jackbauer 2

Falcon Heavy : l'Odysée de la Tesla dans l'espace

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Vaufrèges a dit " des joints de dilatation  soudés par goujons" désolé  je ne comprends  pas cette phrase ! Pour moi un goujon ( non ce n'est  pas un poisson) c'est  une pièce  cylindrique avec deux filetages,  dans le cas présent  un filetage fixé dans la tôle inox et l'autre  dans le joint de dilatation , je ne vois pas trop comment on procède  pour le montage ?

Mais un goujon ce n'est  pas un.moyen de soudage  !

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Salut Barnabé, :)

 

Factuellement, tu as raison.

 

Je pense seulement  qu'il faut remplacer le terme "soudés"  par "fixés" et alors l'explication de Daniel retrouverait tout son sens.

Ce mauvais emploi du mot pourrait peut-être provenir d'une traduction automatique. On connait tous les limites de cet outil.

Enfin, c'est comme cela que je comprends la chose. :)

 

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il y a 27 minutes, barnabé a dit :

Vaufrèges a dit " des joints de dilatation  soudés par goujons" désolé  je ne comprends  pas cette phrase ! Pour moi un goujon ( non ce n'est  pas un poisson) c'est  une pièce  cylindrique avec deux filetages,  dans le cas présent  un filetage fixé dans la tôle inox et l'autre  dans le joint de dilatation , je ne vois pas trop comment on procède  pour le montage ?

Mais un goujon ce n'est  pas un.moyen de soudage  !

 

 

Je cite texto ci-dessous les éléments énoncés par l'auteur de la vidéo sur ce sujet précis :

 

"Nous pouvons donc supposer que Space X progresse dans la conception et le placement robotique des joints de dilatation soudés par points sur lesquels les carreaux de protection thermique s'enclenchent. Et ces robots font le travail" :

 

60805221b5e50_Capturedcran(98).png.ea8de28cc1d16ac4cdeea74a5dcb1a9f.png

 

Je recite :

"Il s'agit à peu près de soudage de goujons, éventuellement avec des goujons spéciaux"  :

 

608052a5aa80d_Capturedcran(97).png.a964fd587e60893a3a215f0d5957584d.png

 

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Ok merci Vaufrèges je  comprends  mieux ! Les goujons  en question sont dits spéciaux  à  tel point qu'ils n'ont  pas grand-chose à  voir avec les goujons de mon  enfance ! Ce sont de petits cylindres soudés  par  points  sur la tole sur lesquels  on va venir "clipper " les carreaux  de protection  thermique 

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Il existe des goujons vissés, collés, soudés, emmanchés à force, à expansion (pour des fixations dans le béton ou des amarrages dans la roche), etc.

Là, tant qu’on n’aura pas un gros plan ou un dessin technique pour nous montrer la méthode d’ancrage côté inox (vraisemblablement soudure vue la minceur du support) et de fixation côté tuile (clips ?), on ne saura pas de quoi on parle exactement.

En tout cas les 3 points de fixation de chaque tuile sont sous la tuile, et non dans les joints de dilatation.

Donc la formulation de la traduction n’est qu’approximative, et nous n’avons aucun moyen de l’interpréter de façon plus rigoureuse avec les termes techniques adéquats en français. 

D’autant que très probablement, ces goujons ont été spécifiquement créés pour cet usage, sachant les contraintes spécifiques auxquelles ils sont soumis. Déjà, chaque tuile est fixée avec au moins 2 types de goujons différents (bien visibles sur les photos de la vidéo à partir de la 11ème minute).

D’autres questions auxquelles on n’a pas la réponse Barnabé ? 🤨

Modifié par Alain MOREAU
Putaing de "correcteur" ! 😤😤😤
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il y a 20 minutes, Alain MOREAU a dit :

Donc la formulation de la traduction n’est qu’approximative, et nous n’avons aucun moyen de l’interpréter de façon plus rigoureuse avec les termes techniques adéquats en français. 

 

J'ai surtout l'impression que, sur ce point, l'auteur de la vidéo manque lui même d'éléments précis sur les techniques de fixation utilisées, sachant que Space X ne tient pas forcément à rendre public et en détail toutes les données et/ou innovations sur ce sujet hautement délicat/stratégique, un aspect importantissime et problématique qui impacte très fortement la suite et la conception globale de l'engin.

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Il y a 4 heures, jackbauer 2 a dit :

C'est jour de test : un static fire est prévu...

 

Le 20/04/2021 à 18:28, vaufrègesI3 a dit :

(...) la méthode de "collage" était problématique (...) 

 

Les tuiles ont résisté à la pesanteur, si elles résistent au tir statique je ressors les cahuètes :) . 

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il y a 15 minutes, vaufrègesI3 a dit :

J'ai surtout l'impression que, sur ce point, l'auteur de la vidéo manque lui même d'éléments précis sur les techniques de fixation utilisées, sachant que Space X ne tient pas forcément à rendre public et en détail toutes les données et/ou innovations sur ce sujet hautement délicat/stratégique, un aspect importantissime et problématique qui impacte très fortement la suite et la conception globale de l'engin.

 

C’est évident : les performances et la tenue dans le temps de la protection thermique aux conditions de rentrée constituent la clé du concept de réutilisabilité complète du lanceur et de sa viabilité économique.

Sur ce point SpaceX n’a aucun intérêt à trop communiquer... B|

Modifié par Alain MOREAU
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Il y a 15 heures, Huitzilopochtli a dit :

'il faut remplacer le terme "soudés"  par "fixés"

Mhh, c'était donc la raison de tous ces bigbadaboums o.O. Un malentendu est si vite arrivé et pis voilà, voilà ! ¬¬

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Pour en avoir le cœur net j'ai pompé la version originale de cette langue bizarre -_- sur la vidéo (pour le passage qui nous intéresse) et je l'ai moulinée au filtre de ce que je crois la meilleure traduction possible :

 

recent video from Nasa Space Fligth captured this very intersting procedure of a very large Starship segment rotating turntable style covered in white insulation fabric so we can safely assume thate SpaceX is making progress with the design and robotic placement of spot-welded expansion joints which the thermo-tiles snap onto it's pretty much stud welding possibly with special studs and these robot delivered over half a year ago.

 

Traduction

Une vidéo récente de Nasa Space Fligth a capturé cette procédure très intéressante d'un très grand segment de Starship tournant à la manière d'un plateau tournant recouvert d'un tissu isolant blanc. Nous pouvons donc supposer que SpaceX progresse dans la conception et le placement robotisé des joints de dilatation soudés par points sur lesquels les tuiles thermiques s'emboîtent, il s'agit pratiquement de soudure de goujons, éventuellement avec des goujons spéciaux, et ces robots ont été livrés il y a plus de six mois.

(Traduit avec www.DeepL.com/Translator)

 

Rien de nouveau ni de plus précis donc. 

Vapéter ??..

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Il y a 21 heures, Alain MOREAU a dit :

les performances et la tenue dans le temps de la protection thermique aux conditions de rentrée constituent la clé du concept de réutilisabilité complète du lanceur et de sa viabilité économique.

 

Ouaip... et moi je l'attend là depuis le début. Il pourrait s'y casser les dents car il me semble quand même que pour le coup, il a mis la charrue avant les bœufs ! Cette histoire de rentrée atmosphérique est la clé de tout. Attendons voir...

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Il y a 5 heures, vaufrègesI3 a dit :

Vapéter ??..

Faut voir :) patience xD

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il y a 6 minutes, ALAING a dit :

Faut voir :) patience xD

 

Ouaih... En attendant on va cuiter..¬¬

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2021, l’Odyssée de SpaceX

PODCAST Alors que Thomas Pesquet doit s’envoler vers la Station spatiale internationale vendredi à bord d’une fusée SpaceX, Dominique Gallois, journaliste au « Monde », revient sur l’épopée de la start-up d’Elon Musk, devenue géant incontournable du secteur aérospatial.

 

https://www.lemonde.fr/podcasts/article/2021/04/22/2021-l-odyssee-de-spacex_6077603_5463015.html

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La pêche aux poissons volants est terminée : pas assez rentable...

 

https://www.universetoday.com/150924/spacex-has-given-up-trying-to-catch-rocket-fairings-fishing-them-out-of-the-ocean-is-fine/


L'essentiel en traduction automatique :


La motivation économique pour tenter une capture de carénage est simple. L’eau salée est corrosive, donc si un carénage atterrit dans l’océan, il doit être remis à neuf à un certain coût. L’attraper avant qu’il ne touche l’eau éliminerait la nécessité de le remettre à neuf, réduisant ainsi le coût de réutilisation du carérage.
Pour tenter cette capture, SpaceX a commandé deux navires, nommés selon leur style fantaisiste habituel : Mme Tree et Mme Chief. Les deux navires étaient équipés de filets personnalisés et de systèmes informatiques avancés contrôlés et envoyés dans l’océan pour tenter d’attraper les carénages des lancements de SpaceX alors qu’ils retombaient sur Terre.
Le problème est qu’ils n’ont réussi que moins de 20% du temps. SpaceX a tenté 50 captures, et n’en a réussi que 9. Dans certains cas, les navires ont effectivement attrapé le carénage, mais ensuite le filet s'est déchiré, ou le carénage a été soufflé hors du filet par les parachutes auquels il était encore attaché. En outre, les navires eux-mêmes ont été endommagés à plusieurs reprises, l’un d’eux perdant certains de ses bras attachés dans une tempête.


Ainsi, l’entreprise a commencé à faire ce qu'il y avait de mieux à faire - la pêche du fairing sur l’eau directement. Elon Musk lui-même l’a confirmé sur Twitter récemment. Sur le plan économique, il doit être plus logique de simplement remettre à neuf les coiffes plutôt que de continuer à essayer de les attraper.
SpaceX a maintenant vendu Mme Tree et Mme Chief et a acheté un navire de récupération de carénage beaucoup plus grand appelé Shelia Bodelon, qui n’a pas encore été baptisé avec un nom fantaisiste. C’est peut-être parce qu’il s’agit d’un arrangement temporaire, car le Shelia Bordelon est conçu à l’origine pour l’exploration sous-marine, et une grande partie de l’espace du navire est pris avec un véhicule sous-marin autonome.
Le navire rose et bleu rejoint une flotte de deux autres véhicules utilisés pour la récupération des capsules Dragon - GO Searcher et GO Navigator. Ces navires ont également déjà passé un certain temps à pêcher les carénages hors de l’océan, avec 16 récupérations entre eux. Ils ont installé des filets spécialisés qui permettraient ce que SpaceX appelle la « récupération humide », ce qui leur permet de ramasser les carénages hors de la mer plutôt que de les sortir.

 

 

 


 

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Modifié par jackbauer 2
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Le navire rose Bordelon conçu pour la « récupération humide », Quel programme ! 9_9

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Bonjour, tout d'abord je n'y connais absolument rien. Mais je croyais avoir lu ou entendu qu'il y aurait un liquide  réfrigérant circulant derrière ces tuiles plus épaisses en inox, qui n'auraient  pas être à changées après chaque vol? 

 

Ces tuiles perdraient un peu de leur épaisseur après chaque retour due à la chaleur? Peut être mon imagination?

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il y a une heure, VNA1 a dit :

Bonjour, tout d'abord je n'y connais absolument rien

 

Je confirme..

 

Il y a 1 heure, VNA1 a dit :

je croyais avoir lu ou entendu qu'il y aurait un liquide  réfrigérant circulant derrière ces tuiles plus épaisses en inox,

 

Solution envisagée mais abandonnée depuis longtemps cher  @VNA1 @bentley @roul 

.... sachant que tu avais déjà posé cette question, et qu'on t'avait répondu. 

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Bonjour Vaufrèges13, merci de confirmer, je n'ai jamais prétendu autrement. ;-)

 

Par contre je doute ta deuxième assertion, nous sommes d'accord d'être tous les deux des "petits" vieux essayant de ne pas trop radoter. et de plus bien malheureusement avons passé des moments très difficiles et peinant (pas entre nous) ça c'était rien du tout et éphémère comparé à nos pertes très personnelle et si banale!. Te souhaitant tout le courage.

 

De plus je te promets que je ne corrigerais plus jamais ton excellent  anglais, parcoure tu peux corriger mon français. (I know it's hopeless)

 

C'est bien dommage que SpaceX est abandonné cette solution que je trouvais créative et osée comme tout son projet!

 

 

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Il y a 8 heures, George Black a dit :

Prochaine étape ? Musk redécouvre des vieux brevets du baron Bich et réalise pourquoi on a inventé le jetable : parce que c'est plus économique que d'entretenir (à défaut d'être éco responsable)...

 

C’est plus nuancé que cela : il est toujours question de récupérer les coiffes, mais plus d’essayer de les cueillir au vol dans un filet à papillons ;).

On va plutôt les repêcher à la mer puisqu’elles y tombent tout de même le plus souvent, puis tenter de les remettre en état pour moins cher que des neuves.

En opérant rapidement, il est certainement possible de leur éviter la corrosion saline en la neutralisant immédiatement sur le navire de récupération (rinçage à l’eau douce, mise en place de protections actives galvaniques, ou quelqu’autre sortilège électrochimique, que sais-je, dans l’attente d’un traitement plus approfondi de retour au bercail).

On se contentera ensuite de ne remplacer que les parties consommables et/ou ayant souffert de leur immersion dans l’eau de mer. 

Si cette option est intégrée dès la conception on doit pouvoir simplifier les opérations ainsi que minimiser le coût du recondionnement pour rentabiliser cette récupération.

Ou pas.

Mais qui ne tente rien n’a rien, pourrait être leur devise.

C’est le jeu du qui perd gagne in fine.

Car à force de chercher, parfois on trouve.

 

J’ai changé d’opinion par rapport à mes positions initiales concernant le travail de SpaceX : la force de leur approche, c’est de ne jamais éliminer une possibilité avant de l’avoir testée, ne jamais rejeter une idée au motif qu’elle semble a priori irréalisable, hasardeuse, iconoclaste. Cette approche aventureuse engendre certes beaucoup de déchets et de voies sans issue, mais aussi de remarquables succès. On y cultive le "brainstorming no limit".

 

Le milieu du spatial institutionnel, en raison des risques inhérents à l’activité elle-même, des budgets colossaux qui y sont engagés, ainsi qu’en amont les enjeux politiques qui les mobilisent, s’avère paradoxalement plutôt conservateur en dépit de l’image hi-tech qui lui colle à la peau. La recherche de pointe y est très active bien sûr, mais de l’innovation technologique à son application spatiale il s’écoule typiquement une grosse dizaine d’années - parfois plus lorsqu’il s’agit de savoir-faire ou de composants spécifiques ne pouvant être testés que dans l’espace, dont on doit attendre les retours d’expérience avant de les engager sur de grosses missions...

Les instances dirigeantes et administratives dont ils dépendent, en outre, ne brillent ni par leur réactivité structurelle, ni par la stabilité et la pérennité de leurs financements, ni par la détermination à long terme d’objectifs clairs, invariants sur des échelles de temps compatibles avec leur réalisation.

 

SpaceX, en tant qu’entreprise privée, capitalise sur cette inertie de ses concurrents, en n’hésitant pas à prendre des risques, à oser ce que les autres n’osent pas, et à mener la course en tête sans jamais se retourner ni envisager l’échec.

Je vois désormais plus Elon Musk comme un mercenaire du spatial que comme le conquérant idéaliste dont ses fans aiment à brosser un si romantique portrait...

Musk aurait plutôt à mes yeux le profil d’un Marchand, au sens de la Fondation d’Asimov. Un pragmatique plus préoccupé de ses gains que de conquêtes territoriales.

Tout comme pour les héros du cycle éponyme d’ailleurs, ses paris ne sont pas toujours gagnants, loin de là.

Mais lorsqu’ils le sont, il crée en très peu de temps un fossé difficile à combler pour les autres. C'est la clé de son succès.

De là à ce qu’on dédie un jour à sa mémoire un chapitre de l’Encyclopedia Galactica, pas mal de mégatones de méthane auront à rugir encore dans des tuyères de raptors avant d’en arriver là, me semble-t-il !... xD

Mais qui sait ?

Il est peut-être à lui seul le fondateur et le pionnier d’une civilisation galactique ?

Elon Musk, ça sonnerait pas mal dans un Wiki interstellaire xD

 

Évidemment, en bon gaulois, son pouvoir autocratique - comme tout pouvoir excessif sans contre-pouvoir - m’agace ! >:(

Mais je m’incline : il reste anecdotique et périssable, bien sûr :D

Modifié par Alain MOREAU
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il y a 25 minutes, Alain MOREAU a dit :

J’ai changé d’opinion par rapport à mes positions initiales concernant le travail de SpaceX : la force de leur approche, c’est de ne jamais éliminer une possibilité avant de l’avoir testée, ne jamais rejeter une idée au motif qu’elle semble a priori irréalisable, hasardeuse, iconoclaste. Cette approche aventureuse engendre certes beaucoup de déchets et de voies sans issue, mais aussi de remarquables succès. On y cultive le "brainstorming no limit".

 

Ah quand même ! :) Excellente analyse, bienvenu chez les muskiens !! Mais je crois que tu oublie juste une chose : il s'amuse comme un fou, c'est ça qui l'anime au fond de lui-même. Etre fidèle à ses rêves de gosse.

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Ne te méprends pas : je ne voue aucun culte ni admiration sans réserve à Musk.

Bien peu de mes semblables méritent à mes yeux d’être placés sur pareil piédestal, et leurs exploits sont d’une autre nature : d’une nature à sublimer l’humanité qui est en nous par des valeurs spirituelles et morales du plus haut niveau ; valeurs qui échappent totalement et définitivement au sieur Musk, d'après ses actes et non ses déclarations.

Quant à s’amuser et rêver comme un gosse, je suis le premier à en reconnaître les vertus, pourvu que ça ne porte préjudice à personne.

Hélas le propre des hommes "inspirés" auxquels l’argent confère le pouvoir, est souvent de se croire tout permis au nom de leurs convictions personnelles : ça te rappelle quelqu’un ?

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