spectrahm

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Tout ce qui a été posté par spectrahm

  1. La fin de l'heure d'été?

    Selon les résultats, 75% des votes sont en faveur de l'heure d'été. Dans mon entourage, les personnes de plus de 50 ans sont majoritairement favorables à l'heure d'hiver, les autres en faveur de l'heure d'été. Peut-être est-ce la même chose sur ce forum ? Personnellement, je pense que 2h de décalage sur le soleil est idéal car le milieu de la journée se retrouve ainsi à 14h plutôt que midi, ce qui permet un alignement assez optimal sur les horaires humains (travail de 9h à 17h, milieu de journée à 14h, coucher vers 23h - minuit). Avec une seule heure de décalage, on perd du soleil le matin et on en profite moins le soir, et c'est encore pire le weekend quand on se lève à 10h ou 11h. Après, c'est comme tout, certains préféreront 2 ou 3h de décalage, d'autres préféreront 1h. Pour moi la question se pose plus pour l'Espagne que pour la France. A Strasbourg ou à Nice, l'heure d'été n'a déjà qu'une heure de décalage sur le soleil.
  2. je veux photographier les belles courbe de ma voisine

    Ces instruments ne sont pas conçus pour les mêmes cibles. Les Maks sont assez sombres et se destinent surtout au planétaire avec leur longue focale et leur rapport f/D élevé. Les SCT sont plus polyvalents mais restent lent (f/D 10), et leur qualité d'image est un peu derrière surtout avec un réducteur de focale, qui amène toujours son lot de vignetage et de chromatisme. Ce sont par contre d'excellents instruments de science - tirage énorme, légèreté et compacité donc plus d'instruments sur la monture... sauf que ce n'est pas l'usage que tu souhaites en faire. Pour l'astrophotographie, j'irais vers une 80ED, tout simplement. Pas de collimation, pas d'obstruction, peu d'aberrations optiques, compact, léger, petite monture suffisante. Parfait pour la photographie grand champ, et il y a toujours l'option Barlow pour le planétaire. Pour le visuel, un Dobson 150 ou 200mm. Pour faire les deux à la fois, un Newton 150 ou 200mm sur monture équatoriale, classe EQ6 ou supérieure. Ce n'est plus le même budget mais avec $2500CAD ça passe encore si tu achètes tout d'occasion, caméras incluses.
  3. La fin de l'heure d'été?

    BobMarsian, tout à fait d'accord ! L'heure d'hiver m'a toujours parût absurde à moi aussi, très décentrée par rapport aux activités humaines. Autant profiter à fond du soleil plutôt que de se lever 2h après son lever et se coucher longtemps après son coucher. Pour moi, le milieu de la journée se situe à 14h, l'heure d'été est donc parfaite. Mais UTC+3 me conviendrait bien aussi.
  4. Choix setup fixe pour balcon

    Ca va faire un bel abris pour un 300. L'idée de la bâche avec circulation de l'air et ampoule infrarouge dessous peut être une bonne idée. De toute façon il y a peu d'humidité sur mon balcon, je suis à plusieurs mètres du sol et l'air circule, je n'ai jamais eu besoin de pare-buée. Ca se joue vraiment entre un LX200 12" posé sur dalle béton à même le sol, ou C11 sur AZEQ6 sur micro-colonne. Resterait à voir comment fixer cette dernière au sol, il faut que ce soit aussi stable qu'une fourche. Je vous tiendrai au courant. Merci pour vos remarques.
  5. Bonjour à tous, Je suis un observateur urbain disposant d’un balcon orienté ouest-sud-ouest, avec une vue dégagée au sud, ouest et un peu au nord. Pour l’instant j’ai un setup mobile assez contraignant à monter/démonter et souhaite passer vers quelque chose de fixe, sous bache. Le règlement de ma copropriété stipule que rien ne doit dépasser de la rambarde (1m20) ni être visible depuis l’extérieur. Cela contraint donc à monter le télescope près du sol, avec toutefois le bénéfice que cela élargit le champ de vue vers le zénith, j’y ai donc un intérêt. La faible hauteur ne semble pas être un problème en soi, le champ de vue pris à 80cm au dessus du sol est bon, même le Sagittaire m'est accessible. Je précise aussi que tout est automatisé (caméra et spectro dans mon cas) donc pas besoin de me contorsionner sous le télescope comme en visuel ! Reste à voir comment monter le tube près du sol... J’ai retenu deux options : - Meade 10" ou 12" LX200, monture à fourche sur table équatoriale directement vissée sur une dalle béton 40x40x4cm, posée ou collée sur le sol du balcon. Pas de colonne ou de trépied. - C11 sur EQ6-R ou AZEQ-6 vissée sur une extension colonne 20 ou 40cm, elle même fixée sur dalle béton (je n’ai pas encore étudié comment) - ancienne option : Dobson 300mm motorisé Goto avec dérotateur de champ. Abandonné car trop "bidouille" et complexe Je suis conscient que les contraintes sont importantes et que l’environnement n’est pas idéal, mais on fait avec ce que l’on a quand déménager n’est pas une option. Dans cette optique, quelle vous semblerait être la meilleure solution pour ce futur setup ? Merci d'avance !
  6. Choix setup fixe pour balcon

    Pour la précision, le sommet de la rambarde est à 105cm du sol. C'est même vers 80cm de hauteur que le télescope a le meilleur champ de vue, de 15° à 70° à l'ouest. Plus haut, on ne gagne rien vers l'horizon à cause des arbres, et on perd en altitude à cause du toit du balcon. Plus bas, on est gêné par la rambarde pour les pointages vers l'horizon. Patry, j'aime bien l'idée de la fourche sur table équatoriale. Probablement sur un ou deux parpaings fixés sur dalle béton, on doit être à la bonne hauteur.
  7. Choix setup fixe pour balcon

    Merci à tous pour vos remarques ! Voici deux photos du balcon, le premier est un pano pour donner une idée de la vue. Honnêtement elle me convient très bien, j'ai un accès dégagé au sud, ouest, et légèrement nord/nord-est. C'est déjà pas mal ! Ensuite une vue du balcon pour donner une idée de la taille. Il est très large, je peux installer pas mal de matériel dessus. Donc l'idée est simple : en setup permanent le sommet du tube ne doit pas dépasser à la rambarde de gauche. Avec une bache pendant la journée, ça ne doit attirer ni le regard d'éventuels cambrioleurs, ni de gestionnaire de syndic un peu trop zélé. Ca me libère aussi de la vue vers le zénith, très important. C'est un cahier des charges un peu contraignant mais je suis sûr que c'est faisable !
  8. Choix setup fixe pour balcon

    Merci Grhoth ! Les contraintes du nomadisme dépassent celles du poste fixe, je compte donc relever le défi plutôt qu'aller vers un perfectionnisme qui sera vite contraignant et démotivant (matériel encombrant, éloignement, fatigue). Je suis toujours preneur de vos idées entre monture à fourche fixée au sol et monture allemande sur mini-colonne (40cm) !
  9. Test de la caméra ASI183MM Pro

    @Alef, c'est étrange, ça marche très bien chez moi, l'opération n'a pris que quelques secondes...
  10. Test de la caméra ASI183MM Pro

    Alef, ISIS sait très bien faire ça, je l'utilise régulièrement :
  11. Radioastronomie

    Les signaux cosmiques sont peu polarisés, sauf Soleil, Jupiter, pulsars et si le milieu interstellaire est perturbé par des champs magnétique. Avantage : comme les signaux humains sont polarisés, on peut plus facilement discriminer les pollueurs Inconvénient : il faut idéalement une polar horizontale et verticale dans la source, sinon on ne récupère que 50% du signal. Ou avoir une source hélicoidale, mais difficile à éclairer. Pour la spectro 21cm, la bande 1400-1430MHz est protégée internationalement. Les raies discrètes proviendront de l'électronique locale (ex: une *box avec un CPU à 1.4GHz) et les bandes larges de la circulation automobile. Les premières sont facile à supprimer avec un FIR ou excision numérique, et les deuxièmes n'alternent pas le spectre. Donc pas de souci, même en centre ville. En continuum 21cm par contre, c'est la plaie, même en banlieue. Il faut monter un spectromètre FFT et faire des intégrations très longues, 10mn ici à Lyon. Oublier le continuum en ville. Oublier encore plus en VHF/UHF. En bande X c'est jouable, mais plus de signal synchrotron, et très peu de signal thermique. Foutues loi de Wien et de Planck...
  12. Radioastronomie

    Ce serait pour avoir les 10 lambdas, mais en réalité on peut tout à fait faire avec moins, l'essentiel est de satisfaire l'égalité Sd, qui est un rapport entre votre Tsys, la largeur de bande et le temps d'intégration. Donc en réduisant le bruit et en augmentant la durée d'acquisition, on compense la sensibilité d'une plus grande antenne (mais sans compenser la résolution). Mon antenne mesure 110cm et j'ai pourtant cartographié la distribution du H1 local. Michiel, sur SARA, l'a même fait avec une antenne de 60cm : http://parac.eu/projects.htm Je pense quand même que monter un peu en diamètre, mettons 1m, 1m20, serait parfait pour du H1. En radio, les photons sont très peu énergétiques (10e-6eV à 1GHz contre 1eV à 100THz), d'où d'ailleurs l'obligation d'une détection temporelle plutôt que spatiale. C'est exact, mais il existe plusieurs types de bruit : thermique, électronique, quantique, de phase etc. Votre antenne va souffrir du bruit thermique car il est difficile d'optimiser l'éclairement. Vous voudrez calculer très exactement la position du foyer (il existe des macros Excel sur le net) pour y placer la source. L'élément collecteur de la source doit être placé à 21mm du foyer exact au maximum (1/10 lambda). Au delà, les pertes suivent une courbe exponentielle. Ensuite, vous voudrez que la source n'ait pas de lobe secondaire et éclaire la parabole à 3dB (intersection du diagramme à mi puissance). Vous pouvez aussi sous éclairer un peu. Il faudra simuler numériquement, comme on ne voit pas visuellement le faisceau micro-ondes. Stanislas vous suggérait une antenne Cassegrain pour réduire le bruit thermique, ce qui est une bonne idée mais elles comportent aussi leurs difficulté, en particulier en 21cm car ce sont généralement des antennes bandes C voir X/Ku... l'ouverture à la base de la parabole est beaucoup trop faible et on perd du signal en réflexion. Il faudrait concevoir une antenne sur mesure. Ne jamais monter le filtre en amont du premier étage, vous auriez au moins 2dB de perte d'insertion donc plus rien à amplifier. On rappellera qu'en RA, on n'a pas la dynamique pour raisonner en dB, on utilisera le K à la place (agitation électronique d'une résistance chauffée à x Kelvins). C'est d'ailleurs la raison pour laquelle vous voudrez tester votre matériel sur une charge 50 ohms, qui vous permettra de mesurer la température de votre système en K à température ambiante. De là, avec une simple règle de 3 vous pourrez connaitre votre Tsys, élément capital car cette variable se retrouvera dans toutes les formules. Et effectivement le LNA doit être au plus près de la source, à 1400MHz les signaux s'évaporent presque immédiatement dans le cable vu leur puissance infime (prenez un échantillon numérisé, passez le au carré pour transformer la tension V en puissance W, on est encore dans le milliardième de milliwatt après ampli, je vous laisse mesurer !). Pour les connecteurs, je recommande du N sur la source pour sa rigidité et du SMA au delà. Regardez du côté de Triquint et de Micro Circuits, qui font d'excellents composants micro-ondes. Pour la Yagi, oubliez, les lobes secondaires seront ingérables, surtout en continuum. En spectral HI, à voir, mais le gain sera médiocre comparé à une parabole. La meilleure chose que vous puissiez faire est de passer à une parabole légèrement plus grande, et concevoir une source biquad. Utilisez 4NEC2 (gratuit) pour simuler le rendement de la source et ajuster au mieux les dimensions pour du 21cm. Faite régulièrement des mesures de TOS (SWR) avec un coupleur directionnel, vous trouverez des tutoriaux sur le net. Essayez d'obtenir un TOS < 2. Mes premiers essais étaient supérieurs à 3, c'est à dire que plus de la moitié du signal étaient reflété par la source au lieu d'être atteindre le LNA. Donc autre mesure critique pour avoir un instrument efficace (là aussi Marcus est un peu "léger" sur cet aspect). Ne vous faites pas de souci pour le lieu. En ville, il faudra éviter le continuum et en particulier les basses fréquences ( < 1 GHz). Pour du spectral HI, aucun souci, un simple traitement FFT dépolluera complètement la signal. A tout hasard, on rappellera que la transformée de Fourier ne fait que translater un échantillon du domaine temporel au domaine fréquentiel, on ne peut obtenir aucun gain de traitement avec sinon une dépollution des RFI. Tenez-nous au courant et n'hésitez-pas si vous avez des questions.
  13. Radioastronomie

    C'est tout hors-bande. Ce sont surtout les radars aériens dans cette bande qui sont problématiques (jusqu'à 1390MHz), ils peuvent aveugler les LNA. Heureusement votre LNA à un facteur Q de 1; inconditionnellement stable, mais mettez quand même un filtre passe-bande centré autour de 1420MHz entre chaque étage pour éviter d'éventuelles désadaptations. Le OIP3 du LNA doit être >30dB si la dynamique est importante entre bandes proches, et ça va être le cas comme on ne peut pas filtrer en amont du premier étage pour limiter au maximum les pertes d'insertion. Vérifiez aussi la qualité du découplage du DC en entrée du LNA (condensateurs et ferrites à chaque borne), ainsi que, comme l'a souligné Stanislas, la qualité de la terre. Pour l'alim aussi, raccordez la masse à la terre pour éviter les courants de fuite (dans les alims sans prise terre, on a souvent des fuites inductives de courant alternatif, pas bon...). Je recommande l'usage d'un bias-T pour l'alimentation, car les cables d'alim sont aussi des antennes à radio FM, et sans découplage, ils propagent beaucoup de cochonneries... Mais ça, ce sont des aspects de stabilité, quand on a déjà un signal reproductible et un SNR correct. Pour l'instant il faut d'abord commencer par une mesure de facteur Y pour savoir où vous en êtes. S'il est mauvais, mesurer le TOS et vérifier l'éclairement. Quand vous atteindrez Y>=4, l'instrument sera au point et on passera à la suite !
  14. Radioastronomie

    Stanislas, vous avez raison, il faut effectivement commencer par faire marcher l'existant. En radio comme en optique, il est idéal de démarrer avec peu et d'augmenter la surface de collecte une fois l'appareil bien maitrisé. D'où l'importance de bien connaître les formules, car en RA, on monte soi même le télescope, ce n'est pas comme en optique où des ingés font tout le travail pour nous et où l'on débute avec un instrument clé en main. La théorie avant la pratique, donc. J'ignore quelle est votre formation et quels sont vos résultats en RA, mais étant passé par un cursus en physique, c'est primordial. Le choix d'antenne de Vincent est bon, il y a déjà de quoi faire et il faut éviter les gros diamètres lorsque l'on débute, radio comme optique. Pour ce qui est de l'emplacement, c'est en fait peu important en bande L, car même en continuum on peut dépolluer les raies discrètes par FFT, et les sursauts par intégration temporelle. Quant au spectral, la bande HI est protégée donc pas de souci. J'observe moi même depuis le centre de Lyon, et un ami le fait depuis Orsay. Le TOS et le rendement d'éclairement sont beaucoup plus important pour avoir des résultats fiables. Enfin il n'est nécessaire d'avoir un brevet radio-amateur pour écouter les ondes, que ce soit la radio FM ou l'hydrogène neutre local. Un peu de théorie en radio ne fait pas de mal par contre. Après tout, Reber avait son call sign, aujourd'hui celui de la NRAO ! (W9GFZ)
  15. Radioastronomie

    Si je puis me permettre, Marcus, que je connais bien par ailleurs, a commis quelques petites erreurs dans ce document : - pas de simulation de la source (ex, 4NEC2), pas de mesure de TOS/SWR, il est facile de perdre plus de la moitié du signal pour quelques millimètres de trop ou de pas assez - source peu adaptée aux paraboles offset (f/D > 0.6). Un rendement supérieur à 60% est atteignable avec une source biquad correctement simulée (la taille de l'élément est critique). De visu, votre source n'est pas adaptée, je dirais que le rendement ne doit pas dépasser 40% même si votre simulation est impeccable (calcul de la position du foyer et du diagramme d'éclairement) - connecteurs inadaptés - aucune mesure de température d'antenne, les paramètres sont trouvés par tâtonnement Il faudra commencer par une mesure du récepteur sur antenne et sur charge 50 ohms pour dériver votre Tsys et votre facteur Y. Si Y<4, n'allez pas plus loin, corrigez d'abord votre éclairement, mieux vaut sous-éclairer que subir du spillover. Une fois l'antenne au point, vous saurez ce qu'il est possible de faire avec le télescope moyennant un temps d'intégration donné ( Sd = Tsys / sqr(B.T) ). Il n'y aura plus qu'à préparer l'observation en calculant la FFT optimale (compromis entre SNR et résolution), et les durées d'acquisition nécessaires pour le signal d'intérêt et l'acquisition (calcul de l'aire efficace de l'antenne, puis transformation en K de la source en Jy via la constance de Boltzmann, calcul de l'élévation maximale de la température d'antenne, calcul du rapport Sd nécessaire). simple_ra n'est pas idéal si vous utilisez autre chose que des clés R820T2. J'ai proposé des modifications pour utiliser OSMOCOM mais il s'est avéré plus simple de ré-écrire ma propre pile en C/Python. Autre suggestion : https://github.com/AD-Vega/rtl-power-fftw Dernier conseil, commencez par le spectral afin d'avoir une référence. En radiométrie, obtenir des mesures de qualité scientifique est exceptionnellement difficile, il vous faudra concevoir un radiomètre de Dicke comme j'ai fait dans mon montage, mais cela multiplie par deux le temps d'intégration nécessaire. Aucun souci en spectral, ou on peut prendre en référence f0 + 2Mhz.
  16. Radioastronomie

    Bonjour Vincent, Bravo pour cette percée en RA. Si cela peut vous intéresser, je me suis moi aussi essayé à quelques travaux en spectro HI et radiométrie continuum en bande L : https://drive.google.com/file/d/0BzKwhhUsAxugOW9uSlMtdUw0YTQ/view Je dirais que le plus important lorsque l'on débute en RA, est de commencer par la théorie, et en particuliers par les formules. Une fois que les chiffres sont posés, on peut alors choisir le matériel pour construire le télescope, et calculer les paramètres d'acquisition. Ensuite, il n'y a plus qu'à coder ! L'erreur principale en RA amateur est de faire l'inverse : acheter du matériel et essayer de le faire fonctionner. Il faut alors s'en remettre à la chance et au tâtonnement, et les résultats sont douteux ou décevants.