esoub83

Salut, Christian Buil propose plutôt un gain de 200 dans sa vidéo du test de l'ASI 533. En posant 60", tu es loin de la saturation ?

Bonjour à tous, NGC 2985 est une autre galaxie active (Seyfert) de type 1 située dans la constellation de la grande Ours (m~11). Le continuum présente de nombreuses raies en absorption en plus de la large raie Ha. Notez un raie en émission vers 5575 A que j'attribue (peut être par erreur) au spectre du ciel nocturne. En prenant en compte le redshift de l'objet admis de 0.0043, cette raie correspondrait à un élément signant vers 5550 A dont je n'ai pu déterminer la nature. (Peut être l'Argon mais d'où proviendrait il ?) Etoile de réf pour la réponse instrumentale : Hd 89822 (A1) Calibration en LO : module Alpy 600 Acquisition : Demetra Contrôle setup : Prism Traitement : Isis Voici le spectre 2D (celui du haut est une étoile de magnitude 12.7) qui s'est invitée dans la fente du spectro et le spectre 1D

Bonjour à tous, LEDA 20174 est une galaxie de Seyfert de type 1 située dans la constellation de la Girafe (m~14). Elle abrite probablement un trou noir super massif dont les effets sont notablement visibles sur les raies élargies de l'hydrogène. Remarquez le continuum très bleu ainsi que 2 possibles raies interdites de l'oxygène. Je l'ai pointée début janvier lorsque la lune empêchait des cibles moins lumineuses. Etoile de réf pour la réponse instrumentale : Hd 85235 (A3iv) Calibration en LO effectuée avec le module calibration de l'Alpy Acquisition : Demetra Pilotage du setup : Prism Traitement : Isis + Visual Spec Voici le spectre 2D: et le spectre 1D Les mesures du décalage des raies de l'hydrogène via Vspec donnent un redshift moyen de 0.0803 +/- 0.0015 (simbad 0.0795) soit une distance d'environ 330 Mpc !!!

Bonjour, j’utilise le module prévisions d’Aeroweb (Meteo France aviation) qui utilise les modèles Arpège et Arôme (mailles fines) dont les durées de prédictions couvrent une période de 24h environ. La couverture nuageuse est décomposée en 3 tranches d’altitude. Possibilité d’obtenir une coupe verticale du ciel en un lieu précis ainsi que le taux d’humidité sup à 90 pc donc susceptible d’engendrer des phénomènes de basses couches (brume, brouillard ou stratus) Redoutable d’efficacité lorsqu’on maîtrise le produit. Le problème est que le site n’est accessible qu’en s’inscrivant avec une licence de pilote privé ou pro. Une piste à creuser serait de demander à MF un code d’accès générique pour les amateurs d’astro, peut être sous le couvert d’une entité astro officielle (SAF, club, etc.) A vérifier également , Windy utilise peut être ces modèles dans sa version payante. Bon ciel

Les concepteurs m'informent qu'il s'agit effectivement d'un bug sur lequel ils planchent.

Bonjour, Y aurait-il un bug sur la version 7.3.3.0 de Demetra. (Problème relevé également sur la V 7.3.0.0) pour établir la réponse instrumentale ? Il survient lors de la réduction des donnés, phase étalonnage de l’objet lorsque l’on procède de façon pas à pas d'un processus au suivant. Le résultat de la calibration en LO des raies d’étalonnage du module de l’Alpy 600 est ok (image dem_1) Mais si on clique ensuite sur lancer pour effectuer l’opération d’étalonnage de l’objet, des valeurs farfelus apparaissent en abscisse. On passe de l’image dem_2 (abscisse en pixels) à l’image dem_3 (abscisses correspondant à ???) Et par conséquent lors du process suivant, l’opération de réponse instrumentale n’est pas possible puisque l’image n’est pas correctement étalonnée en LO. (image dem_4) Ce qui est surprenant, c’est que le déroulé des opérations de réduction est normal si on clique directement sur Lancer en bas de la fenêtre processus. La totalité des opérations se déroule automatiquement et normalement, le spectre final est correctement calibré en LO. Il faut juste revenir en arrière pour construire la réponse instrumentale « à la main » Est-ce arrivé à quelqu'un ? Merci

Finalement, il s'agissait d'une mauvaise manip de ma part. Il faut en premier lieu appliquer le processus de calibration sur l'image Objet avant de le faire (pour vérification par ex) sur l'image de calibration. Je faisais l'inverse pensant que c'était nécessaire que Demetra calcul d'abord la loi de dispersion et l'applique ensuite à l'objet.

Émulateur reçu ce jour, installé sur le pc. C'est top, l'écran du mac n'est plus tronqué, la visibilité est parfaite. Merci Seb. Bretoc : merci pour l'info, je garde cette option sous le coude. Pour l'instant le wifi fonctionne vraiment bien, quasiment aucune latence.

Bonjour, j'ai installé un mini pc dit "industriel" (Intel Core I7 et Win 10) au pied du télescope, il pilote l'ensemble du setup (3 caméras, un focuseur, le télescope et un power box Pegasus astro) J'opère l'ensemble via une connexion wifi et un relais dans le garage configuré en Access Point. Prism gère tout cela au chaud dans un bureau via Any desk installé sur un imac ou un pc portable. L'ensemble fonctionne parfaitement bien, aucune déconnexion intempestive, peu de latence, etc. Le mini PC possède deux sorties vidéo : une VGA et une sortie HDMI. Je cherche l'astuce pour lui faire croire qu'il y a un (ou deux moniteurs) branchés afin de conduire la cession depuis le bureau sur deux écrans distincts. En effet, Prism ouvre un certain nombre de pages et il est opportun de partager les affichages pour plus de clarté. En cherchant dans les propriétés graphiques du min pc, je ne trouve aucune option permettant le partage d'écran. Peut être parce qu'effectivement, il n'y a physiquement aucun moniteur de branché. Quelqu'un aurait-il une idée ? Merci beaucoup Emmanuel

Merci Seb pour cette info, je vais passer commande. J'utilise Anydesk car j'ai retenu en lisant des sujets ici et là qu'il fallait au moins une version pro de W10 sur l'un des deux PC.

Ça y est, c'est ok désormais

Merci pour cette évolution. J'ai l'impression que le premier lien ne fonctionne pas.

Salut, j'ai fait l'acquisition d'une Power Box V2 de Pegasus astro, pilotée à distance. Plus aucun problème de connexion des appareils USB. Ma Cam Orion G3 qui présentait souvent des coupures de liaison avec le pc fonctionne désormais parfaitement bien. Merci pour les conseils

Bonjour à tous, je fais appel aux connaisseurs en informatique. J'utilise un HUB USB (Hub USB 7 ports USB 2.0 D-Link alimenté en 5V) pour concentrer les éléments constitutifs de mon setup : 3 caméras (2 CCD, 1 CMOS) + focuser EAF + monture. Le HUB est relié au PC via un cordon USB. A chaque démarrage, au moins un voire deux périphériques ne sont pas reconnus. Cela nécessite de débrancher/rebrancher le périphérique concerné (parfois même de changer de port) pour qu'il soit de nouveau instantanément reconnu par windows (j'utilise w10 et 11) Jusqu'à présent, cela n'était pas très contraignant puisque le PC était à proximité du télescope. Aujourd'hui, je suis en remote donc c'est plus agaçant. Peut être y a t il une séquence à respecter, alimenter en premier les périphériques ou l'inverse ? Le HUB ? Merci pour vos lumières

Ok, je vois le principe. Du coup et toujours dans le cadre d'une commande déportée, il va falloir que je respecte cette séquence à distance. Soit un HUB USB dont les entrées/sorties sont commutables, soit un dispositif d'alimentations multiples également commutables. Autres solutions peut-être ? Merci Petit ours

Bonjour, il semblerait que Demetra ne traite pas les rayons cosmiques lors de la réduction des données. C'est ce qui est en tous cas précisé dans l'en-tête Fit (BSS_COSM none) des spectres ainsi traités. Mais peut être le fait-il en sous-marin et dans ce cas, quelle serait la méthode utilisée ? Peut être faut-il cocher une option dans le soft qui m'aurait échappé ? D'ailleurs, ce traitement est-il absolument nécessaire pour que le fichier soit éligible à la base BeSS ? Merci beaucoup Emmanuel

Ok Olivier, merci pour ces précisions. J'ai quelques spectres d'étoiles Be à soumettre. J'envoie !!

Bonjour, voici ma petite contribution concernant cet objet si particulier. J'ai coupé volontairement la réponse dans le bleu en raison de la forte montée du bruit dans cette zone, visible d'ailleurs sur le spectre 2D.

Etudie toutes propositions. Merci

Bonjour à tous, SN 2022 fw est une supernova de type Ia qui a été détectée dans Ngc 4348 le 9 janvier dernier par l'ASAS SN. J'ai essayé d'en faire le spectre avec l'Alpy. Le résultat est très bruité en raison d'un ciel voilé par des passages de brumes et le faible temps de pose imposé par la configuration de mon site d'observation. La Ri a été réalisée avec sur étoile de type A0V située à quelques degrés de la cible. L'allure générale du continuum semble ressembler à une SN de Type Ia. Au delà, rien d'exploitable, tout au plus pourrait on peut être distinguer les larges raies du Fer vers 4400A, quelque chose vers 4900A et 5100A ? Mais absence de traces du Si vers les 6000A qui apparaissent sur les spectres publiés sur le site du TNS. Mais le but était de mettre à profit l'expérience acquises lors de mes observations précédentes sur une cible un peu moins facile afin de perfectionner l'ensemble des process d'acquisition et de traitement. Newton 200 F/4 Alpy 600 + modules guidage et calibration Atik 490EX bin1 Exp : 6*600s traitement par Demetra Notez un spectre secondaire (en bas) qui s'est invité dans la fente du spectro et qui correspond à l'étoile située à droite de la galaxie.

Je vais avoir un peu de temps de libre les jours prochains, je vais la retenter même si la lune refait son apparition. Merci pour vos conseils et commentaires, c'est très instructif.

Fort à parier Alef que je n'étais pas tout à fait dedans. Je ne sais pas pourquoi. Il y avait un peu de turbulence. La cible était bien visible avec la caméra de guidage (pose de 60s) puis s'est normalement éclipsée lors du centrage. La mise au point a été faite sur l'étoile guide. Une inconnue persiste toutefois, c'est la parfaite mise au point sur la caméra science. Difficile de l'apprécier lors du réglage sur table. Les raies de Balmer de l'étoile de réf me paraissent pourtant assez fines. Le signal que l'on distingue très faiblement sur les brutes correspond probablement à celui présent sur les flats (Artefacts ???) En tous cas, la coïncidence sur la position verticale est troublante. Bref pour les courageux, j'ai préparé un dossier images. Le lien : https://we.tl/t-nbIjiuqfRP

Oui, sur toutes. J'ai vérifié les traces sur les 2 ou 3 premières brutes. Constatant que c'était ok, je suis allé faire un petit som laissant l'autoguidage faire le boulot. Voici une brute. Pouvez constater la pollution lumineuse de l'éclairage du village et qui finalement disparait plutôt bien lors du traitement. Je prépare cela Alef. Merci à tous

Merci AlSvartr, ton inquiétude m'a fait reprendre le travail avec un esprit plus critique, disons plus scientifique. Bon, je crois que mon affaire fait patatra !!! Il semblerait que des artefacts se soient invités sur les images. Prétraitement avec flat Prétraitement sans flat MAIS sur le Master flat, les coordonnées Y des 2 lignes horizontales du centre (en bleu) correspondent à la même position que le signal que j'ai interprété comme celui provenant de la cible. Les deux autres plus près des bords extérieurs de la fente également. On retrouve une des lignes horizontales parasites (flèche bleue) sur les brutes de l'étoile de ref/ (ici en vidéo inverse pour mieux l'appréhender) L'autre est masquée par le spectre. Rien sur les darks, ni sur les offsets. Serait-ce des réflexions parasites dues à la fente ? Ou que sais-je ? Conclusion (provisoire) : pas de signal de la cible sur le capteur, c'est rageant. Faut avoir la peau de ces bizarreries de lignes horizontales. J'avance, pas forcément dans le bon sens, mais j'avance

Alors oui, vu ainsi, on peut penser à une bizarrerie. Mais les niveaux sont tirés à mort pour discerner le signal "utile" La réduction des image a été réalisée sous IRIS via : 11 brutes de 900 s 21 flats de 2 s (au delà en bin2 ça cramait) > master flat 21 offset > master offset 4 darks de 900 s > master dark Voici le résultat de l'empilage en mode "visu auto"