jackbauer 2

Hayabusa 2 à l'assaut de Ryugu

Messages recommandés

Il y a 16 heures, Kaptain a dit :

Le régolithe lunaire est fin comme du talc, Itokawa a plus l'air de se rapprocher d'un sable grossier, presque un gravier, non ?

 

Salut Kaptain, :)

 

Tout à fait, et les deux méritent l'appellation de "régolithe".

 

Le processus à l'origine du régolithe étant le bombardement météoritique, et l'intensité de ce dernier dépendant des champs de gravité des astres sans atmosphère, on comprend aisément que le broyage des roches de surface ait été plus efficace sur la Lune que sur un quelconque astéroïde . 

  • J'aime 5

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

A partir de cette image

 

4.JPG

 

 

Traitement par Jason Major !
 
DoHb9DuX0AQJoPa.jpg

 

Here's a view of Ryugu's surface from @haya2e_jaxa Hayabusa2's Rover-1b on Sept. 23, adjusted for lens distortion and angle.

Modifié par Huitzilopochtli
Ajout c
  • J'aime 3

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 20 heures, Motta a dit :

Apporter de vraies infos Roul, de vraies infos, rappelle-toi.

 

 

Il y a 5 heures, Huitzilopochtli a dit :

Tout à fait, et les deux méritent l'appellation de "régolithe".

 

Tu vois Motta, je vais m'endormir moins bête tout à l'heure!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Une question.

Il y a longtemps, il me semble avoir lu quelque chose à ce sujet, mais ma mémoire me fait défaut.

 

image.png.53d3256477f83728c7f49ea341140fa9.png

 

 

Comment détermine t-on le méridien d'origine ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il y a des conventions.

 

Un début de piste ici:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Altitudes_et_coordonnées_géographiques_sur_les_corps_célestes#Petits_corps

 

 

Tiré de la référence #17 à propos cette-fois d'une comète:

 

C'est joli!

 

20140814_cg_coordinate_system.gif

 

En ce qui concerne le méridien de Mathilde, je n'ose m'exprimer.

Modifié par syncopatte
  • Merci 1
  • Haha 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Mais à propos de Ryugu j'ai trouvé quelque chose qui ressemble à une histoire de température:

https://slideheaven.com/feasibility-and-accuracy-of-thermophysical-estimation-of-asteroid-162173-ryugu-1.html

 

Ou probablement mieux: les mensurations (voir premières figures):

http://issfd.org/ISSFD_2017/paper/ISTS-2017-d-032__ISSFD-2017-032.pdf

 

EDIT: Ah! Voici ce qui est intéressant:

https://link.springer.com/article/10.1007/s11214-017-0336-x

Modifié par syncopatte
  • J'aime 1
  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Traduction de mcmcmc (UMSF) d'un lien non officiel nous livrant quelques nouvelles des deux modules MINERVAII1 :


Le 1A a fait 9 sauts, et le 1B 4 sauts. La distance d'un seul saut varie entre 10 et 20 m . (Tetsuo Yoshimitsu, Enginner du projet MINERVA-II1 / JAXA)


Noms des rovers : Il y a 2 propositions, mais elles demeurent encore secrète. Nous nommerons les rover sur la base de leurs mouvements. (Tetsuo Yoshimitsu, Enginner du projet MINERVA-II1 / JAXA)


Des télémesures de T° ont été réalisées. 


Les rovers sont actuellement encore actifs sur Ryugu.
 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Grâce au tuyau donné par Huitzi (voir plus haut) j'ai pu remonter à la source ; Il y a d'autres infos intéressantes, en voici la traduction en français :

 

https://lizard-isana.github.io/jspt/hy2_press_conference_2018_09_27.html

 

Questions / réponses:

Statut Rover 1B: 1B transmet le signal, mais en mode «faible consommation». L'ordinateur embarqué est vivant. Il y a de l'électricité, donc il est certain que le véhicule n'est pas dans l'ombre. Nous essayons de retrouver le mode «haute puissance». (Yoshimitsu)

Température de surface: Les données initiales acquises sur le rover sont de 65 degrés Celsius. (Yoshimitsu)

Comment vous sentez-vous maintenant?:   Les rovers fonctionnent à la surface. C'est une très bonne chose. Je suis heureux d’atteindre le succès grâce au pouvoir général du pays. J'apprécie les participants de ce projet. (Yoshimitsu)

Nos rovers restent à la surface d’un corps céleste dans le système solaire et nous avons pu utiliser le mot «Sol» pour la première fois. J'ai été profondément impressionné. (Yoshimitsu)

Déférence entre Ryugu et Itokawa: Itokawa a une zone plus plate que Ryugu. Il est difficile de se poser mais nous essayons de trouver un endroit plus sûr. (Yoshikawa)

Pouvez-vous estimer la taille du rocher à partir de l'image de surface ? : Oui. Nous pourrions déterminer l'angle de vue de la caméra. Mais nous n'avons pas encore fini. (Yoshimitsu)

Préparation pour l’atterrissage: Nous avons eu des images à 3 km au-dessus de la surface, nous connaissons plus de détails sur la zone d’atterrissage. La quantité d'échantillons dépendra de l'état de la surface, comme le sable ou les roches. S'il y a un espace, nous allons descendre. (Yoshikawa)

À propos de l'échantillonnage: S'il y a une pierre aussi grosse ou plus grosse que 50 cm, il y a un risque que la roche frappe le corps de la sonde. En d'autres termes, si elle est inférieure à 50 cm, nous pouvons toucher en toutes circonstances. (Yoshikawa)

Impressions des images du MINERVA: Ceci n’est qu’une première impression. Il est inattendu qu'il y ait beaucoup de cailloux, pas de sable. Et je suis plutôt impressionné par les images de la p10 que par la première image de Ryugu. (Yoshikawa)

À propos de la caméra MINERVA2: L’angle de vue est de 125 degrés en diagonale. Je ne suis pas sûr du temps d’exposition exact, mais c’est moins de 1 seconde. (Yoshimitsu)

À propos du microscope spectroscopique sur MASCOT: Nous prévoyons d’observer pendant la nuit aussi bien que le jour, mais cela sera difficile le jour à cause de la chaleur. (Sasaki)

Modifié par jackbauer 2
  • J'aime 3

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a une heure, jackbauer 2 a dit :

À propos du microscope spectroscopique sur MASCOT: Nous prévoyons d’observer pendant la nuit aussi bien que le jour, mais cela sera difficile le jour à cause de la chaleur

 

Un PDF sur l'instrument MicrOmega et fournissant quelques éclaircissements sur les difficultés à opérer le jour : 

 

https://link.springer.com/article/10.1007/s11214-017-0335-y
 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il y a 6 heures, Alain MOREAU a dit :

Très ingénieux ce principe de déplacement par sauts - et manifestement très efficace !

 

Les ingénieurs soviétiques y avaient pensé 30 ans plus tôt en embarquant un atterrisseur-sauteur ("hopper") PrOP-F de 45 kg sur chacune des deux sondes Fobos 1 & 2 (1988-89), sans malheureusement qu'ils aient eu le temps de faire leur preuve suite aux défaillances prématurées des Fobos :( ...

http://cyberneticzoo.com/walking-machines/1983-7-prop-f-phobos-hopper-soviet/

Modifié par BobMarsian
  • J'aime 2
  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci à Bob pour cette info concernant la mission PHOBOS, qui prouve, une fois encore que les soviétiques avaient d’excellentes idées, mais qui étaient rarement couronnées de succès (énorme taux d’échec en ce qui concerne la planète rouge). Cela m’a poussé à ressortir de mes archives le C&E de juillet/août 1988 qui consacrait un article à cette ambitieuse mission ; Il y est fait allusion (brièvement) à deux petits engins, Hal et Hopper (scans en dessous)

 

A noter qu’une belle mission se dessine vers Phobos : les français et les japonais ont signé pour une étude de faisabilité de MMX (Martian Moon Exploration) dont l’objectif est de ramener des échantillons sur Terre. Le lancement pourrait être effectué en 2024

 

https://www.sciencesetavenir.fr/espace/astrophysique/la-france-et-le-japon-signe-une-mission-de-retour-d-echantillon-d-une-lune-martienne-phobos_112122

 

 

1.JPG

2.JPG

3.JPG

 

P.S : je sais pas pourquoi le 2è est à l'envers, les mystères de l'informatique m'échappent...

Modifié par jackbauer 2

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 33 minutes, jackbauer 2 a dit :

je sais pas pourquoi le 2è est à l'envers, les mystères de l'informatique m'échappent...

 

Ne serait-ce pas tiré d'un article de Super' ? Souvent, ce qu'il écrit n'a pas de sens.

  • J'aime 1
  • Haha 3

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

画どおりにホームポジション(高度約20km)から降下を開始したことを確認しました。

 

Et que personne n'aille imaginer que ce serait encore extrait d'un article de Super'... 

 

Juste un Tweet du site officiel de la JAXA annonçant le début de la descente de H2...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Page de présentation de MASCOT sur le site de la JAXA :

 

http://www.hayabusa2.jaxa.jp/en/topics/20181002e_MSC/

 

J'ai déjà entendu plusieurs questions sur le fait que MASCOT ne soit équipé que d'une batterie pour l'alimenter en énergie et non pas, comme les MINERVA le sont, de panneaux solaires. 

Il s'avère que des panneaux solaires n'auraient pu suffire à délivrer la puissance nécessaire au bon fonctionnement des quatre instruments du lander.

 

Autre chose, l'examen attentif des images de la surface de Ryugu confirme que celuci-ci est dépourvu, au moins localement, de régolithe ce qui pourrait éventuellement gêner les analyses du spectromètre infrarouge MicrOmega. 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le 29/09/2018 à 18:04, Alain MOREAU a dit :

Très ingénieux ce principe de déplacement par sauts - et manifestement très efficace ! :)

 

Tiens? Les robots chinois Chang'e se déplacent aussi comme des lapins?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
il y a 27 minutes, syncopatte a dit :

Tiens? Les robots chinois Chang'e se déplacent aussi comme des lapins?

 

Pas du tout Synco !  

Plutôt comme des "lièvres de jade". Et ils sont munis de roues.

La gravité lunaire ne rend pas indispensable de se mouvoir en sautillant. 

Encore que les astronautes américains aient bien usé de ce moyen, et sans se priver de l'autre, par ailleurs ! 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ce tweet à déjà trois heures :

 

[MASCOT] 2 octobre à 22h45 JST: Hayabusa2 a ralenti sa descente et s’approche maintenant de Ryugu à environ 0.1 m / s. L'altitude est d'environ 4500 m et nous nous approchons plus lentement que jamais.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

A partir de infos données par mcmcmc sur UMSF :


Il ressort du simulateur qu'à partir de 1500 mètres, les rovers MINERVA commenceraient à être visibles en tant qu'objets lumineux de 1 pixel sur les images de ONC-T. Mais il faudra attendre 400 mètres pour les voir avec la ONC-W. 


La résolution ONC-T est 10 fois celle de l' ONC-W, donc 1 pixel de la ONC-W équivaut à 10 pixels en ONC-T.


Simulateur : https://programmi.000webhostapp.com/hayabusa2/simulator/simulator.html


Pour ma part, je pense que cela ne sera pas forcément possible dans la réalité parce que les sites respectifs d'atterrissages (N6 pour MINERVAII1 et MA9 pour MASCOT) sont pratiquement aux antipodes l'un de l'autre.

Mais naturellement les modules MINERVAII 1A et 1B se sont déplacés depuis, donc, à surveiller quand même ?...
 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

C'est cette nuit à 03h59 (heure française) qu'aura lieu la séparation Hayabusa 2/MASCOT à une altitude de 60m

La descente du petit robot devrait durer 3 à 12 mn

 

Un article sur le site de Futura-sciences fait le point sur la mission :

 

https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronautique-hayabusa-2-apres-rovers-minerva-ii-1-mascot-apprete-poser-ryugu-72523/

 

Hayabusa 2 : après les rovers Minerva II-1, Mascot s'apprête à se poser sur Ryugu

 

Dans la nuit de mardi à mercredi, le petit robot du DLR et du Cnes doit se poser sur l'astéroïde Ryugu. Il se détachera de Hayabusa 2 et réalisera un atterrissage à haut risque pour les raisons que nous explique Francis Rocard, le responsable des programmes d'exploration du Système solaire au Cnes

 

Après que les deux rovers Minerva II-1 ont atterri sur l'astéroïde Ryugu, c'est au tour de Mascot de se poser sur la surface de cet astéroïde. Ce petit robot de 30 centimètres de côté a été développé par le DLR et le Cnes. Son atterrissage est « prévu le 3 octobre 2018 à 3 h 59, heure de Paris, à plus de 300 millions de kilomètres de la Terre», nous explique Francis Rocard, responsable des programmes d'exploration du Système solaire au Cnes.

Ce robot se posera sur un site d'atterrissage sélectionné cet été. Baptisé MA-9, ce site est le meilleur compromis entre « un bon retour scientifique et des conditions d'atterrissage satisfaisantes pour Mascot ». Or, ces conditions d'atterrissage ne sont pas optimales ! Alors que les contrôleurs au sol auraient souhaité un site d'atterrissage plat et recouvert de poussière ou de sable, le robot va se poser dans un champ de gravier, ce qui ne va évidemment pas faciliter un atterrissage à plat et sur le ventre.

 

Un astéroïde très différent de ce que l'on s'attendait

En effet, Hayabusa 2 et les deux robots Minerva II-1 ont rapporté des données plutôt surprenantes et « montré des paysages auxquels on ne s'attendait pas ». Alors que les scientifiques s'imaginaient des zones plates, sableuses et poussiéreuses, Ryugu apparaît comme « un champ de cailloux à perte de vue avec des blocs rocheux gigantesques qui dépassent les 10 mètres de hauteur. D'ailleurs, un de ces blocs, situé au pôle sud, mesure plus de 130 mètres ! ». Autres surprises, « il n'y a pas de traces de processus de fragmentation et Ryugu, avec un albédo de 2, est très sombre ».

Ryugu est très différent de ce à quoi les scientifiques s'attendaient. Il est certes bien un astéroïde primitif, le plus vieux jamais observé, mais il est très vraisemblable qu'il s'agit d'un « rubble pile [agglomérat lâche, NDLR] très riche en carbone, c'est-à-dire qu'il a été détruit dans une collision violente puis s'est réaggloméré ». Une collision produite avec un autre objet dans une « gamme de vitesse suffisante pour le détruire mais pas trop violente non plus pour éviter de disperser tout le matériau».

 

L'activité sur Ryugu sera d'environ 15 heures

Pour fonctionner correctement, « Mascot ne devra pas se poser n'importe comment ». La face qui supporte le transpondeur, qui servira à communiquer avec la sonde Hayabusa 2 « doit pointer vers le ciel ». Inversement, la face qui supporte l'instrument MicrOmega doit être plaquée au sol. Quant aux autres instruments, la caméra Mascam et le radiomètre Mara, ils sont situés sur les côtés de Mascot. La seule contrainte est que le site soit suffisamment ensoleillé.

Pour réaliser un atterrissage parfait, le Cnes « ne va pas s'en remettre à la seule chance ». Mascot suivra une procédure autonome, téléchargée avant son départ de Terre et, si le robot atterrit dans une mauvaise position, son intelligence à l'atterrissage le fera « se redresser et se positionner correctement ». Pour cela, il est doté de plusieurs capteurs (accéléromètre, senseurs de luminosité par exemple) qui « l'aideront à le mettre dans le bon sens ». Enfin, si Mascot ne parvenait pas à se mettre à l'endroit tout seul, les opérateurs de la mission, basés au centre de contrôle de l'ESA, à Cologne (Allemagne) pourraient « déclencher une manœuvre risquée qui consisterait à faire bondir Mascot pour le dégager de sa mauvaise position et le faire retomber dans un endroit plus accueillant, sans aucune garantie de succès ».

Comme le robot fonctionnera sur batterie, sa durée de vie et ses observations scientifiques seront forcément réduites. Au cours de cette période de fonctionnement, « estimée entre 10 et 16 heures », Mascot devra se « poser, rebondir et exécuter son programme scientifique ».

Avec une période de rotation d'environ 7 heures et 30 minutes, le temps qu'il faut à Ryugu pour faire un tour sur son propre axe, les scientifiques « souhaitent voir au moins un cycle diurne, voire deux, ce qui permettra d'obtenir des données de jour et de nuit ». Des données sur « la température et la composition minéralogique du sol de l'astéroïde seront alors collectées ». On s'attend aussi à obtenir des informations sur « les propriétés physiques du sol et notamment sa capacité à conserver de la chaleur, ce qui renseignera sur la porosité et la conductivité du sol ». Mascot réalisera aussi des images stéréo de son site d’atterrissage qui fourniront des informations de distance et de taille des objets vus. En fin de mission, le déclenchement d'une roue à inertie doit permettre à Mascot de réaliser un bond, qui devrait lui faire parcourir environ 15 mètres.

Seules les données techniques de Mascot seront transmises en temps réel au sol. Elles concernent la température et le déroulement du programme du robot. Elles seront très utiles aux contrôleurs au sol pour s'assurer du bon déroulement de la mission. Quant aux données scientifiques, elles seront relayées vers la Terre seulement trois ou quatre jours plus tard.

  • J'aime 3
  • Merci 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Extrait de l'article  FS :  "Pour fonctionner correctement, « Mascot ne devra pas se poser n'importe comment ». La face qui supporte le transpondeur, qui servira à communiquer avec la sonde Hayabusa 2 « doit pointer vers le ciel ». Inversement, la face qui supporte l'instrument MicrOmega doit être plaquée au sol."


J'avais lu autre part que MASCOT disposait de deux antennes omnidirectionnelles sur ses côtés opposés ce qui devait lui permettre de communiquer de manières continu avec Hayabusa2 quelques soient son attitude.


https://mascot.cnes.fr/fr/MASCOT/Fr/GP_mascot.htm
 

  • J'aime 1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant