jackbauer 2

Membre
  • Compteur de contenus

    9 529
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    31
  • Last Connexion

    Soon available - 78520

Messages posté(e)s par jackbauer 2


  1. 7 ans après la fin de la mission, les données collectées continuent de nourrir des articles scientifiques, comme celui-ci produit par des astronomes de l'obs. de Paris :

     

    https://www.observatoiredeparis.psl.eu/the-aurora-of-enceladus.html

     

    L’aurore d’Encelade se révèle une dernière fois à Cassini

     

    Le 14 septembre 2017, lors de son ultime orbite autour de Saturne, la sonde spatiale Cassini a observé l’empreinte aurorale ultraviolette de la lune Encelade dans l’atmosphère de sa planète hôte. Cette détection, la seconde seulement en 13 ans d’observations en orbite, a été analysée simultanément par deux équipes de chercheurs, dont l’une à l’Observatoire de Paris - PSL. Elle révèle un type d’interaction planète-satellite atypique, différent du cas de Jupiter. Ces travaux paraissent le 24 janvier 2024, dans la revue Planetary Science Journal.

    • J'aime 3

  2. Le 08/10/2019 à 19:43, dg2 a dit :

    Un petit mot sur le cas de James Peebles.

     

    Il faisait partie d'un groupe de quatre personnes qui avaient compris dans les années 1960 qu'il devait exister un écho lumineux du Big Bang, le fond diffus cosmologique, et que détecter ce rayonnement était à la portée des technilogies d'alors. Avec ses trois collaborateur, Robert Dicke, Peter Roll et David Wilkinson, il avaient entrepris la construction d'une antenne radio capable de le détecter. Ils étaient en bonne voie pour y arriver quand deux radioastronomes, Arno Penzias et Robert Wilson, qui utilisaient l'antenne radio la plus sensible d'alors (initialement dédiée aux premières communications satellitaires, les satellites en question ayant été mis HS par un essai nucléaire dans l'espace...), découvrirent par hasard et sans même le réaliser ledit fond diffus cosmologique. Il comprirent ce qu'ils avaient sous la main par une discussion un peu fortuite avec un confrère radioastronome, Bernard Burke, qui avait entendu parler des travaux de Peebles par un autre confrère, un certain Ken Turner. Ce furent donc Penzias et Wilson qui obtinrent le prix Nobel (en 1978) par un concours de circonstance que l'on peut qualifier d'assez heureux : à quelques mois/années près, il aurait été pour l'équipe de Peebles.

     

    Arno Penzias, à l'origine d'une des plus grandes découvertes de tous les temps est mort :

     

    https://www.nouvelles-du-monde.com/arno-penzias-le-physicien-qui-a-detecte-lecho-du-big-bang-est-decede-science/

     

    Arno Penzias, le découvreur de l’écho du Big Bang avec Robert Wilson, est décédé hier à l’âge de 90 ans, à San Francisco, après plusieurs années de maladie d’Alzheimer. Le physicien, né dans l’Allemagne nazie en 1933, s’est retrouvé aux États-Unis après avoir été évacué d’Europe, comme de nombreux autres enfants juifs, dans les mois précédant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.

    Sa découverte, comme cela arrive parfois en science, est survenue alors que lui et son partenaire Wilson cherchaient autre chose. En 1964, ils ont utilisé une antenne sensible pour détecter la raie de l’hydrogène, un signal permettant de comprendre la structure de la Voie lactée. Pour capter ce faible signal, ils ont dû exclure tous types d’interférences, des câbles mal isolés aux fientes de pigeons qui produisaient du bruit dans leur gigantesque antenne. La plus étrange de toutes ces interférences était un signal radio micro-ondes qui semblait provenir de tout le ciel, peu importe où l’antenne était pointée, et qui était de faible énergie.

    • J'aime 1
    • Merci 1

  3. Percy fait de l'astronomie, et c'est génial :

     

    "...Cette vidéo montre un transit du Soleil par Deimos, la plus petite lune de Mars, en temps réel approximatif (environ 2 minutes) réalisé à partir d'images capturées avec la Mastcam-Z de Perseverance  le 20 janvier 2024 (mission sol 1037)..."

    "...J'ai aligné (et nettoyé) 158 images distinctes pour créer la vidéo, dans le but spécifique de garder le Soleil centré lorsque Deimos le traverse horizontalement à la vitesse à laquelle il est apparu à Perseverance au sol 1037..."

     

     

    • J'aime 5
    • J'adore 1

  4. 9_9 Des couleurs psychédéliques ? En voici, avec cette nouvelle image mise en ligne

     

    Traduction automatique :

     

    https://esawebb.org/images/potm2401a/


    Cette image prise par le télescope spatial James Web montre une région H II dans le Grand Nuage de Magellan (LMC), une galaxie satellite de notre Voie lactée. Cette nébuleuse, connue sous le nom de N79, est une région d’hydrogène atomique interstellaire ionisé, capturée ici par l’instrument MIRI (Mid-InfraRed Instrument) du télescope Webb.
    N79 est un complexe massif de formation d’étoiles s’étendant sur environ 1630 années-lumière dans la région sud-ouest généralement inexplorée du LMC. N79 est généralement considéré comme une version plus jeune de 30 Doradus (également connue sous le nom de nébuleuse de la Tarentule), une autre des cibles récentes de Webb. Les recherches suggèrent que N79 a une efficacité de formation d’étoiles supérieure à celle de 30 Doradus d’un facteur deux au cours des 500 000 dernières années.

     

    Cette image particulière est centrée sur l’un des trois complexes de nuages moléculaires géants, surnommé N79 Sud (S1 en abrégé). Le motif distinct de « sursaut d’étoile » entourant cet objet brillant est une série de pointes de diffraction. Tous les télescopes qui utilisent un miroir pour recueillir la lumière, comme le fait Webb, ont cette forme d’artefact qui découle de la conception du télescope. Dans le cas de Webb, les six plus grands pics de sursaut d’étoiles apparaissent en raison de la symétrie hexagonale des 18 segments du miroir primaire de Webb. De tels motifs ne sont perceptibles qu’autour d’objets très brillants et compacts, où toute la lumière provient du même endroit. La plupart des galaxies, même si elles semblent très petites à nos yeux, sont plus sombres et plus étalées qu’une seule étoile, et ne montrent donc pas ce modèle.

    Aux longueurs d’onde plus longues de la lumière capturée par MIRI, la vue de N79 par Webb met en valeur le gaz et la poussière incandescents de la région. En effet, la lumière infrarouge moyenne est capable de révéler ce qui se passe plus profondément à l’intérieur des nuages (alors que des longueurs d’onde plus courtes de la lumière seraient absorbées ou dispersées par les grains de poussière dans la nébuleuse). Des protoétoiles encore enfouies apparaissent également dans ce champ.


    Les régions de formation d’étoiles comme celle-ci intéressent les astronomes car leur composition chimique est similaire à celle des gigantesques régions de formation d’étoiles observées lorsque l’Univers n’avait que quelques milliards d’années et que la formation d’étoiles était à son apogée. Les régions de formation d’étoiles de notre galaxie, la Voie lactée, ne produisent pas d’étoiles à la même vitesse que N79 et ont une composition chimique différente. Le télescope Webb offre maintenant aux astronomes la possibilité de comparer et de contraster les observations de la formation d’étoiles dans N79 avec les observations profondes du télescope sur les galaxies lointaines de l’Univers primordial.


    Ces observations de N79 font partie d’un programme du télescope Webb qui étudie l’évolution des disques circumstellaires et des enveloppes d’étoiles en formation sur une large gamme de masses et à différents stades d’évolution. La sensibilité du télescope Webb permettra aux scientifiques de détecter pour la première fois les disques de poussière formant des planètes autour d’étoiles de masse similaire à celle de notre Soleil à la distance du LMC.


    Cette image comprend une lumière de 7,7 microns en bleu, 10 microns en cyan, 15 microns en jaune et 21 microns en rouge (filtres de 770 W, 1000 W, 1500 W et 2100 W, respectivement).

     

     

    LMC N79.jpg

     

     

    LMC N79 b.jpg

    • J'aime 4
    • Merci 1

  5. "...JAXA :  L'objectif de SLIM n'est pas de survivre à la nuit lunaire, mais nous souhaitons qu'il survive et espérons que les cellules solaires pourront redémarrer.

    Le plan initial de téléchargement et de publication des images lunaires prises par SLIM et LEV n'a pas pu se poursuivre en raison du problème des panneaux solaires. Il est possible que nous puissions en partager dans plusieurs jours mais ce n'est pas la priorité à ce stade..."

     

     

     

    • J'aime 2

  6. :(

    aie aie aie...

     

    "...Nous avons confirmé que le Small Lunar Lander Demonstrator (SLIM) a atterri sur la Lune à 0 h 20 le 20 janvier 2024 (heure normale du Japon). La communication a été établie après l'atterrissage. Cependant, les cellules solaires ne produisent pas d’électricité, c’est pourquoi nous donnons actuellement la priorité à l’acquisition de données depuis la surface lunaire..."

     

     

     

    • J'aime 2

  7. traduction automatique :

     

    https://eventhorizontelescope.org/M87-one-year-later-proof-of-a-persistent-black-hole-shadow


    M87* Un an plus tard : la preuve de la persistance de l’ombre d’un trou noir


    La collaboration Event Horizon Telescope (EHT) a publié de nouvelles images de M87*, le trou noir supermassif situé au centre de la galaxie Messier 87, en utilisant les données d’observations prises en avril 2018. Avec la participation du télescope du Groenland nouvellement mis en service et un taux d’enregistrement considérablement amélioré sur l’ensemble du réseau, les observations de 2018 nous donnent une vue de la source indépendante des premières observations de 2017. Un article récent publié dans la revue Astronomy & Astrophysics présente de nouvelles images des données de 2018 qui révèlent un anneau familier de la même taille que celui observé en 2017. Cet anneau lumineux entoure une profonde dépression centrale, « l’ombre du trou noir », comme le prédit la relativité générale. Fait intéressant, le pic de luminosité de l’anneau s’est déplacé d’environ 30º par rapport aux images de 2017, ce qui est cohérent avec notre compréhension théorique de la variabilité des matériaux turbulents autour des trous noirs.
    « L’une des exigences fondamentales de la science est d’être capable de reproduire les résultats », explique le Dr Keiichi Asada, chercheur associé à l’Institut d’astronomie et d’astrophysique de l’Academia Sinica à Taïwan. « La confirmation de l’anneau dans un tout nouvel ensemble de données est une étape importante pour notre collaboration et une indication forte que nous regardons une ombre de trou noir et le matériau en orbite autour d’elle. »

     
    En 2017, l’EHT a pris la première image d’un trou noir. Cet objet, M87*, est le cœur battant de la galaxie elliptique géante Messier 87 et vit à 55 millions d’années-lumière de la Terre. L’image du trou noir a révélé un anneau circulaire brillant, plus brillant dans la partie sud de l’anneau. Une analyse plus poussée des données a également révélé la structure de M87* en lumière polarisée, ce qui nous a permis de mieux comprendre la géométrie du champ magnétique et la nature du plasma autour du trou noir.

     
    La nouvelle ère de l’imagerie directe des trous noirs, menée par l’analyse approfondie des observations de M87* en 2017, a ouvert une nouvelle fenêtre qui nous a permis d’étudier l’astrophysique des trous noirs et de tester la théorie de la relativité générale à un niveau fondamental. Nos modèles théoriques nous indiquent que l’état du matériau autour de M87* devrait être décorrélé entre 2017 et 2018. Ainsi, de multiples observations de M87* nous aideront à placer des contraintes indépendantes sur la structure du plasma et du champ magnétique autour du trou noir et nous aideront à démêler l’astrophysique compliquée des effets de la relativité générale.

     
    Afin d’aider à accomplir des recherches scientifiques nouvelles et passionnantes, l’EHT fait l’objet d’un développement continu. Le télescope du Groenland a rejoint l’EHT pour la première fois en 2018, cinq mois seulement après l’achèvement de sa construction bien au-delà du cercle polaire arctique. Ce nouveau télescope a considérablement amélioré la fidélité de l’image du réseau EHT, améliorant ainsi la couverture, en particulier dans la direction nord-sud. Le grand télescope millimétrique a également participé pour la première fois avec sa surface totale de 50 m, ce qui a considérablement amélioré sa sensibilité. Le réseau EHT a également été mis à niveau pour observer dans quatre bandes de fréquences autour de 230 GHz, contre seulement deux bandes en 2017.

     
    Des observations répétées avec un réseau amélioré sont essentielles pour démontrer la robustesse de nos résultats et renforcer notre confiance dans nos résultats. En plus de la science révolutionnaire, l’EHT sert également de banc d’essai technologique pour les développements de pointe en matière d’interférométrie radio à haute fréquence.

     
    « Pour faire progresser les efforts scientifiques, il faut améliorer continuellement la qualité des données et les techniques d’analyse », a déclaré Rohan Dahale, doctorant à l’Instituto de Astrofísica de Andalucía (IAA-CSIC) en Espagne. « L’inclusion du télescope du Groenland dans notre réseau a comblé des lacunes critiques dans notre télescope de la taille de la Terre. Les observations de 2021, 2022 et celles de 2024 à venir témoignent d’améliorations apportées au réseau, alimentant notre enthousiasme à repousser les frontières de l’astrophysique des trous noirs.

     
    L’analyse des données de 2018 fait appel à huit techniques d’imagerie et de modélisation indépendantes, y compris les méthodes utilisées dans l’analyse précédente de M87* en 2017 et de nouvelles méthodes développées à partir de l’expérience de la collaboration dans l’analyse de Sgr A*.

     
    L’image de M87* prise en 2018 est remarquablement similaire à ce que nous avons vu en 2017. Nous voyons un anneau lumineux de la même taille, avec une région centrale sombre et un côté de l’anneau plus brillant que l’autre. La masse et la distance de M87* n’augmenteront pas sensiblement tout au long d’une vie humaine, de sorte que la relativité générale prédit que le diamètre de l’anneau devrait rester le même d’une année à l’autre. La stabilité du diamètre mesuré dans les images de 2017 à 2018 soutient solidement la conclusion que M87* est bien décrit par la relativité générale.

     
    « L’une des propriétés remarquables d’un trou noir est que son rayon ne dépend fortement que d’une seule quantité : sa masse », a déclaré le Dr Nitika Yadlapalli Yurk, ancien étudiant diplômé de l’Institut de technologie de Californie (Caltech), aujourd’hui boursier postdoctoral au Jet Propulsion Laboratory en Californie. Étant donné que M87* n’accréte pas de matière (ce qui augmenterait sa masse) à un rythme rapide, la relativité générale nous dit que son rayon restera relativement inchangé au cours de l’histoire humaine. C’est assez excitant de voir que nos données confirment cette prédiction.

     
    Bien que la taille de l’ombre du trou noir n’ait pas changé entre 2017 et 2018, l’emplacement de la région la plus brillante autour de l’anneau a changé de manière significative. La région brillante a tourné d’environ 30º dans le sens inverse des aiguilles d’une montre pour s’installer dans la partie inférieure droite de l’anneau à environ la position 5 heures. Les observations historiques de M87* avec un réseau moins sensible et moins de télescopes ont également indiqué que la structure de l’ombre change chaque année (Wielgus 2020, ApJ, 901, 67) mais avec moins de précision. Bien que le réseau EHT 2018 ne puisse toujours pas observer le jet émergeant de M87*, l’axe de rotation du trou noir prédit à partir de l’emplacement de la région la plus brillante autour de l’anneau est plus cohérent avec l’axe du jet observé à d’autres longueurs d’onde.

     « Le plus grand changement, à savoir le déplacement du pic de luminosité autour de l’anneau, est en fait quelque chose que nous avions prédit lorsque nous avons publié les premiers résultats en 2019 », a déclaré le Dr Britt Jeter, chercheur postdoctoral à l’Institut d’astronomie et d’astrophysique de l’Academia Sinica à Taïwan. Alors que la relativité générale dit que la taille de l’anneau devrait rester assez fixe, l’émission du disque d’accrétion turbulent et désordonné autour du trou noir fera vaciller la partie la plus brillante de l’anneau autour d’un centre commun. La quantité d’oscillation que nous observons au fil du temps est quelque chose que nous pouvons utiliser pour tester nos théories sur le champ magnétique et l’environnement du plasma autour du trou noir.
    Bien que tous les articles de l’EHT publiés jusqu’à présent aient présenté une analyse de nos premières observations en 2017, ce résultat représente les premiers efforts pour explorer les nombreuses années supplémentaires de données que nous avons recueillies. En plus de 2017 et 2018, l’EHT a effectué des observations réussies en 2021 et 2022 et devrait effectuer des observations au cours du premier semestre de 2024. Chaque année, le réseau EHT s’est amélioré d’une manière ou d’une autre, soit par l’ajout de nouveaux télescopes, d’un meilleur matériel ou de fréquences d’observation supplémentaires. Dans le cadre de cette collaboration, nous travaillons très dur pour analyser toutes ces données et nous sommes ravis de vous montrer plus de résultats à l’avenir.

     
    Plus d’informations

     

    La collaboration EHT implique plus de 300 chercheurs d’Afrique, d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord et du Sud. La collaboration internationale s’efforce de capturer les images de trous noirs les plus détaillées jamais obtenues en créant un télescope virtuel de la taille de la Terre. Soutenu par des investissements internationaux considérables, l’EHT relie les télescopes existants à l’aide de nouveaux systèmes, créant ainsi un instrument fondamentalement nouveau avec le pouvoir de résolution angulaire le plus élevé jamais atteint.

     
    Les télescopes individuels impliqués sont ALMA, APEX, le télescope de 30 mètres de l’IRAM, l’observatoire NOEMA de l’IRAM, le télescope James Clerk Maxwell (JCMT), le grand télescope millimétrique (LMT), le réseau submillimétrique (SMA), le télescope submillimétrique (SMT), le télescope du pôle Sud (SPT), le télescope Kitt Peak et le télescope du Groenland (GLT). Les données ont été corrélées au Max-Planck-Institut für Radioastronomie (MPIfR) et à l’observatoire Haystack du MIT. Le post-traitement a été réalisé dans le cadre de la collaboration par une équipe internationale de différentes institutions.

     Le consortium EHT est composé de 13 instituts parties prenantes : l’Institut d’astronomie et d’astrophysique de l’Academia Sinica, l’Université de l’Arizona, l’Université de Chicago, l’Observatoire de l’Asie de l’Est, la Goethe-Universitaet de Francfort, l’Institut de radioastronomie millimétrique, le Large Millimeter Telescope, l’Institut Max Planck de radioastronomie, l’Observatoire de la botte de foin du MIT, l’Observatoire astronomique national du Japon, l’Institut Périmètre de physique théorique, l’Université Radboud et le Smithsonian Astrophysical Observatory.


    DOI papier A&A : https://doi.org/10.1051/0004-6361/202347932

     


     

    2024.png

    L’Event Horizon Telescope Collaboration a publié de nouvelles images de M87* à partir d’observations prises en avril 2018, un an après les premières observations en avril 2017. Les nouvelles observations de 2018, qui mettent en vedette la première participation du télescope du Groenland, révèlent un anneau d’émission familier et brillant de la même taille que celui que nous avons trouvé en 2017. Cet anneau lumineux entoure une ombre centrale sombre, et la partie la plus brillante de l’anneau en 2018 s’est décalée d’environ 30º par rapport à 2017 pour se trouver maintenant à la position 5 heures. Crédit : EHT Collaboration

     

    • J'aime 1
    • Merci 3

  8. à 22h49 une Falcon 9 avec à son sommet une Crew Dragon va emmener 4 personnes pour le compte de la société AXIOM (3ème expédition). Destination ISS

     

     

     

    GD_nipFXkAAG7N5.jpg

     

    traduction :

    "...Il convient de noter que deux des pays qui paient pour envoyer un équipage sur Axiom 3 sont membres de l'ESA, mais plutôt que de contribuer de l'argent à l'ESA avec une chance d'envoyer un astronaute dans l'espace, ils dépensent désormais simplement l'argent directement..."

     

    • J'aime 2