jackbauer

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Tout ce qui a été posté par jackbauer

  1. Xavier Jubier, le grand spécialiste des éclipses était sur place en Arabie S. et nous fait partager de superbes photos de l'éclipse :
  2. Mauna Kea pour le TMT

    https://www.nytimes.com/2019/12/23/science/telescopes-magellan-hawaii-astronomy.html Un article du New-York Times qui exprime la crainte (exagérée semble t-il) des américains de perdre leur leadership dans la recherche astronomique. En cause les problèmes du TMT au Mauna Kea mais aussi ceux du financement. Comme l'ELT européen, les deux projets américains (TMT et GMT) sont loin d'avoir bouclé leur budget...
  3. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Le Starliner est la 1ère capsule américaine a revenir se poser sur la terre ferme et pourtant il va être rebaptisé du nom d'un célèbre navire. Allez comprendre... https://www.nasa.gov/press-release/nasa-boeing-complete-successful-landing-of-starliner-flight-test extrait : Le Starliner qui a atterri aujourd'hui sera remis à neuf pour la première mission opérationnelle en équipage de Boeing, après le Crew Flight Test. L'astronaute de la NASA Suni Williams, qui effectuera cette mission, a baptisé le vaisseau spatial «Calypso» d'après le navire du célèbre explorateur Jacques Cousteau.
  4. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    https://spaceflightnow.com/2019/12/20/spacex-poised-to-accelerate-launch-cadence-with-series-of-starlink-missions/ Après avoir effectué 18 lancements en 2017, 21 en 2018, SpaceX termine 2019 avec seulement 13 tirs. (marché des sats de telecom en berne) Mais la direction prévoit une année 2020 record avec 35 à 38 lancements, une majorité étant consacrée à déployer la constellation Starlink. Seule une dizaine de 1ers étages seront construits, ceux récupérés seront réutilisés. Par contre il vont devoir accélérer la cadence de production pour les 2èmes étages... Déploiement de Starlink, 1ers vols habités de Crew Dragon, dévellopement du Starship, ect : en 2020 SpaceX va continuer d'assurer le show... et d'énerver pas mal de monde : youpi !!!
  5. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Retour sur Terre de la capsule de Boeing prévu demain à 13h57 (heure française)
  6. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    la noblesse tu veux dire... En effet la dernière fois que l'Angleterre a été envahie, c'était par Guillaume le Conquérant, Duc de Normandie en 1066 ; Couronné roi d' Angleterre le français y est devenu langue officielle (pour une période assez courte) Mais dis-nous Roul, es-tu français ou anglais ? Ton langage semble hésiter entre les deux...
  7. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Un article sur le site du Monde : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/12/20/la-capsule-starliner-de-boeing-rate-son-vol-d-essai-et-doit-rentrer-sur-terre_6023668_1650684.html?xtor=EPR-32280629-[a-la-une]-20191221-[zone_edito_2_titre_11] extrait : L’anomalie s’est produite dans le compteur embarqué de « temps écoulé » dans la mission. Ayant un horaire erroné, Starliner n’a pas effectué la poussée au moment où elle devait la déclencher, peu après s’être détachée de la fusée. Quand les salles de contrôle de Boeing et de la NASA ont tenté de corriger le problème manuellement, la capsule ne pouvait pas recevoir la commande directement car elle se trouvait en transition entre deux satellites de communication. Quand elles ont repris le contrôle, les équipes ont jugé qu’il ne restait plus assez de carburant pour continuer la mission et tenter l’amarrage avec l’ISS, qui était prévu samedi
  8. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    lien pour le direct :
  9. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    https://blogs.nasa.gov/commercialcrew/category/boeing/ C'est aujourd'hui pour la 1ère fois que la capsule Starliner de Boeing doit être lancée par une Atlas V à Cap Canaveral (tir prévu à 12h36 chez nous)
  10. ExoMars Rover (ESA) 2020

    http://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/Exploration/ExoMars/Promising_progress_for_ExoMars_parachutes Des progrès prometteurs pour les parachutes d' ExoMars Une série de tests au sol conçus pour vérifier l'extraction des parachutes de la mission ExoMars 2020 de leurs sacs ont commencé avec succès avec des résultats prometteurs pour garder la mission sur la bonne voie pour un lancement l'année prochaine. N.B : la vidéo vaut le détour...
  11. mars 2020 rover

    ça roule !!!
  12. Exoplanètes : dernières découvertes

    ça y est ! Cette fois la Soyouz a décollé à l'heure prévue ! Il faut attendre encore deux heures pour savoir si CHEOPS a été placé correctement sur la bonne orbite
  13. Exoplanètes : dernières découvertes

    et : https://www.air-cosmos.com/article/soyouz-rate-sa-fentre-de-lancement-immdiate-22264
  14. Exoplanètes : dernières découvertes

    Quelques passages traduits : Le budget de la mission CHEOPS est également relativement modeste, dépassant à peine la barre des 110 millions de dollars (100 millions d'euros). L'ESA a financé environ la moitié des coûts de la mission, y compris l'achat du bus spatial et des services de lancement. Un consortium de 11 pays européens, dirigé par la Suisse et l'Espagne, a contribué au financement du reste des coûts de la mission.Le choix d'une orbite à basse altitude pour CHEOPS a permis d'économiser de l'argent, ont déclaré des responsables. (...) "Être sur une orbite terrestre basse a l'avantage d'être relativement bon marché", a déclaré Benz. «Il ne nécessite pas trop de communication sophistiquée, mais il présente des inconvénients. La Terre cache une partie du ciel. Vous volez à travers des ceintures de radiation, ce qui cause des problèmes dans votre électronique et dans vos détecteurs. » CHEOPS volera sur une orbite qui épouse le terminateur ou la frontière entre les côtés jour et nuit de la Terre. "L'idée est de toujours observer les étoiles qui sont situées sur le côté sombre de la Terre", a déclaré Benz.Le nouveau télescope d'exoplanètes de l'ESA observera environ 300 cibles au cours de sa mission principale de trois ans et demi, selon Ehrenreich.
  15. Exoplanètes : dernières découvertes

    C'est donc demain mardi matin, 09h54 (heure de Paris) depuis Kourou qu'une Soyouz va lancer 2 satellites et 3 cubsats. Parmi eux le satellite CHEOPS, construit par différents pays européens avec une maîtrise d'oeuvre de la Suisse. Après COROT, KEPLER et TESS, le petit CHEOPS (280 kg) est un nouveau chasseur d'exoplanètes. Mais contrairement à ses précurseurs il ne fera pas de large survey pour détecter le plus grand nombre de planètes possible, mais observera à la demande des étoiles bien particulières, connues pour héberger des exoplanètes connues. L'objectif est de mieux déterminer leur diamètre et de voir si d'autres, détectées par vitesse radiale, ne transitent pas devant leur étoile.
  16. Lancement de OSIRIS-REx le 9 septembre

    Comparaison n'est pas raison, mais je remarque que la mission japonaise Hayabusa 2 a coûté au moins 3 fois moins cher (je n'ai plus les chiffres exacts) avec un scénario beaucoup plus compliqué...
  17. INSIGHT : sonder l'intérieur de Mars

    Traduction d'une grande partie d'un autre article fort intéressant Je crois qu'on peut le dire : cette mission se dirige vers un succès (du moins pour SEIS, l'instrument principal et raison d'être de l'aventure) https://eos.org/features/a-modern-manual-for-marsquake-monitoring ...Mais les sismomètres Viking, malheureusement, n'ont renvoyé qu'un seul tremblement de terre et beaucoup de bruit. «L'un d'eux n'a pas fonctionné. L'autre, pour diverses raisons, n'a pas vraiment détecté quoi que ce soit que nous puissions définitivement dire être un marsquake », a déclaré Weber. «C'était principalement parce que l'instrument lui-même n'était jamais entré en contact avec le sol, mais plutôt qu'il était juste monté sur le pont de l'atterrisseur. Et donc tout ce qu'il a jamais enregistré, c'est le vent qui souffle. » (...) "Les 6 premiers mois de la mission ont été consacrés à la détermination parfaite du bruit ambiant autour de notre sismomètre", a déclaré Yana. "Tout ce qui entoure notre capteur crée du bruit et des variations de signaux sismiques." Certaines des mesures du «bruit» de SEIS sont de minuscules déplacements au sol dus aux changements de pression et de vent et à des phénomènes météorologiques comme les diables de poussière. Ces signaux, détectables par SEIS ultrasensible, seraient noyés dans la turbulence des océans et de l'atmosphère de la Terre, a déclaré Banerdt. «Nous examinons une bande de fréquences qui est vraiment invisible sur Terre», a-t-il déclaré. "Et sur Mars pendant la partie la plus calme de la soirée, nous voyons des signaux qui sont mille fois plus faibles que tout ce qui est détectable sur Terre." Enfin, 128 jours martiens après l'atterrissage, SEIS a détecté son premier tremblement de terre vérifiable . Le tremblement était minuscule, trop petit pour identifier son origine ou sa cause, mais était distinctement différent des tremblements causés par le vent. L'enregistrement de l'événement sol 128 (ci-dessous) a séduit la communauté des sciences planétaires et, bien sûr, l'équipe du projet. (...) Un deuxième marsquake sur le sol 173 et un troisième sur le sol 235 ont révélé la variété des tremblements de terre que Mars a à offrir. "Nous observons actuellement deux familles de tremblements de terre sur Mars", a déclaré Simon Stähler , sismologue à l'ETH Zurich, dans un communiqué sur le deuxième séisme. «Le premier tremblement de terre a été un événement à haute fréquence plus semblable à un tremblement de lune que ce à quoi nous nous attendions. Le deuxième séisme était une fréquence beaucoup plus faible, et nous pensons que cela peut être dû à la distance. " Comme une onde sismique se déplace à travers la roche solide, cette roche atténuera de plus en plus les fréquences les plus élevées du signal, a expliqué Banerdt. Cela peut aider à déterminer la distance entre l' épicentre du séisme et le sismomètre. "Il semble qu'il y aura suffisamment de viande dans les données pour faire, honnêtement, sans aucune sorte d'hyperbole, des découvertes importantes de premier ordre sur la structure intérieure de Mars", a ajouté Koper. Essayer de comprendre les tremblements de Mars Au cours des 3 premiers mois de collecte des données, SEIS a détecté 21 événements sismiques dont l'équipe est certaine qu'ils n'étaient pas causés par des phénomènes atmosphériques. Plus de 100 autres événements sont classés comme «maybes». L'équipe discutera de ces résultats lors de plusieurs sessions lors de la réunion d'automne 2019 de l'AGU les 12 et 13 décembre . Alors que les tremblements de terre commençaient à affluer , l'équipe a réalisé qu'elle devait développer un nouveau système de classement pour les événements. Maintenant "il y a une échelle de magnitude qui a été développée pour Mars, analogue aux échelles de magnitude que nous utilisons sur la Terre", a déclaré Banerdt. La nouvelle échelle intègre la façon dont une onde sismique change en se déplaçant de l'épicentre vers une station sismométrique, changements qui dépendent des propriétés du matériau traversé par l'onde. "C'est vraiment lié aux propriétés de transmission de la planète sur laquelle vous la regardez", a déclaré Banerdt, c'est pourquoi l'échelle de magnitude de la Terre ne fonctionne pas pour les marsquakes. Les données récemment publiées comprennent trois événements de «qualité A» avec des signaux forts et clairs bien au-dessus du niveau de bruit. Les données de deux des événements étaient suffisamment détaillées pour identifier leurs épicentres. "Ils sont tous les deux dans la même zone", a déclaré Banerdt, "une région appelée Cerberus Fossae . ... Il y a des coulées de lave récentes dans cette zone. Il y a eu récemment des inondations dans cette région. Il y a des failles dans cette région. C'est donc un domaine que nous avions mis de côté comme un lieu que nous voulions surveiller lorsque nous avons commencé à accumuler des événements. Et les deux premiers événements localisables que nous avons sélectionnés sont situés dans cette région. » Les marsquakes ont également révélé un phénomène curieux: une résonance proche d'une fréquence de 2,4 hertz qui n'est pas provoquée par l'atterrisseur. La résonance apparaît comme une augmentation inattendue de l'énergie des vagues près de cette fréquence vibratoire mais seulement pour certains tremblements de terre. "Nous ne savons pas exactement d'où il vient ni pourquoi il est là", a ajouté Banerdt. «Nous ne savons pas pourquoi il s’excite ou ne s’excite pas, mais nous pensons que cela a quelque chose à voir avec une sorte de résonance dans la couche crustale qui est sensible à l’excitation par des événements sismiques. Et c'est quelque chose qui laisse perplexe. » Les marsquakes se produisent-ils aussi souvent que prévu? L'équipe InSight constate que la fréquence des petits événements sismiques semble étonnamment familière. "Nous voyons presque autant d'événements qui seraient générés sur la Terre si vous supprimiez toutes les limites des plaques et toutes les zones de points chauds, simplement en regardant ce que nous appelons la sismicité entre plaques", a déclaré Banerdt. C'est un niveau d'activité plus élevé que ce à quoi l'équipe s'attendait pour les petits événements. Pendant ce temps, l'instrument a détecté moins d'événements forts que les modèles ne l'avaient prévu. "Cela nous dit soit que Mars distribue sa libération d'énergie sur des tremblements de terre de différentes manières ... ou que nous avons un peu d'apprentissage à faire pour identifier ce qui est un marsquake et ce qui ne l'est pas", a-t-il déclaré.
  18. INSIGHT : sonder l'intérieur de Mars

    Du nouveau, et du costaud : bref des résultats !! Traduction automatique (article sur le site de Nature) : https://www.nature.com/articles/d41586-019-03796-7 L'atterrisseur Mars InSight de la NASA a détecté plus de 300 tremblements de terre et en a retracé certains jusqu'à leur source. Les marsquakes arrivent vite et furieux. Depuis son site d'atterrissage près de l'équateur martien, la mission InSight de la NASA détecte environ deux tremblements de terre par jour - et le taux augmente. «Nous en avons beaucoup», a déclaré Bruce Banerdt, géophysicien au Jet Propulsion Laboratory de Pasadena, en Californie, et chercheur principal d'InSight. Il a rendu compte des conclusions le 12 décembre lors d'une réunion de l'American Geophysical Union à San Francisco. Depuis son arrivée sur Mars il y a un peu plus d'un an, InSight a détecté 322 tremblements de terre. Ce sont les premiers tremblements de terre jamais détectés sur Mars , et le premier sur n'importe quel corps autre que la Terre et la Lune. Les scientifiques visent à les utiliser pour sonder l'intérieur martien, notamment en déchiffrant les tripes de la planète en couches de croûte, de manteau et de noyau. La plupart des tremblements de terre sont minuscules, bien plus petits que tout ce qui se ferait sentir sur Terre. Mais un couple a été assez grand - jusqu'à près de magnitude 4 - pour que les scientifiques puissent les retrouver jusqu'à leur source. Deux des plus grands tremblements de terre sont venus d'une zone géologiquement active connue sous le nom de Cerberus Fossae, qui se trouve à environ 1 600 kilomètres à l'est d'InSight. Les tremblements de terre peuvent avoir été causés par l'accumulation de stress le long des failles géologiques dans la croûte martienne, puis libérés lors d'un tremblement de terre. Les autres premières découvertes de la mission incluent de mystérieuses impulsions magnétiques qui apparaissent vers minuit chaque nuit sous l'atterrisseur. Mais l'un des principaux objectifs d'InSight - enfoncer une sonde thermique à 5 mètres dans le sol martien - reste frustrant hors de portée. La sonde, surnommée «la taupe», a rencontré plus de frottement dans le sol que les scientifiques ne l'avaient prévu. En octobre, il a même reculé de façon inattendue. Tracer les tremblements Jusqu'à présent, les plus grandes découvertes sont venues du catalogue en constante expansion des tremblements de terre. Le sismomètre très sensible d'InSight mesure les chasses aux tremblements de terre la nuit, après la disparition des vents qui secouent le sol pendant la journée. Les marsquakes sont de deux types. Le plus courant secoue le sol à haute fréquence. Moins courant est un type de tremblement de terre qui est détectable à des fréquences plus basses. Ceux à haute fréquence peuvent provenir de tremblements de terre qui rompent la croûte martienne peu profonde, tandis que ceux à basse fréquence peuvent voyager du plus profond de la planète, dans son manteau, a déclaré Domenico Giardini, sismologue à l'ETH Zurich en Suisse. Deux des plus grands tremblements de terre ont frappé en mai et en juillet. Les deux étaient du type basse fréquence. Les membres de l'équipe ont pu retracer l'énergie sismique d'où elle provenait, à Cerberus Fossae. Cette zone abrite une activité géologique récente, y compris des failles qui semblent s'être déplacées au cours des 10 derniers millions d'années. Avant le lancement d'InSight, les chercheurs avaient prédit qu'il pourrait être en mesure de détecter les tremblements de terre provenant de Cerberus Fossae. Les failles là-bas pourraient accumuler du stress à leurs extrémités, a déclaré Alice Jacob, une scientifique planétaire à l'Institut de Physique du Globe à Paris. Une analyse qu'elle a menée suggère que cela pourrait être la source des marsquakes captés par InSight. Le taux de tremblements de terre a augmenté au fil du temps, a déclaré Banerdt - de quelques-uns rapportés sporadiquement après l'atterrissage au rythme actuel de deux par jour. Les scientifiques de mission ne savent pas pourquoi. Les pulsations magnétiques qui apparaissent chaque nuit sont également mystérieuses. InSight les a mesurés avec son magnétomètre, et ils peuvent être liés à quelque chose qui se passe dans l'environnement spatial autour de Mars. Une idée est qu'ils sont créés lorsque des particules chargées du vent solaire claquent dans le champ magnétique de Mars. Problèmes de sonde Le plus grand drame d'InSight à ce jour est venu avec sa taupe. Il a d'abord commencé à creuser le sol comme prévu, mais a frappé la catastrophe en octobre, quand il a soudainement jailli de son trou. Les ingénieurs de la mission ont conçu la taupe pour travailler dans un type de sol différent de celui rencontré. Il a été conçu pour un sol sans cohésion, dans lequel les particules s'écoulent avec peu ou pas de friction entre elles, comme dans une cuve de sucre. Mais le lieu d'atterrissage d'InSight s'est avéré avoir un sol cohérent, dans lequel les particules se collent plus comme dans une cuve de farine, explique Tilman Spohn, un scientifique de l'espace au Centre aérospatial allemand de Cologne, en Allemagne. Lorsque la taupe a commencé à creuser, le sol autour d'elle s'est compacté en fosse. La taupe ne pouvait pas gagner suffisamment de friction contre les parois de la fosse pour continuer à se déplacer dans le sol. Spohn dit que lui et ses collègues avaient vu cela se produire dans des expériences de laboratoire impliquant des sols cohésifs, mais qu'ils s'attendaient à ce que le lieu d'atterrissage d'InSight ait des sols sans cohésion parce que c'est ce que les autres sites d'atterrissage martiens ont révélé. InSight semble avoir eu la malchance de se poser dans un endroit où le sol est compacté en un matériau plus dur appelé duricure, explique Matthew Golombek, scientifique planétaire au Jet Propulsion Laboratory. La croûte dure est à la fois plus dure et peut-être plus épaisse que prévu. Les ingénieurs de la mission ont essayé de surmonter le problème en épinglant la taupe sur le côté de la fosse avec le bras de l'atterrisseur pour lui donner plus de friction pour continuer. Et il recommence à s'enfoncer dans le sol, lentement et soigneusement. «D'ici Noël, notre cadeau sera peut-être de revenir à la case départ», explique Spohn. "Ce qui à ce stade serait une situation très, très bienvenue."
  19. Sonde JUNO : destination Jupiter

    https://www.nasa.gov/feature/jpl/nasas-juno-navigators-enable-jupiter-cyclone-discovery Le pôle sud de Jupiter a un nouveau cyclone. La découverte de l'énorme tempête jovienne s'est produite le 3 novembre 2019, lors du survol de Jupiter pour la collecte de données par le vaisseau spatial Juno de la NASA. Il s'agissait du 22 e survol au cours duquel le vaisseau spatial à énergie solaire a collecté des données scientifiques sur la géante gazeuse, à une altitude de seulement 2 175 miles (3 500 kilomètres) au-dessus de ses sommets nuageux. Le survol a également marqué une victoire pour l'équipe de la mission, dont les mesures innovantes ont maintenu le vaisseau spatial à énergie solaire à l'écart de ce qui aurait pu être une éclipse de fin de mission. Un contour du continent américain superposé au cyclone central et un contour du Texas superposé au nouveau cyclone au pôle sud de Jupiter donnent une idée de leur immense échelle :
  20. Une ballade en Helvétie. Du LHC au Gornergrat

    Merci Lantha pour ta réponse... 15 jours après ! Tu n'es pas suisse pour rien ! Levez...baissez... Levez...baissez... Levez...baissez... Levez...baissez... Bon maintenant on va faire l'autre paupière !
  21. Je viens de regarder le 1er docu sur France 5, consacré à Saturne. Il s'agit d'un bon résumé de la mission Cassini, ce qui est toujours très agréable à voir, mais rien d'original ; Peut-être que les personnes qui ont rédigé les compte-rendus n'avaient jamais vu les images de la mission ? A regarder malgré tout !
  22. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    SpaceX ne va pas seulement lancer sa propre constellation, il va aussi déployer celles des autres. Traduction automatique : https://kepler.space/newsroom/press-releases/post/kepler-communications-selects-spacex-to-launch-two-batches-of-its-nanosatellite-constellation Kepler Communications choisit SpaceX pour lancer deux lots de sa constellation de nanosatellites Kepler a annoncé aujourd'hui qu'il avait choisi SpaceX comme partenaire de lancement pour livrer une partie de sa première constellation de satellites en orbite basse (LEO) dans l'espace à bord du lanceur Falcon 9 réutilisable de SpaceX. Kepler a acquis 400 kg de capacité de lancement auprès de SpaceX pour le déploiement de plusieurs satellites. Ces engins spatiaux intègrent à la fois un système de communication en bande Ku de grande capacité et une charge utile à bande étroite, à la fois pour les transferts de données à haute vitesse et pour la connectivité IoT directe à satellite à faible puissance. Ce sera la première fois que les deux sociétés s'associent pour un déploiement LEO, et ce sera un événement historique car il marquera la première utilisation par Kepler du nouveau programme SmallSat Rideshare de SpaceX, qui verra le lancement de plusieurs petits vaisseaux spatiaux en orbite synchrone solaire (SSO). «Kepler est impatient de travailler avec SpaceX pour réaliser une partie de nos plans de lancement 2020. Avec cet accord, nous déployons notre constellation de nouvelle génération dans les délais, ce qui nous permettra de répondre à la demande croissante », a déclaré Mina Mitry, PDG de Kepler Communications. «Nous avons choisi SpaceX comme partenaire de lancement et soutenons leur programme SmallSat Rideshare qui est certainement unique en son genre, dépassant les attentes en termes de prix et d'hébergement.» "SpaceX est honoré Kepler a choisi notre programme de covoiturage Falcon 9 pour lancer une partie de sa constellation de nanosatellites innovante, ce qui contribuera à combler les lacunes mondiales en matière de connectivité Internet", a déclaré Gwynne Shotwell, président et chef de l'exploitation de SpaceX. "SpaceX a hâte de livrer ces vaisseaux spatiaux importants en orbite pour Kepler." La constellation de satellites LEO de Kepler comprendra environ 140 satellites. Prévue pour être déployée en trois phases, de 2020 à 2023 et chacune avec un nombre incrémentiel de satellites lancés, la constellation LEO de Kepler se développera pour devenir un système de relais de données spatiales au service d'autres constellations avec des capacités de transmission de données à grande vitesse. Aujourd'hui, la société se concentre sur la construction de la base d'installation de Global Data Service TM , son service de connectivité à large bande de pôle à pôle pour les applications mobiles et fixes. EverywhereIOT TM , la solution abordable de Kepler pour les appareils Internet des objets (IoT), fera l'objet d'essais utilisateurs dans les prochains mois.
  23. https://hubblesite.org/contents/news-releases/2019/news-2019-61 Hubble a photographié la comète le 9 décembre, peu de temps après le passage au plus près du Soleil Le noyau est beaucoup plus petit qu'imaginé au départ : moins de 500 m !
  24. Lancement de OSIRIS-REx le 9 septembre

    La NASA a choisi le site pour le prélèvement d'échantillon : il s'agit de "Nightingale" :