RIGEL33

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  1. La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Pour une fois, commençons par le film : Et ensuite les photos : GRAND CHAMP Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 90-300, focale à 90 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 104 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub. Registration sur les étoiles Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur les étoiles (annotée) Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur la comète Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. AU FOYER Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 183 poses d’1 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub. Registration sur les étoiles Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur la comète Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. AU FOYER Photo prise le 15 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 1 pose de 3 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop. Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff.
  2. Comète 21P/Giacobini-Zinner en septembre 2018

    Merci de vos retours Je sais que ça commence à dater... mais je manque de temps. Cependant, je n'ai plus d'image de comète pour l'instant dans mon ordi...
  3. Comète 21P/Giacobini-Zinner 14092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photo prise le 15 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 1 pose de 3 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop.
  4. Comète 21P/Giacobini-Zinner lulu 10092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 183 poses d’1 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  5. Comète 21P/Giacobini-Zinner lulu 10092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré au foyer d’une lunette 100/900 Skywatcher sur monture Orion Sirius EQ-G (sans goto, ni autoguidage). 183 poses d’1 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  6. Comète 21P/Giacobini-Zinner GC 10092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 90-300, focale à 90 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 104 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  7. Comète 21P/Giacobini-Zinner GC 10092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 90-300, focale à 90 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 104 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  8. Comète 21P/Giacobini-Zinner GC 10092018

    La comète qui flirte avec les amas d’étoiles Après l’avoir imagé au mois d’août par deux fois (voir images et film en cliquant ICI[ /url]), je profitais de mes vacances pré-raagsoniennes du mois de septembre pour l’imager à nouveau mais cette fois au plus près de la Terre. Le beau temps était avec nous et j’en profitais. Découverte à Nice par Michel Giacobini en 1900, elle fut à nouveau observée par Ernst Zinner en 1913. D’une périodicité d’environ 6,60 ans, c’est elle qui est responsable de la pluie d’étoiles filantes des Draconides. La sonde spatiale ICE (International Cometary Explorer), de la NASA, a pu traverser la queue de plasma de 21P en 1985, avant de visiter, l’année suivante, la comète de Halley (1P). Donc dans la nuit du 10 au 11 septembre 2018, je dus attendre presque 1h du matin pour qu’elle soit assez haute dans le ciel pour commencer la prise de vue. Elle était dans le cocher, tout près de l’amas d’étoiles Sel et Poivre. Le grand champ me permit d’avoir plusieurs objets du Cocher, alors qu’à la lunette, je me contentais d’un gros plan sur la comète et M37. Quatre jours plus tard, alors que les RAAGSO X étaient commencé, la comète 21P frôlait M35 dans les Gémeaux. Comme le beau temps était de la partie, je décidais de tester mon suivi afin d’avoir le maximum de signal sur une seule pose… Après plusieurs tentatives, je gardais la pose de 3 mn qui me semblait la plus réussie ! Photos prises le 11 septembre 2018 à Ambeyrac (12) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 90-300, focale à 90 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 104 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  9. Purée de pois et boule de neige sale En cette soirée de la fin février, le ciel était moyen avec beaucoup de voiles nuageux. L’observation était plus indiquée que l’astrophotographie mais la comète C/2018 Y1 (Iwamoto) approchait de la constellation du Cocher et de ses amas. Il me fallait l’immortaliser… ou, du moins, tenter de le faire. En plus, mon n’amoureux m’avait prêté son objectif Sigma 70-300 pour le tester sur un grand champ. C/2018 Y1 est une comète quasi-parabolique, découverte par Masayuki Iwamoto le 20 décembre 2018. Elle est passée au plus près du Soleil le 7 février 2019, et au plus près de la Terre le 12 février 2019 à environ 45 millions de kilomètres (0,3 UA). Sa période orbitale est de 1.371 années. Suite à un faux départ, je dus jeter une quarantaine de poses… ensuite, les images n’étaient pas top, assez pâles… mais au fur et à mesure que la nuit s’avançait et malgré l’installation d’une légère brume, les images devenaient plus belles, plus nettes, plus détaillées. On voit ces voiles nuageux sur le time-lapse. Malheureusement, vers minuit, le brouillard et sa purée de pois s’imposèrent au Mémorial, nous obligeant à stopper imagerie et observation. Voici donc ci-dessous le résultat obtenu : Photos prises le 23 février 2019 à Saucats (33) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 70-300, focale à 70 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 50 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub. Registration sur la comète Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur les étoiles Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Registration sur les étoiles (annotée) Cliquez sur l'image pour voir la full en tiff. Le film
  10. Comète C/2018 Y1 (Iwamoto) au 23 02 2019

    Merci pour vos retours
  11. C/2018 Y1 Iwamoto au 23 02 2019.jpg

    Purée de pois et boule de neige sale En cette soirée de la fin février, le ciel était moyen avec beaucoup de voiles nuageux. L’observation était plus indiquée que l’astrophotographie mais la comète C/2018 Y1 (Iwamoto) approchait de la constellation du Cocher et de ses amas. Il me fallait l’immortaliser… ou, du moins, tenter de le faire. En plus, mon n’amoureux m’avait prêté son objectif Sigma 70-300 pour le tester sur un grand champ. C/2018 Y1 est une comète quasi-parabolique, découverte par Masayuki Iwamoto le 20 décembre 2018. Elle est passée au plus près du Soleil le 7 février 2019, et au plus près de la Terre le 12 février 2019 à environ 45 millions de kilomètres (0,3 UA). Sa période orbitale est de 1.371 années. Suite à un faux départ, je dus jeter une quarantaine de poses… ensuite, les images n’étaient pas top, assez pâles… mais au fur et à mesure que la nuit s’avançait et malgré l’installation d’une légère brume, les images devenaient plus belles, plus nettes, plus détaillées. On voit ces voiles nuageux sur le time-lapse. Malheureusement, vers minuit, le brouillard et sa purée de pois s’imposèrent au Mémorial, nous obligeant à stopper imagerie et observation. Photos prises le 23 février 2019 à Saucats (33) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 70-300, focale à 70 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 50 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  12. C/2018 Y1 Iwamoto au 23 02 2019.jpg

    Purée de pois et boule de neige sale En cette soirée de la fin février, le ciel était moyen avec beaucoup de voiles nuageux. L’observation était plus indiquée que l’astrophotographie mais la comète C/2018 Y1 (Iwamoto) approchait de la constellation du Cocher et de ses amas. Il me fallait l’immortaliser… ou, du moins, tenter de le faire. En plus, mon n’amoureux m’avait prêté son objectif Sigma 70-300 pour le tester sur un grand champ. C/2018 Y1 est une comète quasi-parabolique, découverte par Masayuki Iwamoto le 20 décembre 2018. Elle est passée au plus près du Soleil le 7 février 2019, et au plus près de la Terre le 12 février 2019 à environ 45 millions de kilomètres (0,3 UA). Sa période orbitale est de 1.371 années. Suite à un faux départ, je dus jeter une quarantaine de poses… ensuite, les images n’étaient pas top, assez pâles… mais au fur et à mesure que la nuit s’avançait et malgré l’installation d’une légère brume, les images devenaient plus belles, plus nettes, plus détaillées. On voit ces voiles nuageux sur le time-lapse. Malheureusement, vers minuit, le brouillard et sa purée de pois s’imposèrent au Mémorial, nous obligeant à stopper imagerie et observation. Photos prises le 23 février 2019 à Saucats (33) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 70-300, focale à 70 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 50 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  13. C/2018 Y1 Iwamoto au 23 02 2019.jpg

    Purée de pois et boule de neige sale En cette soirée de la fin février, le ciel était moyen avec beaucoup de voiles nuageux. L’observation était plus indiquée que l’astrophotographie mais la comète C/2018 Y1 (Iwamoto) approchait de la constellation du Cocher et de ses amas. Il me fallait l’immortaliser… ou, du moins, tenter de le faire. En plus, mon n’amoureux m’avait prêté son objectif Sigma 70-300 pour le tester sur un grand champ. C/2018 Y1 est une comète quasi-parabolique, découverte par Masayuki Iwamoto le 20 décembre 2018. Elle est passée au plus près du Soleil le 7 février 2019, et au plus près de la Terre le 12 février 2019 à environ 45 millions de kilomètres (0,3 UA). Sa période orbitale est de 1.371 années. Suite à un faux départ, je dus jeter une quarantaine de poses… ensuite, les images n’étaient pas top, assez pâles… mais au fur et à mesure que la nuit s’avançait et malgré l’installation d’une légère brume, les images devenaient plus belles, plus nettes, plus détaillées. On voit ces voiles nuageux sur le time-lapse. Malheureusement, vers minuit, le brouillard et sa purée de pois s’imposèrent au Mémorial, nous obligeant à stopper imagerie et observation. Photos prises le 23 février 2019 à Saucats (33) – Canon 350D défiltré avec objectif Sigma 70-300, focale à 70 mm, F/4.5 sur monture StarAdventurer (sans goto, ni autoguidage). 50 poses de 2 mn – 15 DOF – ISO 800 – IRIS, Toshop, Camera RAW et VirtualDub.
  14. N'ayant trouvé aucun topic à ce sujet, j'en ouvre un qui pourra servir à tous ceux qui souhaite partager des participations originales, sympas, amusantes, etc... Aujourd'hui, je vous invite à découvrir la performance d'Alexis Drouard, doctorant au Laboratoire d'Astrophysique de Marseille. Pour mémoire, il a accompagné le club ASTRONOMIE GIRONDE 33 (mon club) sur les trois premières Nuits des Etoiles 2018 avec une conférence sur les météorites, son sujet de thèse. Cette année, il a participé à la Finale Régionale du MT180 (Ma Thèse en 180 secondes). Voici son idée très originale Si vous vous demandez s'il a gagné, voici sa réponse : Hélas je n'ai pas été retenu pour le niveau national, pour cause d'originalité justement Je regrette que les jurys ne mettent pas en avant ce genre de prestation dans ce concours. Dans mon groupe on comptait de nombreuses perles (une fable, un jingle SNCF...) mais ce genre de forme mène souvent à la disqualification. Quoiqu'il en soit, je me suis bien amusé...
  15. C'est ce soir, n'oubliez pas ! Pour rappel, entrée libre dans la limite des places disponibles
  16. SOLAIRE EN SALLE à Auchan Lac

    jusqu’à
    Le samedi 13 avril 2019 de 10 h 30 à 19 h 00 Centre commercial Auchan Lac à Bordeaux (33300) SOLAIRE EN SALLE . Animation dans le cadre de la thématique des "Aventuriers" organisée par : Avec la participation de :+ Entrée libre et GRATUITE pour tout public Les animateurs d'AG33 présenteront divers types d’instruments d’observation adaptés à l'observation solaire. Un petit jeu autour de notre étoile sera proposé aux participants. Initiation à l'observation et exposition d'astrophotographies sont aussi au programme. Venez nombreux
  17. Quelqu'un ayant accès à l'intégralité de l'article pourrait-il me le faire suivre ici ou par MP si cela pose problème ?
  18. Voici l'invitation reçue par mon association... je ne sais pas si je pourrais y aller mais si certains d'entre vous êtes intéressés, n'hésitez pas Madame, Monsieur, La Région, résolument engagée dans la transition écologique et énergétique, souhaite faire de la Nouvelle-Aquitaine, la première région étoilée de France. Un premier Atelier régional des solutions « Eclairage et protection du ciel étoilé en Nouvelle-Aquitaine » vous est proposé le mardi 19 mars 2019 de 10h à 17h à la Maison de la Région, 27 boulevard de la Corderie, 87000 LIMOGES Inscrivez-vous : https://fr.research.net/r/Y2GNG3M Pour votre venue, pratiquez le co-voiturage : https://www.togetzer.com/covoiturage-evenement/8ws5uf Au plaisir de vous y accueillir. Conseil Permanent de la Transition Energétique et Climat Programme-atelier.pdf
  19. Entre voiles nuageux et caresses félines

    Merci de votre passage Pour ma part, non... j'ai des chats à la maison et je n'ai vu aucune différente
  20. Une soirée ponctuée par les voiles nuageux et les caresses félines ! Du forum, étaient présents : Clément A., Denis, Florent b., FredAstro, Jérémy, Sandrine et moi-même. Sébastien P. et un ami à lui étaient venus en touristes. Parmi le public, un homme, une femme et deux enfants. Les nuages nous accueillirent à notre arrivée vers 18h. Je n’avais porté qu’un appareil photo et je comptais faire un time-lapse de la soirée. Denis avait quand même son dobson. Les astrams arrivèrent petit à petit en même temps que les éclaircies se formaient. Parfois, on gardait espoir car l’observation était possible. On en profita. Au gré des passages nuageux, on discutait autour de la table de réconfort. On voyait dans les champs alentours, une loupiote rouge se balader à droite et à gauche. C’était notre chienne Chara qui chassait. Elle avait au harnais un repère lumineux qui nous permettait de ne pas la perdre de vue. Vers 21h, un chat pointa le bout de sa queue. Il semblait très câlin, se frottant à tous les participants. Chara, revenue voir l’intrus, ne l’effrayait pas et, après un instant d’étonnement, ils firent connaissance et restèrent l’un près de l’autre un petit moment, tentant d’assouvir leur curiosité respective. Ce chat devait être en partie « angora » car il avait le poil long. Sombre de couleur, il affichait des nuances de gris et de marron. Chara, se lassant de sa présence, repartit agrandir les trous et galeries des rongeurs des champs. Ce chat resta un moment encore. Il semblait bien nourri et ne paraissait pas non plus perdu. Il devait appartenir à l’une des fermes des alentours mais c’était bien la première fois qu’on le voyait au pied du mémorial. Quelques minutes encore, plus il disparut. L’astronomie reprit ses droits. Après quelques minutes d’observation, les nuages revinrent plus nombreux mais pas trop épais. Un homme et une femme arrivèrent accompagnés de deux enfants. Il était déjà 22h30. C’est rare de voir des gens venir si tard, surtout avec des enfants. Pendant quelques minutes, des éclaircies nous permirent de satisfaire partiellement leur besoin d’évasion spatiale. Pendant qu’on discutait, je sentis une pression sur mes jambes. Pensant que c’était Chara, je n’y prêtai pas l’attention qu’il aurait fallu, sortant machinalement une croquette de ma poche et la tendant vers mon amie canine. Alors que je restais bêtement avec mon bras tendu vers le sol, attendant qu’une gueule prenne la récompense, j’entendis la petite fille dire : « Oh un petit chat ! ». Il était de retour. Il se frotta à tous le monde, prenant plaisir à voir de nouvelles jambes n’ayant pas encore son odeur. Passé ce moment félin, et les nuages étant revenu bâcher le ciel, les curieux nous quittèrent ainsi que le félin. J’allais rechercher mon appareil photo dans le champ nu. Bien sûr l’objectif était embué car je n’avais pas mis de résistance pour l’empêcher. Je revins à la voiture et télécharger les images dans mon ordi. Au final, la buée n’était arrivait que tardivement. Sur les images, on voit même Mercure que j’avais renoncé à observer, pensant que les nuages étaient trop nombreux sur l’horizon ouest. Le rangement des setups étaient presque terminés. Chara était montée en voiture. La température n’était pas trop fraîche et elle ne semblait pas avoir froid mais elle avait le poil humide. J’enlevais sa loupiote, attachais sa sangle et rabattis sa couverture sur elle. Avec les derniers astrams prêts au départ, on discuta encore quelques minutes. Une nouvelle pression sur les jambes me fit comprendre que le chat était de retour. Il y mettait du cœur, comme s’il voulait me faire tomber. Chacun de nous y eut droit. Pendant quelques secondes, en remontant dans les voitures, on s’inquiétait de savoir si on n’allait pas le blesser. Mais je fus rassurée dès que notre voiture démarra car allumant les phares, on le vit prendre le chemin de terre à droite. Il avait compris qu’on partait et retournait soit chez lui, soit vers quelques autres aventures câline dans un autre univers ! Voici le time-lapse réalisé ce soir-là :