Jijil

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Messages posté(e)s par Jijil


  1. Bah, un peu de patience: la 5G avec SpaceX et y'aura plus besoin de tout ça ;)

     

    Le 16/10/2020 à 19:33, higgins a dit :

    Est-ce que c'est bien légal? En terme de puissance, ce n'est pas standard, et sur ce magasin, je vois du matos avec des portées de 60km (sans restriction annoncée)...


  2. A propos de Teamviewer, en version gratuite, il me semble que le client demande un code affiché sur l'écran du serveur. Donc, pas possible de s'y connecter sans qu'une personne physique ne soit devant l'écran du serveur... Non?

     

    Par contre, (puisqu'on se débrouille pour le télétravail), les bureaux à distance, Windows, VLC, SSH et cie, ça ne passe pas les firewalls de mon job (-> pas de connexion entrante depuis l'extérieur: il faut que ce soit initié de l'intérieur). Teamviewer, ça marche (parce que le "serveur" teamviewer est lui-même un client d'un serveur sur un cloud) mais avec cette foutue contrainte de code à obtenir. Donc c'est pas la panacée selon les restrictions du réseau utilisé.

     

    Tant qu'il y a un serveur physique, ca sera payant ou soumis à restriction (faut bien payer ces serveurs...). Par contre si ça passe par du peer-to-peer, ça pourrait être gratuit... Vous connaissez des solutions du genre?

     


  3. merci beaucoup @fljb67 :) (et ça rejoint en tous cas le peu de littérature dont  je dispose (depuis peu)).

    Les réducteurs planétaires me semblent préférables également pour la question des erreurs périodiques. Mais s'il y a du jeu, c'est plus aléatoire...

     

    De manière générale, et je pense que je ne suis pas le seul, c'est difficile de trouver des informations "couple" qui soient complètes ou fiables...

     


  4. Ce sujet m'intéresse! Car je me penche sur les mêmes problématiques.

    Je me permets d'ajouter mon lot de questions (en remerciant d'ores et déjà ceux qui en ont posé et qui y ont répondu):

    - Si on peut fonctionner en fractions de pas, que devient le couple du moteur en fonction de la vitesse de rotation demandée? y a-t-il un comportement "générique" sur ce plan ou est-ce au cas par cas?

    - avec un réducteur planétaire comme celui présenté sur le lien omc-stepperonline à quoi faut-il s'attendre comme jeu (backlash)?

    - pas trop de risques de résonances avec le fonctionnement "haché" en pas plutôt qu'en rotation continue?

    - last but not least: les erreurs mécaniques apportées par ces réducteurs planétaires peuvent-elles être significatives dans ce genre de montages? (mieux vaut-il passer par des rapports de disques-galet moteur importants ou passer par ce type de réducteur?)

    - s'il y a une erreur périodique introduite, quels sont les moyens de la corriger? (correction dans l'implementation "Arduino"? ou obligation de passer par de l'autoguidage? ... ?)

     

    Merci...

    PS: @soulearth : si tu perçois mon intervention comme du "squat de topic" (et désolé si c'est le cas...), je peux en créer un autre...

     

     

     


  5. Merci beaucoup pour ton retour! De fait, pour la question de l'équilibre, je le sentais de moins en moins. Merci d'avoir confirmé ET proposé cette alternative sympa :)

    Tu parles bien de pâte époxy? C'est vrai que c'est super dur. Il y en a même des renforcées avec particules métalliques il me semble.

     

    Dans l'immédiat, apres calculs je dois trouver un réducteur de vitesse (correct) entre le galet tracteur et la motorisation. A la louche (tout est encore modifiable) d'un facteur 100:1

    J'ai en stock un petit moteur EQ1, mais je ne sais pas trop s'il peut encaisser beaucoup de charge (contre-couple lié à un déséquilibre), "beaucoup" n'étant pas encore quantifié.

     

     


  6. il y a des vaisseaux spatiaux, dont la position est connue et par reconnaissance de leur plaque d'immatriculation, on finit par orienter correctement la monture?

    (j'aurais dit astronmétrie sinon?)

     

    Autre possibilité (et c'est une question sur le sujet): j'ai cru comprendre qu'il y a des softs pour faire du Bigourdan assisté avec une image camera (où le soft interprète les déplacements d'étoiles dans le champ avec grande précision et donne/fait les corrections nécessaires).

    vrai ou faux? Si quelqu'un peut lâcher quelques références (softs libres de préférence) ?

     

     


  7. Merci pour ta réponse Serge. C'est bien cela que je voulais/voudrais objectiver :) De mon côté, je ne peux pas vraiment le "sentir", n'ayant jamais manipulé ce genre d'outils...

     

    Peut-être qu'on s'en satisfait facilement sur du visuel par périodes de 5 minutes (la dérive y est moins forte qu'1h30. Toujours d'après CES calculs). Et qu'on tourne machinalement un potentiomètre, accusant un défaut de.mise en station par.exemple.

    Je ne sais pas...

     


  8. Je ne peux pas t'aider, mais merci toutefois de l'avoir remis à l'ordre du jour. Je pensais qu'il n'etait plus maintenu ni compatible avec une version actuelle de Linux... (Mais il est bien compatible Windows et Mac aussi)

     


  9. Les câbles que je vois sont a base de chips pl2303.

    Je préfère de très loin ceux a base de chip FTDI FT232:

    - bien meilleur signal (donc plus grandes longueurs de cable)

    - bien meilleurs dans la gestion USB (les PL2303 fonctionnent mais de mon expérience, c'est compliqué d'en avoir plusieurs sur la même machine. Pas avec les FTDI). Même les copies FTDI (qui n'ont rien a voir avec les originaux) fonctionnent mieux sur ces plans.

     


  10. Merci pour ta réponse :)

     

    Oui oui, ça j'avais bien compris ;)

    Pour être plus clair, avec des images c'est mieux alors:

    Je me suis basé sur les infos du site de Reiner Vogel (une autre référence du domaine, pour moi tout au moins...)

    http://www.reinervogel.net/index_e.html?/Plattform/Planung_e.html

    Alpha=45° Beta=20° selon ses notations (vers la fin de la page)

     

    Bien noté pour le demi-angle à calculer. J'ai fait ça (j'espère ;) ) ci-dessous:

     

    Quand je parle de "cercle de référence", c'est le cercle d'entrainement d'une plateforme équatoriale à secteur(s) circulaire(s). Les calculs qui suivent sur une table VNS sont les ellipses "de projection" de ce cercle de référence, à différents angles.

     

    Pour 1h30 de suivi (22.5°) et des galets à 45° de part et d'autre de la verticale, j'ai le "rayon local" de mon ellipse qui varie de 1.01x à 0.90x celui du cercle de référence (~10%) (donc d'un angle (par rapport à la verticale) de -67.5° à -45° pour un galet gauche. Désolé, ça serait mieux avec une figure, sans doute...)

    Après, pour connaitre la dérive, j'ai fait une intégrale en éléments finis sur 100 points (100 pas de calculs entre -67.5° et 45°).

    Je suis assez doué dans les erreurs de calculs stupides donc j'espère me tromper ;)

    EDIT: j'ai joint mon calcul à ce post sous forme de script Python.

     

    J'ai calculé les positions de tous les petits segments de corde (j'approxime l'arc), chacun entre l'angle theta(i) jusque theta(i+1)   (theta(i) = -67.5 + i* 22.5/100) (i allant de 0 à 100).

    J'ai pris comme référence de vitesse linéaire (=v_lin) celle du périmètre de mon disque de référence tournant à vitesse sidérale (si j'avais une table équivalente à secteur circulaire plutôt que VNS).

    J'ai appliqué cette vitesse de défilement (=v_lin) sur chaque corde d'arc, soit sur le cercle de référence et sur l'ellipse correspondante de ma VNS, ce qui me donne un temps de parcours par arc.

    Puisque je travaille par pas angulaires constants, avec une vitesse de défilement (=v_lin) constante sur chaque corde, j'en ai déduit la vitesse angulaire correspondante, pour l'ellipse (pour le cercle, ça correspond bien logiquement à la vitesse sidérale).

    Et j'ai calculé l'écart entre la vitesse sur l'ellipse et sur le cercle.

    L'écart max (à -67.5°): ~29%  (donc, pour atteindre la vitesse sidérale à 67.5°, je dois "pousser" le moteur de 29%)

    L'écart min (à 45°): ~10%  (donc, pour 45°, il faut le pousser un peu moins: de 10%)

     

    Mais donc, entre ces 2 angles, pour un suivi d'1h30, j'ai donc une variation de vitesse de rotation de 19% (donc entre une formule VNS et une table à secteurs circulaires)

    Ca me semblait donc élevé...

     

    PS: j'ai ça en feuille excel, mais je ne sais pas si c'est beaucoup plus clair ;)

    EDIT: je joins toujours un code source en Python, ça me parait plus compréhensible (et plus facile pour approximer avec 1.000.000 pas, plutôt que 100, plus fins également). Ndlr= la question des angles n'est gérée que sur un quadrant

     

    tableequatoriale.py


  11. Merci pour vos réponses :)

    @régis merci pour la découverte :)


    @serge vieillard

    Si je prends 45° de latitude (je suis plutôt à 50°) si je considère des secteurs inclinés de 20° par rapport à la basel du cône, (donc par rapport à la circulaire de référence), mon ellipse fait 71% (=cos 45°) du rayon comme demi-petit axe et 106% (=1/cos(20°)) pour le demi-grand axe. Si je tracte simplement là-dessus, il me semble que la dérive de vitesse n'est pas si négligeable. Donc, je me disais que je passais à côté d'un truc ;)

    Je ne dis pas que c'est inutilisable (sinon, ça ferait un paquet de gens arnaqués ;) ). En courte durée et sur du visuel, au pire, il suffit de remettre un petit tour au potentiomètre du moteur ... mais j'ai quand-même envie de m'approcher de conditions "photo"... d'où mon interrogation...

     

    Tout ceci si effectivement l'entrainement est fait sur ces secteurs-là. Maintenant, comme tu dis, si on part d'un secteur circulaire indépendant, c'est autre chose... mais plus complexe. Je pensais partir sur une table avec secteurs circulaires, et un entrainement par ruban tracté "à la Pierre Bourge", mais je n'ai pas encore de plans en tête (en particulier si je ne suis pas à l'équilibre ;) )

    Sinon, l'autre intérêt d'une table à secteurs circulaires est qu'étant à 50° de latitude, je conçois tout pour 45° et le fait de supporter sur les 2 axes "rattrape" le déséquilibre (mais bon, c'est seulement 5° de différence, faut espérer que je voyage un peu avec ;) )

     

     

     


  12. Ok, merci pour ta réponse ! Je prévois donc le couple en conséquence. C'était bien ce que je pensais.

    Concernant la rotation d'une plateforme VNS, je me demande comment la motoriser pour une vitesse sidérale parfaite. Faudrait-il accélérer le moteur de manière cosinusoïdale? Qu'est-ce qui est habituellement pratiqué ?

    Merci d'avance pour vos conseils, idées, avis, retours,...

     


  13. En d'autres termes:

    1- est-ce un problème de construire une table pour un T450 et l'utiliser avec un T250 voire un appareil photo+télé sur trépied?

     

    2- le tracking peut-il être parfaitement constant sans correction sur une plateforme VNS? (Pas pour du grand champ mais pour du planétaire, par exemple)

     

    Merci :)

     


  14. Bonjour,

    Je souhaiterais équiper mon Dobson d'une plateforme équatoriale pour avoir accès à un peu de photo et plus de confort en visuel également.

    Je me pose des questions en particulier sur les tables type VNS, qui sont les plus répandues dans l'offre commerciale.

     

    J'ai bien scruté pas mal de réalisations et j'en profite pour applaudir les plans de Pierre Strock sur Magnitude78... c'est vraiment intéressant, en particulier pour les astuces de réalisation. Merci @Strock Pierre

    (Pour ceux qui n'ont pas vu: http://www.astrosurf.com/magnitude78/telescopes/TelStrock/planche.html )

     

    Je me pose donc cependant des questions plus en amont:

    1- Concernant le centre de gravité. A part le fait d'avoir une table surdimensionnée, y a-t-il un autre inconvénient à considérer le centre de gravité sous l'axe (virtuel) de rotation de la table? (donc en pratique le considérer plus haut qu'il ne l'est sur le telescope, pour au final gagner un peu en marge de sécurité sur la stabilité, et potentiellement utiliser la table avec un plus grand instrument)

     

    2- Dans le cas d'une table type VNS (la 3e, à droite, dans les schémas "matérialisation de l'axe de rotation horaire" du site Magnitude78), les secteurs arrondis ne sont pas de profil circulaire mais elliptique. Si l'on réalise l'entrainement motorisé avec un moteur à vitesse de rotation constante en contact avec ces secteurs, on s'écarte donc progressivement de la vitesse idéale (d'un facteur cosinusoïdal). Comment gérer cela? De ce fait, ne vaut-il mieux pas, pour une question d'efficacité de suivi, revenir aux formules plus classiques 1 et 2 sur le même schéma à 3 figures? (j'entends bien que la formule VNS est plus compacte et peut s'avérer satisfaisante en visuel, et je suppose que c'étaient les 2 priorités pour cette table en particulier).

     

    J'espère avoir réussi à me faire comprendre...

    Merci pour vos réponses (conseils?) et bon ciel :)


  15. Ce sujet tombe super bien: je suis en plein dans la même réflexion/démarche

    Merci @fredo38

     ! :)

     

    Je me demande juste:

    1- les parties imprimées 3D ne risquent-elles pas d'être trop souples/fragiles pour cet usage? (elles ont au moins 10kg de charge... risque de déformation élastique ou inélastique à l'usage)

    2- dans le cas d'un pas à pas, chaque pas est un à-coup. Il faut donc que ces à-coups soient sous la résolution du telescope pour ne pas poser de conséquences dans l'image. Si je ne me trompe, le couple d'un stepper (et d'autres moteurs) dépend de sa vitesse de rotation et du courant/tension d'alim. Par conséquent, je suppose qu'il faut soit trouver le moteur directement dans la bonne gamme, soit passer par un réducteur ?

     

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  16. il y a 7 minutes, MCJC a dit :

    Dans cette hypothèse, la Barlow serait-elle utile ?

    Bonne question!

    Réponse courte: à priori oui. Mais pour bien choisir ta Barlow, tu dois passer par un calcul de l'échantillonnage, résumé ici:

    http://www.astrophoto.fr/sampling_fr.html

    Mais dans ce calcul, et dans ton cas, que prendre comme taille de photosite? celle native du capteur ou celle "sous-échantillonnée en vidéo"? (je penche pour la 2e, dans le cas de cette méthodo de travail, à partir de videos). Ce que je soulignais (échantillonnage ou moyennage) c'est surtout une conséquence plus directe sur l'exposition.