Bill46
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Sonde JUNO : destination Jupiter
Bill46 a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
Une autre vue de détail lors du passage au perijove 32 le 21 février, image traitée par Kevin M.Gill. J'ai superposé en encart un détail de cette "draperie de soie", en améliorant quelque peu le contraste, montrant un moutonnement de nuages à haute altitude. Nous sommes à 8 500 km au-dessus de l'atmosphère de Jupiter. Cliquer/afficher. (Crédit : NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Kevin M. Gill) Et une seconde (extrait de l'original https://www.flickr.com/photos/kevinmgill/50974132321/) : (Crédit : NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Kevin M. Gill) -
Avec plusieurs images obtenues par la caméra de descente, c'est encore plus joli toute cette poussière qui s'envole sous le souffle des 8 fameux MR-80B (toujours de Will Gater) :
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Du fabricant lui-même : https://www.rocket.com/article/aerojet-rocketdyne-propulsion-enable-nasa-perseverance-rover’s-landing-mars
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Combien de fois je l'ai gravi le Mont Mercou ! En fait, c'est plus une colline/falaise qu'une montagne... Au-dessus du joli village de Meyronne et de la vallée de la Dordogne. Je l'ai même fait en courant (le trail de Meyronne, un 550 m D+ sur 20 km avec pas mal de raidillons) : points de vue sublimes ! Mais revenons sur Mars. Ci-dessous : le Mont Mercou martien (Robert Charbonneau à partir d'images longue distance RMI prises au Sol 3040) versus le Mont Mercou terrestre (altitude 316 m, qui, parait-il, a pu être un lieu de culte consacré au dieu Mercure). Pas sûr que l'aire d'envol martienne soit toutefois propice aux parapentes rencontrés au départ de son homologue terrestre.
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Je préfère un gros NavCam gauche Sol 2. Crédit : NASA/JPL-Caltech - Processing : Elisabetta Bonora & Marco Faccin. Cliquer/afficher.
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Toujours aller à la source ! Les propulseurs montés sur le Skycrane sont des MR-80B fabriqués par Aerojet Rocketdyne :
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Coucher de Soleil sur Mars, le 23 février 2021 (Sol 4) à l'heure solaire locale de 16h40 sur le site d'atterrissage de Perseverance, au-dessus des lointains remparts du cratère Jezero (NavCam gauche). Image traitée par Kevin McGill : (Crédit : NASA/JPL-Caltech/Kevin McGill)
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Sonde JUNO : destination Jupiter
Bill46 a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
Une autre image des nuages de la haute atmosphère de Jupiter prise par JunoCam lors du perijove 32, le 21 février (altitude 8 584 km) et retraitée par Brian Swift : (Crédit : NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Brian Swift) -
Ayez, le rapprochement est fait Extrait de https://minorplanetcenter.net/iau/ECS/MPCArchive/2021/MPC_20210127.pdf https://minorplanetcenter.net/db_search/show_object?object_id=523731 Note 2 : by Ly... Kenneth Ly ?
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Si on parle de Voyager 2, sa vitesse diminue sensiblement avec le temps. En effet, au moment de la rencontre avec Neptune, la sonde a subi une légère décélération à cause de la trajectoire choisie pour survoler Triton (et inversement la planète a accélérée ! C'est en quelque sorte un échange de "bons procédés" en assistance gravitationnelle ).
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Une image saisissante capturée par une caméra de descente placée sous Perseverance alors que le rover n'est qu'à quelques mètres de la surface, suspendu aux filins de la grue volante dont les réacteurs soufflent la poussière sur le site d'atterrissage. La colorisation a été ajustée à une lumière naturelle ambiante. (Crédit : NASA/JPL-Caltech/Jason Major)
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Un article récent de Space.com, développé à partir d'un exposé présenté par Nick Oberg (Kapteyn Astronomical Institute / University of Groningen & TU Delft aux Pays-Bas) lors de la 237e session de l'American Astronomical Society, nous donne quelques précisions sur le futur des sondes Voyager 1 et 2 lancées en 1977 pour un "Grand Tour" du Système solaire. Je résume. En 2012, Voyager 1 a atteint l'héliopause qui marque la limite entre la zone d'influence du vent solaire et le vide interstellaire. Voyager 2 a fait de même en 2018. Bien que déjà à une distance considérable, les deux sondes continuent encore à communiquer avec la Terre, jusqu'à ce que, dans quelques années, elles ne disposent de plus assez d'énergie pour émettre le moindre signal. Oberg et ses collègues se sont intéressés, en établissant des modèles numériques, aux trajectoires futures des deux sondes au-delà du Système solaire et à leur progression dans la Voie lactée, jusqu'à une époque où notre galaxie entrera en collision avec celle d'Andromède, c'est-à-dire bien après la disparition de l'Humanité, et de la plupart des étoiles que nous pouvons observer actuellement. L'équipe s'est en partie appuyée sur les données récentes fournies par le satellite européen Gaïa qui s'attache à cartographier avec une très grande précision notre voisinage stellaire. Les sondes Voyager ne traverseront pas le Nuage de Oort, vaste réservoir de comètes et corps glacés situé à 100 000 UA du Soleil, avant 20 000 ans, franchissant alors la dernière frontière du Système solaire. Il faudra au moins 10 000 ans de plus pour que l'un des engins s'approche d'une étoile naine rouge, Ross 248. Dans 500 millions d'années, notre Système solaire et les sondes Voyager auront accompli une révolution complète autour du centre de la Voie Lactée. Que restera-t-il de la Terre à cette époque ? Nul ne le sait... 500 millions d'années en arrière sur Terre, c'est la formation du supercontinent Pangée. Tout au long de leur long périple, la trajectoire des sondes Voyager va lentement osciller de part et d'autre du plan galactique à tel point que Voyager 1 va se retrouver un jour bien au-dessus du disque, dans une zone de faible densité stellaire. Voyager 1 et 2 transportent avec elles un enregistrement de différentes manifestations de l'humanité gravé sur un disque d'or ("Les sons de la Terre"), sorte de "bouteille à la mer interstellaire" destinée à d'éventuels êtres extraterrestres. Ces disques, encapsulés dans des protections en aluminium, sous des feuilles d'or, en principe sensés ne pas bouger pendant des milliards d'années, résisteront-ils toutefois au temps ? En fait, tout dépendra du temps que Voyager passera dans des nuages à forte concentration de poussières interstellaires car celles-ci peuvent potentiellement fortement endommager la structure des engins : un grain d'un millième de millimètre frappant la sonde peut vaporiser la matière et créer un cratère lors de l'impact et la sonde et ses équipements peuvent être à la longue lentement érodés de la sorte. De fait, à cause des oscillations de trajectoires, Voyager sera amené à passer du temps dans des zones élevées au-dessus et au-dessous du plan galactique, là où se concentrent de tels nuages de poussières. De plus, ces masses de matière non négligeable peuvent aussi, par leur attraction gravitationnelle, jouer sur la trajectoire des sondes. A force de modélisation, Oberg et ses collègues ont observé que l'enregistrement à bord de Voyager 2, dont l'orbite est plus chaotique et donc moins prévisible, a plus de chances de résister que celui de Voyager 1. Néanmoins, il y a quand même de fortes probabilités que les deux enregistrements survivent à 5 milliards d'années. Et après ? L'incertitude grandit. A cette époque lointaine, la Voie Lactée entrera en collision avec la galaxie d'Andromède et sa structure spirale pourrait être détruite, ce qui rend difficile d'établir plus de prédictions quant au devenir des sondes. D'ici là, chacun des Voyager aura sans doute la possibilité de s'approcher d'une étoile à une distance de l'ordre de 150 UA, dans la banlieue d'un système planétaire. Mais de quelle étoile ? Difficile à dire aujourd'hui. Peut-être même que nous ne connaissons pas encore cette étoile, ou que cette étoile n'est même pas encore née... Et quand la Voie lactée aura fusionné avec Andromède, peut-être que les Voyager auront été éjectés dans une galaxie plus gigantesque. Là encore, leur destinée dépendra sans doute de la quantité de gaz et de poussières que les sondes auront à croiser, menaçant durablement leur intégrité. Et avec de la chance, beaucoup de chance, nos deux vaillants explorateurs seront encore là, quelque part, dans des dizaines de milliards d'années, leur mini-réacteur nucléaire RTG étant depuis longtemps hors service, dérivant lentement dans un cosmos mystérieux où la formation d'étoiles aura cessé, peut-être rempli de trous noirs et de cadavres stellaires. Un futur sombre seulement illuminé par quelques supernovae. https://www.space.com/predicting-voyager-golden-records-distant-future
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Je mets ici un lien vers cet événement : https://fireball.imo.net/members/imo_view/event/2020/6403 C'est extrait d'un site qui répertorie toutes les observations de météores et bolides. Des bolides, il en pleut tous les jours ou presque. Un des derniers en date c'était hier tôt le matin au dessus de l'Alberta, au Canada (événement 978-2021). De là à récupérer un fragment au sol (s'il y a), c'est une autre histoire. La météorite suédoise est exceptionnelle. https://fireball.imo.net/members/imo_view/browse_events
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Je me fais le porte-parole de Damia Bouic avec cette vue panoramique au Sol 2 obtenue à partir d'images NavCam couleurs (toujours cliquer/afficher pour pleine résolution) : https://db-prods.net/marsroversimages/perseverance2021.php#5
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Sonde JUNO : destination Jupiter
Bill46 a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
Les premières images JunoCam du perijove 32 de la sonde Juno arrivent sur Terre. Ci-après par exemple une série de telles images de Jupiter retraitées (contraste et couleurs exagérés) par Brian Swift (projection sphérique à 45 pixels par degré) - cliquer/afficher pour haute résolution : (Crédit : NASA/JPL-Caltech/SwRI/MSSS/Brian Swift) -
Un collage d'images prises en altitude jusqu'au site d'atterrissage de Perseverance, reliées et redimensionnées par Will Gater (cliquer/afficher pour la pleine résolution) :
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Pour revoir les différentes vidéos sur YouTube, la playlist du JPL : https://www.youtube.com/playlist?list=PLTiv_XWHnOZqut4YY0yVlPIRLeoqub_EJ
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Un autre message caché ? Ca devient un jeu de piste... Ici un message retrouvé dans les données transmises par l'une des 2 antennes radio en bande X (7-8 GHz) de Perseverance (a priori l'antenne à haut gain de forme hexagonale visible sur le pont du rover) : http://www.r00t.cz/Sats/Mars2020
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J'aime bien cette vision de Perseverance atterrissant amerrissant dans le lac du cratère Jezero il y a 3,5 milliards d'années... Ooops, où sont les flotteurs ? (The_KSP_Maniac)
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C/2021 A1 (Leonard) le 21,81 février TU imagée à la magnitude 18,7 depuis l'observatoire de Tottori Saji Astro Park au Japon (un observatoire public équipé d'un planétarium et possédant un télescope de 103 cm illustré ci-après ! Le rêve de tout amateur...). La comète est actuellement dans la constellation de la Grande Ourse :
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Voir l'article de référence : https://link.springer.com/article/10.1007/s11214-020-00765-9
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Un autre élément devenu inutile après le toucher des roues du rover est la grue volante qui a doucement descendu Perseverance à la surface. L'étage de descente s'est par la suite éloigné et crashé à bonne distance. On peut voir ci-après deux vues prises par la caméra HiRISE de l'orbiteur MRO montrant le champ de débris avant et après l'impact de la grue. (markril/UMSF) (Pando/UMSF)
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La vidéo de la descente montre en particulier l'éjection du bouclier thermique qui, devenu inutile, ira se crasher à la surface. Lors de la conférence de presse, Al Chen a signalé qu'un des ressorts destinés à repousser le bouclier ne s'était pas correctement détendu comme prévu. On peut le voir sur l'image ci-après prise par l'une des caméras de Perseverance regardant vers la surface, et donc la partie supérieure du bouclier au moment du largage. Ce dysfonctionnement inattendu n'a toutefois pas empêché le bon déroulement des opérations. (NASA/JPL-Caltech) Le mouvement du ressort détaché est également bien visible sur cet extrait vidéo : La position du bouclier thermique retombé à la surface, vue depuis celle de Perseverance (le bouclier lui-même n'est pas visible, caché par le relief) : (Pando/UMSF)
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De nombreuses inscriptions et plaques ont été posées sur Perseverance. L'une d'elles représente la petite famille des rovers martiens de la NASA bien visible sur cette vue prise par la caméra de navigation NavCam gauche placée sur le mât, au Sol 2 : Sojourner, Spirit, Opportunity, Curiosity, Perseverance + Ingenuity. (crédit : NASA/JPL-Caltech)
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"Parfois nous laissons un message concernant la mission pour que d'autres le trouvent..." (NASA) Le message caché du parachute supersonique a été décodé par un étudiant français, Abela_Paf (@FrenchTech_paf). L''anneau extérieur de la corolle porte les coordonnées GPS 34° 11' 58" N et 118° 10' 31" W. Le début du message est le bloc de 1 et chaque mot finit par un délimiteur. Le mot suivant démarre à la même place sur l'anneau suivant. "dare mighty things" = "osez prendre des risques" Et ce ciel bleu... hummm, presque comme sur Terre !