vaufrègesI3

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Tout ce qui a été posté par vaufrègesI3

  1. Clair.. C'est même le genre d'affaire qui nous invite à détester les ridicules.
  2. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Et je n'en fais pas partie !!! Personne n'est parfait ... Rendre des problématiques contemporaines de physique théorique accessibles au lecteur non scientifique est un délicat exercice car le contenu des questions abordées est, lui, intrinsèquement difficile, et le fait qu’elles soient d’habitude formulées dans un langage mathématique ajoute à la difficulté de la vulgarisation. Mais "difficile" ne veut pas dire obscur ou incompréhensible, mais plutôt qui nécessite de la concentration et de la réflexion – et, comme l’on n’y échappe jamais réellement, certains prérequis. J'ai visionné les vidéos de nombre des conférences d'Aurélien Barrau et j'ai longtemps été un admirateur assidu de sa rhétorique. Le problème, c'est que je me suis longtemps répandu de cette admiration sur Astrosurf, ceci m'obligeant à affronter sarcasmes et quolibets d'une frange de membres plutôt hermétiques à ses longs discours sur les riches notions physico/cosmo/philo/poétiques de l'Univers .. Puis je me suis contraint à lire quelques unes de œuvres littéraires du Maître, et j'ai commencé à douter suite au constat que sa prose écrite démontre son goût immodéré pour les auteurs abscons et fait preuve d'un étalage de mystifications pseudo-philosophiques obscurcissant son discours. On pourrait résumer beaucoup de ce qu’écrit A. Barrau par le leitmotiv suivant : "L'analogie comme méthode, la polysémie comme arme".. D'où par exemple, dans le livre "Dans quels mondes vivons-nous ?", cette envolée lyrique sur la dynamique des fluides : "Le pas ou l’élan joue en tant que flexion, flux, flot. Il obéit, dirait-on, à une mécanique complexe, à une dynamique des fluides, à une balistique des cataractes et des turbulences. Ensemencée, comme l’a montré Michel Serres, de circonstances, d’aléas et d’imprévus. Orbes de chutes divergentes. Allant jaculatoire intrinsèquement local, fluctuant, fuyant. Parenklisis réhabilité, Clynamen [sic] généralisé : déviation nec plus quam minimum, courants et écoulements divisés ou clivés. Mathématique de l’infinitésimal, Épicure sur Archimède, Lucrèce sur Démocrite. La statique des solides ne suffit pas. Quelque chose se déforme au sein du matériau lui-même : mouvance et plasticité, métriques et mesures locales. Dès la naissance de la physique". À la page suivante, A. Barrau propose une autre métaphore. Disons que si on a quelques connaissances en optique ondulatoire, on pourra tenter de reconnaître plus clairement les allusions - quoi que : "Si " moins d’un" ne veut pas dire rien, il ne veut, en revanche, rien dire. Parce qu’il ne s’agit surtout pas de dire, mais de diffracter le déjà-dit. De le faire passer à travers la mince fente qui étale et exhibe les différents modes. La diffraction, on le sait, est une auto-interférence. Alternance de franges, intensités modulées, rayons étalés. Rythme des ombres et des lumières. Pensée-qui-ne-veut-rien-dire, ainsi qu’elle s’annonce dans la grammatologie, parce qu’elle ne s’articule pas aux ordres préexistants". "Moins d’un, c’est s’assurer que "plus d’un" ne devienne pas une nouvelle instance judicative. C’est, finalement, la mise en rythme du rythme lui-même. Le déplacement du déplacement. Le souffle nécessaire au pas hors de. Appelons cela "les différents". Avec un "e" pour se tenir à la limite de Derrida, pour devoir – encore une fois, plus d’une fois – l’épeler ; au pluriel, parce que la dissémination doit être sans cesse, partout, toujours, disséminée ; au masculin, comme un différend, parce que les distances et répétitions – modes de l’un-fini et de l’un-divis – sont manifestement, indéfiniment, conflictuels". J'ai toujours pas digéré .. Sachant que A.B. a déclaré : "les discours “simples” sur le monde ressemblent, pour moi, à des tromperies", appliquant ce précepte jusqu’à un point où sa prose est, finalement, presque constamment, dominée par des propositions inextricables, une surcharge d’adjectifs, et des accumulations passablement superflues. J'y ai mis du temps, pardon à tous, mais aujourd'hui j'exècre ce style pompeux et impénétrable, cette forme insidieuse d'instance du triomphe de la forme sur le fond. C'est pourquoi je n'accorde plus beaucoup de crédit à ses indignations lunaires sur la "concrètude" du monde , et sur le plan de l'écologie je m'attache à lire autre chose que ses prophéties apocalyptiques et ses dithyrambes sur les peuples primitifs et la vie saine et sauvage d'autrefois.
  3. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    OK.. Moi je suis près !!!.. Et je suis d'accord aussi avec ses remarques sur l'I.A. qui va nous lobotomiser :
  4. Actualités de Curiosity - 2013

    Nina Lanza était à Toulouse avec toute l'équipe fin Octobre Citée dans mon message précédent et à plusieurs reprises dans ce fil.. Admiration et respect ! (pour son travail, exclusivement hein.. pffff..) Son C.V. : https://www.ninalanza.com/cv/#cvah Entre autres : Doctorat en philosophie, sciences de la Terre et des planètes, Institut des météorites, Université du Nouveau-Mexique, Albuquerque, Nouveau-Mexique et Maîtrise ès arts, sciences de la Terre et de l’environnement, Université Wesleyan, Middletown, CT Son père : https://web.mit.edu/nse/news/spotlights/2023/richard-lanza.html Richard Lanza, chercheur principal au département des sciences et de l’ingénierie nucléaires du MIT
  5. Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

    Si faire voler Starship "est la partie "facile""... ..... ça donne une petite idée de la partie "difficile" ..
  6. La coupole de Meudon

    Pfffffff.... C'est n'importe quoi.. pôôôôvre France .. Rasons toutes ces vieilleries et parions sur la modernité !!.. C'est pourtant simple : par exemple en lieu et place y'a qu'a y fourguer deux douzaines de bornes Tesla !!!! De rien..
  7. Actualités de Curiosity - 2013

    En 11 ans et 4 mois, Curiosity vient de traverser sa cinquième "conjonction solaire" martienne, Mars se situant derrière le soleil vu de puis la Terre. Un phénomène qui se produit tous les deux ans. Les missions martiennes s’interrompent parce que le gaz chaud et ionisé expulsé de la couronne solaire pourrait potentiellement corrompre les signaux radio envoyés depuis la Terre au rover et inversement depuis Mars à la Terre. Ceci entraînant de sérieuses difficultés de communication au point qu’il est préférable de les interrompre totalement sur la période. Curiosity est toujours stationné sur le dernier site du 39ème forage nommé "Sequoia" atteint le 11 octobre 2023 au sol 3974, mais devrait se remettre en mouvement à partir de Lundi 4 décembre. POSITION AU 1er DÉCEMBRE 2023 (SOL 4024) – kymani76 : Avec les courbes de niveaux HAZCAM AVANT – 28 NOVEMBRE 2023 (SOL 4021) : Vue au Sud et vers l'extrémité de de la vallée "Gediz". À droite la butte "Texoli" PANO NAVCAM – 21 et 26 OCTOBRE 2023 (SOLS 3984/3989) – Nasa/JPL-Caltech : Adieu, Conjonction Solaire 2023 Par Deborah Padgett , chef de projet OPGS au Jet Propulsion Laboratory (Extraits) : "Mars vient de sortir de sa période de conjonction solaire, au cours de laquelle l'envoi de commandes à tous les engins spatiaux martiens n'a pas été possible pendant trois semaines, car la planète rouge se trouvait derrière le soleil vu de la Terre. Pendant cette période, Curiosity a suivi un long plan d'instructions couvrant les Sols 4004-4022 téléchargés sur le rover pendant la semaine du 30 octobre. D'après les premières informations le rover a très bien résisté à cette longue période d'inactivité". "Toujours stationné sur le site de forage Sequoia, le rover a réalisé des images atmosphériques avec ses caméras techniques et a pris des mesures d'argon avec APXS pendant la conjonction. Les données de la période de conjonction continuent d'arriver au compte-gouttes. Alors que Mars se trouvait de l'autre côté du Soleil, Curiosity a transmis ses données scientifiques et techniques aux satellites en orbite autour de Mars. Cependant, alors que Mars était encore proche du Soleil le week-end dernier, certaines des données transmises à la Terre par ces satellites relais étaient "ponctuelles", c'est-à-dire qu'il manquait des paquets d'informations, en raison d'interférences radio provenant du Soleil. Pour les données d'images, cela se traduit par des lacunes dans les images. Au fur et à mesure que Mars s'éloigne du Soleil, nous recevrons des retransmissions des données et nous comblerons les lacunes". "Au cours des deux prochains sols, Curiosity effectuera d'autres observations du sol et du ciel à proximité du site de forage Sequoia. De nombreuses observations atmosphériques ont été planifiées, y compris une étude de la fonction de phase du ciel par Navcam l'après-midi, un film sur l'altitude des nuages par Navcam l'après-midi et tôt le matin, et une étude des tourbillons de poussière par Navcam, des images suprahorizon et des mesures de l'opacité de la poussière atmosphérique par Navcam et Mastcam l'après-midi du Sol 4024". "ChemCam examinera de nouvelles cibles dans le cadre de ce plan. La caméra RMI à longue distance observera la transition stratigraphique entre les niveaux supérieurs et inférieurs de la crête Gedis Vallis. Une observation passive ChemCam sera prise de la cible "Brittle Bush", une zone de roche brisée par le rover lors de son passage. La cible "Brittle Bush" est l'entaille et le morceau de roche brisé que l'on voit en haut à droite de l'image Mastcam du Sol 4001 ci-dessous" : MASTCAM – 08 NOVEMBRE 2023 (SOL 4001) - cible "Brittle Bush": Le 26 octobre 2023 toute l’équipe du Mars Science Laboratory s’est réunie à Toulouse à la Cité de l’espace pour une "petite" photo de famille ! : UNE PREMIÈRE pour les équipes du "Mars Science Laboratory" ! 200 CHERCHEURS ET INGÉNIEURS qui travaillent tous sur le robot Curiosity se sont retrouvés à Toulouse et à la Cité de l’espace !! "J’ai parlé avec tout le monde, ici à Toulouse, tellement de fois" explique avec beaucoup d’enthousiasme Abigael Freaman, la chef adjointe du projet scientifique Curiosity au Jet Propulsion Laboratory. "C’est ici que l’instrument ChemCam a été construit, et nous utilisons la ChemCam chaque jour". CHEMCAM - UN INSTRUMENT IMAGINÉ À TOULOUSE Ce qui fait l’originalité du rover Curiosity par rapport à ses prédécesseurs, c’est justement la ChemCam. Il s’agit en fait d’un télescope capable de faire des images à distance avec la précision d’un microscope. Mais en plus, ce télescope va permettre de focaliser la lumière d’un laser. "Ce laser envoie tellement d’énergie sur la roche qu’elle touche qu’elle crée un plasma, une petite étincelle, dont la lumière produite renseigne la composition" détaille William Rapin qui est planétologue au CNRS détaché au laboratoire IRAP. Le procédé est tellement efficace que le partenariat a été renouvelé pour le robot Perseverance dont la SuperCam est très similaire à la ChemCam de Curiosity. Muriel Saccoccio a fait partie des concepteurs de la ChemCam. Elle se souvient de la gageure de réaliser cet instrument qui devait tenir dans une boîte à chaussure et ne pas dépenser plus d’énergie qu’une ampoule électrique. "On y est arrivé!". "Un jour des Américains m’ont dit qu’ils étaient contents qu’on y arrive, nous les Français, parce que, eux, pensaient que ça ne marcherait pas". S’il n’a pas découvert de trace de vie, Curiosity a permis de remonter le temps, de découvrir le passé de Mars. "On explore la mémoire des environnements anciens de Mars" explique William Rapin. "C’est une mémoire profonde qui va plus loin que ce que la Terre a mémorisé. Il faut dire que sur Terre, la tectonique des plaques a effacé beaucoup de traces de cette histoire. « On va chercher sur Mars une mémoire qui a disparu sur Terre". L’analyse de cette histoire martienne a permis d’en conclure que Mars a été une planète où, à un moment donné, les conditions étaient réunies pour l’apparition de la vie. "Le plus incroyable c’est que c’est arrivé à un moment où il y avait déjà de la vie sur Terre" remarque Nina Lanza, "Principal Investigator" de la ChemCam côté JPL. "Il est possible qu’il y ait eu de la vie dans le cratère Gale, dans ce lac, à cette époque. On n’en n’a pas encore la certitude mais c’est une question à laquelle on essaie de répondre". https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/mars-etait-habitable-on-le-sait-grace-au-rover-curiosity/
  8. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    En fait comparer le B.B. à une "explosion" n'est pas très judicieux. On peut voir cette phase primordiale de l'univers comme une "inflation cosmique" soudaine, ce qui n'a pas grand chose à voir avec ce qui définit une déflagration, un "boom"... Pour les explosions on connait tous E.M., un des spécialistes mondiaux incontesté (on en parle ailleurs sur ce forum), mais ça n'a rien à voir avec notre sujet ici..
  9. Relativité générale - La meilleure illustration

    Ce qui est clair en tout cas c'est que la "loi de la gravitation universelle" de Newton est quand même beaucoup plus simple. D'ailleurs c'est quelque chose d'assez basique qui l'a inspiré :
  10. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    C'est ce que je crois avoir comprendu et sachoir..
  11. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    Rien à voir avec les flashs de Starship, plus récents, mais qui apparaissent continûment aussi ..
  12. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    Effet journalistique.. un p'tit peu, mais "se rapprocher du Big Bang" c'est factuel si on prend en compte que celui-ci s'est produit il y a 13,7 milliards d'année et que plus on observe loin, PLUS ON REMONTE DANS LE TEMPS (comme l'énonce l'article), et plus on approche du B.B. en effet.
  13. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    1) Autant que je sache personne n'a encore prétendu avoir observé le big bang originel, sinon ses conséquences ultérieures.. 2) Ton raisonnement est faux : que l'Univers soit stationnaire ou en expansion, observer loin c'est observer le passé, le "présent" restant inaccessible vu le temps nécessaire à la lumière pour nous parvenir.. C'est peut-être ce que tu entends exprimer : on regarde "autre chose" que le présent ???... Sur ce point on est d'accord, mais là aussi personne n'a prétendu avoir observé une situation "présente" en 2023 et située à 10 milliards d'années lumière.. C'est impossible quel que soit le modèle. Sinon je ne comprend pas ton "on regarde autre chose"..
  14. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    Regarder loin, c'est regarder dans le passé. Dans un passé où effectivement nous n'existions pas encore. Si nous observons des galaxies à 10 milliards d'années-lumière, nous les voyons telles qu'elles étaient il y a 10 milliards d'années, avant que la Terre soit née. Regarder un astre situé à 1 année lumière, c'est le voir tel qu'il était il y a 1 an ( les photons mettrons un an avant d'être capturés par notre rétine, éventuellement derrière l'oculaire). C'est dans ce sens que regarder loin c'est regarder dans le passé. Note bien que malheureusement il semble difficile d'observer dans le futur . C'est dommage, par exemple pour les parisiens, ils auraient pu tomber sur cette image :
  15. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    C'est justement la durée du voyage de cette lumière (10 milliards d'années) qui a permis que nous puissions exister et l'observer aujourd'hui. L'expansion ne fait qu'étirer l'espace et donc retarder l'échéance mais n'interdit pas ce long voyage luminique. Sinon le JWST (entre autres) aurait beaucoup moins d'utilité ..
  16. Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)

    “Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement.” Confucius Pas de quoi ..
  17. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    On peut citer aussi "L'univers dans une coquille de noix" de Stephen Hawking, un livre qui m'avait été offert dès sa sortie en 2001. J'avais lu avec délectation "Une brève histoire du temps", mais la coquille m'est restée un peu en travers de la gorge .. Le titre utilisé par Hawking fait référence à une citation de Hamlet de Shakespeare : "Je pourrais être enfermé dans une coquille de noix et me sentir comme le roi d'un espace infini".. Ce qui rejoint pleinement le sens de mes citations de Novalis et de Bachelard énoncées dans mon avant dernier message.
  18. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    C'est plutôt le JWST qui n'en est déjà pas si loin ..
  19. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    En fait c'était moi avec une perruque . Je confirme et j'abonde.. Dans son blog et ses "Chroniques de l'Espace" J.P. Luminet citait récemment le poète allemand Novalis qui s'interrogeait ainsi : "Nous rêvons de voyages à travers l’Univers, mais l’Univers n’est-il pas en nous ? De même Gaston Bachelard dans sa "Poétique de l’espace" de 1957 évoque le double univers du cosmos et des profondeurs de l’âme humaine, soulignant ainsi que science et poésie peuvent faire bon ménage. Je vous recommande le chapitre VIII et cet extrait : "L'immensité est en nous. Elle est attachée à une sorte d'expansion d'être que la vie refrène, que la prudence arrête, mais qui reprend dans la solitude. Dès que nous sommes immobiles, nous sommes ailleurs ; nous rêvons dans un monde immense. L'immensité est le mouvement de l'homme immobile. L'immensité est un des caractères dynamiques de la rêverie tranquille" "Et je me crée d'un trait de plume Maitre du Monde, Homme illimité" https://gastonbachelard.org/wp-content/uploads/2015/07/BACHELARD-Gaston-La-poetique-de-l-espace.pdf On est parti un peu loin du Starpschiiiit là ..
  20. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Manifestement toi aussi tu es bien "chargé" .. mais t'es encore loin d'avoir la verve à Gide.. Oui.. bon.. ça se confirme, c'est entendu, les bornes Tesla sauvent la France, le monde !... Surtout prend tes cachets maintenant .. PS > Et puis qu’est-ce que t’as été foutre à Montélimar ??.. Perso je préfère les filles de Troyes, qui elles au moins offrent leurs deux joues..
  21. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Ben.. heu.. avec le rayonnement cosmique, au moins tu pourras bronzer assez vite !
  22. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Le Starship "pas à grande échelle"... ce n'est pas vraiment dans le style et l'optique du grand gourou (qui en 2016 prévoyait de débarquer sur Mars en 2024) Extrait : Un an après avoir annoncé son projet ambitieux d'établir une colonie martienne de plus d'un million de personnes d'ici 2060, Elon Musk ajuste sa feuille de route pour envoyer les hommes sur la Planète Rouge. /../ Au cours du Congrès international d'aéronautique 2016 qui était organisée à Guadalajara, au Mexique, Musk avait dévoilé quelle stratégie il souhaitait mettre en place pour atteindre ce but et créer la première colonie humaine sur Mars. Musk imagine une flotte de milliers de vaisseaux [100 passagers par vaisseau - 100/150 tonnes de matériel pour les vaisseaux cargos] qui stationneraient en orbite autour de la Terre. Puis, tous les 26 mois environ, quand Mars et la Terre seront favorablement alignés, cette flotte mettrait le cap sur la Planète rouge. https://www.nationalgeographic.fr/espace/elon-musk-dans-7-ans-spacex-pourra-envoyer-des-hommes-sur-mars
  23. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Sauf que chez lui ce catastrophisme paroxysmique est un discours qui tend à devenir totalement démobilisateur et donc contre productif. La finalité de ses diatribes c'est du genre à persuader que "à quoi bon, trop tard tout est déjà foutu".. même si ça peut être ni totalement faux.. ni avéré .
  24. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Exactement, et avec raison, même si on peut s'y méprendre en raison de son style habituel, pompeux et parfois impénétrable, et d'un goût prononcé systématique pour le catastrophisme qui tend à desservir l'ensemble du propos (pas seulement sur ce sujet).
  25. Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

    Il y avait bien des caméras sur le Starship, mais pour l'heure SpaceX ne diffuse pas les images.. ça devrait finir par sortir je suppose.. Il s'agit d'une autodestruction autonome et automatisée - je cite SpaceX : "L’équipe a vérifié qu’une commande de destruction sûre avait été déclenchée de manière appropriée en fonction des données de performance disponibles sur le véhicule." Un "bon morceau" on va dire : le starship a été quasiment coupé en deux : La retombé atmosphérique vue du côté de Porto Rico :