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  1. Un réfracteur français ?

    Les schémas sont proches, on ne peut pas remettre en question des années d'expérience des concepteurs, même si de l'outillage de pondération a été créé pour faciliter les conceptions "automatique". Il y a quand même quelques boulettes sur les réfracteurs ED, le calage chromatique pour éliminer le fait que ça bave en bleu ou en violet est utilisé à outrance et a un impact certain pour le piqué planétaire. Peut-être qu'à terme ce la changera. En attendant, il faut vérifier la bonne tenue des fondamentaux. -soit on fait un objectif générique visuel -soit on fait un dédié (planétaire, HA..., ) -soit on pousse pour rendre compatible avec les capteurs photo (la notion de contraste change beaucoup : le centrage des hauts strehls doit être positionné différemment -soit on essaye de faire tout en même temps et le prix s'en ressentira. ---------------------------------------------------------------------------------------------- La pondération en visuel planétaire est donc importante sur le cone L, ensuite le M Le confort est le paramètre tertiaire : supprimer ou corriger le bleu, je constate 3 catégories de correction. L'achromat : faible aberration sphérochromatique (orthochromatisme) mais abandon de la page en dessous de 500nm. => l'orthochromatisme a pour but de faire un focus sur le même plan. Lors de la sélection de la couleur intéressante ou d'une plage pour l'objet à observer, l'image sera uniforme et l'effort de l'oeil et du cerveau s'en ressentira. Le semi-apo : c'est pour moi une évolution qui pousse la correction du bleu plutôt que de le supprimer. Il semble qu'obtenir une correction de niveau diffraction limited ou proche au-delà de la raie F, au moins à 470-473nm soit nécessaire. Je ne connais pas bien le triplet TEC 140, mais il semble qu'il atteigne ce seuil en offrant .60/.70 de strehl vers cette valeur. Pas de doute sur la Taka FS 128f8. L'apochromat : on monte le niveau de correction pour la photographie pour englober la sensibilité du pic des capteurs photos. Le triplet Zeiss le réussi et le triplet taka aussi. Thomas Back en avait donné une définition restrictive : lambda /2 pour la raie violette. Il y a a relativiser là-dessus. Il semble que maintenir un strehl en diffraction limited vers 450nm soit suffisant Les capteurs sont plutôt centrés vers 460, 530 et 610nm. La compatibilité avec le visuel n'est pas évidente. (447,9 non participant au contraste / 541,3 / 568,6 ) ----------------------------------------------------------------------------------------------
  2. Un réfracteur français ?

    C'est bien la peine que je fasse un topo sur l'article du CIE à propos des 10 ans de recherches sur le fonctionnement de la vision pour revoir ce graphique qui est faux. Voici la sensibilité globale corrigée (luminance) : ligne noire. A droite la sensibilité relative à leur maximum des phénotypes courants des cônes (notez la possibilité de plusieurs phénotypes L, parfois les deux chez certains) => Ne pas oublier que nous avons (mais avec forte diversité dans la population pour M et L) une répartition type de 1S + 5M + 10L. La luminance (pour la fonction contraste) se calcule approximativement en l = 1,98xL + M, fort impact du cone L Et enfin le tableau de répartition moyen en projection sur l'espace des cônes : C'est variable suivant l'âge mais : Smax à 447,9nm Mmax 541,3nm, Lmax 568,6nm, le max de sensibilité au contraste est donc décalé sur la plage vert à jaune <~ 470 : contribubion uniquement du cône M au contraste. 470 - 500 : faible sensibilité du cone L (le test de dispersion du ressenti à la couleur du ciel "test cyan de Alfvin & Fairchild" 500-600 : forte discrimination des contrastes avec M+L 600+ : baisse de sensibilité de M
  3. carte EQ6 fumée réssuscitée

    Fusible ... même action à prendre.
  4. carte EQ6 fumée réssuscitée

    C'est une self de protection contre les pics de courant, typique quand c'est à côté de l'alimentation. Ca va continuer à fonctionner jusqu'à ce que tu aies une autre contre-réaction. Ca ne protège plus là, c'est à l'étage suivant que ça va cramer : batterie ou chargeur. Difficile de remplacer ça définitivement et vu que tu as déjà commandé l'autre carte... Reste sur batterie pour le moment, c'est le moins risqué et ... pas de vitesse rapide, fait à la main.
  5. Un réfracteur français ?

    Non, c'est pas une télémator/mentor, le tube est Unitron bafflé et le focuser c'est un Baader steeltrack (TeleBaTron). Du fait main autour de l'objectif par Alessandro Gabrielli (possesseur d'une 160EDF ...) Doublet collé c'est effectivement délicat de dépasser 75mm, il faut réfléchir à la dilatation (appariement des verres) sinon tu contrains les lentilles par la surface centrale et ça fait baisser le piqué rapidement. C'est la colle qui doit supporter ça. (Huile c'est meilleur mais faut rendre étanche donc idem, vérifier dilatation ou joint) ------------------------------------- J'en profite pour me moquer de la personne qui a mesuré ça : Pas fichu de voir que son objectif était tilté. Travail baclé pour sûr. ------------------------------------- Pour Agema, il m'a fallu 60s pour comprendre que c'est le remake de la fluorite Zeiss 200 f8 donc bon... du 150f8, c'est forcément mieux corrigé que 200. Peut-être la combinaison LAK10 + Fluorite, les index sont plus élevés donc correction meilleure dés un f/D plus court
  6. Un réfracteur français ?

    Pas de "truc" chez Orion, dans mon esprit ça fait partie des valeurs sûres. ------------------------------------------------------------ Un exercice que j'aurais du faire il y a un moment car je considère que c'est un bon étalon en fonctionnement planétaire même si ce n'est qu'un achromat non corrigé dans le bleu. L'objectif C-63-840 de la Telementor. J'ai réfléchi à retrouver la formule et finalement j'ai fini par démonter l'objectif de la mienne. Sacrément épais, la rondelle en arrière plan est en matériau plastique mou de 1mm d'épaisseur, il sert pour limiter la contrainte sur le verre sur au moins une surface. Zeiss a appliqué les classiques calculs mathématiques de l'époque (pas de ray-tracing, on faisait à la main avec un crayon et une calculette) : - aligner les focus raie F et C - corriger la coma - corriger le sphérochromatisme autour des raies e et d (jaune-orange et vert) - optimiser la plage pour du planétaire et la robustesse de l'objectif (flint devant) C'est donc un objectif collé s'inspirant des corrections mathématiques de Steinheil avec espacement nul 1) En best focus pondéré (la conception relativement moderne) : courbe en bleu 2) La magie s'opère quand on passe en mode LMS (la nouvelle norme du CIE issu des études sur la population). En calage sur le cône L, il se trouve que le cône M reçoit aussi le meilleur contraste ! Magique ? Non, 100 ans d'expérience de Z sur le ressenti visuel. Un objectif diffraction limited sur la plage 513-623 qui semble très proche des équilibres favoris de Gerd Düring et Massimo Riccardi. Ce simple doublet reste meilleur que le fameux doublet air-spaced de Meade en 127mm f9 ! Bien entendu, en observation terrestre, il bave un peu dans le bleu à fort grossissement (je le vois avec un oculaire de 10mm), mais c'est contenu à 3 à 5 fois le disque d'Airy. L'orthochromatisme et le calage pour satisfaire les cones L et M (pour la plage planétaire) semble être une recette sûre du succès des achromats.
  7. Le soucis est connu sur les commentaires sur aliexpress, c'est un réducteur (<10€) à visser sur des oculaires uniquement (retour vendeur), comme un filtre. le tirant arrière est donc très court. Si tu l'as utilisé sur la 224 au bout de son adaptateur T2/coulant 1"1/4, il est trop loin devant. Il y a des solutions avec une bague T2/M28,5 et un tube allonge genre Baader 14mm ou plus court qui pourrait mieux convenir. Enfin, ...c'est un réducteur uniquement visuel à l'origine. Une version adaptée au instrument à forte courbure de champ ça serait plutôt le célestron ou un Kepler pour RC, il ne font pas 0,5x. Essaye en raccourcissant le tirant déjà, l'image n'est pas trop mal hormis les comètes négatives.
  8. La cellule d'un Zeiss C63-840 (Telemator), plus élaborée que prévu, Bresser c'est vraiment différent mais la contrainte avec un élément plastique est mise en place. La cellule du C63-840 mesure à peu près 8cm long, striée derrière la lentille (je ne l'ai pas démonté complètement, c'était assez dur à collimater la cellule correctement sur le tube Unitron) L'arrière de la lentille se pose sur une lèvre à 30mm du bord avant, le pas de vis pour l'anneau fait 10mm long , je le pense un peu plus fin que 1mm de pas, genre M67x0,66 Diamètre extérieur de la cellule : 70mm OD Objectif : 66mm OD lens Anneau de retenue : 63mm ID lens, 5mm épaisseur avec un filetage partie sur 2-2,5mm Un anneau d'amortissement, réduction de contrainte de serrage : "mou" en plastique brillant, peut-être acétal, de 1mm d'épaisseur et diamètre 64 ID /66 OD, l'appui est sur le bord Lentilles collées : 18,5/18.8mm center thick (imprécis) 7,5mm edge Flint (front, la tranche apparait un peu bleutée) 10mm edge Crown (back, la tranche apparait un peu jaune)
  9. Un réfracteur français ?

    Si tu veux faire du "frenchie", en toute logique tu travailles au plus proche, si la ressource n'est pas en France, tu cherches par proximité... voisin, Europe. Ca me semble un peu logique ça. Pas de verres optique en France, donc la logique c'est de scruter tout ce que Schott a dans les cartons. De mon point de vue c'est loin d'être mauvais, juste pas correctement apprécié.
  10. Chromatisme comparé de quelques conceptions de réfracteurs. Le doublet Meade est suffisant dans le rouge, par contre la difficulté de passer la barre des 470nm est évidente ! Elle est un peu à droite du milieu entre les raies g et F, même le doublet Taka FS 128 f8 ou le triplet TEC 140 f7 sont un peu juste mais satisfaisant : en observation astronomique seulement. Le triplet Zeiss APQ était multi-usage. Soit on corrige la raie F franchement, soit on s'en écarte. C'est un trou de sensibilité en vision photopique, celle qui procure le fort contraste. En vision mésopique, on utilise cette longueur d'onde, en particulier pour des détails sur les nébuleuses rayonnant en OIII ou Hbeta, le fait que le bleu bave gêne mais ne pas oublier que l'on est rarement à la résolution maximale, ce sont des objets faibles. Sauf pour les gros réfracteurs qui permettent de les observer avec une petite pupille de sortie, on s'en sort bien en laissant dériver sur les petits diamètres que l'on a intérêt a bien caler sur la plage traditionelle des achromats qui fonctionnent bien et à soigner ensuite le Halpha. Plus c'est gros en diamètre, plus c'est contraignant de corriger la raie F et son voisinage pour pouvoir exploiter la résolution possible.
  11. Le problème de la dilatation thermique dans les cellules optiques : https://www.cloudynights.com/articles/cat/cn-reports/technical-reports/thermal-modeling-and-athermalization-in-telescope-optical-design-r2948 Choisir une bonne cellule évite que les lentilles voyagent ou soient comprimées. Des cales pour les optiques : http://www.artuscorp.com/fra/shim-stock.cfm
  12. Un réfracteur français ?

    Que voyez-vous ? L'espace tridimensionnel des couleurs. Remarque : une limite intéressante à 470nm à partir de laquelle les cônes L ne participent plus. Il faut savoir que leur apport à la fonction de luminance (et donc effet sur le contraste) est 2x plus élevé que les cônes M Et aussi, la variation perçue par nos cônes jaunes pèse plus dans l'interprétation des contrastes (2 fois plus nombreux en moyenne)
  13. J'ai trouvé une présentation explicite de la nouvelle norme faite par Fairchild & Asano en 2015 au CIE Le contraste ne dépend que des cônes M en dessous de 470, limite intéressante, grosse variation grâce aux cônes L au-delà à cause de leur apport élevé (1,98x en moyenne) par rapport aux M Métamérisme :
  14. Un réfracteur français ?

    Si ça intéresse quelqu'un d'autre ... me le faire savoir, on doit pouvoir monter ça à 71mm, 76 pour les lentilles et se débrouiller pour caler dans une mécanique Thorlabs 3" et faire l'espaceur adhoc ailleurs
  15. Réfracteur Français : sondage...

    Je vous prie de poster vos commentaires sur le post de référence, pour que ce soit lisible, ce fil de sondage ne préjuge absolument pas de ce qui peut être fait ou non, mais de recueillir le ressenti ou les envies des personnes.
  16. Bonjour les plans sont sympas mais je ne visualise pas le remplacement. Peux-tu indiquer sur une photo ? Merci.
  17. Un réfracteur français ?

    Tiens, je me suis dit que ça pouvait être réalisé à la main, j'ai demandé une quotation pour un 63mm ébauché (66 de diamètre total) avec un 3eme verre bon marché en négatif et face plane pour finaliser le polissage de r1 et r4. en théorie : r1 et r4 à polir avec les faces du 3eme verre (non affiché : un outil) r2 et r3 à polir l'un contre l'autre. J'attends de savoir à quelle précision et grain est fait l'ébauchage. ----------------------------------------------------------------- Je crains que ce soit la seule solution pour finaliser les petits diamètres à coût raisonnable. J'ai eu un retour de l'ébaucheur : il me demande déjà la quantité... *soupir* : 1 bien entendu. Il faut bien tester cette méthode qui n'est dans ce cas pas trop compliquée par rapport au polissage d'un miroir (la précision requise est moindre pour une traversée de lentille) mais il y a 3 fois le boulot. J'ai déjà le tube et la cellule. La démonstration par l'exemple. Si c'est bon pour moi, je verrais avec chonum si il veut bien contrôler ça. (entre la courbe théorique et le réel ça risque de faire mal...) Enfin, faut déjà connaître le prix.
  18. J'ai demandé une évaluation des blanks pré-taillés pour faire une 63mm / 840 Le 3eme blank en 0 (plan) et -375,7 (concave)
  19. Réfracteur Français : sondage...

    suite à discussion avec chonum à propos du chromatisme, j'ai dégainé "l'arme secrète" pour une 97mm. J'espère qu'il jettera un oeil. Je garde un peu de confidentialité là-dessus.
  20. Un réfracteur français ?

    Oui, dans ce but, il faut que les fronts d'onde soient corrigés, pas seulement la moyenne. Une apo avec de l'aberration longitudinale sera moins agréable pour l'oeil. ex : En changeant le focus, le front d'onde sur les "ortho-chromatique" est régulier (en fait c'est courbe, courbure de champ, l'oeil s'adapte, accomodation) Dans l'exemple du haut, l'objectif offre, calculs à l'appui une meilleure correction moyenne. Celui du bas, plus conforme à l'aberration longitudinale des longues focales BK7/F2 que l'on appréciait, une correction plane à la pupille de sortie. Chaque couleur est focusable individuellement, offrant un quasi plan image. La sensation désagréable d'avoir une image qui 'roule' quand tu déplaces la position de l'oeil dans le champ est éliminée. L'oculaire lui-même peut amener ça. Thomas Back avait formulé ça en ecrivant : lamba/8 (0,125 wave) pour les couleurs déterminantes du contraste (c'était dans le vert 555nm) Avec la découverte de la perception (le rapport LMS) il faut que la plage entre 541,3nm et 568,6nm (et sans doute un peu autour) soit à ce niveau. Un front d'onde central comme requis, très bon pour monter à 2xD et plus et en s'écartant ça reste bon à 4mm de pupille (grand champ de 2°) : RMS central et PtV => Strehl 0.978 supérieur au 0.95 requis. Reste à trouver l'oculaire ad hoc qui ne dégradera pas trop ça. Ce réfracteur FPL51 à f10,5 convient (assez large) mais si il est trop raccourci en f/D => out http://atom.lylver.org/AstroSurf/Design Optique/DOUBLETS/80-apo-superapo/FK51-ZKN7-80-843-superapo-aber.jpg Le doublet Meade était excellent en vert, n'était pas mauvais "en moyenne" (RMS bleu F et rouge C <0.125 wave) mais ce n'est pas la plage que je cherche, et il faudrait plutôt examiner le PtV avant de trancher. http://atom.lylver.org/AstroSurf/Design Optique/DOUBLETS/MEADE127-doublet.png
  21. Un réfracteur français ?

    Non non, la FH 100/1000 n'est pas conçue avec du verre "ordinaire", d'ailleurs les russes n'ont pas nos "verres ordinaires". C'est un achromat amélioré : je pense qu'ils ont fait plusieurs essais avant de se fixer sur une combinaison de matériaux pour que ça reste accessible au grand public. C'est une référence sur un type de réglage et de qualité de fabrication qui me sert de modèle, similaire aux Zeiss AS. En se calant sur la couleur jaune on couvre très bien l'essentiel de la plage de couleurs planétaires qui sont à corriger. Pour d'autres utilisations en grand champ, le calage convient aussi au besoin du fond de ciel pour les nébuleuses. Et si besoin, la raie HA toute seule est bien corrigée (sphérochromatisme faible). C'est un super compromis. Elle peut tout faire, mais pas en même temps . Maintenant, on peut essayer d'améliorer un peu ça en restant dans sa gamme de prix qui n'était pas celle de jouet de magasin. Une définition qui était un critère de qualité inventé par Lichtenknecker Note : " Imagerie exceptionnelle (apochromasia)" => à l'époque de l'argentique. Les capteurs ont des pixels plus petits maintenant. Il faut du 1. Note : TAL 100/1000 FH => RC mesuré ~= 4.5 doublet standard BK7 / F2 à f10 (court) => RC théorique ~= 9.1 doublet standard BK7 / F2 à f15 => RC considéré comme acceptable ~= 6.1 Ca "bave" deux fois moins. Pour faire du 2x le diamètre, soit 0,5mm de pupille de sortie, je ne propose que des RC<=3. En fait la Telementor 63/840 est à 2,4 et même si la TAL fonctionne bien il faut qu'on avance un peu dans la modernité sinon tout le monde va dire que ça bave, donc de mauvaise qualité pfff. "ce que je vois c'est ce que je crois"
  22. Un réfracteur français ?

    Bon ... vu que je suis coincée avec l'engagement du MakNewt qui n'est pas encore livré, je ne peux pas faire cet essuyage de plâtre. J'ai échangé sur la 97mm pour validation d'un proto. J'ai proposé une formule un peu gonflée sur un choix technique. D'autre part, il y a toujours le coût de fabrication directe qui pourrait empêcher la sortie d'une optique de cette taille. Prendre une seconde voie à partir d'ébauche pourrait obliger à faire des modèles "en négatif" pour du contrôle de courbure qui est très serré avant même de faire contrôler la qualité du résultat en interférométrie. Cette possibilité se ferait sur du verre bas prix, réflectif sans traitement optique et plutôt dur et durable. Un coût fixe.
  23. Un réfracteur français ?

    Je compare, je compare je te MP
  24. Un réfracteur français ?

    15 fois la 180mm, on va leur dire à tous (quand il y en aura 20) qu'il faut faire un financement contributif qui doit atteindre 10 000€ pour décider à Istar Optical de mettre le modèle à disposition sur leur site. Avant même qu'on ne connaisse le prix de l'objectif. ( mouahahah.)
  25. quel filtre pour Vénus avec un C8? ;)

    Ca ne fait pas que du bien au SCT ton post ... mais c'est loin d'être aussi moche que sur certains réfracteurs dans le bleu. Tout ce qui possède une lame de fermeture n'est pas très aidé dans le proche UV de toute façon...