Huitzilopochtli

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Tout ce qui a été posté par Huitzilopochtli

  1. mars 2020 rover

    Nous avons l'explication du problème rencontré hier pour la réalisation du 4ème vol d'Ingenuity. En fait il faut se rappeler la difficulté connue déjà le 9 avril lors d'un test de rotation à grande vitesse du rotor qui s'était produit avant même le premier vol. Je me permets ici de citer une traduction de lien du très fameux Jack Bauer , qui voudra bien me pardonner cet emprunt, et qui a pour avantage d'expliquer simplement la nature de ce déboire qui s'était avéré sans grandes conséquences ultérieures. Une fois le problème identifié, les techniciens avaient réinstallé un nouveau logiciel qui devait permettre de résoudre la difficulté rencontrée. Mais cependant, cette solution laissait un risque évalué à 15% d'un nouveau déclenchement de cet alarme qui empêcherait encore passer en mode vol. On trouve là, l'explication de l'échec du décollage d'hier. Nous pouvons donc rester confiant sur la bonne poursuite des opérations sans exclure complètement la possibilité que ce petit souci ne puisse se reproduire.
  2. mars 2020 rover

    En lot de consolation, l'anaglyphe du troisième vol. https://www.youtube.com/watch?v=_Xbq-rUwxMk
  3. Paléoclimat martien

    https://news.uchicago.edu/story/icy-clouds-could-have-kept-early-mars-warm-enough-rivers-and-lakes-study-finds Traduction automatique corrigée : Une simulation menée par un scientifique de l'université de Chicago aurait trouvé une pièce manquante au puzzle climatique martien. L'une des grandes énigmes de la science spatiale moderne est ce qui a permis à Mars d'avoir durablement de l'eau à l'état liquide à sa surface, au début de son histoire. La contradiction qui a intrigué les scientifiques pendant des décennies résulte du fait qu'alors que la planète Mars recevait moins d'un tiers de l'ensoleillement que nous avons sur Terre de nos jours, lacs et rivières couvraient, alors, une partie de sa surface. Mais une nouvelle étude menée par Edwin Kite, spécialiste des planètes de l'Université de Chicago, professeur adjoint de sciences géophysiques et expert des climats planétaires , a utilisé un modèle informatique pour avancer une explication prometteuse : Mars aurait pu avoir une fine couche de nuages de glace d'eau en haute altitude, qui aurait provoqué un effet de serre. «Il y a eu longtemps une déconnexion embarrassante entre notre hypothèse et notre capacité à l'expliquer en termes de physique et de chimie», a déclaré Kite. «Notre travail contribue grandement à combler cet écart.» Parmi les multiples explications que les scientifiques avaient précédemment avancées, aucune n'a jamais vraiment convaincu. Par exemple, certains avaient suggéré qu'une collision avec un énorme astéroïde aurait pu libérer suffisamment d'énergie cinétique pour réchauffer la planète. Mais des calculs avaient montré que cet effet thermique ne durerait qu'un an ou deux et les traces d'anciens fleuves et lacs montrent que le réchauffement a probablement persisté pendant au moins des centaines d'années. Kite et ses collègues voulaient retenir une autre explication : les nuages de haute altitude, comme les cirrus sur Terre. Même une petite quantité de nuages dans l'atmosphère peut augmenter considérablement la température d'une planète, en provoquant un effet de serre similaire au dioxyde de carbone dans l'atmosphère. L'idée avait déjà été proposée pour la première fois en 2013, mais elle avait été largement mise de côté parce que, nous dit Kite, «Il a été avancé que cela ne fonctionnerait que si les nuages avaient des propriétés invraisemblables. Par exemple, les modèles suggéraient que l'eau devrait rester longtemps dans l'atmosphère, beaucoup plus longtemps qu'elle ne le fait généralement sur Terre, de sorte que la perspective dans son ensemble semblait improbable. À l'aide d'un modèle global 3D de l'atmosphère martienne, Kite et son équipe se sont mis au travail. La pièce manquante était la quantité de glace au sol. S'il y avait de la glace recouvrant de grandes parties de Mars, cela créerait une humidité de surface qui favoriserait les nuages de basse altitude, qui ne sont pas censés réchauffer les planètes et peuvent même les refroidir, car ces nuages réfléchissent la lumière du soleil dans l'espace. Mais s'il y a seulement de la glace aux pôles et au sommet des montagnes, l'air au sol devient beaucoup plus sec locatement. Ces conditions favorisent une couche de nuages élevés qui ont tendance à réchauffer plus facilement les planètes. Les résultats du modèle ont montré que les scientifiques doivent peut-être rejeter certaines hypothèses cruciales fondées sur les modèles valables pour notre planète. «Dans notre modèle martien, ces nuages se comportent d'une manière très différente de ce qu'ils font sur Terre», explique Kite. «Construire des modèles sur l'expérience terrestre ne fonctionnera tout simplement pas, car pour Mars, rien n'est similaire au cycle de l'eau de la Terre, qui fait circuler l'eau rapidement entre l'atmosphère et la surface.» Ici sur Terre, où l'eau couvre près des trois quarts de la surface, l'eau se déplace rapidement et de manière inégale entre l'océan, l'atmosphère et les continents dans des vortex et des courants qui signifient que certains endroits seront secs (le Sahara) et d'autres seront massivement arrosés (l'Amazonie ). En revanche, même au maximum de son habitabilité, Mars avait beaucoup moins d'eau à sa surface. Lorsque la vapeur d'eau s'élevait dans l'atmosphère, dans le modèle de Kite, elle restait longtemps dans l'atmosphère. «Notre modèle suggère qu'une fois que l'eau s'est déplacée dans l'atmosphère martienne primitive, elle y restait environ un an et cela créait les conditions pour l'apparition de nuages de haute altitude à longue durée de vie», affirme Kite. Le rover Perseverance nouvellement débarqué, devrait être en mesure de tester cette idée de plusieurs manières, par exemple en analysant des roches pour en déduire la pression atmosphérique passée sur Mars. Comprendre l'histoire complète de la façon dont Mars a possédé, puis perdu sa chaleur et son atmosphère, peut aider à éclairer la recherche sur d'autres mondes habitables. "Mars est importante parce que c'est la seule planète que nous connaissons qui ait eu la possibilité de soutenir la vie, et l'a ensuite perdue", nous dit Kite. «La stabilité climatique à long terme de la Terre est remarquable. Nous voulons comprendre toutes les manières dont cette stabilité climatique peut s'effondrer, et toutes les façons qui lui permettent de se maintenir. Cette quête définit le nouveau champ de l'habitabilité planétaire comparée. Les co-auteurs de l'article sont l'ancien chercheur postdoctoral UChicago Liam Steele, maintenant au Jet Propulsion Laboratory; Michael Mischna du Jet Propulsion Laboratory et Mark Richardson d'Aeolis Research. Certaines parties de l'analyse ont été effectuées au Centre de recherche informatique de l'Université de Chicago.
  4. Actualités de Curiosity - 2013

    Un plan fixe pour une meilleure visibilité :
  5. mars 2020 rover

    https://mars.nasa.gov/news/8933/with-goals-met-nasa-to-push-envelope-with-ingenuity-mars-helicopter/ Extraits traduits automatiquement puis corrigés : Maintenant que l'hélicoptère Ingenuity a atteint l'objectif de réaliser un vol motorisé et contrôlé sur la planète rouge, et avec les données de son plus récent test en vol , le 25 avril, le projet de démonstration technologique a atteint voire surpassé tous ses objectifs techniques. L'équipe d'Ingenuity va maintenant essayer d'améliorer encore les performances de l'engin. Le quatrième vol à partir de «Wright Brothers Field», nom de l'aérodrome martien, doit décoller le jeudi 29 avril à 12 h 30 pm heure locale martienne, les premières données étant attendues au Jet Propulsion Laboratory en Californie à 10 h 21 HAP. Le vol 4 a pour objectif de démontrer la valeur potentielle des possibilités aériennes d'Ingenuity. Le test en vol commencera par une ascension à une altitude de 5 mètres, puis se dirigeant vers le sud, survolera des rochers, des ondulations de sable et de petits cratères d'impact sur 84 mètres. Pendant qu'il volera, le giravion utilisera sa caméra de navigation orientée vers le bas pour collecter des images de la surface tous 1,2 mètre, jusqu'à ce qu'il parcourt un total de 133 mètres. Ensuite, Ingenuity passera en vol stationnaire et prendra des images avec sa caméra couleur avant de retourner se poser à Wright Brothers Field. «Pour atteindre la distance nécessaire de ce vol de reconnaissance, nous allons battre nos propres records sur Mars établis lors du troisième vol», a déclaré Johnny Lam, pilote suppléant de l'hélicoptère Ingenuity. «Nous augmentons le temps de vol de 80 secondes à 117 secondes, notre vitesse maximale de 2 mètres par seconde à 3,5 m, en plus que doublant notre autonomie totale.» Après avoir reçu les données du quatrième vol, l'équipe d'Ingenuity examinera son plan pour un cinquième vol. (J'ai expurgé de ce résumé les répétitions de ce que nous savons déjà des précédents communiqués, les données strictement à destination des lecteurs américains (miles, horaires etc), et les formules qui en français ne signifient rien ou sont difficilement traduisibles.)
  6. mars 2020 rover

    Depuis le troisième vol d'Ingenuity, Perseverance s'est déplacé de son point d'observation. Il semble se positionner sur un emplacement lui permettant de mieux suivre l' hélicodrone avec ses caméras. Carte des mouvements du rover de Phil Stooke (UMSF) :
  7. mars 2020 rover

    La même série, mais images redressées et corrections de vignettage par Thomas Appéré sur UMSF : Pour un bon cadrage, il nous faut patienter encore un peu mais cela promet certainement quelque chose d'assez spectaculaire.
  8. mars 2020 rover

    Ça arrive un peu comme un cheveux sur la soupe, mais quel plaisir de revoir ce formidable topic de photos animalières que tu avais initié sur Webastro. Je retourne de suite admirer tout cela. Merci.
  9. mars 2020 rover

    Le cadreur manque d'expérience... mais quand même ... https://www.jpl.nasa.gov/images/ingenuity-spots-perseverance-from-the-air "Le rover Perseverance Mars est visible dans le coin supérieur gauche de cette image prise par l'hélicoptère Ingenuity lors de son troisième vol, le 25 avril 2021. L'hélicoptère volait à une altitude de 5 mètres et se trouvait à environ 85 mètres du rover à cet instant."
  10. mars 2020 rover

    Salut '45, Pour compléter la proposition très judicieuse de Jack' , on peut ajouter que le secteur choisi pour les vols d'Ingenuity est globalement assez peu couvert d'importantes quantités de poussières. Ceci peut sans doute s'expliquer par l'aérologie locale. Avec l'absence de gros obstacles dans cette zone, ce fût certainement un des critères de sa sélection par l'équipe technique.
  11. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Pour le cas "diminution", ne doit-on pas employer le terme décélération !?
  12. mars 2020 rover

    Phil Stooke (UMSF) nous propose une comparaison des points de décollages/atterrissages de l'hélicodrone pour les 3 vols déjà effectués. D'après ses explications, je crois comprendre que l'image du bas correspond au point d'atterrissage du vol 1, au-dessus de l'atterrissage du vol 2, au-dessus du décollage du vol 3 et tout en haut de la série de l'emplacement d'atterrissage de ce même vol après qu'ingenuity ait fait son aller/retour de 50 m. On constatera donc pour le troisième vol un léger décalage entre le point de départ et d'arrivée.
  13. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Oh la la ! C'que vous pouvez être lourd !
  14. mars 2020 rover

    https://mars.nasa.gov/news/8930/nasas-ingenuity-mars-helicopter-flies-faster-farther-on-third-flight/ Traduction remaniée du lien : L'hélicoptère Ingenuity continue d'établir des records, volant plus vite et plus loin ce dimanche 25 avril 2021, que lors de tous les tests qu'il avait subis sur Terre. L'hélicoptère a décollé à 1 h 31 HAE (4 h 31 HAP), ou 12 h 33 heure locale de Mars, s'élevant à 5 mètres - la même altitude que son deuxième vol . Ensuite, il a parcourru une distance de 50 mètres à une vitesse maximale 2 mètres par seconde. Après que les données aient été reçu l'équipe d'Ingenuity était ravie de voir l'hélicoptère s'envoler hors de vue. Ils sont déjà en train d' analyser une mine d'informations recueillies lors de ce troisième vol pour programmer des vols supplémentaires d'Ingenuity. «Le vol d'aujourd'hui était ce que nous avions prévu, et pourtant c'était tout simplement incroyable», a déclaré Dave Lavery, directeur du programme pour Ingenuity. «Avec ce vol, nous démontrons des capacités critiques qui permettront d'ajouter une dimension aérienne aux futures missions sur Mars.» La Mastcam-Z à bord du rover Perseverance, stationné à « Van Zyl Overlook » et servant de station de base de communication, a capturé une vidéo d'Ingenuity. Dans les jours à venir, des extraits de cette vidéo seront renvoyés sur Terre montrant la majeure partie du voyage de 80 secondes de l'hélicoptère dans sa zone de vol. L'équipe d'Ingenuity a repoussé les limites de l'hélicoptère en ajoutant des instructions pour capturer plus de photos, y compris à partir de la caméra couleur, qui avait déjà pris ses premières images lors du deuxième vol. Comme pour tout ce qui concerne ces vols, les étapes supplémentaires visent à fournir des informations qui pourraient être utilisées par de futures missions aériennes. La caméra de navigation noir et blanc de l'hélicoptère, quant à elle, examine les caractéristiques de surface en dessous, et ce vol a mis à l'épreuve le traitement embarqué de ces images. L'ordinateur de vol d'Ingenuity, qui fait voler l'engin de manière autonome sur la base d'instructions envoyées des heures avant la réception des données sur Terre, utilise les mêmes ressources que les caméras. Sur de plus grandes distances, plus d'images sont prises. Si Ingenuity vole trop vite, l'algorithme de vol ne peut pas suivre les caractéristiques de surface. «C'est la première fois que nous voyons l'algorithme de la caméra fonctionner sur une longue distance», a déclaré MiMi Aung, chef de projet de l'hélicoptère au JPL. «Vous ne pouvez pas faire cela dans une chambre de test.» Les chambres à vide du JPL sont remplies principalement de dioxyde de carbone, pour simuler la mince atmosphère martienne; ils n'ont pas la place pour même un petit hélicoptère de le déplacer de plus d'environ un demi-mètre dans n'importe quelle direction. Cela posait un défi : la caméra suivrait-elle le sol comme prévu tout en se déplaçant à une vitesse plus élevée sur la planète rouge ? Beaucoup de choses doivent être synchro pour que la caméra le fasse, a déclaré Gerik Kubiak, ingénieur logiciel JPL. En plus de se concentrer sur l'algorithme qui suit les caractéristiques de la surface, l'équipe a besoin d'expositions d'image correctes: la poussière peut obscurcir les images et interférer avec les performances de la caméra. Et le logiciel doit fonctionner de manière cohérente. «Lorsque vous êtes dans la chambre d'essai, vous avez un bouton d'atterrissage d'urgence juste là et toutes ces fonctions de sécurité», a déclaré Kubiak. «Nous avons fait tout notre possible pour préparer Ingenuity à voler librement sans ces fonctionnalités.» Avec ce troisième vol dans les livres d'histoire, l'équipe d'Ingenuity envisage de planifier son quatrième vol dans quelques jours. PS : Je me joins à toutes les félicitations adressées à Penn pour les superbes images qu'elle nous offre.
  15. mars 2020 rover

    En ce moment sur NASA TV : https://www.agences-spatiales.fr/web-tv/nasa-tv-direct/
  16. mars 2020 rover

    Vidéo intégrale du 2ème vol d'Ingénuity par Thomas Appéré. Absolument splendide !!! https://live.staticflickr.com/video/51133298807/27308c027a/720p.mp4?s=eyJpIjo1MTEzMzI5ODgwNywiZSI6MTYxOTI0NzgwOCwicyI6Ijk1NTI1ZjU2NWZiZDU0ZWYzNDRlZjQ5ZGE2MjZjMDNmNjBiYzY0YWMiLCJ2IjoxfQ Veuillez m'excuser pour la copie du lien. Mauvaise manip' de ma part qui ne vous empêchera pas d'admirer le travail de Thomas sur les images de Percy.
  17. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Ce concept de Drive church n'est pas complètement idiot et permettrait peut-être à notre jeunesse de réentendre la parole du Seigneur. Elon soit loué ! D'ailleurs l'idée a déjà fait son chemin aux Etats -Unis.
  18. mars 2020 rover

    Tu me cites partiellement La totalité de ce que j'écrivais à ce sujet : "Mais rejeter du monoxyde de carbone dans l'atmosphère ne serait peut-être pas sans conséquences. Evidemment pour une réelle nocivité tout serait une question de son taux dans ce que nous respirons, mais, même à petite dose d'autres répercussions seraient possiblement à craindre." Tu comprendras donc que j'ai quand même quelques notions de ce qu'est le monoxyde de carbone.
  19. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Ah bon ! Être scientifique serait l'assurance d'une bonne gouvernance ? https://www.topito.com/top-prix-nobel-dit-grosses-conneries
  20. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Allons ! Soyons un peu sérieux ! Quelques belles images : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/thomas-pesquet-plus-belles-photos-lancement-thomas-pesquet-86981/
  21. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Peut-être que les américains ont amené leurs chevaux dans la soute. Mais Thomas, lui, aurait très bien pu rester en espadrilles et garder son béret sur la tête au lieu de s'astreindre à porter ce casque.
  22. Thomas, 22 avril ! Oups, 23 avril !

    Je ne comprends pas trop. On sait tous les efforts que fait habituellement SpaceX pour soigner le côté futuriste de leur matos, capsules, tableau de bord, sièges, casques, scaphandres, etc etc Mais là !!! (Photo de gauche) Quand on voit les astronautes chaussés de simples bottes de jardiniers, ça fait vraiment pitié ! C'est vrai aussi qu'en microgravité l'utilité d'être chaussé confortablement perd de son importance mais, merde, le standing ne doit jamais être négligé. Bon vol à eux.
  23. mars 2020 rover

    Sans montrer le décollage et l'atterrissage d'Ingenuity, vidéo détaillant bien son évolution aérienne : https://mars.nasa.gov/system/video_items/6007_PIA24595.mp4 Et traduction automatique résumée du lien suivant : https://mars.nasa.gov/news/8928/nasas-ingenuity-mars-helicopter-logs-second-successful-flight/ L'hélicoptère Ingenuity de la NASA a terminé avec succès son deuxième vol sur Mars le 22 avril - 18ème sol de sa fenêtre d'essais en vol expérimentaux. D'une durée de 51,9 secondes, le vol a ajouté plusieurs nouveaux défis au premier , qui avait eu lieu le 19 avril, notamment une altitude maximale plus élevée, une durée plus longue et des mouvements latéraux. «Jusqu'à présent, la télémétrie technique que nous avons reçue et analysée nous indique que le vol a répondu aux attentes et que notre modélisation informatique antérieure a été précise», a déclaré Bob Balaram, ingénieur en chef de l'hélicoptère Ingenuity au JPL. «Nous avons deux vols martiens à notre actif, ce qui signifie qu'il reste encore beaucoup à apprendre pendant ce mois.» Pour ce deuxième test en vol au «Wright Brothers Field», Ingenuity a décollé de nouveau à 5 h 33 HAE (2 h 33 PDT), ou 12 h 33 heure locale. Mais là où le vol 1 a culminé à 3 mètres au-dessus de la surface, Ingenuity a grimpé à 5 mètres cette fois. Après un bref vol stationnaire de l'hélicoptère, son système de commande de vol a effectué une légère inclinaison ( de 5 degrés), permettant à une partie de la poussée des rotors contrarotatifs d'accélérer l'engin latéralement sur 2 mètres. «L'hélicoptère s'est immobilisé, a plané sur place et a fait des virages pour pointer sa caméra dans différentes directions», a déclaré Håvard Grip, pilote en chef d'Ingenuity au JPL. «Ensuite, il est retourné au centre de l'aérodrome pour atterrir. Cela semble simple, mais il existe de nombreuses inconnues concernant la façon de piloter un hélicoptère sur Mars. C'est pourquoi nous sommes ici pour connaître ces inconnues. " Comme pour le premier test, le rover Perseverance a obtenu des images de la tentative de vol à une distance de 64 mètres de « Van Zyl Overlook » en utilisant ses imageurs Navcam et Mastcam-Z. L'ensemble initial de données y compris les images du vol a été reçu par l'équipe d'Ingenuity. «Pour le deuxième vol, nous avons essayé une approche différente du niveau de zoom sur l'une des caméras», a déclaré Justin Maki, scientifique en imagerie du projet Perseverance au JPL. «Pour le premier vol, l'une des caméras a été entièrement zoomée sur la zone de décollage et d'atterrissage. Pour le deuxième vol, nous avons légèrement zoomé sur cette caméra pour un champ de vision plus large afin de mieux capturer le vol. " Parce que les données et les images indiquent que l'hélicoptère de Mars a non seulement survécu au deuxième vol, mais a également volé comme prévu, l'équipe d'Ingenuity réfléchit à la meilleure façon d'élargir les profils de ses prochains tests pour acquérir des données aéronautiques supplémentaires.
  24. mars 2020 rover

    Certes, mais 13 heures avant lui, 8Zi vous l'avait déjà annoncé : Pour une fois que j'avais été plus réactif que lui
  25. mars 2020 rover

    Altitudes maximales atteintes par l'hélicodrone - Gif de neo56 (UMSF)