BERNARD GAUTIER

"Ainsi, le réchauffement de l'atmosphère pourrait avoir des conséquences sur le déséquilibre des marées." Cela a surtout des implications importantes sur la vie sur Terre et de son évolution à l'échelle géologique et non humaine. Et elle est une donnée complémentaire pour l'exoplanétologie. Cela n'enlève en rien qu'il faut réduire autant que possible les émissions des GES dans l'atmosphère pour limiter le plus possible, l'intensité du réchauffement climatique et de ses conséquences.

Cette fois-ci, il dit : "dès que possible".

Eh bien, cela ne s'est pas fait attendre. C'est une entrée fracassante ! Un beau cratère en forme de bol de 10 m. Il faut positiver, la sonde avait un objectif caché, créer un nouveau cratère sur la lune. La mission spéciale Luna-25 est donc un succès.

https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/vols-habites-starship-bientot-pret-conquerir-espace-apres-essai-plus-prometteur-jamais-moteurs-107146/ Space X se prépare au second lancement pour Starship, toutefois, cette fois-ci, les retards ne seront pas seulement dus aux aléas naturels. La FAA qui régule et autorise les lancements privés, pourrait décaler le second essai en attente des résultats du rapport d'enquête de l'échec du premier essai. Sa finalisation fournira une série de mesures pour un lancement plus sûr et des impacts environnementaux réduits que l'agence SpaceX sera tenu s'engager. En effet, en raison des dégâts causés à l'environnement lors du premier essai, ont poussé les associations environnementales et les représentants de la tribu Carrizo/Comecrudo du Texas, à engager des poursuites judiciaires contre la FAA.

En effet, par rapport à celles qui ont été prises par les rovers chinois, il n'y a pas photo ! Mais bon, je ne vais pas faire le difficile pour eux, ils ont quand même pu se poser sur la lune sans encombre, et de surcroît au niveau du pôle qui est bien plus compliqué que de se poser au niveau de la zone équatoriale. Peu de nations peuvent se permettre de réaliser un tel exploit. Pour leurs prochaines missions lunaires, je suis sûr qu'ils amélioreront les équipements annexes, une fois qu'ils auront validé la technologie et l'expérience de l'alunissage et en particulier vers le pôle sud qui semble être la priorité du moment pour les puissances spatiales.

"Premiers tours de roues sur la Lune Peu après le posé, le petit rover Pragyan de six roues, pesant 27 kilos, a été déployé à la surface en descendant la rampe à laquelle il était attaché. Le rover a ensuite pris le temps de recharger ses batteries à l'aide de son panneau solaire, puis a commencé à rouler. Après avoir dévoilé les images de la descente du rover, l'Isro a annoncé que Pragyan avait déjà parcouru huit mètres. Le rover a une autonomie de 150 mètres. Il roule à 1 cm/s en explorant le voisinage proche du lander Vikram. Au cours de ses premiers mètres, Pragyan a même réussi à surmonter l'obstacle d'un cratère, profond de 10 centimètres, ce qui est remarquable pour le rover haut de 40 centimètres (sans compter son panneau solaire une fois déployé)." Lien futura de Huitzy. Ça me rappelle la mission Mars Pathfinder où le robot Sojourner restait dans les parages du lander et que les cailloux d'une dizaine de cm que le rover rencontrait était des obstacles notables. Enfin des panoramiques avec l'horizon visible.

Oui, c'est vrai, mais je vais te dire un secret, ma maitrise du japonais vient de mon traducteur automatique. Je deviens un superpolyglotte grâce à ça. Mon petit doigt me dit que tu l'es aussi.

Est-ce cela ? Vents à 12000 m à 8h aujourd'hui.

Une fois lancé, la sonde, pour limiter la consommation en propergol, mettra 3-4 mois avant d'être mise en orbite autour de la lune. Et un mois supplémentaire se déroulera entre sa mise en orbite et sa descente jusqu'à la surface. La sonde se servira de la masse de la lune comme fronde gravitationnelle, et créer une orbite dont elle sera soumise aux effets de marée du soleil et du couple Terre-Lune pour enfin s'orbiter autour de l'astre sélène. Source

Je ne sais pas ce que tu cherches en faisant cela. Peut être de la reconnaissance? Quel avantage tu en tires de ça? En tout cas, moi, je ne vais pas rentrer dans ton jeu, je n'ai pas envie de perdre mon temps avec ça, il y a des choses plus intéressantes et importantes dans la vie. Et pour les autres, y compris moi, plus de commentaires politiques, et tout le monde se portera mieux, c'est ce que je conseille. C'est triste mais c'est comme ça. Ou alors on le fait dans la rubrique bric-à-brac.

Je pense que vous devriez engager une discussion sérieuse en privée avec l'administration du forum, la situation dépasse le cadre de la modération.

Je partage vos colères, moi aussi j'ai envie de me soulager pour ne pas laisser cet affront mais je crois que pour le bien de tous, tous les messages en lien avec la politique, dans ce fil doivent être retirés, c'est malheureux, sans distinction ou déplacés dans la rubrique bric-à-brac. @vaufrègesI3 : Franchement, cela ne vaut pas le coup de partir pour ça, parce qu'à ce rythme, si ça continue, il ne restera plus personne. Crois moi, Vaufy, je te comprend, mais je me suis retenu, j'aurais été beaucoup plus direct et virulent que toi si je m'écoutais. Cela aurait changé, quoi? Rien, juste un fil encore plus pourri et l'antagoniste encore plus méprisant et têtu.

Ce processus est-il vraiment valable pour toutes les classes spectrales (séquence principale, géantes rouges, etc.) ? Je pense aux types O et B qui ont une structure interne très différente des étoiles de type G par exemple.

On parle souvent de la difficulté de pouvoir se poser sur Mars avec un taux d'échec de 1 sur 2. Mais la lune n'est pas en reste, dont le taux d'échec est presque également de 1 sur 2. Voici le nombre d'échecs sur le total des missions lunaires tout compris par pays, et en prenant en compte les missions internationales : 30/47 URSS, 9/40 US, 1/3 Japon, 2/4 Inde, 1/6 Chine, 1/2 Corée du Sud, 0/1 Europe, 1/1 Israël, 1/1 Russie, 1/1 E.A.U. => Les soviets se sont vraiment cassés les dents pour réussir ! Pour la mission Luna-25, les 43 secondes de trop de l'allumage des rétrofusées pour le contrôle de la descente ont été fatales.

ou par l'orbiteur Chandrayaan-2 grâce à la caméra haute résolution (OHRC) qui est également capable de détecter des détails de l'ordre du mètre comme on peut le voir sur l'autre fil qui a pu imager Chandrayaan-3. La capacité théorique de la caméra est de 0,32 m par pixel à 100 km d'altitude.

De quoi parles-tu ? Je suppose que tu veux parler de l'utilisation du générateur à radio-isotope pour chauffer la sonde durant la nuit lunaire. En effet, l'atterrisseur chinois Chang'e-4 comprenait un générateur thermoélectrique à radio-isotope (GTR) au plutonium 238, sa chaleur a été convertie en énergie électrique nécessaire au fonctionnement des résistances chauffantes pour la nuit. Concernant le rover Yutu, son compagnon mobile, avait également un générateur à radio-isotope au Pu-238 pour survivre la nuit, par contre, je ne sais pas si sa chaleur était utilisée directement, par thermoélectricité ou des 2.

C'était peut-être un amoureux de la grande conquête spatiale soviétique et qu'il n'a pas supporté l'échec de la sonde Luna-25.

C'est d'ailleurs pour ça que les Russes avaient la belle idée d'installer un générateur à radio-isotope (Pu-238) qui fournit directement de la chaleur à l'intérieur de la sonde Luna-25, au lieu de l'utiliser pour alimenter les résistantes chauffantes électriques, pour qu'elle puisse survivre à la nuit lunaire. Mais les Indiens avaient la priorité que leur sonde puisse se poser et rappelons-nous que leurs objectifs sont principalement de : valider les technologies d'atterrissage en douceur à la surface de la Lune, notamment sur la zone polaire, faire rouler un rover, effectuer des mesures in situ des composants chimiques présents à la surface. Idem pour moi pour les cratères dont je me suis laissé un peu aller, un coup de lune peut-être. Toutes mes excuses, Huitzi.

Comme cette image prise par Chandrayaan lorsqu'elle était à 20 m du sol ! Pour ta photo au pif, moi, je dirais 200-300 m, mais je peux me gourer complètement. Même averti, c'est extrêmement difficile. J'irais pas piloter à la Apollo 11 pour alunir.

J'ai un peu raccourci, certes, tu fais bien de le préciser mais c'est vraiment pour les gros cratères et les bassins d'impact comme la mer orientale, Schrödinger, etc. où on doit être en altitude très élevé pour qu'on puisse les voir dans son ensemble. Là je parlais de vue rapprochée de 10-20 km du sol pour se préparer à un alunissage, où on rencontre généralement des cratères qui sont en forme de bol. Et pour appuyer sur l'aspect fractal du sol qui est vraiment poussé à l'extrême, on voit sur la dernière image que tu as partagé que si on ne voyait pas l'ombre du pied de la sonde et qu'on montrait cette photo sans légende et hors contexte, on pourrait facilement se faire prendre que cette photo a été prise en hauteur genre 100 m et non quasiment au niveau du sol. (Si on n'a pas l'œil averti sur l'aspect granuleux du sol qui trahi sa proximité).

Je suis d'accord avec toi. Les grands cratères comme Copernic (93 km de diamètre) ont un pic central et les plus petits n'ont pas de pics.

Je pense que la raison est de pouvoir identifier clairement les cratères et autres reliefs (montagne, vallée) dans le cadre d'une représentation cartographique et topographique utile au repérage, à la pédagogie, etc. Il permet également de montrer clairement que la face cachée est bien plus cratérisée que la face visible. Une carte faite par une imagerie de pleine lune est très décevante pour montrer les cratères sauf pour ceux qui ont un contraste intrinsèquement important comme le cratère Tycho et Platon par exemple pour illustrer les deux extrêmes. Les cratères apparaissent sur le terminateur avec lequel l'angle d'incidence de la lumière du Soleil par rapport au sol est faible, dont les ombres sont de longueur suffisamment importante pour faire ressortir le relief. C'est l'image des grains de poussières qui apparaissent lorsqu'on éclaire à l'aide d'une lampe torche en rase-motte pour chercher un objet qui s'est glissé sous un meuble.

Ce qui est fou, c'est l'aspect fractal du sol lunaire lié à la répartition quasi "homogène" des cratères de toutes tailles, de quelques centimètres à plusieurs centaines de km. Que l'on soit à 20 km (1ʳᵉ photo) ou à 20 m (2ᵉ photo) au-dessus du sol lunaire, la vue aérienne du sol a le même aspect. De plus, il n'y a pas de point de repère familier comme un arbre, une maison. Dans le cadre d'un alunissage manuel et visuel comme Apollo 11, pour se repérer, il faut vraiment être suffisamment proche du sol de la manière à pouvoir distinguer les rochers qui sont les seuls points de repères et encore cela dépendra de la taille moyenne des rochers de la zone d'alunissage dont on a intérêt à le connaitre !

Première nation à se poser non loin du pôle sud lunaire. Bravo!

Posé!