Kentaro2

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  1. DOBSONS LOWRIDER

    En effet, l'angle du PO peut poser problème. Il est tellement confortable dans un dobson, d'avoir l'oculaire bien perpendiculaire...Avec un low rider, on se retrouve dans ce cas, à tordre la tête, comme sur une monture équatoriale.D'autre part, en effet, le bafflage peut être compliqué. Il y a des cas où le bafflage est alors intégré dans l'araignée, selon une forme un peu bizarre.
  2. DOBSONS LOWRIDER

    Un low rider, cela n'a rien à voir avec les ultra lights, minimalistes, etc.Un low rider, c'est l'idée d'incliner le secondaire à plus de 45°, de manière à rabaisser le PO, et donc gagner de la hauteur à l'oculaire. C'est une très bonne idée.Quelques points à noter cependant:- Le secondaire n'est pas une ellipse à 45°. Elle est beaucoup plus proche du cercle. Il faut donc retailler un secondaire ad hoc. - Le chemin PO / secondaire étant plus long, le secondaire est plus grand, il y a donc plus d'obstruction.C'est un compromis.Il y a peu de low rider en France, pays du "ça peut pas marcher". Les modes se cantonnent parfois à certains pays, et puis se généralisent...
  3. Fixation tiges en carbon

    Le problème dans le cas de ce scope ultra light allemand , c'est l'anneau supérieur: quelque soit la manière dont le PO est fixé, l'anneau (un profilé peu épais), va vriller et se tordre, dès que l'on a un peu de poids dessus. On voit pas mal d'engins de ce type outre rhin, avec des anneaux secondaire en profilé cintré. Comme la section est très faible (20 mm ?), avec un peu de poids et du porte à faux, cela va vriller. Pour revenir aux attaches, je rejoinds Serge: la moindre faiblesse dans la fixation est amplifiée: par exemple, dans le cas des attaches reliant deux tubes par une équerre fixée sur l'anneau, montrée plus haut (en carbone), il y a deux niveau de faiblesse: - la liaison tube/équerre: il faut qu'elle soit mobile, donc, on ne peut pas serrer les vis à mort, donc il y a du jeux. - l'èquerre est fixée au milieu à l'anneau: il y a donc un porte à faux entre les tubes et la fixation; Quelle que soit la rigidité du carbone, il y aura une certaine souplesse.Donc, la meilleure fixation (et j'en ai essayé pas mal...), ce sont les boules pressées entre deux blocs, bois ou alu, évidés, de manière à bien prendre la boule. Quand tout est fixé, plus rien ne bouge. Pour les boules, on les trouve chez Weber metaux, à Paris. Ensuite, tourner des embouts, en bois ou alu.
  4. Fixation tiges en carbon

    J'utilise des boules fixées dans un embout inserré dans le tube en carbone. Les boules sont pressées par les fixations. Cela ne bouge plus.Cela permet d'obtenir des angles en 3 dimensions plus difficiles à obtenir autrement. [img]http://sites.google.com/site/dobson2005/7-large.JPG[\img][img]http://sites.google.com/site/dobson2005/8-large.JPG[\img]
  5. Supports astatiques: frime ou pas ?

    Je comprends très bien l'intérêt d'être exigeant... . Et en effet, les français, les "grands ancêtres", ont beaucoup contribué à relever le niveau!
  6. Fixation tiges en carbon

    Attention, plus il y a d'articulation, plus il y a de possibilité de jeux, et donc de bloblotage de l'ensemble. Le fagot (tous les tubes reliés entre eux et qui de déplient), c'est une bonne idée, mais c'est en fait pas si facile à déplier...
  7. Fixation tiges en carbon

    Faire usiner des embouts en alu, qui s'inserrent dans les tubes, et qui permettent de visser les tubes sur la cage et la boite à miroir. Attention au collage des embouts alu dans le carbone: le contact direct carbone/ alu ne donne rien de bon, il peut se produire une réaction chimique, electrolyse ou autre.
  8. Supports astatiques: frime ou pas ?

    Si j'ai bien compris, c'est un tout et il faut être raisonable: le recours à un barillet sophistiqué astatique se justifie avant tout si on a un primaire optimisé, léger, de faible épaisseur, et surtout, de la meilleure qualité. Et puis, il faut savoir maitriser les réglages, un start test, et "sentir" son miroir... Si on a une optique de bonne qualité mais pas nécessairement excellente (et pour un 600 et plus, les optiques à L/16 sont rares...), et/ou si on n'est pas un roi de l'optique, un barillet à triangles se justifiera amplement, me semble t'il. Comme l'a dit David, c'est surtout en France que l'on a un fort niveau d'exigence en matière de qualité optique. On trouve très peu de discussions sur les forum anglo saxons ou allemands, sur la qualité quantifiée d'un miroir, les Lambda, rms, superpoli, etc. D'où le fait qu'il n'y ait pas eu non plus beaucoup de recherches sur les barillets chez les amateurs.
  9. Dobson Collimation differente oeil et laser

    Avec un peu de retard, quelques remarques concernant la différence constatée entre une collimation à l'oeilleton et au laser:Je suis entièrement d'accord avec Toutiet concernant la procédure. C'est celle qui permet d'éviter le plus d'erreurs.Mais attention! IL faut bien lire ce qu'écrit Toutiet! Le plus difficile est d'avoir un secondaire parfaitement circulaire et centré dans le tube du PO. En effet, si le secondaire est fixé trop haut (cela se règle avec la vis centrale), ou si le secondaire a pivoté sur son axe vertical (un peu trop à droite ou à gauche, dans ce cas, le secondaire n'apparaitra pas entièrement circulaire, mais c'est parfois difficile à bien mesurer), dans ce cas, il est tout à fait possible de bien centrer le laser sur le centre du primaire, sans que la collimation soit bonne, le tout étant décalé à l'oeilleton...C'est souvent là la principale raison des différences constatées entre collimation laser et collimation oeilleton, bien avant le problème du bloblotage du laser dans le PO.
  10. Supports astatiques: frime ou pas ?

    La difficulté pour le piston, c'est que l'on a un mouvement vertical pour le piston et un mouvement circulaire pour le levier. L'idéal serait d'avoir une vraie bielle, avec des rotules, sinon, cela coince à un moment ou un autre. Sinon, guider le piston dans un anneau le moins épais possible pour minimiser la surface de frottement, et le faire peut-etre en téflon, quite à le changer de temps en temps s'il s'use...
  11. Supports astatiques: frime ou pas ?

    Intéressant, tout cela...Il est vrai que cela parait simple.Je pensais qu'il fallait à chaque collimation, rerégler les contrepoids des balanciers, surtout si les vis de collimation sont indépendantes des balanciers. Certes, la collimation n'implique pas un très gros déplacement, mais cela s'influe t'il quand même pas sur la force appliquée par les leviers sur le miroir ? D'autre part, le calcul de positionnement des points de supports se fait-il avec Plop de la même manière qu'un système à triangles ?