Bernard Augier

Tu as raison. Mais attention quand même, certains déposent un film résiduel après séchage. Je sais pas trop ce que c'est, un antibuée peut être. Il font d'étranges cocktails parfois avec des produits qui devraient être simples... Un peu comme les liquides vaisselle qui contiennent des produits cosmétiques "pour les mains sensibles", un peu comme ces gels douche que tu n'arrives jamais à rincer totalement. D'ailleurs si certains ici pouvaient communiquer leur savoir et leur expérience sur ce sujet. Comme le Mixa BB du père Vieillard

Tout est dit. Pas se prendre la tête déjà. C'est à dire désacraliser le truc. C'est vrai que la première fois où tu touches avec tes mains l'aluminure d'un miroir d'artisan, c'est un tabou qui tombe Je nettoie mes miroirs dans la cabine de douche. Du 115 (facile...), au 200, 300 et 400mm (moins facile...) . Je pose le miroir sur le tapis de douche et je l'arrose copieusement d'eau tiède avec la douchette pour virer le maximum de saleté. Ensuite je laisse tremper au moins une heure, ça c'est très important. Chaque fois que j'ai voulu gagner du temps sur cette étape, j'en ai perdu au final en devant recommencer la manip . Puis liquide vaisselle en couche épaisse, ou shampoing suivant l'endroit où je me trouve. Je caresse tranquillement la surface du miroir avec mes dix petits doigts pour bien faire mousser tout ça, en mouvements plutôt centrifuges pour faire sortir les particules restantes. On les sent très bien d'ailleurs avec la pulpe des doigts, c'est étonnant comme on est sensible. Je rince mes mains entre chaque passe. Rinçage prolongé à la douchette, miroir vertical posé contre le mur de la cabine de douche. Un coup d'eau distillée en finition à la pissette. C'est merveilleux de voir le film d'eau de décoller littéralement de l'aluminure comme une fine peau qui tombe. Un effet de tension superficielle sans doute. Restent quelques rares gouttes qui s'accrochent encore aux aspérités, piqures d'aluminures ou poussière incrustées résiduelles. On peut les laisser, car l'eau distillée ne laisse pas de trace théoriquement . Mais je préfère les tamponner délicatement une par une avec le coin d'un papier absorbant. Par capillarité elle disparaissent instantanément sans qu'il soit besoin de toucher le miroir. Je fais ça parce que ces quelques gouttes concentrent quelques crasses malgré toutes les précautions prises. Et ça peut baver un peu autour de l'œillet central, que je n'ai d'ailleurs jamais du remplacer malgré un lavage tous les trois mois en gros,. Le résultat est presque parfait. Si on est obsessionnel il reste toujours quelques traces . Mais le mieux est parfois l'ennemi du bien. Et je pense que le plus important c'est tout simplement de ne pas laisser la crasse s'incruster trop longtemps. L'aluminure pourrait être altérée chimiquement à la longue. Il m'est arrivé de reprendre un lavage très vite, du temps où je mettais une jupe à mes Dobson, à cause des coulures de condensation. Inversement, je peux laisser la poussière en attendant tranquillement un prochain lavage. Cela doit devenir une routine, comme la collimation En photo séance séchage d'un 200 et d'un 300mm. Le 200 c'est un ASTAM, aluminure de 35 ans, le 300 c'est un DV, aluminure de 20 ans! L'alcool isopropylique ne me sert que pour nettoyer les lentilles et oculaires. Comme le Purosol d'ailleurs, redoutablement efficace sur les taches incrustées (comme dans la pub à la télé )

Un copain a monté son Explore Scientific 400 sur une plate forme équatoriale Sud Dobson. C'est pas mal du tout. En visuel j'entends. Petit reproche, l'encombrement. En effet la conception du palier sud déporte pas mal, ce qui fait une table longue, avec le triangle non tronqué..

C'est exactement mon impression. Quelle est la hauteur de cette table équatoriale? Et en empattement, assise au sol, elle fait bien petit, ça m'étonnerait que le centre de gravité de ton dobson soit sur l'axe de rotation. Quelques remarques: Les patins téflon nord sont en porte à faux, totalement en surplomb, et en plus pas du tout à la verticale des patins d'appui au sol. Le patin téflon sud est au milieu d'un profilé suspendu, et lui aussi pas du tout à la verticale du patin d'appui au sol. ...

Pas comme tu l'entends Serge. La maladie ne se résume pas aux troubles cognitifs. Il y a une phase prodromique en particulier, parfois très longue, où le malade se sent glisser vers des abîmes d'angoisse, parfois délirantes, avec de véritables cauchemards éveillés. Un état de terreur inexprimable, parfois refoulé, parfois caché à l'entourage. Et que dire du changement de comportement qui transforme une personne naguère charmante en sujet paranoïaque agressif et parfois violent. Ce qui crée un sentiment d'injustice et d'absurdité chez tous les aidants. Une souffrance, comme celle du patient d'ailleurs, qui ne rentre plus depuis longtemps dans l'échelle "de 1 à 10"... C'est très beau Achaim. La puissance du livre...

Si si, détrompes toi. Merci pour le lien d'ailleurs.

"Patience dans l'Azur", 1981... C'était un cadeau d'anniversaire lors de ces fêtes entre étudiants fraichement émoulus. Je ne connaissais pas encore le bonhomme. Je faisais de l'astro depuis déjà plus de dix années. J'avais dévoré "Des astres, de la Vie et des hommes" de Robert Jastrow, ainsi que "Cosmic Connection ou l'appel des étoiles" de Carl Sagan. Mais là c'était pas pareil, comme un nouveau départ. Bonne pioche ce cadeau d'anniversaire. En rouvrant "Poussières d'étoiles" cette nuit, j'ai relu la dédicace et je vous l'offre, de sa part, pour qu'on continue ensemble le boulot! "A tous les bricoleurs de télescopes et de microscopes, à tous les manipulateurs d'alambics et d'éprouvettes, à tous ceux qui griffonnent des équations sur un coin de papier, je dédie ce livre. Nous leur devons la "vision du monde" illustrée dans ces pages." H.Reeves

T'as raison. Il n'y a que ça de vrai pour reprendre des forces. Et ça sauve des soirées pourries. Ca me rappelle une soirée astro publique que l'on avait organisé avec nos accompagnateurs moyenne montagne dans une clairière en montagne vers le Restefond...sans étoiles du tout, du tout, du tout. Mais alors du tout comme jamais... Malgré notre enthousiasme, nos bulletins météo traficotés à notre sauce, nos incantations et nos pronostics optimistes mâtinés de pseudo science météorologique "locale" de la moindre trouée. Nous avons finis assis en cercle sur la prairie, ou carrément allongés dans l'herbe à profiter des instants magiques de cette nuit estivale au milieu des melèzes en imaginant à voix haute ce que l'on aurait pu voir "si". Et bien vous le croirez peut être pas, mais l'imagination a fait le reste. Et tout le monde a participé selon ses anecdotes et son talent. Tant et si bien que finalement il était là au dessus de nous ce ciel merveilleux et nous avons accomplis ensemble un fabuleux voyage imaginaire dans le cosmos. C'était ma première soirée astro vraiment sans étoiles. Et elle nous a laissé un souvenir impérissable

Je vais le tester. Ou le remplacer par un nouveau avec un échantillonnage de de valeurs proches Sur batterie 12V pour utilisation nomade. J'ai un vieux SuperC8+ à fourche justement. Qui normalement est branché directement sur secteur avec ce câble assez atypique. Je pourrais tester le variateur sur lui. On y revient... Je veux bien si tu as un motoréducteur 1t/minute. Celui que j'ai fait 3t/minute avec réduction à 1 t/minute avec des pignons mécano. Contacte moi en message perso. En tous cas je suis surpris. Ce sujet ne vous a pas laissé de marbre. Merci pour vos interventions!

Bonjour. Je vous préviens, séquence vintage qui évoquera aux anciens de délicieux moments de bricolage d'une époque révolue. Et pourtant, ça tourne encore. C'est bien le problème et on n'arrive pas à s'en défaire J'ai dans mon bazar astro, toujours opérationnels, (entre un vieux sextant et un 115 JPM ...)deux système d'entrainement par moteur synchrone alimentés en 220V 50Hz, soit directement par le secteur, soit par variateur de fréquence. Enfin, à dire vrai trois si l'on compte ma vieille fourche Celestron Super C8+ toujours vaillante (Byers s'il vous plait ), mais là c'est hors sujet. Je vois déjà vos sourires condescendants... Le premier, c'est ma table équatoriale pour le Dobson 400, qui fonctionne parfaitement depuis 20 ans, avec la motorisation cannibalisée en son temps sur le deuxième. Ce deuxième c'est mon Pierre Bourge Texereau de quarante ans, remis en état et restauré lors de la période Covid grâce, entre autre, à un moteur synchrone trouvé sur Ebay. Un truc assez fou d'ailleurs, car je pense que le vendeur ne savait même pas qu'il me vendait un ensemble moteur platine manivelle de Pierre Bourge. Moi si ! Qui s'est ensuite adapté sans autre forme de procès sur la vis sans fin de l'entrainement par secteur lisse. Mon problème est le suivant. Deux moteurs différents, un Philips et un Crouzet. Mais un seul variateur de fréquence. ASTAM pour ceux à qui ça évoque quelque chose. Le Philips, qui fonctionne parfaitement avec variateur de fréquence ou secteur. Et le Crouzet, qui ne fonctionne que sur secteur. Avec un bouton poussoir de démarrage/inversion que l'on peut voir sur la photo au dessus en noir. Avec le variateur, nada, pas l'ombre d'une rotation C'est dommage, parce que du coup, impossible de mutualiser l'alimentation sur batterie et la possibilité de faire varier la fréquence avec une raquette. Je sais , je sais certains vont me dire que c'est du temps perdu et que je ferais mieux de tout jeter à la poubelle. Mais pourtant j'aimerais bien finaliser le truc. Tétu je suis Si vous avez une idée, je suis preneur. Et vous aurez en prime des nouvelles de mes antiquités. Bernard

Alors il ne me reste plus qu’â me metre â l’ouvrage,

Merci pour vos promptes réponses. Je n'en reviens pas, le sujet n'est donc pas mort! Justement, il n'y a pas moyen de faire une bidouille à ce niveau ? Astam et Arcane, c'est pas dans la même court. Mais ça a fini pareil

Merci Norma. Tu vois je suis toujours avec des trucs à réparer. Les machins tout droit, ça doit m'ennuyer C'est bien ce qui me chagrine. J'ai vérifié tout le circuit, pas de faux contact. Le Crouzet ne démarre pas en sortie de générateur variateur de fréquence, rien à faire alors qu'il fonctionne très bien sur secteur. Apres pour les vitesses affichées, c'est avant réduction qui de toute manière est ramenée pour les deux motoréducteurs à la sacrosainte valeur de 1 t/minute.

Bonjour. Je possede un vieux porte oculaire Astrophysics dont l'axe du pignon ( de l'ensemble pignon cremaillere ) est voilé. De fait, ça coince, et même ça bloque sur 1/4 de tour. Plusieurs pistes: Redresser à la main sur un tour à metaux. C'est ce que me conseille George d'Astrophysics. Mais il faut un tour à métaux, et beaucoup beaucoup de patience. Voire de la chance à mon avis Changer l'ensemble pignon cremaillere avec soit de l'impression 3D, soit et je pense que c'est mieux, un kit métalique (laiton...). Problème où se fournir? Mes recherche Gogole ne sont pas concluantes. Ou une autre idée si vous en avez. Voici la piece foireuse: Bernard

Bonsoir. Tu peux aller voir là: https://www.webastro.net/forums/topic/148324-temps-de-pose-unitaire-et-sigma-pourquoi-quot3x-loffsetquot/ Et là: https://www.webastro.net/forums/topic/184630-aide-calcule-temps-de-pose-unitaire-optimal/

En 2201, je tente

Pas tort cher ami... J'ai mis du temps à m'en convaincre, mais les interventions de Syncopatte sur ce forum ont finis par me convaincre. C'est grâce à lui que j'utilise maintenant conjointement ScreenDim, qui me permet de régler la luminosité et le contraste de ma tablette aux petits oignons dans une obscurité quasi totale, et Sky-Safari. Je n'aurais jamais cru un jour pouvoir avoir une telle base de donnée avec une telle ergonomie, avec toutes les éphémérides dans un format digne du Pocket Sky Atlas! C'est génial. J'ai pourtant une grande vénération pour les atlas papiers. J'ai commencé à bourlinguer sur les océans du ciel et la haute mer cosmique avec comme compagnon de route le Brunier (Astronomie du ciel profond… qui m'a permis d'observer mon premier quasar, 3C273 avec mon Pierre Bourge de 200mm). Il y a eu en complément la Revue des Constellations de Texereau. Plus tard les Tirion, en photocopie A3 plastifiées protégées dans un grand carton à dessin. Chaque observation c'était le grand déballage . Ensuite, à l'ère proto-informatique, les Uranometria et les NSOG (Night Sky Observer Guide ). Les cartes "Urano" soufrant d'un problème d'échelle avec perte rapide du contexte de la constellation. Et puis la magnitude limite quand on observe enfin dans un 400. Pour le Star hopping rapide et impulsif, l'animation, le pense bête de dernière minute pour soirée pas spécialement préparée j'ai découvert le Pocket Sky Atlas au format de rêve au combien pratique, par sa sélection d'objet assez exhaustive et le champ vaste de ses cartes, parfait pour la maraude au Telrad. Finalement mes derniers atlas papier, que j'utilise toujours conjointement et en complément avec Sky-Safari (modulé par ScreenDimer, indispensable en visuel car sinon le réglage d'origine de l'écran de ma tablette n'est pas assez subtil en basse lumière, c'est le moins qu'on puisse dire) sont l'IDSA (Interstelarum Deep Sky Atlas ) et l'IDSG (... Guide ). Des merveilles, vraiment. Autant à feuilleter en rêvant à la maison où ils mériteraient de trôner en bonne place sur un lutrin, que sur le terrain avec une ergonomie parfaite et une résistance fabuleuse. Pour être tout à fait complet je rajouterais le ARP Atlas of Peculiar Galaxies, plutôt en préparation de soirées avec des objectifs bien précis. Et sur le terrain des impressions du DSS, selon ma sélection d'objets du moment. Anecdote amusante à ce propos, mon premier Atlas, le "Brunier", en plus de m'avoir permis de décrocher mon premier quasar au 200, m'a aussi laissé entrevoir la possibilité, "bien plus tard" , de détecter ce qui sera mon record de distance visuel au 400, le quasar QSO1226+318 de magnitude 15,9 à plus de 10 milliards d'AL. Et ce grâce aux cartes du DSS que je m'était imprimées à l'occasion, pour valider l'observation record à coup sur sous le ciel du Restefond. Un atlas c'est certes un outil de navigation, mais aussi une machine à rêver qui permet d'entrevoir de nouvelles destinations.

Voilà, c'est ça, exactement. Merci Sky runner!

Comme je vous comprends. Je dis ça après avoir passé les dernières nuits à faire de l'acquisition planétaire, absorbé par mon écran alors que la Voie Lactée me faisait insolemment du pied. Au point de tout envoyer balader, merci la turbulence, et de finir aux jumelles installé dans mon transat. Transat dont je dis souvent que c'est le premier et indispensable instrument d'astronomie Question magnitude visuelle, cela dépend aussi de l'état des yeux. Par exemple quand je suis fatigué, apparait un léger astigmatisme qui dégrade ma MVLON (magnitude visuelle limite œil nu ) ainsi que ma MVLT (la même mais au télescope re ). Cette dernière, au télescope, est aussi très dépendante de la turbulence et du grossissement employé, et plus aléatoire finalement qu'à l'œil nu. Il faut grossir pas mal pour sortir les pouillèmes de magnitude du fond de ciel, même en haute montagne. Et donc avoir un ciel , non seulement transparent, mais aussi stable. Finalement l'œil nu, c'est plus simple! J'utilise bien volontiers à l'œil nu la séquence polaire ou le comptage dans le carré de Pégase. C'est un exercice toujours intéressant à répéter, et même un préliminaire assez agréable. Plus sympa que le SQM qui manque un peu de poésie… Et j'ai toujours les cartes de comptage dans mon lot de bord d'observateur… avec la chaise longue bien sur Au télescope j'ai quelques séquences dont la classique autour de M57. Visuellement , à Restefond j'ai régulièrement du 6,5. Et chez moi, à 1100m , à 20 km mais 1700m plus bas, je plafonne à 6, surtout depuis que l'extinction généralisée est devenue réalité. Au final des fois je me dis qu'à Restefond, je ne devrais faire que du visuel , œil nu ou instrumentation simple ( à défaut d'être légère) pour ne pas avoir la sensation de gâcher, (de souiller quasiment ) l'ambiance extraordinaire qui y règne par des obligations matérielles ou la tyrannie des écrans (APN, PC, Tablette…). Et réserver l'imagerie à des endroits moins sanctuaire du ciel comme peut l'être mon jardin… Un de mes rêves depuis toujours, et Serge toi tu l'as accomplis, c'est de me dessiner une belle Voie Lactée à l'œil nu, bien texturée, bien fouillée. Je pense que j'en serais incomparablement plus fier, plus rassasié, plus apaisé que toutes mes photos du ciel profond ou en planétaire qui elles parfois m'ont trop absorbé et paradoxalement éloignées du vrai ciel. On dit que la personnalité, c'est ce qui relie nos contradictions, pas vrai ?

Ben voilà. Y'avait qu'à demander. On devrait faire affaire

Salut! Je me prépare à profiter (partiellement ? ) de la semaine du 11 au 16 septembre pour me faire un petit Restefond. Aux prairies ou au carrières. Apres quelques épisodes météo et une fermeture pour cause de grêle/neige/éboulement cette semaine, tout est rentré dans l'ordre. Comme toujours, ambiance haute montagne et visuel + imagerie au menu. Je n'ai aucun mérite, c'est à 1/2h de ma maison, mais pour la logistique ça aide . Si ça vous tente!

J'ai une Barlow Televue x3. ça peut faire l'affaire si je la pousse à x4? Ou la Powermate est meilleure?

Tu peux préciser? Sauf qu'avec l'ADC, on s'en éloigne du centre. Peut être pas tant du coup...

Bravo! On s’est raté de très peu. St Dalmas, un petit bijou ce village. Le plus beau de la vallée je pense. Et le col de la Moutière à 2454m n’à rien à envier au Restefond tout proche. Et comme tu le dis, pas de passage de voiture.Tranquilité assurée. Par contre on est bien au cœur du Parc National du Mercantour, et le camp fixe et dormir en camping car est interdit... Mais c’est une bonne chose necessaire qui préserve les lieux. La manip de l’hypertelecope d’Antoine Labeyrie est juste à côté,

Concernant la correction de coma, et surtout du fait de l'utilisation de l'ADC, ne peut-on utiliser le Paracorr? Ceci afin d'utiliser une Barlow standard non correctrice de coma plutôt que l'APM. C'est équivallent? Quid des Powermate en imagerie planétaire?