Géo le curieux

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Tout ce qui a été posté par Géo le curieux

  1. Mission Hera

    Oui, je commence à comprendre pourquoi cela nécessite deux missions séparées. Le faire en une seule mission demanderait un engin spatial plus complexe et plus lourd, la partie qui observe devant se tenir à distance, pour éviter d'être elle-même endommagée par les débris, et ralentir suffisamment (donc avoir du carburant) pour avoir le temps d'enregistrer assez de données, en particulier la modification de l'orbite suite à l'impact. Heureusement il y aura HERA.
  2. Mission Hera

    Oui, j'ai bien compris. Mais ce que je comprends mal c'est pourquoi les deux (la collision et l'effet résultant) ne sont pas fait par une seule mission, celle de la Nasa. Une partie de l'engin irait s'écraser sur l'astéroïde, l'autre observerait le résultat.
  3. Mission Hera

    La mission DART de la Nasa, départ programmé en 2021, n'a, semble-t-il, pas prévu de moyens d'observation du résultat obtenu par la collision avec l'astéroïde Didymoon. Il suffirait d'un élément de l'engin spatial qui se séparerait avant la collision pour en observer les conséquences et nous en transmettre le résultat. Cela semble élémentaire et réalisable. J'ai lu que le programme AIM, financé par l'Europe, qui devait initialement réaliser, conjointement avec la Nasa, cette part d'observation, avait été ajourné, faute de crédits. Il est maintenant remplacé par le projet HERA, départ prévu en 2024. En attendant, la Nasa ne peut-elle modifier son engin spatial avant son envoi (dans plus d'un an) pour réaliser, au moins partiellement, l'observation du résultat de l'impact ?
  4. Actualités de Curiosity - 2013

    Je viens de lire, sur le fil consacré à Ryugu, le problème lié à la divulgation des « résultats bruts » d’observations ou d’analyses. Avec, dans le cas de Curiosity, à la clé les interprétations que l’on peut faire d’une analyse complexe d’un échantillon, concernant l’origine de la vie, je comprends la prudence de la Nasa. Les médias ont vite fait d’en faire de gros titres sur la base d’interprétations hâtives et erronées.
  5. Actualités de Curiosity - 2013

    Exact, cela ne m'avait pas échappé. Reste à expliquer les dépôts les plus bas (érosion, suivie de nouveaux dépôts ?). Les modifications des conditions ayant conduit à la formation de la crête à hématite, plus dure et résistante, restent énigmatiques. Cette formation s'est-elle déposée tel quelle ou a-t-elle été modifiée après son dépôt (par des circulations d’eau par exemple) ? J’attribue le détour (d’un an...!) sur la crête à hématite au fait que les géologues, conscients du problème qu’elle pose sur la succession stratigraphique avec les dépôts plus argileux qui suivent, ont cherché des indices pouvant l’expliquer. Avec la Nasa, il ne faut pas être pressé pour avoir leurs explications, ou le résultat de leurs analyses, et quand ils n’en ont pas de bien fiables qui fassent consensus ils préfèrent ne rien dire. Quels sont les résultats par exemple des analyses faites « à froid » sur les prélèvements effectués dans les forages réalisés plus récemment dans les dépôts de la « vallée argileuse » ? C’est le but principal de la mission (y a-t-il de la matière « organique », des molécules complexes à base de carbone, susceptibles de résulter d’une activité attribuable à des organismes vivants ?). Cela entretient le suspens, que l’on peut suivre au jour le jour (de sol en sol), ou presque, grâce à ce fil, agrémenté de belles images, et son très efficace et intéressant filateur bénévole.
  6. Actualités de Curiosity - 2013

    "En d'autres termes, le temps "avance" effectivement lorsque l'on traverse une "section ascendante" (traversée vers des couches rocheuses plus élevées)". Oui, mais avec, semble-t-il, une exception : La "vallée argileuse" qui se trouve être topographiquement moins élevée que la "crête à hématite" qui s'est pourtant sans doute déposée avant. La succession des évènements ayant permis les dépôts de la vallée argileuse derrière la crête à hématite ne semblent pas encore vraiment clairement comprise. Les géologues de la Nasa doivent bien avoir émis diverses hypothèses à ce sujet, mais, à ma connaissance, ils n'en parlent pas dans leurs communiqués. C'est dommage, on aimerait participer avec eux à la compréhension de cette succession de dépôts.
  7. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    "Ce sera un essai et une erreur" (dixit Shotwell). Voilà de quoi nous rassurer, ils ont déjà prévu qu'ils allaient se tromper.
  8. Mission habitée lunaire ou martienne ?

    Vivre dans des tunnels de lave... Un retour à l'âge des cavernes en quelque sorte, avec la nécessité d'un scaphandre sophistiqué pour en sortir. Franchement, on est encore, et pour longtemps, espérons le, bien mieux sur Terre pour y vivre. Pour apporter des éléments de réponse à la question de Lambda, il est techniquement et financièrement bien plus facile d'aller sur la Lune et d'en revenir que sur Mars, la Lune restant en permanence à quelques jours de voyage de la Terre puisqu'elle nous tourne autour toujours à peu près à la même distance. Ce n'est pas le cas de Mars, beaucoup plus éloigné et qui de plus n'est assez proche de la Terre qu'environ tous les deux ans pour pouvoir envisager de s'y rendre en un temps raisonnable sans dépenser une colossale quantité d'énergie. Avec nos meilleures fusées actuelles, le voyage aller vers Mars, quand il se rapproche de la Terre, dure environ 6 mois. On arrive alors sur Mars qui commence à s'éloigner de la Terre et il faut attendre là-bas environ 1 an avant que Mars soit revenu suffisamment proche de la Terre pour pouvoir envisager de revenir avec un nouveau voyage retour d'environ 6 mois. Les orbites respectives de la Terre et de Mars autour du Soleil nous imposent cette durée et le rythme des voyages possibles, assez contraignants. Même si Mars semble à priori plus accueillant que la Lune, ces incontournables contraintes astronomiques rendent les voyages habités vers Mars et la logistique à mettre en oeuvre beaucoup plus problématiques. Quant à la « terraformation » de Mars... c’est carrément utopique. On peut au mieux y aménager des petits îlots de survie temporaires qui, en termes de pérennité et d’autosuffisance pour y vivre durablement, ne valent pas, et de loin, les conditions que l’on a ici sur la Terre, même polluée par nos activités. Mieux vaut entretenir l’habitabilité de la Terre, plutôt que d’envisager de rendre habitable Mars (où se poseront, en pire, les mêmes problèmes de pollution) ou une autre planète pour en faire une « planète refuge ».
  9. Hayabusa 2 à l'assaut de Ryugu

    29,5 millinewtons... Une unité de force de poussée dont on est généralement peu familier. C'est en gros l'équivalent, ici sur Terre, de la poussée vers le bas d’une petite bille ou d’un dé d'environ 3 grammes (mettez un dé au bout d‘un doigt, vous sentirez l’ordre de grandeur de la poussée exercée). Dans le vide et l’apesanteur spatial, si l'on n'est pas pressé d’aller vite, cette poussée suffit pour accélérer progressivement l‘engin. Une perte de temps, mais une bonne économie d’énergie (fournie par les panneaux solaires) et de masse embarquée (le rendement par propulsion ionique est 10 fois plus élevé que pour la propulsion classique chimique dont la majeur partie de l’énergie est perdue sous forme de chaleur).
  10. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    "...la manière dont ils émettent les particules est révélateur" (Aurélien Barreau à propos des trous noirs). Où est l'erreur ? Revenons à l'astrophysique. J'ai été surpris d’apprendre qu'Aurélien Barreau ne connaissait pas le nom Laniakéa, nom donné au super amas de galaxies dont nous faisons partie. Les travaux d'astrophysiciens très sérieux et compétents à son sujet, dont Hélène Courtois (discutés par ailleurs sur un autre fil) devraient pourtant l'intéresser puisqu'ils concernent la gravitation. Cette dernière a l'air de se comporter, en prenant le fond diffus cosmologique comme référentiel, à la manière d'un dipôle et dessine des champs de force qui ont la même allure que ceux d'un champ électrique ou magnétique, entre un grand attracteur (un autre super amas) d'un côté et un grand vide de l'autre. De quoi intéresser un théoricien de la "théorie quantique à boucle" (une super "boucle" gravitationnelle cosmologique). Bon, mais c'est hors sujet sur ce fil consacré au très "dynamic" et efficace cow-boy entrepreneur Musk qui n'est pas astrophysicien.
  11. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    C'est vrai ce que dit Vaufrèges. J'aime bien Aurélien Barreau et son "franc parlé", mais ce n'est pas ce que j'appellerais un "astronome", c'est à dire quelqu'un qui observe les astres. Il plutôt théoricien, dans les "expériences de pensée" (qui peuvent se faire au café, il le dit lui-même). Son « labo » de scientifique, il l’a dans la tête. C'est un "cosmologiste" plutôt qu'un "astronome". Son outil de travail, ce n'est pas un télescope ou autre type d'appareillage sophistiqué et complexe à mettre au point et utiliser pour scruter l'univers, ou des sondes spatiales a concevoir, fabriquer et envoyer dans l'espace pour l'explorer, mais des maths et leur logique pour interpréter ce que d'autres, les "astronomes", ceux qui vont « sur le terrain » ou « au charbon », mesurent et observent. Les pieds néanmoins sur Terre, il observe aussi le monde, celui qui nous entoure (pas aux confins de l‘Univers ou d‘un trou noir), notre planète Terre dont l’équilibre est de plus en plus compromis par les activités humaines. Son diagnostique est assez inquiétant. Je comprends les mots assez durs qu’il emploie à ce sujet. Il est urgent de changer de cap. Dans le domaine de l’astronomie, quelqu’un comme Hubert Reeves dit la même chose. S’il est aussi « boulanger », c’est pour qu’on ait encore du bon pain demain.
  12. Actualité d'Opportunity (suite)

    Bravo et merci à tous pour tous ces documents en ligne qui nous font revivre cette longue aventure de découverte de la planète Mars. J'ai parcouru l'intéressant travail de présentation de Gilles Lévesque pour son livre en préparation "Les panoramiques martiens". J'ai noté au passage à propos de Curiosity une phrase qu'il conviendrait de corriger avant publication (Chap. "Vers le Mont Sharp" - Sol 339 à 573) : "Et ceci, afin de donner une plus grande chance au robot pour traverser les champs de dune qui se trouvent à la base du mont « Sharp », et pour faire l’ascension des pentes vers le sommet." "...faire l'ascension des pentes vers le sommet" ???. Curiosity n'a jamais eu comme objectif, ni les capacités, d'escalader le Mont Sharp jusqu'à son sommet. On aimerait bien, on en rêve (beaux panoramiques martiens depuis là haut), mais non, c'est hélas impossible!
  13. Actualités de Curiosity - 2013

    La Nasa justifie le long temps passé à arpenter la crête Vera Rubin en disant qu' "il serait intéressant de savoir comment elle s'est formée". Alors, après plus d'une année passée à l'étudier et de laborieux forages, quelles sont leurs conclusions ? Je suis curieux de le savoir...
  14. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Merci Jackbauer 2 pour ces précisions concernant les améliorations apportées aux détecteurs Ligo et Virgo. Je suis l'aventure depuis le début, en amateur et en pointillés à l'occasion d'articles. La précision requise était telle que j'avais du mal à envisager qu'on puisse y arriver dans cette décennie. Mais si, on y arrive et de mieux en mieux... c'est FORMIDABLE ! En ce qui concerne ma question, il semble que l'on ait, tout simplement, extrapolé le nombre des précédentes détections en tenant compte de la nouvelle sensibilité des détecteurs. Notre Univers semble renfermer un grand nombre de trous noirs dont pas mal de binaires... Voilà un nouveau moyen de les détecter et de mieux comprendre ces objets étranges, ainsi que les étoiles à neutrons, si différents de notre physique habituelle. Fabuleux cosmos !
  15. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    FORMIDABLE nouveau type d'astronomie !!! Sur quelle base peut-on prévoir environ une détection de coalescence de deux trous noirs par semaine (ce qui semble en gros se confirmer) ? Posée autrement ma question est la suivante : Comment peut-on évaluer à priori le nombre de trous noirs binaires susceptibles d'entrer en coalescence dans un volume d'espace donné (les rendant détectables par les ondes gravitationnelles engendrées) ?
  16. Trous noirs : bientôt la première image !!

    Pourquoi le trou noir central de notre galaxie n'a-t-il pas pu être vu ? Il est répondu qu'il tourne sans doute trop vite, ce qui induirait des fluctuations lumineuses trop rapides... si j'ai bien compris l'explication. Ne serait-ce pas surtout parce qu’il est beaucoup moins lumineux que le monstre de M87 ? Ce n'est pas le trou noir que l'on voit, mais son disque d'accrétion. Le disque d’accrétion du trou noir central de notre galaxie est peut-être trop ténu pour être vu, ce trou noir étant peu « actif » (il absorbe peu de matière), contrairement au trou noir de M87, très actif, ou « vorace », comme en témoigne son formidable jet de matière. Qu’en pensez-vous ?
  17. Anneaux de Saturne : chronique d'une mort annoncée

    Vu leur côté éphémère, il semble que ces anneaux n'aient pu se former en même temps que Saturne comme certaines théories l'envisageaient. Dans le lien fourni par Jackbauer2 (source Nasa), il est dit que les anneaux pourraient s'être formés suite à la collision de petites lunes de glace en orbite autour de Saturne, suite peut-être à une perturbation gravitationnelle de leurs orbites par le passage d'un astéroïde ou d'une comète.
  18. Actualités de Curiosity - 2013

    Curieuse « stratégie » en effet avec cette obstination actuellement à vouloir réaliser un troisième forage sur la crête à hématite. Qu’en attentent-ils de si important qui les détourne de l’objectif initial de la mission (la vallée argileuse) facilement accessible depuis plus d’un an ? On aimerait bien le savoir. Attendent-ils que Curiosity, déjà mal en point cotés roues, foreuse et ordinateurs, nous lâche complètement ??? Cela semble un peu risqué comme « stratégie à long terme » pour une mission qui, sauf erreur de ma part, n’était initialement pas prévue pour durer aussi longtemps. Le JPL a ses raisons que ma raison ignore.
  19. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Le doute ne serait donc plus permis en science? Vue la complexité grandissante et l'aspect multidisciplinaire des sciences actuelles on est bien obligé de faire confiance aux spécialistes. Ne te fâches pas dg2, je leur fais généralement confiance. Ce qui n'empêche pas d'essayer quand même de comprendre comment ils s'y prennent (je suis curieux, c‘est ma nature). Ce forum peut servir à ça non ? Merci donc pour ces renseignements complémentaires. Pour la détection des ondes gravitationnelles, je suis comme Mercure, j'ai envi d'y croire, bien d'avantage qu'aux fumeuses théories des complotistes. Mais détecter les infimes ondes gravitationnelles n'est pas facile, loin de là, et cela n'avait jamais encore été fait et nous sommes à une échelle de précision largement dans le domaine dit « quantique » où l’incertitude probabiliste règne. Alors, avant d'y croire vraiment, je préfère avoir des preuves qui ne dépendent pas seulement d'un unique et fort complexe appareillage et traitement de données, mais, comme c'est l'usage en science, d'une association avec au moins une autre façon d’en vérifier la pertinence (comme ce fut le cas avec la contre partie optique dans le cas de la fusion des étoiles à neutron).
  20. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Merci pour toutes ces précisions de divers horizons. Lors de l’annonce de la première détection j'avais été troublé par l’allure presque parfaite et similaire des signaux publiés, comme si le bruit de fond retranché avait été quasiment le même sur les deux détecteurs ne laissant plus que le signal attendu. Compte tenu de l'amplitude du bruit de fond, je comprenais mal comment cela était possible. J'apprends que c'était une fausse image (une "fake view") "bidouillée" à la main pour faire médiatiquement (ou "pédagogiquement") plus probant. Dans une publication scientifique, c'est déontologiquement fort regrettable de la part des responsables de Ligo. Cela jette un trouble et éveille la suspicion. Quoi qu’il en soit, c’est un formidable exploit technique que d'être parvenu à stabiliser des interféromètres avec une telle précision, même si, compte tenu de la complexité de l’ensemble et de l’analyse, c'est susceptible de nous donner des "faux positifs" concernant les ondes gravitationnelles. La coïncidence dans la bonne direction avec un signal lumineux attribuable à la coalescence de deux étoiles à neutron me parait d'avantage probante que pour les trous noirs (à deux secondes près, ce qui semble pouvoir s’expliquer par différentes hypothèses). Continuons les mesures en attendant d’autres coïncidences de ce type. Donnons du temps au temps dans l’espace-temps, observons et mesurons, l’avenir nous dira ce qu’il en est.
  21. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Je vois que je ne suis pas le seul à m'être posé cette question : Comment s’y prend-on pour extraire du bruit de fond (sismique, thermique, et bien d’autres causes potentielles diverses) un signal infime (une fluctuation de l’ordre d’un dix millième de la taille d'un proton) qui soit attribuable sans aucun doute au passage d’ondes gravitationnelles ? Certains spécialistes du Niels Bohr Institute de Copenhague se posent la même question et, arguments à l’appui, mettent en doute la réalité de la détection d’ondes gravitationnelles par Ligo et Virgo. Interrogés sur les propriétés de leur bruit de fond, données nécessaires à leur analyse, les responsables de Ligo font savoir que c’est le genre d’article qu’ils ne voulaient vraiment pas écrire parce que c’est ennuyeux (boring) et qu’ils ont des choses plus excitantes à faire. Le problème reste donc ouvert.
  22. L'astronomie sexiste?

    Oui, il faut les lire. On rejoint la question de forme qui n‘est pas indissociable de celle du fond. Tous ces canulars sont bien passés dans la communauté universitaire scientifique américaine car ils se cachaient derrière un langage savant qui fait sérieux et en s‘appuyant sur les stéréotypes politiquement corrects du moment (bien ancrés dans les médias). Avec une bonne « langue de bois » (les politiciens savent faire) et des assertions péremptoires (que peu de gens prennent la peine de vérifier), on arrive à faire passer un peu n’importe quoi, même une chose et son contraire. L’astronomie a aussi son « politiquement correct » en cosmologie. Le Big-bang (le moment de la création) serait-il le reflet intellectuel inconscient d’un orgasme masculin ? (un bon sujet de thèse en cosmo-psychanalyse, avis aux amatrices...) J’ai remarqué que dans ce domaine, une femme comme Hélène Courtois reste plus réservée que beaucoup d’hommes sur les conclusions que l’on peut tirer de ses très sérieuses études.
  23. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Je viens de m'apercevoir d'une grossière erreur de ma calculette (je vais la tonton flinguer à la tequila) : Les astronautes américains n'ont pas passé au total 33 h et demi de sortie sur le sol Lunaire, mais 80 heures et demi. Mea culpa, sur ce fil scientifiquement très sérieux.
  24. L'astronomie sexiste?

    Merci Léonardcauvra pour cette précision au sujet des doublement nobélisés et de Marie Curie. Oui iblack, ma remarque jouait avec une question de forme (laquelle révèle parfois un problème de fond). L'astronomie est-elle raciste ? Qui veut lancer un fil sur ce sujet ? Après oncle-dom, oncle-Tom ? Ne le prenez pas mal, je plaisante (on ne sait jamais...).
  25. Actualités de Curiosity - 2013

    Un silence inquiétant s’installe sur ce fil jusque là passionnant. Suspens.