Alain MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Alain MOREAU

  1. Amalthée et Phébé : cette fois ils y sont

    Ah, bravo ! Un beau challenge relevé avec brio (et persévérance ) Alain
  2. construction d'une plate forme a 3 m de hauteur

    Une structure triangulée en tubes d'acier remplis de sable sec, ça fonctionne bien aussi En récup' chez un ferrailleur, on peut trouver son bonheur pour le prix au kg ; après bien sûr il faut jouer de la tronçonneuse et du poste à souder, sans oublier quelques plots en béton bien dimensionnés pour l'ancrage au sol...
  3. Gravité! Du Big Bang aux Trous Noirs

    Cédric.E : "Hydrophobie, rien de magique... Ils doit rester des lipides autour de la coque. Si elles se rapprochent c'est parce que c'est la configuration où elles sont le moins en contact avec l'eau." Pas seulement, car en apesanteur elles ne se rapprocheraient pas C'est un peu plus subtil que cela en fait : la capillarité force la surface de l'eau à s'incurver sous forme d'un ménisque concave au voisinage du verre, car le verre est hydrophile ; dans cette zone périphérique, la surface de l'eau n'est donc pas plane et horizontale, mais présente une pente par rapport à l'horizontale d'autant plus forte qu'on s'approche du bord. Tout objet flottant là à sa surface, en l'absence de toute autre force, aura donc tendance à s'éloigner du bord pour aller vers le centre, sous le simple effet de la gravité. D'autre part on peut se représenter la tension superficielle comme une peau élastique résultant du renforcement local des liaisons intermoléculaires à l'interface eau/air, déformée par les objets qui y reposent sous l'effet de la gravité : chaque graine de chènevis, hydrophobe, creuse la surface de l'eau sous son propre poids pour y former une cuvette concave. Lorsque, repoussées des parois du verre vers le centre par la pente due à la capillarité en périphérie, les deux graines s'approchent l'une de l'autre accompagnées de leurs cuvettes respectives, elles tombent mutuellement dans le puits de potentiel minimal formé par leur coalescence, au centre, car c'est là que la pente est minimale dans toutes les directions ; cet état - qui correspond également à l'énergie minimale du système - est donc l'état d'équilibre le plus stable vers lequel il tend naturellement. Pour comprendre un peu plus précisément de quoi il en retourne : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tension_superficielle[Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 26-03-2016).]
  4. Système de collimation d'un miroir primaire?

    Au contraire, plus la collimation est directe, plus elle est stable et précise.
  5. LHC, l'aventure continue...

    Oui, m'enfin là c'était surtout pour surfer sur la contrepèterie de l'inénarrable Vaufrèges, lequel malgré tous ses efforts ne parvient jamais à se prendre tout à fait au sérieux... Cependant Tournesol, j'approuve, je valide, je confirme, je plussoie Super(re)lativement à tes propos (pourvu qu'Il n'en prenne pas ombrage !) : comment se prendre mutuellement trop au sérieux quand le monde nous prouve à ce point quotidiennement qu'il ne l'est pas !?...
  6. Autrefois les tâches rouges se résolvaient paraît-il avec un marteau et une enclume...
  7. LHC, l'aventure continue...

    Toute la différence entre théoriciens et praticiens...
  8. LHC, l'aventure continue...

    Simon : "Mon reproche va à aux physiciens qui cherchent à faire du bruit" Etonnant de chercher à faire du bruit quand l'essentiel de ses efforts vise à s'en extraire !
  9. Gregory 300.

    Superbe instrument intelligemment conçu sur une superbe monture maison : bravo ! J'aime beaucoup l'élégance du haubanage de la cage secondaire, la sobriété générale du design, la qualité de fabrication et le soin apporté aux finitions Concernant la stabilité dimensionnelle du tube, avec un tel ratio d'amplification f/D primaire x secondaire (même question que Guilherme de Almeida : 5x6 ?) seul un authentique serrurier carbone - y compris baffle secondaire - avec caisson central acier ou alu, permettrait d'obtenir une bonne athermicité en combinant judicieusement segments & matériaux... sans oublier d'intégrer dans le calcul la longueur et les caractéristiques thermiques du train optique côté PO Maintenant il faut d'abord voir à l'usure comme dit l'autre, comment ça se passe dans la vraie vie, et faire des tests avant d'attaquer d'éventuelles optimisations, peut-être superflues pour un usage purement visuel : cas où des variations modérées de MAP et de back-focus en version tout alu ne paraissent pas forcément problématiques. C'est surtout la qualité et la stabilité de collimation qui primeront ici. Si l'instrument doit évoluer ultérieurement vers l'imagerie, il sera toujours temps d'y remettre le nez Pour la collimation du secondaire, clairement une rotule au rayon de courbure centré sur son centre optique serait idéale, sauf si le bloc secondaire demeure si stable qu'aucune retouche n'est régulièrement nécessaire L'instrument sera-t-il nomade ? Pour le primaire, se contenter de fixer un des 3 points après pré-réglage initial à la bonne distance primaire-secondaire devrait suffire si la géométrie du tube se déforme peu sous les variations de température et les flexions mécaniques. A voir en pratique si les déformations réelles resteront en toutes circonstances dans les limites des tolérances optiques. Je vais suivre ton retour d'expérience avec intérêt [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 24-03-2016).]
  10. Vitesse héliocentrique

    ChiCyg : "je comprends mieux pourquoi, sur Rodrigues, tu es dans la dérive totale" Je dois bien m'éloigner du CERGA de 2 à 3cm par an effectivement : cela explique enfin tout !
  11. Vitesse héliocentrique

    ChiCyg, ton humour serait mieux perçu en chair et en os j'en suis sûr : il y manque ici la dimension non verbale, ce qui - phénomène connu sur les forums - en rend l'interprétation plus aléatoire ; alors mes excuses à toi, ta famille et tous ceux qui te pratiquent au quotidien dans la vie non virtuelle : c'est finalement moi qui ai dû te lire au premier degré Après avoir pris connaissance de tes liens, ainsi que ceux de dg2 (donc cette fois au terme d'une lecture plutôt du douzième degré effectivement... ) il apparaît en effet que c'est une sacrée usine à gaz : derrière le moulinage implacable des équations, se cache un paquet de "simplifications" et d'approximations, avec lesquelles les astronomes de terrain, tout comme les praticiens de la trajectographie interplanétaire, sont bien forcés de composer avec philosophie et pragmatisme, les mains dans le cambouis... Je ne sais pas si je dois vous en remercier finalement : je me coucherai certainement moins bête ce soir, mais avec le sentiment de l'être beaucoup plus...
  12. Vitesse héliocentrique

    ChiCyg ! Cesse de tout prendre au premier degré, bigre bougre de saperlipopette !!! "c'est un programme qui date de 1980 qui est très simple et qui suffit au besoin que demander de plus ?" Oups : j'ai oublié les smileys, désolé ChiCyg, pardon à ta famille, etc. etc. etc. C'était surtout pour taquiner Toutiet, mais faire d'une pierre trois coups dépasse mes espérances Ceci dit les stellaires (ChiCyg et Tournesol : deux pseudos qui riment avec les étoiles ), cette précision - j'en conviens déjà remarquable - va suffire pour combien de temps encore ? Vous savez comme moi que le diable se cache dans les détails et les belles découvertes dans la prochaine décimale, pour s'extraire enfin de ce foutu biais observationnel qui nous cache encore les plus petites planètes un peu éloignées de leur étoile, et qui permet à Super d'affirmer que notre Système Solaire est très très atypique...
  13. Vitesse héliocentrique

    ChiCyg : "Il ne tient pas compte des marées, ni de la dérive des continents " Ben justement, c'est dans les 42 cm/s qui restent... (enfin surtout les marées quand même, faut pas charrier ; pardonne-lui Toutiet : il exagère toujours ! ) Pas terrible comme (im)précision, quand on sait que Harps est dans l'ordre du m/s, et que les prochaines générations vont descendre d'un facteur 10 au moins en routine grâce au peigne laser... Toutiet : "il y en a même qui pensent que pour aller d'un point à un autre, il suffit de monter à la verticale, en fusée par exemple, et d'attendre que la Terre tourne en-dessous, puis de redescendre... et voilà ! (Il suffisait d'y penser...!) Hi, Hi" On ne se moque pas Toutiet, ça c'est parfaitement exact, hé hé !
  14. Vitesse héliocentrique

    C'est pour ça que je demandais à Toutiet avec quel degré de précision... Parce que s'il faut aller jusqu'à tenir compte des marées terrestres et des variations saisonnières de la vitesse de rotation de la Terre, des perturbations gravitationnelles qu'elle subit sur son orbite et autres joyeusetés, ça va vite devenir assez chiant !
  15. Vitesse héliocentrique

    Très précisément, ou à la louche ?
  16. Demandez la Lune : chacun fera la sienne

    La 2, puisqu'il faut choisir
  17. Actualités de Curiosity - 2013

    @Kaptain : Jacques Réda "L'avis de Dieu" pour les premiers vers cités par Vaufrèges ma libre inspiration sans consentement de l'auteur pour les suivants
  18. Actualités de Curiosity - 2013

    ... Un murmure intérieur pourtant lui susurait Qu'il est un sens caché, une intime confidence Sur l'ardoise de son âme comme un signe à la craie Pour écrire l'équation de cette coïncidence...
  19. Oh, mais c'est que le permis de pilotage intersidéral, y z'en font plus cadeau de nos jours !... Même et surtout pour le ramassage extrasolaire [Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 17-03-2016).]
  20. TNO, KBO, SDO, plutinos & Co.

    Ok merci, évident.
  21. La plus belle de toute, notre galaxie

    Eroyer : "La teinte un peu plus jaune au niveau du bulbe est réellement perceptible à l'oeil sous un très bon ciel ?" Oui, absolument ! C'est subtil, mais bien perceptible quand le bulbe passe à une hauteur suffisante pour qu'on ne puisse pas soupçonner l'atténuation vers l'horizon d'être pour quelque chose dans ces nuances... Je suis persuadé que Serge a parfaitement et délibérément voulu rendre cela Par contre à l'oeil nu, les dominantes des étoiles individuelles isolées sont déjà plus chaudes à distinguer, sauf extrêmes ; plus faciles quand il y a peu de distance angulaire entre elles et qu'on peut les comparer côte à côte d'un seul regard. L'oeil a normalement besoin d'embrasser une certaine extension surfacique pour détecter sans ambiguité des nuances colorées (ainsi quand on défocalise les étoiles sur un instrument, leur couleur saute immédiatement aux yeux) Le bulbe en soi est un objet extrêmement lumineux et de vaste extension, de même que le disque vu par la tranche depuis l'hémisphère sud, car c'est là qu'il est le plus large, dense et "profond", tout en passant à une heure ou une autre pratiquement au zénith en pleine nuit noire la moitié de l'année ! C'est cette verticalité - synonyme d'un minimum d'extinction - qui leur donne cette extraordinaire "présence" dans un ciel vraiment noir et transparent. Maintenant c'est clair qu'il y a aussi beaucoup de poussières, de nébulosités sombres qui zèbrent la Voie Lactée : pas facile de savoir la part qu'il faut réellement leur attribuer dans ces perceptions très discrètement colorées, ni celle des contrastes locaux qui influent plus ou moins sur notre perception des couleurs...
  22. TNO, KBO, SDO, plutinos & Co.

    Parce que le pic de probabilités n'est pas centré ?
  23. Ngc 4565 et ses AG, pour changer des petites galaxies au C11HD

    Bon sang ! Je suis scié chaque fois que j'ouvre tes posts ! Même pas de commentaire à ce stade : c'est super impressionnant.
  24. Oui, assombrir le bleu, si l'atmosphère est du même genre que la nôtre, pourrait être une bonne idée (cela t'arrangerait, n'est-ce pas ? ) Par contre ton scénario impose quelques contraintes qu'on peut exploiter utilement pour ne pas taper au hasard : Si le soleil local paraît fixe dans le ciel de cette planète, c'est qu'elle est en rotation synchrone avec son étoile. Pour que les forces de marées les aient "soudées" l'une à l'autre, il faut qu'elle l'orbite à faible distance avec une courte période. Son ciel zodiacal défile rapidement : impossible en conséquence que la moitié de l'Univers nous demeure durablement caché, aucun risque que notre Terre reste non-localisable car du mauvais côté Ensuite pour que la planète se retrouve malgré la proximité de son soleil en zone habitable, ce ne peut être qu'une naine rouge. Aussi son pic d'émission de corps noir est décalé vers le rouge par rapport au Soleil : il faut déjà filtrer en conséquence D'autre part, dans cette situation l'année locale y est forcément courte : un seul jour-nuit éternel par an selon de quel côté on se place en ce qui la concerne équivalent en durée à quelques dizaines, voire à une centaine de jours terrestres tout au plus Ceci implique au moins deux choses : L'environnement stellaire défile à grande vitesse en arrière-plan au voisinage de l'écliptique (10x plus vite que vu de la Terre en ordre de grandeur) donc exit des poses "longues" sans suivi sidéral si on veut détecter des signaux "pinpoint" sur un fond de ciel déjà hyper lumineux... (problématique d'Amalthée en pire ) La planète inconnue est suffisamment massive pour s'être différenciée à sa naissance et permettre ensuite à sa rotation de se synchroniser sur sa révolution... Il s'ensuit qu'une planète assez massive en orbite proche de sa naine rouge à seulement 30 al du Soleil, ne devrait pas avoir échappé à une détection préalable avec les moyens dont nous disposons d'ores et déjà : serait-elle donc forcément connue et ce scénario irréaliste ? ... eh bien pas si elle orbite quasi perpendiculairement à la ligne de visée depuis la Terre, car alors elle serait restée très difficile à détecter Auquel cas il faut rechercher la Terre depuis cette planète à 90° du plan de l'écliptique locale - soit quelque part vers l'horizon puisque son soleil apparaît au zénith, et préférentiellement en direction des pôles écliptiques - soit dans deux directions opposées privilégiées sur cet horizon, qu'il sera facile de déterminer si l'on parvient à observer la dérive d'une étoile et une seule, n'importe laquelle, pour commencer Cela - on va dire - élimine déjà 90% de champs qu'il est inutile de scanner : une bonne chose de (pas) faite Comme, toutefois, pour les 10% restants on n'a ni boule de cristal à bord (quelle négligence !) ni suivi sidéral possible au départ, on commencera ensuite logiquement par balayer patiemment l'horizon en quête de circumpolaires, jusqu'à ce que les arcs plus courts décrits par la rotation de champ au voisinage immédiat des pôles écliptiques, facilite la révélation des étoiles les plus brillantes dans cette direction grâce à leur faible déplacement angulaire durant la pose, ce malgré l'absence à ce stade de tout suivi sidéral : on saura dès lors que l'un des deux pôles détectés pointe approximativement vers la Terre Un filtre polarisant pourrait sûrement nous aider déjà à trouver une étoile brillante à 90° du foutu soleil de cette foutue planète malgré la foutue lumière de son foutu jour sans fin ! (ou guère moins de 90°, puisqu'il faut bien chercher quelques degrés au dessus de son foutu horizon pour surmonter sa foutue extinction ) En outre, vu la modeste densité stellaire de notre voisinage galactique, il ne doit guère exister plus d'une trentaine d'étoiles à +/- 30 Al de la Terre en intégrant l'incertitude sur la mesure de leur distance - faible ici - d'après les données Hyparcos & Childs. Parmi ces trente, on peut éliminer d'office toutes celles qui sont déjà connues pour posséder des planètes (sinon notre vaisseau saurait déjà où nous nous trouvons et nous aussi ! ) ainsi que toutes celles qui ne sont pas des naines rouges. Donc il en reste... disons... dix (ou dix et demie si je me suis lamentablement vautré dans mes estimations ) Depuis chacune de ces dix, on peut modéliser facilement l'environnement stellaire tel qu'il devrait apparaître en perspective autour de la Terre, vu depuis notre belle et sauvage inconnue - mais plus tout à fait si inconnue Comme déjà démontré, nous savons que notre planète X orbite son étoile sur un plan voisin d'une perpendiculaire à la ligne de visée "home sweet home". Ce qui gâte provisoirement l'affaire, c'est que notre Soleil "maison" n'est pas directement détectable depuis 30 al dans nos conditions déplorables d'observation... Cependant, il suffit maintenant que nous opérions une sélection des étoiles les plus brillantes détectables en arrière-plan (beaucoup plus que notre Soleil en magnitude apparente) après filtrage selon les caractéristiques déterminés précédemment de transparence/contraste/diffusion de notre ciel éternellement diurne, pour faire apparaître ce que nous cherchons : une base de données de référence, réaliste et rétrécie. Pourquoi rétrécie ? eh bien parce que ça risque de ne pas aller comme sur des roulettes pour l'analyse photométrique et/ou spectrale de champs depuis le plancher d'une planète inconnue, sous une atmosphère inconnue, éclairée par un soleil inconnu... Les marges d'incertitude sur nos mesures, traduisant notre ignorance locale, se traduiront nécessairement par plus d'incertitudes sur la détermination de nos cibles. Alors plus on sera sélectif, mieux on se portera ! Pour terminer, il va nous rester à scanner méthodiquement la voûte céleste locale avec notre télescope 3D print, mais plus de façon exhaustive ni totalement au hasard à présent : en commençant par l'horizon puis en élargissant progressivement au voisinage des pôles écliptiques, jusqu'à faire apparaître des champs exploitables d'étoiles m<3 à proximité des directions probables où se trouve la Terre (on pourrait désormais faire ça à partir de n'importe quel champ puisqu'on compense à présent la révolution sidérale, mais on économisera utilement temps et énergie en cartographiant directement la zone où pointer notre transmetteur laser pour maximiser nos chances de communication ) Dès la première étoile détectée, nous mesurerons donc expérimentalement la vitesse sidérale, puis à partir de là, la magnitude maximum détectable avec suivi sidéral sur ce fond de ciel gravement illuminé, nous permettant enfin d'affiner nos modèles de champs - une situation nettement moins pire qu'au départ en termes de détectivité et de sélectivité vous en conviendrez, qui rentabilise bien quelques déductions préliminaires On n'aura plus qu'à comparer à mesure nos champs scannés avec ceux de notre base de données, en guettant avec fébrilité sur l'écran l'apparition salvatrice du mot : "MATCH !" Si l'on admet qu'on peut scanner en gros une dizaine de degrés carrés par champ photographié en conservant un rapport f/D suffisant pour assombrir assez le fond de ciel afin d'y détecter les étoiles de magnitude <3 par exemple (et je pêche sûrement par excès de pessimisme) on devrait pouvoir situer notre position après avoir scanné seulement quelques centaines de champs au maximum ; et avec un peu de chance, beaucoup moins si on parvient à repérer un trio d'étoiles angulairement bien positionnées, sur lesquelles opérer des mesures pour une identification certaine J'ajoute que si l'on peut observer un léger aplatissement de notre étoile dès le départ, cela fournira directement la direction des pôles écliptiques : ainsi avant toute autre chose il semblerait pertinent de commencer par caractériser et mesurer très soigneusement cette étoile, d'autant qu'il faudra bien faire la MAP de notre instrument sur son limbe ou sur ses taches s'il en existe (ce n'est pas là une tâche bien compliquée si vous voyez ce que je veux dire ^^^ )[Ce message a été modifié par Alain MOREAU (Édité le 17-03-2016).]
  25. On peut pas Luther contre un esprit pareil