Bien le Bonsoir,
Voila, je viens de tomber sur la gamme de lunette de la Marque Altair et je j'aimerais savoir ce que ça vaut. J'ai vu ça sur le site SKYVISION.
J'ai repéré dans les petits diamètre ( 60 -80 ) pour une utilisation visuel principalement et CCD un peu du moins me lancer dans l'astrophoto. Je cherche quelque chose de très transportable.
Lunette Altair 72 EDF avec rapport de test optique
690,00€ – 750,00€
Starwave 70ED F6 Lunette de voyage
549,00€
Lunette Doublet Altair 60 F6
499,00€
Lunette Lightwave 80mm F6 ED avec valise de transport
800,00€
C'est pas cher pour de tels produits ,c'est bien présenté, bien expliqué sur le site ce qui est déjà un bon point on sais ce qu'on acheté. Je vois qu'il y a des version de luxe CNC, pour un tourneur fraiseur ça parle a mon cœur . Mais après est ce que ça vaut le coup du point de vue mécanique comme optique ?
Bonsoir à tous.
Il fait beau, mais sans matos a portée de main je m'ennuie... Donc voilà une réflexion que j'ai eue récemment
Si on considère un instrument d'un diamètre donné, celui-ci sera toujours limité par l'image de diffraction théorique inhérente aux propriétés de la lumière.
Depuis quelques dizaines d'années, on a mis au point différents algorithmes d'accentuation ( déconvolution & cie ) que les adeptes d'imagerie planétaire connaissent bien, afin de transformer les images obtenues par l'intermédiaire de nos instruments imparfaits et tenter de se rapprocher d'une l'image "réelle" de l'objet.
Malheureusement, si j'ai bien compris, l'algorithme parfait n'existe pas car il existe plusieurs solutions "d'image réelle" pour notre image finale. Donc nos algorithmes permettent de gagner un peu de résolution, mais plus on accentue ces transformations, plus on risque de créer des artefacts.
Donc l'idée est la suivante : serait-il théoriquement possible d'utiliser des images prises avec différents diamètres ( à l'aide d'un simple diaphragme par exemple ) afin d'obtenir un panel plus restreint dans les "images originales possibles" envisagées par notre algorithme, ce qui permettrait de pousser le traitement un peu plus loin sans l'apparition de ces artéfacts et de fait d'obtenir une image plus précise de l'objet en question ?
Un exemple parlant : sur Saturne, on peut voir apparaître le fameux "artéfact d'encke" très vite, en surtraitant certaines images prises avec un 200mm ou 250mm.
Cependant, un observateur attentif notera une position différente de l'artéfact en question sur les 2 images ; la zone sombre sera plus éloignée du bord extérieur de l'anneau sur l'image réalisée au 200mm. Conclusion logique : ce n'est pas un objet "réel".
Si nous sommes capables d'arriver à cette conclusion, pourquoi pas un algorithme ?
Et même pourquoi pas, en comparant la différence réelle et la différence attendue entre les deux images compte tenu des caractéristiques physiques des instruments, faire apparaître par un genre de "soustraction" cette fameuse division en vrai ?
J'ai cherché rapidement des publications sur le sujet, rien trouvé de concluant mais je n'ai pas non plus été très loin...
Je trouve mes résultats passablement optimistes. Plutôt qu'à d'éventuels gênes de batraciens,
je suppose que c'est dû à l'effet loupe de l'humeur aqueuse. Comment les corriger ???
Accessoirement, je suis surpris de la faible différence entre une pièce à peu près bien éclairée et la peine ombre.
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=== Mais on s'en fout, non ???
=== Ce qui compte pour optimiser des jumelles,
=== C'est le diamètre apparent, non ???
=== (tant mieux si après la cornée ça converge vers une pupille réelle plus petite !)
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48 ans 77 ans
pièce très lumineuse 4_0 2_5
pièce avec une seule lampe au plafond 7_3 ...
pénombre (mais on pouvait très facilement se déplacer) 7_5 4_5
(le règle touche la peau, et est en retrait de la base des cils d'environ 2mm en arrière... de toute façon c'est très loin : crop de 85mm)