetooth PC en liaison avec EQmod sur mon PC et ma monture HEQ5. C'est bien pratique pour effectuer finnement les centrages d'étoiles ou d'objets mais la manette est assez grosse et possède trop de fonctions et deux joysticks, d'où parfois des erreurs de manip. Je ne souhaite pas me lancer dans un bricolage de type Arduino et je vois en ligne des mini- manettes vendues entre 10 et 30 Euros qui semblent très bien pour ce type de centrage mais elles ne sont pas forcément bien notées par les acheteurs (pour les jeux). Quelqu'un d'entre vous se sert-il de ce genre d'accessoire en astro et quel sont les avis au niveau efficacité ?

Pas de soucis pour ça le forum doit en avoir vu d'autres, moi le premier ! Mais c'est comme ça qu'on progresse, en posant des questions soit disant bêtes et en faisant des c....ries ! Maintenant, pour les histoires de visseries et de trous dans les barres, il faudrait, peut être, tout simplement contacter l'importateur (O.U. à Colmar) qui pourra sûrement vous renseigner et vous conseiller. La notice S.W., est, en effet, succincte sur le sujet. Et pour les pointages, si rien n'est visible au loin, c'est effectivement plus compliqué en pointant la Lune ou une étoile surtout si le chercheur n'est pas aligné correctement avec le Dobson car le champ dans l'oculaire ne doit pas être folichon, mais avec un peu de patience...

Pour moi, les 3 barres devraient être étirées à fond et en butée. C'est ce qui doit garantir la bonne distance, le parallélisme et collimation approximative de l'instrument si je ne me trompe. Que dit la notice du scope (dispo. au besoin sur le site Sky Watcher) ? Maintenant, sur certains Crayford, il n'y a pas de blocage de l'axe en fin de course et celui-ci continue de tourner par friction alors que le tube P.O. reste fixe, ... à vérifier. Et pour les essais, s'ils n'ont été effectués que sur le ciel, je commencerais de jour par des sujets au loin (maison, pylône, sapin ou ce qu'on trouve). C'est plus commode que d'essayer de nuit et sur la Lune avec un scope qu'on ne maîtrise pas encore. J'utilise parfois un calque que je place en face du P.O. sans oculaire pour voir à quelle distance se forme l'image nette de l'objet pointé au foyer. C'est une solution pour s'assurer qu'il ressort bien du crayford ou n' en est pas trop loin. Bons essais !

OK ! D'après le commentaire, cela laissait penser que l'image avait été prise en parallèle avec le Lumix ! Je n'avais pas bien interprété la suite du texte et le résultat m'épatais un peu car j'ai un Lumix G7 et le zoom 14/140 et ça ne donne pas grand chose en astro ciel profond, même si c'est un bon boîtier compact pour le voyage et la photo standard. Le capteur sature très vite avec le fond de ciel. Avec une Altair 2600 et un 250mm, bien sûr qu'on ne joue pas dans le même jardin ! Mais ce sont quand même de très belles images !

Bonjour, Le champ avec les galaxies est vraiment superbe ! Sans vouloir être trop indiscret, je pense qu'il s'agit d'un boîtier Panasonic et serait-il possible de connaître le modèle de ce " petit " Lumix et l' objectif utilisé, S.V.P. ?

Bonjour, Il pourrait s'agir d'un assemblage d'éléments de provenances et d' époques diverses. Je validerais pour le renvoi d'origine Unitron mais du vivant d'Unitron, je ne me souviens pas qu'il y avait déjà des vis de réglage en nylon (comme cela a l'air sur la photo). C'était plutôt de l'inox ou du Laiton. Je crois me souvenir aussi que leurs chercheurs avaient des réticules en simples fils croisés et non en verre gravé bien que l'oculaire ressemble beaucoup à un Unitron aussi. Mais bon, c'est lointain tout ça ! Par contre, la bague hélicoïdale de mise au point ressemble étrangement à celle d'un chercheur 8x50 que j'avais commandé chez un petit fabricant aux U.S.A. pour mon C8 dans les années 80 ( Genre Roger Tuthill ). Ils vendaient souvent des accessoires de leur cru conçus à base d'éléments divers venant du Japon ou fabriqués sur place.

Non effectivement, mon premier télescope c'était en 1976 ( un 115/900 Manufrance ). Depuis j'ai pas mal fait de visuel et de l'astrophoto argentique au C8. Après une longue pose, j'ai décidé récemment de passer à l'imagerie comptes- tenus du ciel lamentable dont je bénéfice et qui ne me permet plus de voir grand chose. En visuel assisté, on voit tout de suite un minimum. Mais tout ça est très technique et là, je pars de la base minimum en connaissances ! En tout cas, merci à tous pour les encouragements !

Merci ! Je suis de la génération Pierre Bourge ou l'astronomie se pratiquait souvent à petits moyens en bricolant des télescopes avec des bouts de bois et des élastiques et en posant une heure et plus l’œil rivé à l'oculaire guide pour obtenir une photo argentique de M42 ou autre pas toujours probante. Alors quand je vois ce qu'on obtient maintenant en quelques minutes avec une petite caméra Cmos, cela me laisse rêveur. Du coup, j'ai cassé ma tirelire en commandant une Player One Uranus C refroidie qui arrivera bientôt je l'espère. Cela me permettra de gagner, sans doute, en qualité d'image par rapport à l'ASI224.

Bonjour les astronomes, Malgré un ciel de grande ville ou la lumière règne en maître la nuit et la voie lactée un très lointain souvenir. J'ai tenté mes premières nébuleuses prises avec un équipement astro photo restreint. Ces images sont sans prétention mais j'espère qu'elles donneront envie à certains qui n'oseraient pas se lancer car à écouter la plupart des tutos et youtubeurs ( pas tous heureusement ! ), il n'est question que de matériel de dingue à plusieurs milliers d'euros dans leurs démonstrations. Bien sûr, mes résultats ne sont pas les mêmes que les leurs mais le but est de se faire plaisir en sortant quelque chose avec ce que l'ont a ! Le matériel de prise de vue se résume à: - Mon vieux tube C8 200 mm de 45 ans sur une monture HEQ5. - Un correcteur- réducteur F/D 6,3 (focale 1279 mm) - Une petite caméra ZWO ASI224mc d'occasion ( bourrée de pixel chauds ! ) avec un refroidisseur Peltier pour Smartphone collé à son dos pour limiter la montée en température à 17/19°C ( voir les posts à ce sujet sur ce forum ). - Un vieux filtre type LPR. Les prises de vue ont été réalisées avec des poses courtes et un gain moyen. Je n'utilise, pour le moment, aucun autoguidage et je n'ai effectué que des darks de 25/30 fits, mais pas encore d'offset ou de flat. Le traitement des fichiers SER a été réalisé sous SIRIL et Photofiltre. Là aussi je débute et j'ai encore du mal a maîtriser tout ça ! De gauche à droite et de haut en bas : - M27 Dumbell - Pose 5mns ( 87 fits de 3 sec. et gain à 250 ). - M27 Dumbell - mais avec 26 fits de 10 sec. et gain à 300. - M57 Nébuleuse de la Lyre - Pose 5mns ( 86 fits de 3 sec. et gain à 150 ). - NGC 6826 Blink Nebulae - Pose 5mns ( 87 fits de 3 sec. et gain à 250 ). - NGC 6543 L'oeil de chat - ( 96 fits de 3 sec. et gain à 250 ). - NGC 6891 ( constel. du Dauphin ) - ( 15 mns 200 fits de 4,5 sec. et gain à 250 ). J'ai même réussi à choper le quintette de stephan en 15 minutes de pose avec ce setup, mais le cliché finale est trop bruité et les galaxies tout juste visibles. Ce sera à refaire !

Curieux montage et plutôt alambiqué sur cette version LX. Maintenant, cela ne m'étonne pas trop venant de la marque Meade ! En tout cas, content de savoir que vous y êtes finalement arrivé, même si c'est un peu "au pied de biche".

Bonjour, Une photo de votre télescope au niveau des axes ? Cela permettrait de ce faire une idée du modèle de LX200 que vous possédez. Pour l'avoir fait sur des modèles d'il y a quelques années, il faut juste desserrer un des deux bras de fourche de la base moteur pour donner du jeu, sans besoin de les démonter puis ôter les 2 ou 3 vis de part et d'autre de l'axe de déclinaison/hauteur. Le tube doit ensuite coulisser entre ses deux support en le tirant vers l'arrière (à quatre bras et à plat sur une table, c'est mieux !).