micheldelmas

Wahoo ! celle là (protu) elle est belle ! En fenêtrage je suis à 200 pixels de largeur , je vais réduire ça. Si j’étais de mauvaise foi, je dirai que je n'ai jamais eu de protus lors de mes acquisitions, mais comme je ne suis pas de mauvaise foi, je ne le dis pas

Merci pour les détails. Hé oui, moi je suis à 2000 images pour le disque complet ! du coup la définition n'est pas la même. Depuis peu j'ai un nouveau ordi portable avec usb3 et ssd , et en faisant une fenêtre plus serrée sur les raies pour alléger les images, je devrais sensiblement améliorer la vitesse d'acquisition . Sinon il me faudra acheter une caméra plus performante que la vénérable DMK 41.

c'était pour moi ça ! Mon imageur est une lunette de Ø 60mm le pouvoir séparateur est limité. Ma caméra est une dmk 41 avis 8 bits . Je vois effectivement les protus en multipliant les images initiales mais j'ai du mal a en tirer des images acceptables, j'ai essayé en faisant un second film avec des des poses plus longues mais il faut une atmosphère absolument limpide. Il ne me reste qu'a ressortir un ancien film et insister avec le traitement ...

Beaux documents ! Ce qui m’épate ce sont les protubérances avec ce type d'appareil, moi je n'y arrive pas, snif ! Ce sont deux spectrohéliogrammes avec temps de pose plus long pour les protus ou-bien le traitement en deux phases du même spectrohéliogramme ? En tout cas bravo ! Michel Delmas.

Merci Bowen de cette reformulation, c'est exactement ce que j'avais compris ! (après les réponses de dg2 et biver) Pour ma dernière réponse, je me suis probablement mal exprimé. Au départ effectivement je me suis fourvoyé avec une lecture un peu simpliste du schéma joint à mon baratin...mais ils m'ont vite remis les pendules à l'heure les bougres

C'est sans grand intérêt, je vous l'accorde, cela ne va pas changer notre existence, mais environ tout les 20 ans le barycentre de notre système solaire sort du Soleil. Ce barycentre se trouve au maximum à environ 1 diamètre solaire du centre de celui ci. Pendant ces années là, la Terre, sur son orbite, passe alternativement à un rayon solaire de plus ou de moins par années. Grosso modo plus loin aux oppositions de Jupiter et plus près 6 mois après.. Avez vous une idée de l'influence de cette valse cosmique sur l'énergie que reçoit la Terre ? "A cause" essentiellement de Jupiter et Saturne, nous entrons, pour les quelques années à venir, dans un phase extrême d'éloignement du "barycentre système solaire" / "centre de gravité Soleil" Apparemment la physique solaire n'est pas affectée par cette situation ou le Soleil tourne , sur lui même certes , mais en orbite autour d'un point extérieur à son globe. La distance au Soleil n'est que de 108 fois son diamètre Je n'ai pas trouvé d'études sur cette particularité, c'est qu'il n'y a rien a en dire ? J'aime bien les détails...

Merci dg2 et Biver. Le schéma que j'ai posté est juste mais , de part sa proximité du soleil par rapport à Jupiter , (merci Newton, Kepler etc.) , le centre de gravité du système Terre/Lune suit une ellipse dont le soleil occupe un des foyer , aux déformations prés dues à l'attraction des autres planètes, mais, lesquelles déformations, sont d'une valeur très inférieure à celles du déplacement du barycentre du système solaire. non non ! l' iss ne tourne pas autour du centre de gravité Terre/lune , elle circule au ras des pâquerettes de la Terre, l'influence de l'attraction de la Lune est très faible. En restant approximatif, sI l' iss était en orbite, très loin du système Terre/Lune, elle tournerait autour de leur centre de gravité commun . Vu de très loin, depuis l'espace, au dessus du Système solaire, le Soleil "sinusoïde" un peu plus de sa trajectoire (conformément au schéma ) pour les périodes ou essentiellement Jupiter et Saturne se trouvent du même coté (environ tout les 20 ans) J'ai bon là ? pffff tout ça pour ça ! M.D.

moi c'est Delmas Michel... Mais je suis surpris que cette situation géométrique du système solaire, environ tout les 20 ans, n'ai pas plus de conséquences. - Pour la variation de l'énergie reçue, effectivement , vu ce qui vient d’être exposé ci dessus, cela doit être noyé dans les autre paramètres (périhélie, aphélie, obliquité etc..) - Et (seconde question de mon post initial) le soleil lui même, qui, a ces périodes là, circule autour du barycentre du système solaire. Vu la masse colossale et la rotation rapide (27 jours), les moments d'inertie avec cette variation de position du barycentre doivent affecter au minimum les parties extérieures: photosphère, chromosphère et couronne, il doit bien exister un logiciel capable de calculer ça ! La convection du coté du barycentre doit être différente de celle du coté opposé. Aucune observation particulière n'a été faite à propos des dernières escapades du barycentre..Il faudrait éplucher les archives de l'activité solaire... Bref , affaire à suivre, comme tant d'autre...et c'est très bien ainsi...

Au spectrohéliographe, le Soleil dans la raie du calcium et h alpha samedi 30 juin. Caméra dmk 41 , reconstitution des images et traitement avec IRIS (fonction scan2pic et ondelettes) Michel Delmas

Merci Philippe , Jean Jacques, JC , Christian pour vos commentaires. Pour ta question Christian, la solution la plus simple est de placer une source de lumière uniforme , le filtre et un spectro ..... L'analyse du profil transmis donnera les valeurs que tu cherches je pense. (je n'ai peut être pas bien compris la question) M.D.

La bondrée apivore est une espèce migratoire présente en Europe en été, la silhouette est possible, le comportement en groupe aussi, mais certaines buses variables lui ressemblent.....Je ne m'avancerai pas plus sur une silhouette

"Mais c'est quoi ces séparations entre les couleurs !!! " Ce sont des redschift localisés dus à la présence de matière noire et , je crois , accentués par l'énergie noire , qui provoquent la séparation des couleurs par paquets en uniformisant localement les longueurs d'ondes. Pour faire simple, les bandes blanches sont la signature de la matière noire C'est étonnant mais Nostradamus l'avait prédit en ces termes exacts en 1550. gatus philippoidus matiérus noirus signaturus. On vous l'a dit et répété, révisez vos leçons !

Cela ressemble à la silhouette d'une bondrée apivore... C'est dans quelle région ?

"Tu n'as pas une photo plus grande de ton montage ?" Si en voilà deux , la lunette d'entrée est un perl Ø 60 /800 , l'objectif collimateur qui renvoi à l'infini l'image de la fente est une lulu Ø 50 , le réseau 1200 traits /mm Edmund Optic , l'objectif de sortie est un ancien zénith 70/ 300 , Beaucoup de récup, il y a un peu de travail mais c'est vraiment très intéressant. "Je vais finir par m'y recoller" m'enfin ! tu t'en es décollé ???? c'est pas bien ça

Soleil H alpha de lundi 18 avec mon petit spectrohéliographe. Traitement avec IRIS et correction du transversalium avec la « nouvelle » fonction d'ISIS Je ne suis pas sûr d'appliquer les bons paramètres « coef » et « seuil » C'est dommage que cette fonction crée un artefact aux pôles entre les deux colonnes x1 et x2 choisies sur l'image du continuum (jamais content ! ) Michel Delmas

en png ça va mieux ....

et coller au dos du miroir une plaque de verre martyre à l'arcanson qui empêchera les monstrueux éclats à la sortie ( petite expérience d'un perçage pour cassegrain et découpe de deux petits miroirs )

Spectro à prisme « à l'ancienne » cela m'a fait chaud au cœur Et les vrais spectros « anciens » à prisme c'était quoi à l'époque des péloches ? Pour moi c'était ça dans les années 80 monté sur mon ancien 200 taillé à f/d 10 avec un boîtier exacta varex 2a Puis ça en visuel, je tapotait sur le tube pour élargir le spectre afin de le rendre lisible, et j'avais fini par tailler une lentille cylindrique fixée sur l'oculaire. Rigolez pas c'est émouvant non ? C'est sûr, le machin à Christian est juste un peu plus propre , juste un peu plus compact et juste un peu plus tout quoi !

- Bonjour Daniel - un grand bravo pour ta persévérance et celle de tes coéquipiers. - un grand merci pour le partage "intégral" des détails de cette construction. En général, tout gros projet réalisé laisse un grand vide dans la vie....Et maintenant ? un 600 ? Cordialement, Michel Delmas.

Attention, risque de dire une grosse bêtise, soyez indulgents c'est le début de l'année Le redshift , c'est bien la longueur d'onde de la lumière, émise par les objets lointains, qui augmente en fonction de l'expansion de l'univers ? (d’où le fond diffus cosmologique). rien à voir avec l'effet Doppler. Les rayons cosmiques sont de la matière voyageant à des vitesses relativistes, certains viennent de très très loin. Toute particule peut être associée à une onde. Cette onde ne peut elle pas "s'étirer" ? Et dans ce cas que deviennent ses particules parties du fin fond de l'univers ? Elles se transforment ou elles restent identiques grâce aux forces nucléaires ? Michel Delmas

Je sors juste un peu la tête pour remercier infiniment les intervenants, qui, inlassablement, depuis des années, nous donnes des infos richement commentées sur cette belle aventure. En ce début d'année, plusieurs boites de chocolats (au minimum) devraient être distribuées !

Hé oui, pour cette revue le volume c'est l'année ! Merci.

Bonsoir, Savez vous ou je peux trouver la démonstration du calcul de l'UA, selon la méthode proposée par Edmond Halley, après les passages (chronométrés) de Vénus devant le Soleil, en 1761,1769,1874 et 1882 ? Je n'ai pas trouvé sur le net, sur différents bouquins non plus, ni anciens ni récents. Michel Delmas.

Merci Toutiet pour ce complément d'information. J'ai dit à Philippoîde que je n'ai cette revue que depuis 2003, je me suis gouré, le premier numéro que je possède est le n° 119 mars-avril 2005 (cela ne s'invente pas ! ) avec, entre autre, un article sur Deslandres et le spectrohéliographe... Je vais de ce pas commander le n° 118 dans lequel figure ton article. M.D.

Merci Yapo et Philippe, avec ça je devrai me débrouiller, si les forum n'existaient pas il faudrait les inventer