chonum

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Tout ce qui a été posté par chonum

  1. Bâche de protection pour telescope ?

    Comme le dit William, les angles saillants de la monture (queue d'arronde AP) abîme la bâche au fil du temps. Ceci dit j'en ai 4 ou 5 et elles tiennent bien. Celle que j'ai remplacée, qui était fatiguée après 5 ans dehors 24/24 7/7 c'est ... envolée un jour de mistral, j'avais oublié de mettre le tendeur qui sécurise tout ! L'avantage immense des Telegizmo, c'est que rien ne rouille dessus, et la partie alu évite que le matériel ne chauffe. Et chez moi c'est important. Elle est aussi ultra résistante aux UV.
  2. Bâche de protection pour telescope ?

    Telegizmo 365 ici, depuis 10 ans 24/24 7/7. A changer tous les 4/5 ans.
  3. Excellent le truc de la feuille merci ! Rhalala je ne le sens pas, en plus le tube a été repeint. J'ai demandé à Didier, mais mettre le tube dans son tour reviendrait probablement à écraser le tube
  4. Limites de slewing sur logiciel d'imagerie

    Bon alors concernant en tout cas AP, c'est bien APCC qui gère cela. Je l'ai réinstallé hier et il y a une gestion de l'horizon de pointage et de suivi. Je vais tester cela demain après midi, il fait enfin beau !! Par contre cela reste sous Windows, ce qui ne m'arrange pas plus que cela...
  5. Salut, la lecture du post sur NINA me fait réfléchir un peu. Je vais peut être refaire de l'imagerie à l'avenir, et je regarde les logiciels associés pour l'observation automatique (planification, pointage, focus, astrométrie...). Précédemment j'utilisais Prism 10. Ca marche plutôt bien et c'est très complet. Et Prism gère à peu prêt bien les contraintes que j'ai sur le pointage du télescope sur la terrasse : je ne peux pointer que le télescope à l'ouest, donc en gros un grand secteur est. Si il flippe, il se prend le mur. Comme le nouveau est assez gros, et assez cher, je voudrai lui épargner les stigmates d'une collision avec le crépis ! Les limites de pointages peuvent se gérer à plusieurs niveaux, et dans mon cas la monture est une AP avec CP4 : - Sur la monture directement avec des hard switches, mais nous sommes au XXI eme siècles quand même... - Sur la monture dans le logiciel embarqué, mais chez AP il n'y a pas de limites soft switches - Dans le pilote monture, AP ne le fait pas, même avec l'APCC malheureusement. Mais il y a le meridian delay qui donne un peu de marge. - Dans le logiciel de gestion du pointage, comme le fait Prism même si parfois j'ai retrouvé mon ancien télescope dans le mur quand même, je devais calculer assez bien la planification de chaque objet pour éviter de pointer à l'ouest. Aussi je me demande si dans toutes ces solutions il n'y en aurait pas une qui gère cela correctement. Apparemment le pilote INDI AP ne le fait pas, est ce que KSTAR le fait ? Quid de NINA ou autre ? Je suis complètement ouvert sur le système : Windows, Linux, MacOS, et sur la solution payante ou gratuite. Merci !!
  6. perseverance

    Jean Luc avec une veste o0
  7. Limites de slewing sur logiciel d'imagerie

    Vous êtes taquins ! Mais merci pour vos réponses. Je vais aller faire un tour sur le groupe APGTO, cela devrait être fait par APCC en fait, peut être qu'il a bien évolué depuis 4/5 ans !
  8. fonctionnement séparation d'image d'une bino ?

    Le premier montage est une abomination qui coupe la PSF en deux. Une PSF défocalisée doit montrer un demi disque je pense, une horreur en terme de diffraction. Sans parler de la montagne de lentille sur le chemin...
  9. Dans ma tête je devais mettre Zerodur/Silice vs Borosilicate. La silice a un avantage sur le Zerodur de ce que l'on m'a dit : elle est plus simple à polir et permet une excellente douceur avec moins d'efforts. Perso j'ai pris du Zerodur pour sa raideur. Ce truc ne bouge pas et ne demande pas grand chose au barillet. Quand j'ai parlé à Michel à Noël, il m'a reconfirmer que le Zerodu pardonne pas mal car c'est assez lent comme process, et les erreurs ne sont jamais très graves. Par contre c'est long !
  10. A F/D 16 ou 20, en visuel le manuel est largement suffisant, voir même mieux ! Pour le PO, attention au BF qui peut être limité sur un cassegrain. Veille à ce qu'une bino passe sans glasspath.
  11. En visuel je préfère ne pas motoriser. Pour le visuel j'ai un FT 2", qui est juste, et en imagerie un Optec tufs. Sur l'AP900 le tube est bien stable, ça ne vibre pas. Le poids est essentiellement sur le cul.
  12. Cela me fait penser que je dois raccourcir un tube acier pour un objectif Sécrétan. Un par et massacre à la dremel je ne vois pas trop...
  13. Antares Optics encore en activité?

    Sinon Ariel=Antares
  14. Mewlon 300 à vendre

    Pas super élégant Jean David pour le coup
  15. Onduleur

    J'utilise Eaton 3S 350 poru ce qui n'est pas critique. J'en ai une demi douzaine pour des PC, un projecteur, de la Hifi... Ca marche bien mais cela reste des offlines. Pour mon poste de travail, qui est déjà un portable (MBP16 ou MBA M1 selon), j'ai un line interactive Eaton Ellipse pro 1200. On est au dessus en protection. Et j'ai aussi un 5S 550 pour les serveurs. Bref une dizaine d'onduleurs, et pas de panne depuis 4/5 ans, c'est bien Eaton.
  16. Coté CFF j'en ai vu un, mais je n'ai pas regardé en détail le support primaire. Ce que dit Jean Pierre est ceci dit assez rédhibitoire : la tenue du primaire est pour moi absolument critique sauf à vouloir réaligner à chaque pointage ! De ce que j'ai testé avec mon SV CN300, c'est que déjà l'alignement ne bouge pas du raz de l'horizon au zenith, ni au flip. L'alignement du primaire est très bien fait, tout à la main. Seul petit bémol : le contre écrou des vis primaire fait bouger un peu la vis principal en fin de course. Il suffit de tenir la grosse vis au blocage, c'est pas grand chose. C'est un vrai barillet 9 points bien fait. Le baffle primaire est aussi réglable en inclinaison. Le reste est centré par construction, même si on a aussi un réglage de tilt sur le PO. A noter que le secondaire cassegrain voit ses deux anneaux au centre gravés, c'est vraiment bien mieux avec le microscope Tak ! Et ca ne risque pas de partir Coté mécanique et optique, c'est donc sans faute pour l'instant. Ceci dit, je ne l'ai testé sur le ciel que 2 fois depuis noël vu la météo pourrie qu'on a eu et que en cassegrain, mais j'ai passé les deux soirées à tester en dynamique. Pour le primaire, prends de la silice, et si tu peux du zerodur. Le mien est en zerodur pour le confort que cela apporte en terme de raideur. La tenue en température n'est pas si importante (si le miroir n'est pas en température, cela ne sera pas bon, zerodur ou borosilicate), mais la raideur de la vitrocéramique si ! Le SV est au dessus du CFF en finition et conception. Mais en prix aussi
  17. Je vous propose une discussion sur les différents designs de télescopes puisque c'est quelque chose qui est abordé sur le fameux post du Mewlon 300. Je pense que j'ai passé la plupart des principaux designs de télescope et pour commencer la discussion je vous livre mon opinion. Commençons par le design le plus simple et presque le plus ancien qui est le télescope de Newton. Le Newton regroupe une grande variété d'instruments et c'est la force de ce design qui permet de s'adapter à tous types d'applications. On va donc retrouver les Newton avec un miroir primaire relativement fermé et une très faible obstruction qui excelleront en planétaire, les Newtows astrographes avec une obstruction entre 40 et 50% qui bénéficieront d’un très bon champ grâce à des correcteurs comme typiquement celui de Wynne, les Dobsons relativement courts qui sont si confortables en observation visuelle et toutes les solutions intermédiaires. Ce qui a vraiment rendu le Newton aussi disponible ce sont les progrès dans le polissage de la parabole, que ce soit des miroirs chinois maintenant de bonne qualité, et des miroirs de courses des grands pousseurs de verre. Notons quand même quelques limitations vis-à-vis du déport à 90 degrés du flux par le miroir secondaire. Au-delà de certains diamètres, typiquement 400 millimètres, le tout conjugué à des rapports d'ouverture inférieurs à 4, il devient impossible d'avoir un champ étendu sans placer l’instrumentation au foyer primaire. Comme cela sera toujours le cas, un rapport d'ouverture très court demande une mécanique irréprochable. Aussi à Newton astrographe ne sera pas un instrument bon marché. Un inconvénient du Newton en observation visuelle et qu'il est difficile d'exploiter une monture équatoriale. Heureusement le dobson existe ! Nous trouvons aussi dans les designs anciens les télescope cassegrain et Gregory. Je laisse le Grégory de côté qui n'est finalement qu'un avatar du cassegrain un peu plus facile à réaliser mais beaucoup moins pratique, et je me focalise sur le cassegrain. Cette formule optique est moins flexible que le Newton et est quand même spécialisée dans les focales longues. Néanmoins le cassegrain permet d'obtenir une qualité optique presque parfaite avec un champ étendu, une formule stigmatique, et une position d'observation particulièrement confortable. Les paramètres structurants d'un cassegrain sont la focale de son primaire, le back focus et son obstruction. Évidemment ces 3 paramètres sont liés et si un rapport de focale primaire long (>4,5) permet d'obtenir un back focus confortable et une obstruction faible, parfois moins de 20%, cela sera au prix d'une focale longue. À l'inverse un miroir primaire court tel qu’utilisé dans un Newton Cassegrain implique un BF plus court et surtout une obstruction entre 25 et 30%. Comme le Newton, le cassegrain étant un pur réflecteur peut gérer de l'ultraviolet à l'infrarouge. Le grand défaut du cassegrain et qu'il est très difficile à réaliser avec son miroir secondaire hyperbolique et son primaire parabolique et que peu de gens à l'heure actuelle maîtrisent sa fabrication. Il est possible d'avoir le meilleur des 2 mondes avec le Newton cassegrain. C'est mon choix personnel. Cette formule impose de compromis que d'avoir un rapport l'ouverture sur le primaire relativement faible et donc implique une obstruction un peu plus importante. Cela nécessite également une excellente mécanique pour tenir l'alignement et être capable de changer de miroir secondaire sans avoir à tout réaligner ensuite. Il est d'ailleurs tout à fait remarquable que Tak ait pu faire ce genre de tube en dessous de 4k€ et avec une excellente qualité optique et mécanique. Parlons maintenant du dall kirkham qui est à l'origine de ce post. Cela ne sera pas une surprise que je n'aime pas ce design qui est avant tout un compromis économique du cassegrain. Compromis au niveau de la mécanique avec un secondaire sphérique qui comme le dit Jean-Luc ne demande pas un centrage très rigoureux, et c'est un point que l'on retrouve dans le Schmidt cassegrain tel qu'il est instancié à l'heure actuelle. Compromis au niveau de l'optique avec un miroir primaire elliptique et un miroir secondaire sphérique. Le compromis se traduit par un champ rapidement entachés de coma. Cela en fait un instrument planétaire avec un domaine d'application relativement restreint. Cette notion de compromis avait peut-être un sens il y a quelques années, et je pense que la série des mewlons s'inscrit dans cette logique. Néanmoins à l'heure actuelle avec les progrès qui ont été réalisés dans le polissage des optiques, il est difficile de justifier l'existence de ce télescope, surtout à ce niveau de prix. En revanche le Dall Kirkham présente une grande qualité: il est facile de corriger le champ à la sortie du baffle, ou encore mieux dans le baffle. Nous avons donc une nouvelle génération de DK, les CDK qui l’on trouve chez Tak en focale longue, et chez PlaneWave sur des astrographes relativement courts. Le CDK est une vraie réussite en termes de design puisqu'il permet des rapports d'ouverture de l'ordre de 4 ou 5, des champs corrigés très larges capable de couvrir tous les capteurs existants et le tout avec un spectre allant de l'ultra violet à l'infra rouge également. La seule difficulté et au niveau de la réalisation mécanique comme d'habitude puisque la présence du correcteur impose un axe optique au miroir secondaire et au miroir primaire. Mais cela n'est pas plus critique que sur un Newton court. Le CDK, conjugué au photosites de plus en plus petits, signe pour moi la fin du Ritchey Chretienqui ne se justifie plus que dans les applications pour lesquels tout élément réfractif est un show stopper. Mais cela ne concerne pas les applications des amateurs, même pointus. Je passe rapidement sur les Maksutov qui sont des instruments potentiellement très polyvalents et qui ont eu un gros succès quand il était encore difficile de faire des asphères. Pour rappel le Maksutov, surtout dans sa déclinaison Rumak, délivre d'excellentes performances optiques, il est très peu sensible sphérochromatisme et présente un chant de bonne qualité. Néanmoins son poids et l'inertie thermique de son ménisque le pénalise, particulièrement sur les grands diamètres. D'ailleurs ces grands diamètres, 200 millimètres et plus, posent d'autres problèmes sur les aberrations sphériques puisque le Mak n’est pas stigmatique. Une asphérisation est d’ailleurs nécessaire, ce qui limite l'intérêt d'une formule initialement entièrement sphérique. Les cousins du Mak (Klevstov, Clavius…) sont potentiellement toujours intéressants, mais ce sont des formules au final relativement peu exploitées. Un autre télescope qui n'est pas stigmatique est le schmidt-cassegrain. C'est une formule dont je ne vous rappellerai pas les intérêts pratiques, ni le prix intéressant, mais je mentionnerai juste son principal défaut qui est le sphérochromatisme qui le rend peu performant aux extrémités du spectre, et notamment dans le bleu et le violet. Il faut simplement garder ça en tête et vivre avec, ces télescopes peuvent dans tous les cas délivrer d'excellentes images. De plus avec le transfert de la production de Celestron en Chine, la qualité optique s'est fortement améliorée et les petits modèles sont dans l'immense majorité des cas de très bonne qualité, voir parfois absolument superbes. On a un peu plus de variabilité dans les C11 et C14, et parfois quelques petits soucis mécaniques au niveau du collage du miroir primaire qui peut amener un alignement relativement peu stable, même sur les edgeHD. Le choix du schmidt-cassegrain et très généraliste et ce télescope offre une flexibilité inégalable sur ce que l'on peut en faire, et sur les instruments que l'on peut monter dessus grâce à un BF très confortable. Finissons avec les réfracteurs et je ne parlerai que des lunettes apochromatiques. Vous connaissez tous les défauts des grands réfracteurs : leur longueur démesurée sur les très grands diamètres, un poids absolument pas négligeable, une mise en pratique toujours délicate sur un tube qui peut faire plus de 2 mètres et des performances en général en retrait sur les extrémités du spectre. Seule la TOA s’affranchit de ce dernier défaut, mais au prix d'une mise en température particulièrement longue. Pour ma part je n'ai pas beaucoup d'affinité avec les lunettes, bien que j'en ai possédé quelques-unes. En revanche c'est sur les courtes focales et les grands champs que les lunettes restent irremplaçables, que ce soit en photographie ou en visuel. Je pense particulièrement aux excellentes FSQ qui restent inévitables en grand champ. Il y a aussi des applications pour lesquelles toute diffraction est pénalisante, cela peut être le cas en solaire et tout spécifiquement sur les coronographes. De même les observations qui présente un écart de dynamique considérable, par exemple la faible compagnonne d'une étoile, utiliseront avantageusement à réfracteur sans obstruction centrale. Vous me pardonnerez les fautes de frappe dans ce texte que j'ai dicté rapidement à ma meilleure SIRI ! J'ai fait il y a quelques années dans Astrouf mag une série d'articles plus détaillés avec des exemples d'analyse sous Zemax, peut être à lire pour creuser plus avant.
  18. c'est juste je pense, je n'ai jamais été embêté en spectre large.
  19. Concernant les courbes de chromatisme longitudinal, il y a sur ces graphes une mauvaise prise en compte de l'ordre élevé, une erreur de coef si je me rappelle bien. Daniel Crussaire de l'obs de Meudon m'avait signalé de cela, et nous avions regardé ensemble il y a quelques mois. D'ailleurs je remercie encore Daniel au passage de sa grande gentillesse ! Je n'ai pas corrigé les rapports par manque de temps, mais voici les courbes corrigées pour la Vixen, avec le bon sens :
  20. J'ai vérifié si il y avait une erreur, mais non. LZ8 est à -1,1nm à 635 et 15nm à 543, ca donne bien un calage dans le rouge/orangé, vers les 630/620nm. Il est un peu au dessus du sodium, mais cela correspond bien à ce qui se faisait à cette époque. Sinon c'est bien une 102/920. A noter que les fronts d'onde sont inversé par le Haso, donc le chromatisme longitudinal est à l'envers. Si tu le retournes, c'est assez proche, un peu décalé vers le rouge pour celle ci.
  21. J'ai été embêté une fois par la diffraction de l'araignée du CN212, en solaire à St Véran. Dans l'image en dessous, on peut voir des patterns verticaux (et horizontaux) avec une sensation de déboublement liée à l'araignée. Je n'ai pas fait de FFT dessus, mais je pense que cela serait apparent. Toutes les images de cette campagne d'été on eu le même souci. J'ai n'ai jamais eu cela avec un HaT sans araignée et le même matériel derrière.
  22. Le support en tube, il faut le faire le plus court possible, sinon c'est un nid à turbulence instrumentale.
  23. Ca a vraiment commencé avec ce petit livre (d'ailleurs le télescope en couverture est un cassegrain newton, c'était un signe ! Puis une petite longue vue, les pubs dans S&V, bref comme vous. Par contre je n'ai acquis mon premier télescope qu'à 37 ou 38 ans, cela est donc resté inassouvi très longtemps. Je me suis bien rattrapé depuis car comme Myriam, j'aime presque plus les instruments que l'observation. Le truc amusant, c'est que lorsque j'ai rencontré mon épouse, elle même avait dans sa jeunesse patiemment acheté toutes les semaines de quoi assembler cette encyclopédie ! C'est une photo du Net, la sienne a plus de volumes, c'est un monument qui était d'excellent niveau pour le coup ! Elle est devenue par la suite physicienne nucléaire, ayant renoncé à l'astrophysique par manque de débouchés.
  24. C'est ça qui vous fait fantasmer ? Parce que j'en ai testé une il y a 6 ans. Elle était malheureusement légèrement à coté alignement. Sinon optiquement c'était potentiellement très très bien, un peu de chromatisme quand même, mais rien de gênant à f/9. Par contre la qualité de la mécanique des Vixens n'est pas leur qualité première...
  25. c'est de la diffraction de bord de pupille, il est probablement que l'interférogramme ait été capturé par un apn sans objectif. donc un artefact de mesure.