Fourmi103

Actualités de Curiosity - 2013

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C'est l'inverse : ils ont fait des études, DONC ils ne peuvent pas être de droite...

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Absolument Kaptain !
Il est bien sûr très significatif que j'inverse la proposition initiale ...

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Je ne suis pas sûr que l'intelligence du coeur ait grand chose à voir avec les études ou la politique, ni le moindre rapport avec la surface de Mars.

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Oui, j'ai remarqué, c'est pourquoi je me fais de plus en plus rare ; je commence à fatiguer je crois...

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Une vue élargie et couleur de l'environnement de Curiosity.

Noter les deux barkhanes au Sud (plus haut j'ai décris celle de gauche).
Curiosity devra les approcher et les dépasser en évitant les dunes noires constituées de sable fin d'origine basaltique.


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Le 8 novembre (sol 1158) environ 70 mètres parcourus direction Sud-Ouest..
Le rover est maintenant positionné près d'un cratère nommé "Brandberg" (visible aussi sur l'image couleur du message précédent).

Image Phil Stooke-umsf :


Le cratère est à droite de l'image :


Les dunes noires ne sont plus très loin :


Sur la position précédente au sol 1157, l'instrument DRT avait brossé cette cible nommée "Augusta" :


En l'observant de plus près on découvre de fines structures :


En Dordogne dans ma jeunesse je collectionnais les fossiles, en masse, une variété extraordinaire..
Sauf que Curiosity a rapidement délaissé "Augusta" pour tracer la route...
Alors bon.. ils ne bénéficient pas de mon expertise hein.. dommage .

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Les "debunkers" ont parlé ..
Les fines structures observées sur "Augusta" qui (pour un esprit faible hein ) pouvaient laisser imaginer la présence de restes fossiles d'origine organique, ne sont/seraient en fait que des "griffures" des brins de l'outil de brossage DRT "Dust Removal Tool" (outil d’enlèvement de la poussière). La brosse a du déraper, rotation à l'arrêt (à mon sens).

Simple de conception en apparence, le DRT n’en demande pas moins une certaine finesse de programmation. Lorsque les contrôleurs au sol programment son action ils doivent tenir compte de l’encombrement total de la tourelle de 60 cm de large (et d’une masse de 30 kg) qui héberge le DRT et pas mal d’autres outils et instruments. En clair, il faut éviter de heurter des obstacles en amenant le DRT vers son objectif, car on pourrait ainsi endommager des instruments ou outils.

Avant de procéder à un forage ou à un positionnement de l'APXS, un brossage est nécessaire pour évacuer la poussière, omniprésente partout sur la planète rouge.. Ceci afin que l'analyse de la roche ne soit pas polluée par la poussière qui la recouvre.

La brosse DRT au bout du bras robotique et de la tourelle :


Curiosity a de nouveau tracé la route direction Sud-Ouest et a largement dépassé le cratère "Brandberg" :

- 55 mètres au 11 novembre (sol 1160)
- 41 mètres au 13 novembre (sol 1162)

Phil Stooke-umsf :


Vue plus générale :



Ainsi le rover se situe exactement derrière les deux barkhanes maintenant très proches et désignées "Dunes de Bagnold" en hommage aux travaux pionniers au début des années 1940 du Britannique Ralph Bagnold qui a longuement étudié les mécanismes de formation des dunes de sable encore aujourd'hui mal compris.

Il existe différents types de dunes, classées selon le régime de vent et la quantité de sable transporté par celui-ci. Sur Terre lorsque le vent dominant souffle dans une même direction tout au long de l’année et qu’il y a peu de sable sur le sol, on observe des dunes à l’allure de croissants appelées "barkhanes". Toujours sur Terre elles mesurent quelques mètres de haut pour plusieurs dizaines de mètres de largeur et de longueur, et se déplacent dans le sens du vent à une vitesse pouvant avoisiner les 70 mètres par an. En raison de leur morphologie et des conditions relativement simples qui concourent à leur formation, ces dunes sont parmi les plus faciles à reproduire en laboratoire et à étudier via des simulations numériques.

Une barkhane se déplace lorsque la vitesse du vent dépasse un certain seuil. À la surface du sol la force de cisaillement compense alors la gravité et les forces de contact qui s’exercent sur les grains. Ils se retrouvent ainsi entraînés par le vent avant de retomber plus loin sur la dune.

Entre 1999 et 2006 "Mars Global Surveyor" a photographié des barkhanes martiennes très semblables, sauf que leur taille élémentaire est de 600 mètres environ! Les rovers Spirit et Opportunity ont fourni des clichés des grains composant ces dunes : En comparaison avec le sable terrestre, les grains sont deux fois plus petits, et leur composition chimique indique qu’ils sont un peu plus denses.
Sachant que la masse volumique de l'atmosphère martienne est 60 fois inférieure à celle de la Terre, les dunes martiennes s'y déplacent beaucoup plus lentement. Leur déplacement dépend aussi de la fréquence avec laquelle le vent martien souffle suffisamment fort pour transporter les sédiments. Pour autant, à l'échelle géologique les vents martiens sont actuellement l'agent le plus significatif de l'érosion sur Mars.

Avec l'instrument météo REMS ("Rover Environmental Monitoring Station") l'équipe scientifique du rover va effectuer des mesures détaillées de vitesse et de direction du vent et de leurs effets sur les dunes de sable et les terrains à proximité.
Ces observation font partie de la campagne d'étude des dunes développée au cours de la dernière année avec l'objectif global de mieux comprendre les effets des vents martiens sur la forme des dunes.

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"En Dordogne dans ma jeunesse je collectionnais les fossiles, en masse, une variété extraordinaire."
J'ai eu la même réaction en voyant ces fines structures.. dommage
Mais bon, dans ma vieillesse en Dordogne j'en trouve toujours autant et ne me parlez pas de brosses siouplait, laissez moi rêver.

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fayolle > "..dans ma vieillesse en Dordogne j'en trouve toujours autant [des fossiles] et ne me parlez pas de brosses siouplait, laissez moi rêver."

Ouaih OK.. mais en attendant, pour Curiosity et les fossiles, nous on peut se brosser ..


Au 18 novembre (sol 1167) Curiosity a roulé 39 m plein Sud sur un terrain assez inégal, les dunes commencent à se profiler.

Image Phil Stooke-umsf :


Vue avant au terme de l'étape du 18 novembre :


Vue arrière :


Les dunes commencent à apparaître :



Curiosity est désormais situé à moins de 150 mètres des dunes sombres "Bagnold Dunes" qui longent le flanc nord-ouest du mont Sharp. Elles sont hautes comme un immeuble de deux étages et larges comme un terrain de football. Les "Dunes de Bagnold" sont actives: Les images depuis l'orbite indiquent que certaines d'entre elles migrent d'1 mètre par année terrestre.

La campagne d'étude de ce champ de dunes martien sera la première étude menée in-situ de l'activité dunaire sur une planète comportant des conditions de gravité et d'atmosphère très différentes de la Terre. Grace aux orbiteurs on sait déjà que leur composition minérale n'est pas répartie uniformément.

"Nous allons utiliser curiosité pour savoir si c'est le vent qui fait le tri des minéraux dans les dunes par la façon dont il transporte des particules de granulométrie différente".

Pourquoi ce genre de recherche ? A titre d'exemple, les dunes contiennent de l'olivine, un minéral présent dans le basalte une roche volcanique noire qui est l'un des premiers minéraux modifiés par l'eau. L'étude des effets du vent sur les dunes de sable pourrait aider les chercheurs à évaluer dans quelle mesure la basse ou haute quantité d'olivine dans certains grès anciens pourrait être causé par le tri effectué par les vents plutôt que par les différences d'altération par l'eau.

Le rover tente déjà de surveiller la direction et la vitesse du vent chaque jour.

Arrivé près des dunes il utilisera sa pelle pour recueillir des échantillons destinés à l'analyse minéralogique, et il va essayer d'utiliser les sillons créés par ses roue dans ce sable noir pour prélever un échantillon sous la surface.

Il est en effet prévu d'effectuer un test de roulage sur ce sable sombre qui semble avoir une texture différente de tout le sable rencontré sur Mars auparavant. Curiosity a parcouru un long chemin pour se tenir à l'écart de ces dunes afin d'éviter d'avoir à les traverser sur une trop grande distance pour atteindre le mont Sharp.
Mais à l'avenir pour accéder aux objectifs il y aura obligation à rouler sur le sable, de sorte que les planificateurs du rover sont désireux de tester la performance des roues sur ce nouveau matériau.
On peut supposer qu'ils éviteront quand même de prendre le moindre risque..


Pour l'étude des dunes, le rover devra donc mesurer la vitesse et la direction du vent.
Sauf que depuis l’atterrissage du robot le 6 août 2012, l'un des deux capteurs n’a transmis aucune donnée vers la Terre. Situé à l’arrière du rover, il constitue l’un des nombreux outils intégrés au "Rover Environment Monitoring Station" (REMS), une sorte de station météorologique miniature. L’une des caméras embarquée sur Curiosity a pu prendre des images de l’instrument et a révélé l’origine de la panne : Les câbles reliés au détecteur se sont rompus.
La casse aurait eu lieu au moment de l’atterrissage du rover. Un petit caillou, vraisemblablement projeté par le jet de gaz émanant des rétrofusées de l'étage de descente "SkyCrane", a frappé la grappe de senseurs dirigée vers l'arrière. Par chance Curiosity est doté de deux stations REMS, et celle situé à l’avant du véhicule est intacte.

Ces deux grappes d'instruments sont attachés au mât de la caméra à 1,5 mètre au-dessus du sol et pointent dans deux directions écartées de 120° pour obtenir une bonne mesure de la direction et de la force des vents locaux. La perte du second capteur à l'arrière va donc rendre
les mesures beaucoup plus compliquées. Pour pallier à ce problème les opérateurs du rover ont l'intention de placer chaque nuit Curiosity dans une orientation différente afin d'élaborer un ensemble de données de calibrage pouvant les aider à interpréter les mesures de vent sur les dunes.

Pas sûr que l'ensemble des chercheurs liés à Curiosity goûtent particulièrement ces opérations qui ne seront d'aucune aide pour répondre aux questions sur l'habitabilité passée de Mars et la préservation des matières organiques anciennes. Beaucoup militerons pour traverser rapidement ces dunes et continuer la route vers Sharp, en particulier vers un éventail alluvionnaire au bas de la vallée qui descend du Mont Sharp.


Sources principales :
http://planetary.s3.amazonaws.com/assets/images/4-mars/2015/201 50918_MSL-route-map-3D-1m-pixel-sec-4-sols--.png

[URL=http://astrogeology.usgs.gov/news/astrogeology/sols-1167-1168-onward-to-the-bagnold-dunes]http://astrogeology.usgs.gov/news/astrogeology/sols-1167-1168-onward-to-the-bagnold-d unes

[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 19-11-2015).]

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Progression d'environ 30 m plein Sud au 19 novembre (sol 1168).
Il est très rare que Curiosity enchaîne ainsi deux parcours, mais les distances parcourues demeurent assez modestes.

Sur l'image de Phil Stooke la mention "Dune 1" désigne la barkhane qui sera la destination première et la cible à étudier pour la minéralogie :


La masse noire de la dune 1 toute proche :



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Petit retour en arrière avec un remarquable panorama d'images MastCam du 25 mars 2014 à "Kimberley". A cette époque Curiosity longeait encore le large cordon de dunes de sable noir direction plein Ouest pour atteindre un point de passage vers Sharp à "Murray Buttes" :


Au vu de toutes les données recueillies depuis août 2012, elle "parle" cette image..
Au premier plan ces épaisses dalles de grès sont constituées de sédiments déposés au niveau amont d'un delta alluvial, là où il y a 3,3/3,8 milliards d'années les flots coulaient assez vite et étaient encore bien chargés en matériaux drainés depuis les remparts du cratère. Plus loin, en s'éloignant du delta et en s'étalant dans le lac, la force du courant ralentissait et déposait ses derniers sédiments sur le plancher du lac, en eau stagnante, avec un grès à grains fins comme on a pu le constater par exemple à "Pahrump Hills".

L'épaisseur des dépôts sédimentaires qui indiquent une interaction avec l'eau est évaluée de 75 à 200 mètres. Mais pourrait peut-être se prolonger jusqu'à 800 mètres au-dessus du plancher du cratère.

Au-dessus de 800 mètres, le mont Sharp ne montre aucune preuve de strates hydratées. L'essentiel de ce qui a élevé le mont Sharp ensuite suggère l'apport permanents de matériaux par une activité éolienne prolongée sur des milliards d'années.

Ce qui pose question, c'est l'origine de ces énormes quantités d'eau à une époque où les modèles actuels suggèrent une Mars plutôt très sèche.
Une partie de l'eau des lacs peut avoir été fournie par les chutes de neige et la pluie dans les hautes terres, sur les remparts du cratère Gale. Certains ont aussi imaginé l'argument selon lequel il existait un océan dans les plaines au Nord du cratère, mais cela ne peut pas expliquer comment l'eau a réussi à exister à l'état liquide pendant de si longues périodes et en surface.
De quoi réévaluer pas mal d'hypothèses assez schématiques sur le climat et l'atmosphère martienne, en particulier à cette époque.

Source principale : http://mars.jpl.nasa.gov/msl/news/whatsnew/index.cfm?FuseAction=ShowNews&NewsID=1865

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Je suis pas sûr de comprendre, Daniel,

C'est "juste" un problème de datation, non ?

Si c'est 3.3, effectivement, Mars aurait dû être "sèche", à cette époque,
Mais si c'est 3.7 ou 3.8, Mars était assez "humide", non ?

Ensuite, il y a probablement eu aussi des coulées catastrophiques plus tardives dues à l'impactisme.

?

S

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A ma connaissance tout ça est bien sûr encore très controversé.

Mais selon les études du spectro OMEGA de Mars Express, confortées par celles de l'instrument CRISM sur MRO, la période géologique où Mars a connu un véritable cycle de l'eau est plus ancienne que ce qu'espéraient les planétologues il y a 20 ans.

C'est uniquement dans des terrains datant d'avant 3,7 milliards d'années que l'on peut trouver des sédiments témoignant d'une Mars plus chaude et plus humide. J.P. Bibring va plus loin et estime même que "l'âge de l'eau" sur Mars se situe avant -4,2 milliards d'années et que dès -4,1 milliards d'années Mars était aussi sèche qu'aujourd'hui ! Dès cette époque il n'aurait plus existé d'océan nulle part car il n'y avait plus de dynamo, plus de magnétosphère, plus d'atmosphère épaisse.

Et si les écoulements massifs qui ont provoqué les deltas et les vallées fluviales jusqu'à -3,6 milliards d'années sont incontestables, ils sont restés transitoires (quelques milliers d'années seulement) et témoignent surtout de phénomènes climatiques ponctuels. Ils ne sont pas à confondre avec les gigantesques "chenaux de débacle" qui résultent d'écoulements catastrophiques et sporadiques liés à des fontes de glacier ou de sous-sol gelé suite à volcanisme ou impactisme.

Le hiatus, c'est que pour le/les lac du cratère Gale, le remplissage s'est produit (principalement par les rivières) sur une période d'environ 500 millions d'années et très probablement jusqu'à -3,3 milliards d'années !

Bref, "-3,8/-3,3 milliards d'années" n'évoque pas une incertitude de datation, mais bien une période pendant laquelle se sont produit des écoulements dans le cratère Gale (même s'il semble probable qu'il y ait eu des intervalles où ces écoulements ont pu se tarir transitoirement.

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Curiosity chemine désormais entre deux barkhanes !

Une centaine de mètres parcourus en deux étapes les 23 et 24 novembre (sols 1172 et 1173).
Phil Stooke-umsf :


Trois images de la "dune 1" située à moins de 50 mètres à l'Est :




Depuis cette position le rover va réaliser quelques mosaïques MastCam pour observer les dunes et les roches sous différentes conditions d'éclairage, en particulier en fin de journée afin d'en faire ressortir les subtiles textures.

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Oui Kaptain : "La beauté est une manière de résister au monde, de tenir devant lui et d'opposer à sa fureur une patience active."

La question est : Comment le rover pourra t'il sortir de là pour se diriger plus loin vers le Sud ????...
Il est prévu de tester Curiosity dans ce sable dont on ne connaît rien, c'est l'inconnue totale. Sachant que les expériences précédentes ne sont guère encourageantes..

http://mars.jpl.nasa.gov/msl/imgs/2015/11/Curiosity_Location_Sol1173-full.jpg

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Le 25 novembre (sol 1174) 28 mètres parcourus vers l'Ouest jusqu'en bordure de la "dune 2", ce qu'il n'était pas forcément évident d'anticiper compte tenu que la "dune 1" semblait pour tout les observateurs (sauf les opérateurs du rover ) être la cible prioritaire.


[/URL]


http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?act=attach&type=post&id=38504

Gros plans sur les ondulations en forme de "vagues" :




Vue au Sud-Est vers les remparts du cratère Gale :



[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 26-11-2015).]

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On s'attend vraiment à voir surgir les princesses d'Edgar Rice Burroughs... c'est vraiment "fantastique"...

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Kaptain > "On s'attend vraiment à voir surgir les princesses d'Edgar Rice Burroughs"

Ah oui ??..

Où ça Kaptain?!?.. Où ça ???!!...


PS > Tryphon t'es pénible, tu cherches là ..

[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 26-11-2015).]

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Purée celle là en couleur elle serait top...

Merci pour tout ça, c'est beau. Minéral, mais beau quand même.

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C'est une photo de "photographe"...

On a définitivement pas besoin d'envoyer des pinguouins en scaphandre là-haut...

S

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