lyl

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Tout ce qui a été posté par lyl

  1. Anciens oculaires

    Oui, ça surprend, j'ai eu ça sur les orthos Edmund Optics, ils sont identiques aux Tani. C'est un indice de faible diffusion (scatter). Comme les Clavé avec un traitement en bon état.
  2. Pfiou, B 1864, C 2136 et 576nm. codage : Crown B=1.5 quantième 2 chiffres de gauche 1.518, v=2 chiffres de droite : 64 => proche BK7, plus fort, peu biréfringent BK8 évolution abandonnée ? Flint C : 1.621 et v=36 => proche F11/FN11, un peu plus dispersif. Note : en vente chez Surplus Sched pfiouuuu, c'est du choix optimisé ça. --------------------- optimisé pour l'aberration sphérique
  3. On est d'accord. Alors vous savez pourquoi la Strasbourg est si bonne ? verre avec index plus élevé et écart de dispersion plus faible : - sphérochromatisme meilleur donc plus modulable suivant le choix du focus, - dispersion meilleure donnant une plage, limitée certes, mais plus large - réparation de la surface par Couder
  4. oups Philippe, je t'ai oublié. Non le filtre ça marche pas, tu ne peux pas redresser l'aberration sphérique due au f/D (et ça bouge au cube du f/D) Si la raie rouge est trop courbée, tu auras un piqué limité. Ca fait partie des contreparties du réglage apo. Un verre ED est pire que tous les autres verres de ce point de vue. La paire (le ED + son compagnon) vont réduire fortement la largeur en bas du diagramme : l'écartement des couleurs. Mais le f/D court et surtout la courbure relative des verres à f/D court vs f/D long : c'est la même équation qui dépend de l'index, pas de la dispersion. Donc pire pour les verres ED car ils ont ... un faible index. Une explication de l'aberration sphérique ici https://www.webastro.net/forums/topic/173177-achromat-scopetech-stl80a-l/?do=findComment&comment=2662267
  5. Je les connais ces trois là, soit par la théorie soit j'ai regardé dedans. J'ai plus d'infos sur les Bresser : c'est là https://www.webastro.net/forums/topic/172794-avis-sur-la-bresser-1271200-et-la-bresser-1521200/?do=findComment&comment=2656775 Au moins elle est utilisable dédiée grand champ avec un petit reliquat vert-jaune-orange (eD) Les vieilles synta (dont la Célestron) sont ignobles : un compromis sur lequel on ne peut rien faire (si lunaire quand même), ou alors ce qui arrive parfois, l'entreverre est malpositionné (Tomi Navratil a déjà corrigé ça sur une lunette récente de Bresser pour le coup) https://www.webastro.net/forums/topic/173168-lunette-achromatique-152mmf59/?do=findComment&comment=2661544 Pour Istar : quand Ales fait une construction spéciale, il annonce ce qu'il en fait. La dernière 150f8 R35 est calée bleu-vert, ça a le mérite d'être clair. http://www.istar-optical.com/assets/sd_150f8-r30_02e_slim_spot.pdf
  6. En l'occurence, à part quelques apos, dont la LZOS de qui vous savez, elle ne peuvent pas remplir la parfaite mission planétaire/étoiles doubles d'antant. Une apo a l'avantage d'éviter la mise au point pour différents usages mais, également ne peut pas être ajustée sur une autre plage pour bénéficier d'un piqué au niveau du fameux lambda/12 sur cette dite plage. D'après ce que j'ai compris, la pêche au détail de 590 à 640nm ce n'est pas si simple que ça. Le sphérochromatisme des doublets ED "trop court" ou purement industriel ne permet pas d'atteindre le niveau requis. Leur but est de corriger la couleur : c'est assez rare qu'on en extrait la moëlle des verres utilisés pour une autre fonction. Certains triplets peuvent se lancer dans la course mais en terme de piqué pour cette utilisation précise, il y a une marge. J'ai lu la page après : là on est d'accord. Sacek : mais je suis pas toujours d'accord avec Vla, c'est pour ça que j'ai fait la recherche historique : il n'a pas les données complètes et quand je lui demande corriger ses erreurs de design posté il m'envoit ch. sauf quand c'est sur CN en public. Je te remercie pour les références de filtres, c'est impec avec ce que je peux croiser avec D&C et d'autres sources (dont Ales que j'ai contacté après toi mdr) Sans dec, je regrette juste qu'Ales ait laissé tomber les petits diamètres et on a eu une discussion là-dessus, je suppose qu'il doit faire sa marge et je n'ai pas l'intention de marcher sur ses plates bandes. De toute façon, j'en suis à zéro et c'est purement intellectuel pour le moment.
  7. Je suis épaté d'autant que j'ai tendance à être moins optimiste qu'Ales Krivanek (spots à l'appui). Dis-nous comment tu filtres. (je regarderai ça se soir, je visite maison).
  8. Stanislas tu imagines des demandeurs pour une vrai planétaire façon D&C en 130f12 ? (1m56 BAK2-LF5, calée à 565nm) ? Ca fait long non ? Ca rentre pas dans ma voiture ça.
  9. Oh ça oui, il y a une pléthore d'offres. Rayon lunette : des vrais planétaires, les rangs de resserrent. Les f/D longs de bonne qualité il n'y en a pas beaucoup. Ça reste une affaire de puriste, ça s'est sûr et reste à voir si ça vaut le coup d'optimiser les diamètres ou de prendre une autre formule optique. Je mets la FC100DL dans cette catégorie, j'ai pas regardé la DC. Les nouvelles japonaises 80/1200 (ça dépend du test ensuite). La TAL 100 FH très près s'y colle. Mais pas convaincue par la Bresser 102/1350 Au-delà, c'est du sur-mesure : les ED ne sont pas convaincante côté fabrication pour la plage couleur que je devine après la raie d. Ensuite il y a la séparation entre les transportables et les postes fixes. Maintenant comme la contrainte c'est du tube très long, pas grand chose à dire pour convaincre à moins de savoir faire du tube démontable. De toute façon, l'aberration sphérique aussi corrigée, faut bien la contraindre ou caler si tu veux le piqué demandé sur la plage e-C Avec les diamètres ci-dessus si c'est visiter uniquement la Lune à x200/250 : bof. Un vrai planétaire faut que ça titille les 300x sans broncher et là ... il y a du monde qui peut faire en toutes formules. L'avantage d'un réfracteur 130mm qui fait ça, c'est uniquement la moindre sensibilité à la turbulence.
  10. Lunette pour débutant

    J'ai reçu les verres, casse d'un flint non détectée à la douane (30€ ...) donc c'est la Poste. Le reste, des écailles sur les flints épais : ça se gère. Ils font ~79,5mm (diamètre identiques) et les courbures fortes sont très proches (9cm), sinon une face plane. 13mm au centre pour le crown et 22mm au bord pour le flint. Parfait ça, j'ai au moins 1mm de marge pour rogner. C'est plus facile d'aplatir que de courber. On verra ça pendant les vacances, je ne fait plus rien en ce moment (je forme mon remplaçant au boulot, ç'est épuisant avec le travail normal en plus) J'ai besoin de 4-5 cellules pour les mettre dedans. Actuellement ça fait 28mm les deux verres combinés, ça devrait faire autour de 22mm au bord.
  11. Pour un avis de ceux qui passeront par là, c'est sans prétention. Il y a des vieux verres d'avant 1980 chez Surplus Sched dont un sympa SF12 qu'on ne fabrique plus. Un "blank" de 79mm qui se marie bien avec le moins cher de tous : le BK7 Voilà ce que ça donnerait en l'incluant dans un objectif 75 / 800 On met ça en tube avec un porte-oculaire de 1"1/4, ça fait 2° de champ et 3mm de pupille avec un oculaire plössl de 32mm, et bien sur il monte à x160 voire x190 sans broncher. Rien à envier à une Telemator, le calage est un chouilla plus haut. Strehl planétaire affiché sur la courbe de MTF. Le résidu chromatique est à 3.51, pour comparaison, Zeiss E110 à 3.74 et Telemator C63/840 à 2.4. Bon je sais c'est pas la Telemator, il faudrait la monter à 966mm pour faire similaire, mais de nos jours, je préfère que tout tienne sur un montage simple. (ma Télémator avait un porte-oculaire 2", je mettais le 38mm pour du grand champ). Et aussi le rendu sur le bleu profond étant bon, pas la peine de tirer aussi long f/D que la TM. ... Oups j'oublie la cerise : ce serait un doublet collé. Le SF12 est un cran au-dessus du SF2 utilisé pour la Telemator, le bleu est "plus court"
  12. Au-delà de 155mm d'ouverture claire, je pense que tu tapes dans les commandes spéciales. Vu que j'ai retrouvé une formule approchante de l'objectif de Strasbourg, je dirais 25cm au moins f15 pour une belle correction. Au delà ça me semble sportif à façonner. En plus un littrow avec la meilleure combinaison de verres ça pourrait se justifier. Faudrait voir la tête au bord d'un champ d'un PO 2" pour se faire une idée de savoir si il faut faire un FH. --------------- Je regardais chez Istar, Ales fait un 250 f11 R30 grand champ. La c'est plutôt un 250 f15 R20/25 pas calé pareil du tout. ------------------------------- Pour la peine en littrow 546-614 >.90 strehl 250-BAK2-SF15-575.len Faut pas trop penser au grand champ quand même, le spot est à 100um. (3-4 fois trop gros), ça ferait pas des étoiles pontuelles donc perte en luminosité.
  13. non, c'est une photo récupérée de quelqu'un qui faisait de vilains commentaires sur le Lick avec cette image "volée" puisque sans contrôle. Ca dépend du diamètre et du grossissement, les réfracteurs géants ont beaucoup plus de chance de passer la zone mésopique vers la scotopique. Quand au calage, vu ce que tu dis, une 61cm avec peu de chromatisme a de forte chance d'être comme la lulu de Strasbourg : un objectif à utilisation mixte que permet un achromat amélioré. http://www.astrogaac.fr/fileadmin/fichier_sites/Porte_etoiles/03_-_la_porte_des_etoiles_-_hiver_09c.pdf Une grande époque que Zeiss a écrasé ensuite avec le BK7 qui est sans ce défaut d'inhomogénéité, la biréfringence : ------------------------------------------- Avec ces infos, je peux faire un doublet planétaire "Mars", le plus lointain à configurer vers le rouge. Le calage à 570nm. Il n'est pas dédié mais mixte. (focus glissé vers 575-580 affiché). C'est facile car la plage est plus large que le BK7-F2 du schéma.
  14. Bah avant, on réfléchissait et c'est vrai qu'on ne savait pas tout, même si on s'en doutait. Le plus simple par rapport à ce qui est précisé par D&C est le calage couleur, qui est oublié sur certains instruments modernes. (parfois parce que pas nécessaire, suffisamment corrigé). Le calage sert au piqué sur les achromats, c'est certain. Il y a une sacrée marge entre du limite moche à 0.15rms, acceptable à diff.limited et du super contrasté à lambda/12 PtV. L'objet a observer : c'est important. Notre soleil et la lumière réfléchie de nos planètes voisines, de la Lune est riche vers les grandes longueurs d'ondes visibles, ainsi que la détection d'éléments d’atmosphère ou au sol sur ces planètes. L’œil se cale par un mécanisme des cônes L et M sur la longueur d'onde préférée pour chercher le plus de détail. On a une préférence liée au maxima de la température de couleur. Même si l’œil est très sensible au vert, ... histoire d'environnement pour l'homme. Nous calons notre vision sur la longueur d'onde correspondant à l'ambiance lumineuse : de préférence de ~550 à 580nm, au plus proche de la chromaticité ambiante. Puis la nuit, ce sont les bâtonnets qui prévalent à 507nm. Il apparait également que dans sa composition, l’œil a plus de facilité à se caler entre 550 et 600nm, question de plage de netteté. Avec l'âge c'est encore plus flagrant, le CIE par ses enquêtes a montré la prévalence de reconnaissance des couleurs vers le jaune orange rouge avec l'âge. ---------------------- Plaisir visuel et précision : compatible ? Autre constatation qui différencie le professionnel, l'amateur entrainé du simple novice qui râlent "quand le bleu bave" et qui jette son instrument en disant que l'image est moche. Il y a le plaisir des yeux et la réalité de la précision nécessaire, tant chromatique que de résolution. NE HURLEZ PAS : certains passeront pour des noobs qui jettent leur achat jouet sur le bon coin ensuite. Source CJZ (Handbook of Optical Systems) 1) la fovéa ne permet pas le bleu et le rouge : pas de cônes S, seul les bâtonnets à fort grossissement sont désinhibés quand on passe le seuil mésopique. N'empêche que pas de bâtonnets dans la fovéola (.35mm / 20%, zone de super-piqué) : zéro perturbation du bleu 460nm sauf par écrasement d'un résiduel faisant voile/seuil de luminosité. 2) à 200x Jupiter occupe la taille de la fovéa (1.85mm, 3°, on est encore sous la protection du pigment rétinien jaune, filtre puissant anti-bleu Nos chers astronomes pro ont pris l'habitude de faire abstraction et de se concentrer sur nos différents techniques de vision, pas seulement d'observation. Je viens de la microscopie, j'avais appris une partie de ça, le confort était essentiel pour moi : je cherche un détail par une direction puis par une autre, entrée/sortie de la fovéola sur une petite partie du champ. En revenant à l'observation du ciel, pour la couleur et la détection, c'est un astronome farfelu qui m'a appris la vision décalée, je l'en remercie. Les instruments d'antan étaient limités mais on avait la technique pour les exploiter au mieux. En mettant à disposition des lunettes APO de qualité moyenne, on masque certaines possibilités. ----------------------------- Plage(s) couleur nécessaire : une apo fait tout, bien sûr ? Avec tout ça je ne suis pas encore sûre des plages de correction à rendre disponible dans une lunette mixte ou planétaire, mais je commence à avoir une idée en parcourant tout ce qui est à disposition pour "voir". Mars par exemple bénéficie avantageusement d'un filtre rouge qui ouvre pleinement vers 610nm (glups) https://www.baader-planetarium.com/de/filter/planeten/visuell-fotografisch/baader-farbfilter-einzeln-(blau-hellblau-grün-gelb-rot-orange).html Les mesures indiquées sur la lunette de Strasbourg par Couder/Danjon sont aussi de bons indicateurs explicites ou implicites. Il a observé si longtemps avec que je me demande si, pour Mars, la Strasbourg focus calé à 616nm et avec ainsi le piqué <1/2 onde jusqu'à ~635nm ou + est un indicateur. Sur la 215 (planétaire) de la SAF on voit des marques également (538, 608, 638, vers 500) --------------------------- Evidemment, avec une Taka FS, on a ce qu'il faut ou presque sans bricoler le focus mais... sur les apo, on ne fait pas ce que l'on veut sur le focus, ça change vite le comportement : le sphérochromatisme fait descendre le strehl max. vers le H-alpha, c'est déjà démontré pour les FS à f/7.5, même si c'est pas une énorme dégradation, ce n'est pas aussi flexible qu'un bon vieil achromat long. http://www.astrosurf.com/topic/126836-takahashi-raison-des-lunettes-à-longue-focal/?do=findComment&comment=1668966 C'est en focus vert, mais vers 625 bien que mieux, on est pas forcément à suffisant, non pas à cause du strehl rms mais du niveau PtV de l'aberration sphérique ainsi que Roland Christen l'indique également. C'est pour celà que certains instruments comme l'APQ Zeiss, la TSA (photo pourtant) reste très haut perché même en H-alpha et Near-IR. Du haut de gamme pour tout faire. Je pense avoir fini le rapprochement de l'ancien et du moderne avec ces détails sur les modes d'utilisation qui ont germé depuis le post sur les apo Taka longues focales.
  15. Then Milton came https://www.youtube.com/watch?v=PGfx3QAV64M
  16. Oui par tâtonnement. Une généalogie qui en dit beaucoup ou "les enfants de PL Guinand" Il me semble improbable que les verres aient évolué eux par approximation et chance des combinaisons. Il y a eu dans ces établissements en particulier chez Feil, Mantois et Parra des scientifiques dont au moins un centralien. D'après le tableau fourni par Couder et Danjon, il parait tellement improbable qu'une combinaison quelconque aboutisse à un calage chromatique des raies F et C produisant simultanément une annulation de l'aberration sphérique en raie sodium et un équilibre des aberrations F et C. Je ne peux imaginer qu'une volonté et des efforts dans les sciences des mathématiques (optique), physique et chimie pour aboutir à ça. Quand on lit ce passage, c'est une clarification hallucinante des choix entre le retour d'expérience et la modélisation d'une solution à "imprimer dans le matériau". La perte du à l'essor commercial des meilleurs industries face à leur concurrent d'en face est considérable. Toutefois, je pense que les techniques ne sont pas complètement perdues mais que c'est le commerce qui en dicte son utilisation maintenant. Ce qui a été fait, prouvé utile peu être refait, différemment, c'est la méthode qui compte. J'ai trouvé dans le document de réfection du grand réfracteur de Strasbourg à la fois des compliments et des critiques acerbes de Couder vis à vis de la compagnie Merz. Mais quand même, savoir vers 1880 finaliser un objectif de 486mm aussi bien calé à 573nm (pile jaune-vert), là ou tout près de là ou l’œil préfère choisir son focus, n'est pas un hasard. Couder cite que l'objectif est bourré de défaut du à des tensions dans le verre, de la biréfringence, ce n'est pas étonnant. La technique de fusion mélange était connue mais difficile à finaliser. Les blanks du réfracteur de Yerkes ont nécéssité pas moins de 17 mois de fusion tri, refusion ... avant d'être confié à Alvan Clark. On se souvient des nos jours d'Abbe, Schott et Zeiss car ils sont célèbres et leur célébrité a perduré avec eux. Ce qui s'est passé avec la firme Parra-Mantois est un oubli. Dans toute guerre, même commerciale, ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire. Du livre de D&C, on peut tirer de bons enseignements que je ne trouve pas ailleurs, ailleurs je trouve les procédés généraux. Là on trouve ce qu'il est nécessaire de faire avant de commencer, un bon cours avec explication du pourquoi certains choix doivent être faits avec ce dont on disposait. Je vais être critique également, Danjon et Couder pose les minimas de ce qui fait la différence entre une optique jouet et une optique pour l'astronomie. Je ne critiquerai pas certains modèles du commerce ici, mais quand on voit que la 110 / 1355 façon Parra-Mantois et conception de base Couder & Danjon a un résidu chromatique de RC=4.61, des caractéristiques de spot (ou alors une description numérique de ce qu'il faut atteindre pour l'usage demandé). Je pense que Roland Christen maitrise parfaitement ces critères, cf un écrit de sa part que j'ai remonté ici http://www.astrosurf.com/topic/118226-nouvelle-astro-physics-92mm-stowaway/?do=findComment&comment=1665936 On peut les prendre en exemple pour dire ce que fait ou ne fait pas un modèle commercial.
  17. Lentilles plates,l'avenir de l'astronomie ?

    Oh ben je m'aperçois que ça fait 15 ans maintenant, ça évolue, on attend beaucoup pour les oculaires que les lentilles plates sortent, c'est la solution au 160 degré, couverture presque totale
  18. Telescope Artisnal Qualités/Inconvénients?

    Fred, si tu croules sous les commandes c'est que t'a réussi. 😀
  19. Lentilles plates,l'avenir de l'astronomie ?

    A propos de la solution Canon C'est la solution de ce qui causa l'échec des premiers essais côté US. La dispersion chromatique inversée présente un intérêt certain pour la diminution de l'aberration sphérique causée par l'épaisseur. L'intérêt : pour un groupe de lentilles. Pour l'instant, je n'ai rien vu sortir concernant un doublet ou triplet astro. Bonne solution mais ça reste pour de la production de masse et un élément pour offrir une solution dans une optique complexe. Il reste toujours un reliquat de diffusion. De plus ça s'applique pour la partie "gros diamètre", grosse épaisseur dans les f/D assez courts. Pas de solution pratique actuellement proposée pour des utilisations simples. Le masque de phase : quelques % transmis. Bon ... pour de l'optique d'amateur de diamètre limité, j'ai encore beaucoup de doutes. Sans aucun doute par contre sur une utilisation spécialisée sur un flux disponible en tête d'un détecteur.
  20. Lentilles plates,l'avenir de l'astronomie ?

    Oui, je connais, c'est pour des parties d'objectifs photo, dont on ne connait pas les spécifications cités ci-dessus qui sont celles dont je conteste la précision. Restons dans le sujet.
  21. Lentilles plates,l'avenir de l'astronomie ?

    Ca fait déjà plusieurs années qu'on parle de faire de la "lentille de Fresnel". Il y a eu une thèse à l'université de Rochester pour inclure ça dans une paire de jumelles. Herbert Gross (CZJ) a repris le schéma de la thèse pour en parler à propos des oculaires Erflé. cf (Handbook of Optical Systems: Vol. 4 Survey of Optical Instruments. 2008) La précision optique est insuffisante. Tant que l'on aura pas le requis optique pour disons à minima 4 surfaces, c'est pas la peine en visuel. 4 surfaces optiques ça fait n=4 => sqrt(n)/4*lambda/28 comme précision sur la surface optique : soit à 546nm => 39nm pour avoir une image potable dans le vert. Le projet a été rejeté tant qu'on atteindra pas une plage visuelle corrigée. Donc en parlant d'astro-pratique, les choses qu'on utilise donc, c'est sans intérêt maintenant. Quand ça sera prêt ça sortira de la théorie. J'ai rien "contre" ce sujet mais il n'est pas dans la bonne section du forum. Ici on discute c'est "Echanges consacrés à la pratique de l'Astronomie."
  22. 1) La luminosité, id est la quantité de lumière collectée est nécessaire en observation des objets stellaires pour atteindre les grossissements. 2) L'intensité des vibrations va influencer la qualité de l'image. Le requis est de l'ordre de lambda/8.
  23. Lentilles plates,l'avenir de l'astronomie ?

    sans intérêt. Le requis pour le niveau de polissage requis pour les équipements grossissant en astronomie est bien en-dessous de 30nm. Sinon : diffusion et perte de contraste. Canon Optron poli sous le nanomètre pour Takahashi. https://optron.canon/en/fluorite/finish.html
  24. et voilà le focuser de ZWO!

    C'est plus petit que celui de Lacerta
  25. Oculaires HR planetaire en bino

    Ce sont des ortho asphériques à verres lourds (richter non inversé), mais d'après ce que je lis, le dernier E-PL est sphérique https://www.cloudynights.com/topic/511907-review-carl-zeiss-premium-microscope-eyepieces-on-telescopes/?p=7714792 L'OPMI 10*22B que j'ai est extrêmement transparent, aucun oculaire que j'ai eu en 25mm ne fait mieux, traitement T*. J'ai récupéré un très bon également : GFPW 16, il ressemble furieusement à un TMB planetary. mais le relief est seulement de 12mm. Attention, son champ est courbé pour réfracteur.